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Grands Titres

Un lynx est aperçu à proximité d’une école primaire.

Des mesures de sécurité ont dû être mises en place autour d’une école primaire en raison d’un lynx qui est venu se balader dans les parages.

C’est mercredi après-midi, non loin de l’école Jacques-Buteux située sur la rue Maurice-L.-Duplessis, que l’animal a été aperçu dans les rues de Trois-Rivières.

Un résident de la rue de l’Esplanade a même reçu la visite de l’animal dans sa cour arrière.


La direction de l’école a décidé de faire preuve de prudence en demandant aux élèves de demeurer à l’intérieur de l’établissement, tandis que les parents dont les enfants se déplacent à pied ont été invités à venir les chercher.

Selon ce qu’a indiqué le ministère des Forêts, de la Faune et des Parcs, la sécurité des élèves et du personnel n’a pas été compromise par cette visite du lynx, mais la direction de l’école a toutefois invité les enfants à ne pas marcher près du boisé où le lynx a été vu et à demeurer sur le trottoir.

Une surveillance accrue sera aussi assurée par l’équipe de l’école lorsque les élèves se trouveront à l’extérieur de l’école.

La police de Trois-Rivières a expliqué de son côté que le lynx est connu pour éviter le contact avec l’humain et d’ailleurs, les traces de pas semblent indiquer qu’il est retourné dans son habitat naturel.

Enfin, la police a rappelé aux citoyens de ne pas hésiter à communiquer avec les forces de l’ordre si un lynx se trouvait à nouveau dans les parages.

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Habsolument Fan

Mike Matheson offre une journée de rêve à de jeunes élèves de l’école primaire St. Gabriel

Alors que les séries éliminatoires de la LNH débutent ce soir pour les 16 meilleures équipes de la saison 2022-23, les joueurs du Canadien, eux, en sont déjà à leurs vacances annuelles.

Néanmoins, quelques-uns d’entre eux en profitent pour s’impliquer auprès de la population en générale, mais également auprès des jeunes enfants.

C’est le cas, entre autres, du défenseur du Tricolore, Mike Matheson.

Présent, aujourd’hui, à l’école primaire St. Gabriel, Matheson a profité de l’élimination précoce de son équipe pour rendre visite aux jeunes élèves de cette institution, car ce dernier est ambassadeur pour la Fondation Champions pour la vie.

Aidant les enfants à développer leurs compétences, leur confiance et leur motivation à être actifs pour le reste de leur vie, cette fondation donne aux enfants les moyens de mieux bouger et de développer des habiletés motrices pour être plus actifs.

Un magnifique engagement du défenseur du Tricolore qui permet aux jeunes partisans de rencontrer un de leurs idoles et de vivre une journée haute en émotions!

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Bébé et cie

Des cours de cuisine au primaire pour améliorer l’alimentation

La recherche rapportée par Medical News Today prend en considération de nombreuses études à propos de courts programmes de cuisine offerts à des élèves du primaire entre 5 et 12 ans. L’objectif de ces cours visait la modification des habitudes alimentaires des enfants.

D’autre part, les jeunes recevaient à l’intérieur de ces programmes de formation des astuces nutritionnelles adaptées à leur âge.

Il a été observé que dans certains cas, même après seulement deux cours, de nombreux enfants incorporaient plus de fruits et légumes dans leur alimentation, une information rapportée par les parents.

Malheureusement, il n’existe encore aucune donnée sur l’influence à long terme de ce type d’éducation en milieu scolaire. Toutefois, considérant le taux grandissant d’obésité chez les jeunes, les chercheurs sont d’avis qu’il faudrait tenter le coup avec des cours sur une base régulière et récurrente à travers les années.

La recherche a été publiée sur le site des Centers for Disease Control and Prevention(CDC) sous la rubrique Preventing Chronic Disease.

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Des enfants de 6e année trop stressés pour déjeuner avant les examens de fin d’année

Au Royaume-Uni, les examens de fin d’année de la 6e année sont tellement stressants pour les jeunes que nombre d’entre eux sont incapables de déjeuner. Les examens de cette année ont commencé cette semaine.

La compagnie de céréales Kellogg’s a fait un sondage en 2013 pour vérifier à quel point cela affectait la performance de ces élèves pendant les examens.

