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Les différents impacts du sport selon l’heure de la journée

On le sait, il faut se mettre au sport, à l’activité physique, et mener une vie active. Les différentes options en matière d’exercice sont nombreuses et permettent différents changements ou impacts sur le corps, mais saviez-vous que le moment de la journée que vous choisirez pour pratiquer votre activité physique préférée aurait lui aussi un impact direct sur le type de résultats obtenus?

C’est du moins ce que rapporte Top Santé, en se basant sur quelques études réalisées sur le sujet, notamment de l’Appalachian State University en Caroline du Nord, de l’Université de Californie et de l’Université de Chicago.

Ainsi, on apprend que le meilleur moment pour perdre du poids grâce au sport serait le matin, très tôt, entre 6 h et 8 h. On attribue cet effet sur le poids au niveau élevé de cortisone observable le matin, et qui permet de brûler graisse et calories plus aisément.

L’activité physique en après-midi aurait plutôt un impact biologique sur le rythme circadien, et permettrait davantage de lutter et prévenir plusieurs maladies et troubles de l’humeur.

Pour terminer, ceux qui choisissent de pratiquer une activité physique le soir, soit entre 17 h et 19 h, verront leurs niveaux de stress et d’anxiété diminuer grandement, en plus d’afficher de meilleures performances qu’à tout autre moment de la journée.

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Des baisses statistiques des cas de démence

Bien que les cas de démence, par exemple en ce qui concerne la maladie d’Alzheimer, sont pris au sérieux et confrontés plus que jamais par les spécialistes, il semble que ceux-ci soient généralement en baisse et moins hâtifs, selon des chiffres étonnants rapportés par Santé Log.

En fait, il semble qu’au cours des dernières années, les maladies dégénératives cérébrales liées au vieillissement, comme l’Alzheimer, ont ralenti en termes de progression moyenne, et frapperaient même plus tard dans la vie de plusieurs patients qu’auparavant.

Plusieurs facteurs peuvent expliquer le phénomène, à commencer par l’amélioration de la technologie et des soins de santé dans de tels cas, ainsi qu’une meilleure sensibilisation aux facteurs qui peuvent encourager le développement, à court ou très long terme, de maladies comme l’Alzheimer.

Du nombre, bien sûr, l’alimentation, le tabagisme, les habitudes en termes d’activité physique, le taux de sucre et le poids moyen.

Même si le combat contre la démence due au vieillissement n’en est pas à ses dernières batailles, les spécialistes américains (Californie, Michigan, Washington) qui publient leurs observations croient qu’il est important d’être optimiste et de continuer à miser sur la prévention pour les années à venir, le temps que l’on développe de nouveaux traitements.

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Des campagnes de sensibilisation sociale qui ratent la cible

Partout dans le monde, des campagnes de sensibilisation et de prévention concernant différents sujets et problèmes sont lancées afin de protéger et conscientiser la population, notamment chez les jeunes.

Mais une bonne partie de ces tentatives ratent la cible et ne permettent souvent pas les changements statistiques escomptés. Ici au Québec, on n’a qu’à penser aux efforts de la SAAQ pour contrer la vitesse et l’alcool au volant, des comportements qui semblent difficiles à prévenir.

Mais pourquoi beaucoup de ces campagnes ratent-elles leurs objectifs? Pour une équipe de chercheurs basée à Grenoble, qui publie une étude sur le sujet, le problème réside dans le fait que ces campagnes ne touchent pas la bonne corde sensible du public, spécialement chez les jeunes, rapporte Top Santé.

Au lieu de traiter du problème en tant que tel, comme celui de la malbouffe ou de l’alcool au volant, les organisateurs de ces campagnes devraient plutôt cibler les résultats sociaux qui en découlent, selon les chercheurs européens.

« Les campagnes actuelles se concentrent sur l’argument santé et négligent l’argument social, alors que les adolescents sont particulièrement sensibles aux normes sociales et à l’influence de leurs pairs », résume une spécialiste.

En clair, il faut donc chercher à « manipuler » l’auditoire de façon à toucher ce qui compte vraiment, et non en axant les campagnes sur des conséquences qui, selon plusieurs, « ne s’appliquent qu’aux autres ».

Les résultats et conclusions de cette étude sont publiés dans Le Parisien.

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Refuser le dernier verre préviendrait certains ennuis de santé

Top Santé rapporte une nouvelle campagne de sensibilisation, lancée en France, qui s’attaque au « verre de trop », après qu’une recherche ait démontré que refuser une seule consommation supplémentaire pouvait grandement aider à prévenir certains problèmes de santé.

