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Michelle Obama et Sesame Street en promotion d’une saine alimentation

La première dame des États-Unis, Michelle Obama, poursuit son combat pour une saine alimentation chez les jeunes, rapporte le Telegraph (UK), et met sur pied une nouvelle campagne de sensibilisation.

Pour se faire, Michelle Obama recrute du côté des personnages de la populaire émission pour enfants Sesame Street et reçoit l’aide des personnages cultes Elmo et Rosita, notamment.

La première dame se félicite de cette acquisition et remercie les producteurs de lui permettre d’utiliser ces marques de commerce sans demander le moindre sou en retour.

« Ils le font gratuitement, oui! Imaginez ce qui va se passer lorsque nous emmènerons nos enfants à l’épicerie et qu’ils verront Elmo et Rosita, et les autres personnages de Sesame Street qu’ils aiment, partout dans l’allée de ces produits », lance une Michelle Obama convaincue et inspirante.

Obama explique par ailleurs qu’une récente étude avait démontré que plus d’enfants choisissaient une pomme au lieu d’un biscuit lorsque le fruit comportait simplement un petit autocollant à l’image d’Elmo. Elle veut donc maintenant transposer ce phénomène à tous les fruits et légumes.

« Imaginez comment ce sera lorsque nos enfants nous supplieront de leur acheter des fruits et légumes au lieu des biscuits, bonbons et croustilles », lance en conclusion Michelle Obama.

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Fibromyalgie : de plus en plus d’études et un nouveau test de dépistage

Il n’y a pas si longtemps, la fibromyalgie relevait pour plusieurs du mythe ou de la sorcellerie, et les femmes qui en souffraient se voyaient la plupart du temps isolées et incomprises.

La donne a cependant changé au cours des deux dernières années, alors que les études sur le sujet s’accumulent, dont cette plus récente rapportée par The National Library of Medicine, ainsi que la création d’outils de prévention et de traitement, comme le rapporte Top Santé.

D’abord, la première étude fait état d’un impact plus important de la fibromyalgie sur les femmes plus jeunes, expliquant que les symptômes de ce problème de santé sont souvent plus violents chez les femmes de 30 ans et plus.

Alors qu’on suggère à celles-ci de prendre le sujet au sérieux et de ne pas hésiter à consulter, on rapporte du même coup la création d’un nouveau test de dépistage qui se base sur l’analyse des protéines capables de prévenir de la douleur, produites en moins grande quantité chez les patientes atteintes de fibromyalgie.

« 83 % des personnes atteintes de fibromyalgie, et 89 % de celles qui ne souffraient pas de cette maladie, ont été identifiées correctement avec le test. Ces résultats doivent être considérés comme préliminaires. Ce test doit être éprouvé sur une plus grande échelle et validé par des experts médicaux extérieurs. Notre test, s’il est validé, permettra de légitimer le diagnostic et d’aider les malades à se soigner plus rapidement », résument en conclusion Bruce Gillis et Scott Zashin, d’EpicGenetics, l’entreprise créatrice du test en question.

S’il reste encore du chemin à faire en termes de dépistage, de prévention et du traitement de la fibromyalgie, tous ces exercices permettent au moins une plus grande sensibilisation au phénomène.

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Les passe-temps et activités physiques simples sont aussi bénéfiques pour votre santé

On vante sans relâche les bienfaits de l’activité et de l’exercice physique, avec raison, mais on oublie souvent l’impact d’une multitude d’autres « petites » activités sur l’organisme et sa santé.

Car après tout, une vie active implique quantité de gestes et d’activités, et ne se limite pas à trois joggings par semaine ou à un entraînement en salle.

C’est précisément ce que rapporte Top Santé, qui fait état d’une nouvelle étude ciblant les impacts des activités dites « non sportives », par exemple les arts visuels (bricolage, peinture, etc.), le fait de jardiner ou encore de simplement laver sa voiture ou faire le ménage.