Female First rapporte que sur la totalité des jeunes n’ayant pas pris de déjeuner, 88 % des omissions étaient dues au stress. Or, les jeunes qui ont l’estomac vide manquent d’énergie et ont des notes moins élevées aux tests.

L’an passé, Kellogg’s a décidé de mettre en place un club de déjeuner offrant des céréales gratuites lors des matinées d’examen. Plus de 25 % des élèves en ont profité. 54 % ont affirmé que cela les avait aidés à se concentrer, 38 % ont dit que le déjeuner les avait calmés.

Cette année, en Angleterre, Kellogg’s offrira 31 250 déjeuners gratuits aux jeunes de 6eannée durant les examens de passage pour le secondaire.

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Des mathématiques plus avancées à la maternelle pour améliorer la performance scolaire

Comme le rapporte Medical News Today, les enfants qui en bénéficient réussissent mieux à l’école primaire, et ce, peu importe leur contexte socio-économique.

Dans le cas contraire, selon Amy Claessens, de la Harris School of Public Policy Studies à l’Université de Chicago, les enfants ont tendance à stagner au primaire. Ceux-ci réussissent moins bien que leurs pairs en mathématiques.

Pour la recherche, les experts ont récolté les données de l’Early Childhood Longitudinal Study, qui examine le développement de l’enfant, ses expériences en début de scolarité et le fait qu’il soit prêt ou non à entrer à l’école.

Claessens et son équipe ont conclu qu’une moyenne de 4 jours de contenus mathématiques et de lecture avancés par mois faisait une différence marquée dans la réussite scolaire au primaire.

Selon les chercheurs, il s’agirait d’une méthode peu coûteuse pour améliorer les performances des enfants qui entrent au primaire, contrairement à ce que le système scolaire envisage actuellement aux États-Unis. 

En effet, on prévoit allonger les heures d’école ou réduire le nombre d’élèves dans chaque classe, ce qui engendrerait des frais énormes en comparaison d’un programme plus étoffé à la maternelle.

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L’accessibilité aux restaurants autour des écoles : responsable de l’obésité infantile?

Si la malbouffe est présente dans les environs du milieu scolaire et que les enfants y ont accès, il va de soi, la majorité préférera consommer ces aliments plutôt que des plats santé.

C’est Xuyang Tang et des équipes de l’Université du Minnesota et l’Arizona State University qui ont récolté les données de 13 000 étudiants de 33 écoles primaires et secondaires au New Jersey. 

Le choix de la situation géographique est dû au fait que dans cette région, comparativement au 17 % de moyenne d’obésité chez les jeunes, ce taux s’élevait à 25 %.

Les résultats de la recherche, publiés par l’American Public Health Association, démontrent la corrélation entre l’augmentation ou la diminution de l’indice de masse corporel des enfants et la proximité de restaurants de malbouffe ou d’aliments santé.

Les spécialistes s’entendent sur la légère mais notable influence négative de la proximité d’établissements offrant des aliments gras ou caloriques.

En moyenne, chaque école comprenait, à quelque cent mètres, 2,75 dépanneurs, 3,68 établissements de restauration rapide, 0,34 point de vente d’aliments santé et 0,24 supermarché.

Selon MedPageToday, les chercheurs souhaitent poursuivre avec d’autres études longitudinales pour vérifier la relation cause à effet de cet environnement.

 

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La paranoïa des germes à l’école

La majorité d’entre vous répondra non, puisqu’il ne s’agit pas d’arguments suffisants pour quitter votre lieu de travail et faire tout le trajet pour aller prendre votre enfant et passer le reste de la journée à la maison.

Mais la paranoïa des germes est de plus en plus répandue dans le système scolaire, comme en témoigne Freerangekids.com. De nombreuses écoles, principalement des établissements du primaire, mettent en place des « normes » sous forme de notes qu’ils envoient aux parents dès que la température chute sous zéro.

Plusieurs parents sont d’ailleurs outrés et n’hésitent pas à faire des démarches auprès des commissions scolaires, sinon auprès du ministère responsable, lorsqu’ils se font demander de garder leurs enfants à la maison au moindre signe de rhume. On ne parle pas ici de fièvre, vomissements ou diarrhée comme c’était le cas il y a moins de 20 ans, mais bien de quelques toussotements ou de petits yeux fatigués.