Juste à temps pour le temps des fêtes, cette campagne vise ce qu’on appelle communément la tranche des « 18-34 », c’est-à-dire les jeunes adultes qui ont l’habitude des nuits en boîte et des soirées bien arrosées.

« Déjà utilisée dans des campagnes de prévention contre l’alcool aux États-Unis ou en Australie, cette technique permet de renforcer la capacité de celui qui ose dire non à un verre supplémentaire sans aucune stigmatisation. S’il est communément admis que refuser un verre peut donner l’impression de gâcher le moment festif, les publicités de cette campagne de prévention s’emploient à montrer justement l’inverse. Dire non à l’alcool devient simple, possible sans passer pour un ringard », explique l’Institut national de prévention et d’éducation pour la santé (Inpes), instigatrice de cette campagne.

On souhaite ainsi sensibiliser aux bienfaits d’une consommation modérée non seulement sur la santé, mais aussi en matière de sécurité routière, dont le bilan s’alourdit souvent au cours du temps des fêtes.

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Mangez des noix, vivez plus longtemps

Une nouvelle étude vient cristalliser l’impact de la consommation de noix sur la santé, rapporte The National Library of Medicine, et affirme qu’il est maintenant possible de tracer un lien direct entre les noix et la longévité

En clair, mangez des noix et vous vivrez plus longtemps, voilà comment on pourrait résumer les conclusions de l’étude proposée par des spécialistes de l’Institut Dana-Farber de Boston.

Pour ces derniers, manger une once de noix par jour, peu importe le type, pourrait signifier un gain moyen en terme de longévité, mais surtout un risque moins grand de mortalité précoce sur une période de trente ans.

« Ceci est une étude observationnelle, alors ce n’est pas absolu en termes de preuves. Mais, des études précédentes suggèrent aussi des bénéfices pour la santé… », résume le Dr Charles Fuchs, de chez Dana-Farber.

Il est vrai que cette étude corrobore toutes les autres sur le sujet, comme quoi il n’existe plus d’excuses pour ne pas se tourner vers les noix dans le choix d’une collation.

Une once de noix, la portion quotidienne recommandée par l’étude, équivaut à une vingtaine d’amandes, entre 15 et 20 cachous, ou encore plus de 30 arachides.

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Une étude met en doute les bienfaits du lait sur les os

S’il y a bien un fait que l’on croyait être une certitude en alimentation, et qu’on se fait répéter depuis notre tendre enfance, c’est bien que le lait est un allié précieux de la santé des dents et des os.

Or, selon Radio-Canada, une nouvelle étude en provenance de l’illustre Université Harvard vient d’être déposée, et sème un sérieux doute sur la véracité de cette affirmation, à savoir que le lait est bénéfique pour les os chez l’humain. 

Aux fins de la recherche, les chercheurs de Harvard ont analysé les cas de près de 100 000 personnes, sur une période de 22 ans. On ne pourra taxer l’étude de ne pas être exhaustive, malgré son résultat.

Les conclusions parlent d’une absence de preuve en ce qui a trait à la notion que la consommation de lait peut solidifier les os et ainsi prévenir les fractures.

Malgré tout, on ne conteste pas les organisations de la santé, comme celles du Canada, qui suggèrent la consommation d’au moins deux verres de lait par jour, ce dernier possédant tout de même sa part d’avantages et d’éléments nutritifs.

Les spécialistes appelés à commenter l’étude croient cependant qu’il est impératif d’allier ces apports en produits laitiers avec de l’exercice physique pour protéger le corps et les os de façon véritablement efficace.

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Plusieurs crises cardiaques chez les hommes pourraient être évitées

Ce sont des statistiques à la fois alarmantes et constructives que dévoile le Daily Mail (UK), alors qu’une étude avance qu’une bonne proportion des hommes d’âge moyen victimes d’AVC aurait pu éviter le pire grâce à une meilleure lecture des symptômes.

Selon les analyses effectuées sur les dossiers de 567 hommes victimes d’ACV,  plus de la moitié d’entre eux a ressenti des symptômes évocateurs quelques jours, voire quelques semaines, avant le drame.

Des indices comme des palpitations cardiaques, un souffle court, des étourdissements, des évanouissements ou encore des douleurs à la poitrine, voilà autant de signaux qui devraient pourtant mener ces hommes directement à l’hôpital. 

Malheureusement, trop peu prennent ces signes au sérieux, et l’orgueil ou un sentiment d’invulnérabilité prennent le dessus.

