Catégories
Uncategorized

Le champignon shiitake en prévention du VPH et du cancer?

Le champignon shiitake pourrait-il permettre de contribuer à la prévention et au traitement du VPH et du cancer cervical? C’est la conclusion qui semble ressortir d’une étude américaine rapportée par le Daily Mail (UK), voulant que l’aliment en question puisse carrément détruire le virus du papillome humain (VPH).

Un effet qui aurait également le grand avantage de prévenir du cancer cervical souvent associé au VPH, comme plusieurs cas et recherches l’ont démontré au cours des dernières années.

Hautement contagieux, le VPH fait des siennes chez les femmes depuis un bon moment maintenant, et l’annonce d’un possible traitement à l’aide d’extraits de champignon shiitake s’avère une bonne nouvelle, quasi miraculeuse.

Des essais sur des souris ont démontré l’impact du champignon sur la destruction du virus, sur une période de 90 jours.

« Les résultats de cette étude ont été vraiment encourageants », lance la Dre Judith Smith de l’Université du Texas.

D’autres recherches et essais sont attendus sur le sujet, mais les résultats préliminaires permettent de croire à un nouveau traitement possible du VPH.

Les conclusions de l’étude ont été présentées lors du 45e Annual Meeting on Women’s Cancer de la Society of Gynecological Oncology, du côté de Tampa en Floride.

Catégories
Uncategorized

Nouvelle avancée dans la quête d’un traitement contre la leucémie

Radio-Canada rapporte une avancée spectaculaire et importante en recherche contre la leucémie et dans la quête pour un traitement de la maladie.

Il appert que des chercheurs de l’Université de Montréal et des spécialistes de la Banque de cellules leucémiques du Québec de l’Hôpital Maisonneuve-Rosemont seraient finalement parvenus à stabiliser et maintenir des cellules souches leucémiques à l’extérieur d’un organisme humain.

Ce qui peut sembler ne pas être une bonne nouvelle du tout s’avère pourtant l’une des clés afin de permettre aux chercheurs d’étudier plus efficacement ces cellules, afin d’en comprendre les comportements.

Les chercheurs, après avoir identifié deux composantes spécifiques, peuvent maintenant « conserver » des cellules souches leucémiques en dehors du corps pour une période pouvant aller jusqu’à sept jours.

On peut donc s’attendre à une augmentation de la qualité des recherches en laboratoire dans la quête d’un traitement contre la leucémie et au développement de nouveaux médicaments contre la maladie, selon cette même source.

Les résultats obtenus par les chercheurs montréalais ont été publiés dans le magazine Nature Methods.

Catégories
Uncategorized

Une bonne estime de soi permettrait de vieillir en meilleure santé

L’estime de soi est une facette importante du développement et du mieux-vivre humain. Elle permet d’améliorer non seulement la santé psychologique, mais aussi la santé physique.

Une nouvelle étude va plus loin dans le raisonnement et affirme qu’une bonne estime de soi peut également permettre d’espérer vivre mieux et en meilleure santé, et même plus longtemps, rapporte The National Library of Medicine.

L’étude effectuée par des chercheurs de l’Université Concordia, à Montréal, analyse les cas de 147 personnes âgées de plus de 60 ans, sur une période de quatre ans.

Chaque deux ans, les chercheurs évaluaient différents facteurs physiologiques auprès des sujets, ainsi que leur degré d’estime de soi. Les résultats semblent indiquer de façon claire qu’une bonne estime de soi permet de vieillir en meilleure santé et de prévenir plusieurs maladies dues au vieillissement.

Des niveaux plus élevés d’une hormone appelée cortisol pourraient expliquer partiellement le phénomène.

« Parce que l’estime de soi est associée avec le bien-être psychologique et la santé physique, une augmentation de celle-ci serait une méthode idéale pour prévenir les problèmes de santé plus tard au cours de la vie », conclut la coauteure de l’étude, Sarah Liu.

Les résultats de l’étude ont été publiés dans le journal Psychoneuroendocrinology.

Catégories
Uncategorized

L’avoine au service du coeur et de la santé

Des spécialistes sont venus présenter leurs observations concernant les bienfaits de l’avoine sur la santé, rapporte Santé Log, lors de la Conférence annuelle de l’American Chemical Society présentée à Dallas, au Texas.

La présentation a permis d’apprendre plusieurs bienfaits de l’avoine inconnus ou méconnus du public, notamment en matière de santé cardiovasculaire et en prévention du cancer.