L’étude suédoise, initialement publiée dans le British Journal of Sports Medicine, a déterminé les effets de ces passe-temps ou activités plus simplistes sur des personnes plus âgées, en analysant les réactions et les taux de mortalité d’un groupe de plus de 4000 personnes, toutes âgées de plus de 60 ans, sur une période de 12 ans.

Les résultats sont clairs : la pratique d’activités non sportives permet de réduire les risques d’infarctus et d’AVC de près du tiers (27 %).

« Une vie quotidienne généralement active, indépendamment du fait de pratiquer ou non de l’exercice régulièrement, est associée à la santé cardiovasculaire et à la longévité à ces âges », résume l’équipe de chercheurs qui dirige les travaux.

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Solidifier son système immunitaire par la vitamine D

Alors que la première petite neige fondante s’est abattue sur plusieurs régions du Québec, signifiant du même coup l’arrivée de la saison de la grippe, plusieurs personnes chercheront à augmenter et solidifier les capacités de leur système immunitaire.

Selon le Nutrition News et son éditeur, Joshua Corn, il n’existe pas beaucoup d’alternatives ou de meilleurs moyens que de compter sur la vitamine D. D’ailleurs, la prochaine édition du magazine papier sera consacrée à la précieuse vitamine, qui a gagné ses galons depuis l’hiver dernier.

En effet, au cours de l’année qui se terminera bientôt, plusieurs études et recherches sont venues consacrer la vitamine D et son importance pour l’organisme, notamment en ce qui concerne les capacités immunitaires.

Rappelant du même coup qu’il n’est pas absolument nécessaire de recourir au fameux vaccin contre la grippe, Corn et son équipe précisent que le manque de vitamine D est maintenant un phénomène presque pandémique. Aucune surprise alors de voir les gens tomber malades facilement lors de l’arrivée de la saison froide.

Mais où retrouve-t-on la fameuse vitamine D? Malheureusement du soleil, qui se fait timide et moins accessible en hiver. On conseille donc de se tourner vers les suppléments, notamment de D3, et de demander les conseils d’un spécialiste de médecine naturelle, plus conscient des méthodes de fabrication des grandes marques.

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Traitement de l’Alzheimer : une prédiction futuriste étonnante

Le Daily Mail (UK) rapporte une prédiction stupéfiante en matière de traitement éventuel de la maladie d’Alzheimer, une nouvelle qui a de quoi semer l’optimisme chez les spécialistes, les chercheurs, les patients et la population vieillissante, si elle s’avère fondée.

Selon des chercheurs de l’Université Cardiff, Julie Williams en tête, il serait possible dans un avenir rapproché de mettre au point un traitement sous forme de vaporisateur nasal qui échangerait et ajouterait des gènes en santé chez le patient qui l’utilise.

Quels gènes? À commencer par les 11 identifiés dans cette recherche, la même qui mène à cette prédiction quasi historique. Cette dernière se base sur le travail de 180 chercheurs basés dans 15 pays différents, et qui concluent conjointement à l’existence de 11 autres gènes qui augmentent les risques de développement de la maladie d’Alzheimer, portant le total à 21.

Williams, directrice de la recherche, résume : « Ce qui nous a surpris le plus est le schéma très fort qui montre l’implication de plusieurs gènes menant à la démence. Chaque gène individuel apporte un risque faible, mais quand on place toute l’information ensemble, ils (les gènes) nous racontent une intéressante et nouvelle histoire. Ça nous mène dans une nouvelle direction ».

Encore une fois, la réponse semble bel et bien se trouver dans l’analyse génétique, et Julie Williams croit qu’il est raisonnable de croire à un traitement de l’Alzheimer d’ici les dix prochaines années.

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Les troubles alimentaires touchent aussi les garçons

Radio-Canada rapporte une entrevue accordée à Catherine Perrin par trois invités qui se spécialisent à leur façon dans les troubles alimentaires, trois hommes de surcroît, et qui croient qu’on ne parle pas assez de ce type de problèmes chez les garçons.