Ironiquement, les enfants ont rapidement compris qu’ils pouvaient utiliser ce subterfuge pour être retournés à la maison. Ainsi, où se trouve la limite entre le raisonnable et le justifiable?

Si vous croyez que votre école prend les germes un peu trop à cran, n’hésitez donc pas à consulter les hautes sphères de la hiérarchie pour vous faire entendre.

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La pression sociale commence jeune

Une recherche présentée dans le numéro de mai/juin 2013 du magazine Child Development vient démontrer que le phénomène n’est pas déclenché à l’adolescence comme il était précédemment cru.

En fait, il a été découvert que les enfants sont touchés par la pression sociale dès l’âge de 9 ans. Il s’agirait de la première étude s’interrogeant sur l’impression des enfants du primaire vis-à-vis des évènements injustes ou non traditionnels.

Les résultats ont permis de mettre en lumière leurs visions sur les conflits de loyauté envers le groupe et l’équité.

« L’émergence de groupes de pairs dans le développement de l’école primaire aide les enfants en leur fournissant des amitiés positives, des relations et du soutien social », dit Melanie Killen, psychologue du développement à l’Université du Maryland.

« Les inconvénients comprennent, entre autres, l’influence excessive d’un groupe quand il impose des normes inéquitables, en particulier sur les étrangers ou des membres de “groupes extérieurs”, qui est souvent créée lorsque les pairs forment un groupe », ajoute-t-elle.

Il est cependant démontré que les enfants sont généralement en mesure de détecter l’injustice et l’égoïsme. Ils auront alors tendance à se ranger du côté des autres, qui sont plus justes et égalitaires.

Killen conclut en disant : « Les enfants savent que leurs groupes pourraient ne pas apprécier, mais ils savent qu’il peut y avoir des moments où se tenir debout devant de mauvaises décisions est la bonne chose à faire ».

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Programme de jardinage et cuisine à l’école primaire

Medical News Today rapporte que des programmes de cuisine et de jardinage ont été intégrés dans le cadre scolaire de certaines écoles primaires de Melbourne, en Australie.

C’est un groupe de 764 élèves de la 3e à la 6e année qui ont participé au Stephanie Alexander Kitchen Garden Program. En tout, 45 minutes de jardinage par semaine, ainsi que 90 minutes de cuisine avec des spécialistes.

D’une part, les enfants apprenaient à cultiver les légumes et à entretenir le jardin, puis cuisinaient par la suite avec les aliments qu’ils avaient fait pousser. Pendant le programme, les jeunes apprenaient 3 ou 4 recettes simples.

Lisa Gibbs, responsable de la recherche, se dit ravie des résultats. « De nouveaux ingrédients et goûts ont été soumis aux enfants. En très peu de temps, presque tous les enfants étaient prêts à goûter un nouveau plat. Les professeurs de plusieurs écoles ont également noté une nette amélioration dans la qualité des dîners et collations que les jeunes apportaient à l’école après le début du programme. »

Les résultats sont publiés dans le Journal of Nutrition Education and Behavior, édition mars/avril 2013.

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Les mathématiques causent de l’anxiété même en 1re année

Alors que l’on s’imaginait le contraire, les résultats de la première étude sur le sujet de l’anxiété auprès des élèves du primaire contredisent la pensée populaire.

Les résultats, publiés dans le Journal of Cognition and Development, mettent en lumière les recherches de Sian Beilock et Gerardo Ramirez du UChicago et leurs collègues, Elizabeth Gunderson et Susan Levine.

Les données ont été recueillies auprès de 88 étudiants de première année et 66 de deuxième année. Les facteurs analysés étaient les habilités pédagogiques, la mémoire dite « de travail » et la peur des mathématiques sur une échelle précise.

Puisque les élèves moins doués se mettent moins de pression, ils apprennent rapidement à contourner la mémoire de travail et, par exemple, vont compter sur leurs doigts. Justement, en consultant les résultats, Ramirez a constaté que l’anxiété créait une interférence avec la mémoire de travail, que les jeunes doués utilisent habituellement.

« Cette mémoire est la plus importante lorsque vient le temps de résoudre des problèmes mathématiques », affirme Ramirez. « Une anxiété précoce aura une tendance à effet boule de neige. Les enfants se démotivent, changent leur attitude et finissent même par éviter les mathématiques. »