Les 11 scientifiques présents lors de la conférence ont expliqué que ces bienfaits marqués s’expliquent notamment par la présence de composés phénoliques et d’avenathramides, qui permettent de protéger le cœur et de lutter efficacement contre les inflammations, entre autres choses.

Tout cela sans compter la présence de fibres, de vitamines et de minéraux retrouvés dans l’avoine, qui contribuent à une protection de l’organisme et à sa bonne santé.

La présentation abonde donc dans le même sens que les précédentes études sur l’avoine, mais pousse les explications et le raisonnement encore plus loin.

En clair, en lisant les conclusions présentées à Dallas, on se rend bien compte qu’il n’existe que très peu d’arguments, voire aucun, pour ne pas intégrer l’avoine à son régime alimentaire.

Catégories
Uncategorized

L’avoine au service du coeur et de la santé

Des spécialistes sont venus présenter leurs observations concernant les bienfaits de l’avoine sur la santé, rapporte Santé Log, lors de la Conférence annuelle de l’American Chemical Society présentée à Dallas, au Texas.

La présentation a permis d’apprendre plusieurs bienfaits de l’avoine inconnus ou méconnus du public, notamment en matière de santé cardiovasculaire et en prévention du cancer.

Les 11 scientifiques présents lors de la conférence ont expliqué que ces bienfaits marqués s’expliquent notamment par la présence de composés phénoliques et d’avenathramides, qui permettent de protéger le cœur et de lutter efficacement contre les inflammations, entre autres choses.

Tout cela sans compter la présence de fibres, de vitamines et de minéraux retrouvés dans l’avoine, qui contribuent à une protection de l’organisme et à sa bonne santé.

La présentation abonde donc dans le même sens que les précédentes études sur l’avoine, mais pousse les explications et le raisonnement encore plus loin.

En clair, en lisant les conclusions présentées à Dallas, on se rend bien compte qu’il n’existe que très peu d’arguments, voire aucun, pour ne pas intégrer l’avoine à son régime alimentaire.

Catégories
Uncategorized

L’Association professionnelle des massothérapeutes spécialisés du Québec en promotion

Mon Réseau Plus, l’Association professionnelle des massothérapeutes spécialisés du Québec, va de l’avant et cherche à promouvoir les bienfaits de ses services offerts à la population.

Un communiqué de presse nous invite donc à visiter monreseauplus.com, un site web qui propose plusieurs informations concernant les services offerts par les massothérapeutes du Québec, et sur les bienfaits pour la santé qui s’y rattachent.

On y propose d’abord un résumé de la lecture scientifique se rattachant à la discipline de la massothérapie et de ses bienfaits reconnus.

Puis sont mentionnés les différents troubles de la santé qui peuvent être traités, ou partiellement traités, par des séances de massothérapie.

Du lot, les douleurs musculosquelettiques, la fatigue chronique, le stress et l’angoisse, les troubles de migraine, les douleurs chroniques et lombaires ainsi qu’au cou et aux épaules, les inflammations musculaires et même les troubles psychologiques comme la dépression, par exemple.

L’Association se réjouit d’enfin recevoir des appuis et une certaine reconnaissance du milieu scientifique, et invite la population à se renseigner sur les diverses possibilités qu’offre la massothérapie.

Plusieurs programmes d’assurances ou d’emploi proposent des séances de massothérapie remboursées par le gouvernement, l’employeur ou un régime privé.

Catégories
Uncategorized

Le raisin bénéfique à la santé des reins

Medical News Today rapporte la publication d’une nouvelle étude qui vante les bienfaits du raisin sur la santé des reins, notamment en prévention de la formation de kystes.

Ces conclusions sont celles d’une équipe de chercheurs de l’Université de Londres, qui attire notre attention vers l’une des composantes du raisin, la naringénine, aussi présente dans certains agrumes.

La naringénine aurait démontré de façon claire sa capacité à prévenir la formation de kystes aux reins, un trouble de santé qui peut mener à de sérieuses conséquences.

Cette découverte a été proposée par l’équipe britannique dans le cadre de la Journée mondiale du rein, qui avait lieu hier (13 mars).

« La découverte est vitale afin de nous aider à comprendre comment contrôler la maladie et, ultimement, la traiter. Les maladies du rein peuvent lourdement handicaper ou même être fatales, et trouver un traitement est une priorité urgente en santé », lance le professeur Robin Williams.