Il s’agit du Dr Jean Wilkins, de l’auteur Simon Boulerice et de Jean-Marie Lapointe, qui partagent tous le même avis.

Simon Boulerice et Jean-Marie Lapointe veulent sensibiliser les garçons victimes de boulimie et d’anorexie et leur entourage, et lancer le message que le phénomène n’est pas plus banal lorsqu’il s’agit d’un garçon que d’une fille.

Le Dr Wilkins a quant à lui fondé la division de médecine adolescente de Sainte-Justine, et souligne qu’une personne sur dix souffrant de troubles alimentaires est en fait un garçon.

« Le contrôle est central dans cette maladie-là. On pourrait dire que c’est une inflammation du contrôle : une contrôlite! », explique avec couleur le spécialiste.

Boulerice et Lapointe en profitent pour partager leurs expériences avec la maladie, mais surtout pour dénoncer l’absence presque totale de compréhension et d’empathie de la part des gens, simplement parce qu’ils sont des hommes. Un problème que le trio souhaite contribuer à changer.

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Rester debout pourrait vous faire gagner deux années supplémentaires

Des chercheurs de l’Université de Chester dévoilent leurs conclusions se basant sur une prémisse fort simple, mais qui ne nous apparait pas toujours de façon évidente au quotidien.

Le Dr John Buckley et son équipe ont en effet déterminé que les impacts positifs sur la santé du simple fait de rester debout, au lieu de toujours chercher à s’assoir, sont nombreux et vérifiables, rapporte Top Santé

On le sait, la sédentarité (terme qui définit l’inaction, le manque d’activité physique) est blâmée et considérée comme l’un des principaux facteurs de problèmes de santé, comme l’obésité et les maladies cardiovasculaires.

Or, il n’est pas toujours facile de bouger dans un contexte de travail de bureau, par exemple, et de trouver le temps qu’il faut pour l’activité physique au fil de semaines qui s’étirent et n’en finissent plus.

Selon Buckley, la solution est toute simple et réside en partie dans le fait de se lever et de rester debout dans le plus de situations possible, ce qui permettrait à un individu de brûler 750 calories de plus par jour, et même de gagner deux ans en espérance de vie!

« Faire du sport présente de nombreux avantages pour la santé, mais cela ne pourra pas réparer les dommages causés par la position assise prolongée. Notre corps a besoin d’être stimulé et de produire une activité musculaire quotidienne », explique Buckley, qui croit qu’un minimum de trois heures passées debout par jour devrait être observé pour en retirer tous les bénéfices.

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Les choux protègeraient aussi des dangers des traitements par radiation

Une nouvelle étude avance que les choux, comme le chou-fleur et le brocoli, ne seraient pas que des alliés en prévention du cancer, mais aussi lorsque celui-ci se développe et qu’un traitement par radiation est nécessaire.

On sait depuis maintenant un bon moment que les membres de la famille du chou, les crucifères, sont d’excellents aliments anti-cancer, grâce à leur teneur en DIM. Or, selon ce que rapporte Top Santé, ils permettraient aussi de protéger des effets retour de la radiothérapie, ironiquement proposée justement dans les cas de cancer.

Eliot Rosen et son équipe de la célèbre Université Georgetown ont dû irradier des groupes-tests de rongeurs, des rats et des souris, afin de confirmer leur théorie concernant les effets protecteurs du DIM.

« Tous les rats qui n’avaient pas été traités au DIM sont morts. Mais plus de la moitié de ceux qui l’avaient été sont restés vivants 30 jours après avoir été irradiés. Le DIM a été étudié en tant qu’agent de prévention du cancer, mais nos travaux montrent qu’il peut aussi agir comme un protecteur anti-rayonnement. Le DIM pourrait protéger les tissus normaux chez les patients recevant une radiothérapie contre le cancer, mais il pourrait aussi protéger les individus contre les conséquences fatales d’une catastrophe nucléaire », conclut Rosen.