Or, toujours selon les chiffres proposés par l’étude, moins de 10 % des hommes victimes d’un AVC hors des murs d’un hôpital survivront…

Les spécialistes pressent donc les hommes de quarante ans et plus à ne jamais prendre ces symptômes à la légère, et d’envisager des examens de prévention.

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4 % de la population du Québec seraient considérés comme dépendants

Radio-Canada rapporte une nouvelle étude québécoise qui affirme que 4 % de la population de la province seraient dépendants à quelque chose, que ce soit à une substance ou à un comportement.

350 000 personnes donc, si on fait le calcul, qui seraient aux prises avec une forme ou une autre de dépendance sur le territoire québécois, notamment aux drogues ou au jeu.

Si le nombre ne semble pas si alarmant, il n’en demeure pas moins que sur ces 350 000 personnes, seulement 55 000 auraient cherché de l’aide au cours de la dernière année, des statistiques qui semblent se répéter depuis un certain moment.

L’Association des centres de réadaptation en dépendance du Québec (ACRDQ), qui publie l’étude, croit que les deux tiers de la population du Québec ignorent carrément qu’il existe des organismes et un réseau de soutien qui vient en aide aux personnes dépendantes, ce qui ajoute au problème.

D’autres auront du mal à accepter qu’il existe un problème dans leur comportement, alors que plusieurs seront envahis d’un sentiment de honte et seront gênés de demander de l’aide.

Les trois phénomènes peuvent être contrés par des efforts de sensibilisation, croit l’ACRDQ, comme l’instauration de la Semaine de prévention de la toxicomanie, qui s’entame ce lundi (18 novembre).

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4 % de la population du Québec seraient considérés comme dépendants

Radio-Canada rapporte une nouvelle étude québécoise qui affirme que 4 % de la population de la province seraient dépendants à quelque chose, que ce soit à une substance ou à un comportement.

350 000 personnes donc, si on fait le calcul, qui seraient aux prises avec une forme ou une autre de dépendance sur le territoire québécois, notamment aux drogues ou au jeu.

Si le nombre ne semble pas si alarmant, il n’en demeure pas moins que sur ces 350 000 personnes, seulement 55 000 auraient cherché de l’aide au cours de la dernière année, des statistiques qui semblent se répéter depuis un certain moment.

L’Association des centres de réadaptation en dépendance du Québec (ACRDQ), qui publie l’étude, croit que les deux tiers de la population du Québec ignorent carrément qu’il existe des organismes et un réseau de soutien qui vient en aide aux personnes dépendantes, ce qui ajoute au problème.

D’autres auront du mal à accepter qu’il existe un problème dans leur comportement, alors que plusieurs seront envahis d’un sentiment de honte et seront gênés de demander de l’aide.

Les trois phénomènes peuvent être contrés par des efforts de sensibilisation, croit l’ACRDQ, comme l’instauration de la Semaine de prévention de la toxicomanie, qui s’entame ce lundi (18 novembre).

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Attaquer la fatigue hivernale de plein fouet

Avec les premières neiges qui s’installent arrive souvent la fameuse dépression saisonnière, mais aussi ce qu’il serait convenu d’appeler la « fatigue hivernale », alors que notre corps se met à l’heure d’une nouvelle saison froide et grise, en plus du changement apporté à l’horloge qui provoque l’obscurité plus tôt qu’à l’habitude.

Inutile de sous-estimer le phénomène ou d’attendre que celui-ci se pointe sournoisement, alors que Top Santé fait part de quelques conseils pour attendre cette vague de fatigue de pied ferme et pour la contrer de façon proactive.

Certaines sources font état d’une statistique qui indique qu’une personne sur deux serait frappée de ce mal à l’arrivée de l’hiver, notamment à cause d’une alimentation inadéquate, d’un manque de sommeil, du stress quotidien et du manque de luminosité.

Il est donc convenu de mettre en veilleuse les vieilles habitudes alimentaires néfastes et axées vers la nourriture grasse, au profit d’un festival de fruits et légumes, de vitamines et de repas équilibrés.

La vitamine B, notamment, semble être l’une des clés du bon fonctionnement en hiver, alors que la B1, la B6, la B9 et la B12 permettent une amélioration du système immunitaire et des hausses d’énergie.

On suggère aussi fortement de ralentir le rythme professionnellement, c’est-à-dire de prévoir une charge moins lourde de travail, en plus de congés. Il est important de s’offrir un ou deux mois de réduction de stress, et ce genre de tour de force n’est possible que par la volonté personnelle.

Dans la même veine et en terminant, la première étape pour éviter la fatigue ou le surmenage d’hiver, c’est d’avouer que le phénomène existe et de ne pas jouer au surhomme avec votre corps.