La principale maladie dont fait allusion le professeur Williams est la maladie polykystique des reins, qui mène souvent à des problèmes de haute pression et à la perte des fonctions rénales.

D’autres tests seront effectués pour mieux comprendre les possibles applications de la naringénine retrouvée dans le raisin, en prévention de maladies rénales.

Catégories
Uncategorized

Le test sanguin de dépistage de la maladie d’Alzheimer semble fonctionner

Du nouveau dans le dossier de l’élaboration d’un test sanguin capable de détecter les premières traces de la maladie d’Alzheimer, rapporte The National Library of Medicine, alors que la méthode s’annonce prometteuse.

Une nouvelle étude en provenance de l’Université Georgetown vante les mérites de ce test sanguin, qui pourrait prédire jusqu’à 90 % le risque de développement de la maladie d’Alzheimer chez un individu.

Le Dr Howard Federoff, qui dirige l’étude, estime que les résultats du test sont aussi surprenants que prometteurs, et qu’ils démontrent qu’il est possible de prédire les risques d’Alzheimer grâce à l’analyse de plusieurs symptômes et facteurs.

Le but ultime est bien entendu d’être en mesure d’identifier le plus de patients à risque d’Alzheimer le plus tôt possible, afin de les traiter rapidement.

« Les biomarqueurs sanguins représentent une bonne et utile option… plus accessible, moins invasive, plus facile à utiliser et moins onéreuse. Plusieurs tests sont en développement, et plus d’investissements sont nécessaires de façon urgente », explique quant à elle Maria Carrillo, la vice-présidente des relations scientifiques et médicales de l’Association contre l’Alzheimer.

D’autres essais sont donc à effectuer sur ce nouveau test sanguin, mais les premiers résultats rendent la communauté scientifique plus qu’optimiste.

Les conclusions de l’étude de Georgetown ont été publiées dans le journal Nature Medicine.

Catégories
Uncategorized

Une nouvelle méthode contraceptive qui protège aussi du VIH

Top Santé rapporte la mise à l’essai d’une nouvelle méthode de contraception féminine, capable non seulement de prévenir les grossesses, mais aussi de certaines infections transmissibles sexuellement comme le VIH.

Il s’agit d’un anneau féminin qui possèderait de multiples vertus protectrices, grâce à un principe de diffusion moléculaire des plus fascinants. Une fois installé, l’anneau relâcherait en effet deux types de molécules, le lévonorgestrel et le ténofovir, respectivement utilisés en contraception et dans la lutte au VIH.

On vante également la souplesse et la facilité d’utilisation de l’anneau, sans compter ses nombreuses applications possibles.

« Dans la communauté scientifique, tous ceux qui luttent pour la prévention du sida cherchent depuis longtemps à développer un anneau de ce type. Combiner l’effet contraceptif avec un effet protecteur contre les infections par le VIH serait un grand pas dans la prévention du sida dans les pays aux bas revenus », estime Rowena Johnson, la vice-présidente de la Fondation américaine contre le sida.

Les essais cliniques doivent maintenant se poursuivre, et on souhaite pouvoir commercialiser le produit au cours des cinq prochaines années.

Catégories
Uncategorized

Le froid canadien pourrait s’avérer bénéfique pour la santé

Le froid nordique du Canada et du Québec est souvent bien difficile à traverser et à supporter, mais pourrait bien au moins s’avérer bénéfique pour la santé, révèle une recherche.

C’est une étude en provenance de l’Université d’Ottawa qui propose cette théorie, voulant que le froid hivernal du Canada puisse avoir une incidence positive sur certains aspects de la santé, notamment en prévention du cancer.

La raison de cette possible réaction de l’organisme au froid serait due à la production d’une protéine du nom d’Adiponectine, capable de prévenir plus efficacement un individu contre le cancer.

Les chercheurs de la Faculté des Sciences de la santé de l’Université d’Ottawa, le professeur Pascal Imbeault en tête, conseillent donc vivement à la population de passer quotidiennement quelques minutes à l’extérieur.

L’hiver rigoureux que traversent les Québécois et Canadiens pourrait donc au moins apporter une bonne nouvelle, selon les chercheurs.

L’étude tombe cependant à un bien mauvais moment pour convaincre les gens de mettre le nez dehors, alors qu’une vague de froid intense est prévue au cours des prochains jours.