Compte tenu de ces récentes découvertes et de leurs nombreux avantages sur le plan nutritif, on suggère donc fortement d’intégrer les crucifères à notre alimentation le plus souvent possible.

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Le sommeil ciblé en prévention de la maladie d’Alzheimer

Alors que les recherches pour traiter, prévenir et enrayer l’Alzheimer vont bon train, et que plusieurs essais semblent prometteurs et en apprennent davantage sur ce qui cause la terrible maladie, la course au traitement préventif bat son plein.

De plus en plus de tests et d’analyses comparatives permettent de mieux comprendre ou plutôt de voir l’évolution de la maladie. On n’a qu’à penser à ces fameuses plaques cérébrales (ou amyloïdes) identifiées récemment par les chercheurs, et qui sont l’indicateur principal du développement actif ou éventuel de la maladie d’Alzheimer.

Mais alors, comment en freiner l’évolution? Selon ce que rapporte The National Library of Medicine, l’une de ces solutions pourrait se trouver dans de bonnes nuits de sommeil, tout simplement.

Adam Spira, de la Johns Hopkins Bloomberg School of Public Health, croit qu’il existe effectivement une corrélation entre le sommeil et l’Alzheimer chez les personnes plus âgées. « Il y a un lien entre le sommeil et la quantité de bêta-amyloïde retrouvée dans le cerveau », explique-t-il.

Cependant, il reste à savoir si le sommeil de qualité peut vraiment aider en prévention de l’Alzheimer, ou si cette dernière cause un sommeil de moindre qualité, ce qui donnerait les mêmes résultats d’étude, sans permettre d’avancée.

« Ce que nous avons observé chez les gens qui ne présentent pas de signes d’Alzheimer nous mène à croire qu’il y a une connexion entre la privation de sommeil et le développement des plaques amyloïdes et de l’Alzheimer, mais on ne peut le confirmer encore. »

Alors que d’autres études sont donc à prévoir, une toute récente concluait que le cerveau s’affaire à effectuer un véritable « nettoyage » de son environnement lors du sommeil, un nouveau fait qui peut facilement s’accoler à la théorie de Spira et de ses homologues.

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Reconnaître les premiers signes d’une dépression nerveuse ou professionnelle

L’automne apporte son lot de déprime, malgré sa beauté et ses couleurs fascinantes, et plusieurs personnes sont victimes d’une baisse de régime et de troubles de l’humeur à cette période.

Pour certains, ces symptômes seront plutôt précurseurs d’une véritable dépression, et il est important de savoir dépister le phénomène avant qu’il soit trop tard, selon Top Santé

Reconnaître une dépression avant qu’elle s’installe pour de bon peut épargner quantité de douleur et de temps, et peut même sauver des vies dans certains cas.

Le Dr Jean-François Lacoste s’inquiète particulièrement des troubles dépressifs et de l’humeur causés par le travail, que ce soit par une surcharge ou une frustration, des cas qui ne sont souvent pas pris au sérieux par les patients.

« Quand il se manifeste au travail, on a tendance à ne pas s’apercevoir de ces symptômes, car les choses se dégradent petit à petit. Souvent, les personnes en dépression vivent dans le déni. La dépression se manifeste par plusieurs symptômes : on ressent une impression de surmenage, une perte de plaisir. On va au travail à reculons. On se replie sur soi-même », explique avec conviction le Dr Lacoste.

Tristesse, épuisement, perte d’appétit ou surconsommation d’aliments sucrés, consommation élevée d’alcool ou de drogue (illégales, mais aussi de prescription), libido faible, voilà quelques facteurs qui peuvent indiquer que l’on glisse doucement vers une dépression… ou qu’on nage en plein dedans.

On conseille vivement de consulter rapidement un spécialiste de la santé afin de voir les options qui s’offrent, et de ne jamais prendre la décision d’opter pour des antidépresseurs à la légère.

Le seul fait d’en parler et de chercher de l’aide, cependant, peut permettre d’éviter de sombrer dans une spirale infernale de l’humeur et d’atteindre un dangereux point de non-retour.