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Cinéma

Denis Villeneuve en compétition à Cannes

Le réalisateur Denis Villeneuve sera de l’édition 2015 du Festival de Cannes, grâce à l’un de ses plus récents films.

Celui qui gagne en popularité chez les Américains et à travers le monde a vu son film Sicario être retenu en sélection officielle au cours des dernières heures.

Denis Villeneuve sera donc des finalistes qui pourraient remporter la prestigieuse Palme d’or.

Le réalisateur de Prisoners succède à Xavier Dolan, lui aussi en compétition à Cannes l’an dernier.

Sicario met en vedette Emily Blunt et Josh Brolin, et propose un regard sur la « désintégration sociale et politique », du constat même de Thierry Frémaux, délégué général du Festival de Cannes.

Benicio Del Toro est lui aussi de la distribution du film, qui se déroule à la frontière du Mexique et dans le milieu du trafic de la drogue.

Denis Villeneuve prépare maintenant Story of Your Life, avec Amy Adams et Jeremy Renner, et Blade Runner 2, avec Harrison Ford.

Le Festival de Cannes 2015 se tiendra en mai prochain.

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Du renfort de taille pour Denis Villeneuve et Sicario

Denis Villeneuve semble emballé par son nouveau projet, Sicario, et pourra de plus compter sur l’appui de son directeur photo favori, Roger Deakins, rapporte le Journal de Québec.

Deakins est réputé pour son travail sur la scène américaine et internationale (Skyfall, No Country For Old Men, Fargo, The Big Lebowski) et semble lui aussi vouer une certaine admiration à Denis Villeneuve, qui le lui rend bien.

Il faut dire que le directeur photo doit une nomination aux Oscars à Villeneuve, grâce au film Prisoners de ce dernier, pour lequel les deux hommes ont collaboré avec succès.

Denis Villeneuve et Roger Deakins mettront cette fois en scène Emily Blunt et Benicio Del Toro dans Sicario, un film qui raconte l’histoire d’une opération antidrogue très intense au cœur d’un cartel mexicain.

« C’est un scénario vraiment fort, et c’est pour cette raison que j’ai accepté d’embarquer. Les gens ont trouvé Prisoners intense, mais cette histoire est si puissante et d’une telle intensité que je n’avais plus d’oxygène dans les poumons en lisant le scénario. J’étais épuisé tellement le suspense est fort », n’hésite pas à dire Denis Villeneuve concernant son nouveau projet, rapporte aussi le JDQ.

Le réalisateur québécois doit entamer le tournage cet été au Nouveau-Mexique, puis s’attaquera à Story of Your Life, avec Amy Adams, prévu pour 2015.

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Amy Adams pressentie pour le prochain Denis Villeneuve

Forte de sa plus récente nomination aux Oscars, l’actrice Amy Adams ne manque pas de choix lorsqu’il est question de ses prochains projets.

La vedette d’American Hustle et The Fighter pourrait bien se retrouver dans un drame de science-fiction, rapporte Variety, alors qu’elle serait pressentie pour décrocher l’un des rôles principaux du film The Story of Your Life.

Le plus intéressant de l’affaire, c’est que le projet sera réalisé par Denis Villeneuve, l’un des quelques réalisateurs québécois à faire mouche du côté américain ces temps-ci.

Après Prisoners et Enemy, Villeneuve s’attaque donc à la science-fiction avec Story of Your Life, qui raconte l’histoire d’une spécialiste en langues (possiblement Adams) qui devra évaluer les intentions d’extra-terrestres à la suite de l’arrivée impromptue d’un vaisseau sur Terre.

Story of Your Life se base sur une histoire publiée en 1999 par Ted Chiang, qui a remporté un prix pour son effort.

On n’en sait pas davantage concernant les dates officielles ni sur l’éventuelle distribution, mais on ne peut que se réjouir de voir Denis Villeneuve s’attaquer à ce genre de projet.

Amy Adams sera également en vedette dans Big Eyes de Tim Burton en 2014.

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Dévoilement de la bande-annonce d’Enemy de Denis Villeneuve

Fort du succès obtenu par son film Prisoners et de la chimie découlant de sa relation avec l’acteur Jake Gyllenhaal, Denis Villeneuve propose maintenant la bande-annonce de son plus récent film, Enemy.

Le clip vidéo, dont la sortie est rapportée par le Voir, est absolument réussi et fort intrigant. On nous présente le personnage principal interprété par Gyllenhaal, qui découvre l’existence d’un sosie visiblement star du cinéma, et partira sur les traces de cet énigmatique double.

Denis Villeneuve, qui a tourné Enemy avant Prisoners, semble absolument au sommet de son art et propose avec ce nouvel effort une atmosphère inquiétante et hypnotique, qui marque l’imaginaire dès les premières minutes.

Le réalisateur québécois se base pour Enemy sur un livre de José Saramago, The Double, et le résultat semble saisissant.

Mélanie Laurent, Isabella Rosselini et Sarah Gadon entourent merveilleusement bien Jake Gyllenhaal dans ce qui pourrait s’avérer l’un des plus beaux films de Villeneuve jusqu’à maintenant.

Enemy, qui récolte dix nominations aux Prix Écrans canadiens, doit arriver en salles le 14 mars 2014.

Voyez l’intrigante bande-annonce d’Enemy.

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Cinéma

Denis Villeneuve a le vent dans les voiles à Hollywood

Denis Villeneuve reçoit les honneurs qu’il mérite dans la capitale américaine du cinéma, Hollywood, alors que le Journal de Québec rapporte la belle histoire du réalisateur québécois aux États-Unis.

Le réalisateur de l’excellent Prisoners, mettant en vedette Jake Gyllenhaal et Hugh Jackman, aurait maintenant plusieurs offres sur la table pour son prochain film, et serait en période de réflexion. Chose certaine, son prochain film en sera un américain, et il s’agit d’une excellente nouvelle si l’on considère la qualité indéniable de Prisoners.

« Il y a deux projets américains auxquels je suis attaché présentement. J’aimerais en tourner un en 2014, mais je ne sais pas lequel entrera en production en premier. Il y en a un qui suit une opération militaire qui se déroule à la frontière américano-mexicaine. L’autre est un film de science-fiction qui se passe au Montana. La plupart des offres que j’ai reçues proviennent de studios comme Paramount, Universal ou Sony, mais je ne choisis pas mes projets en fonction des budgets. Depuis la sortie de Prisoners, je lis beaucoup de scénarios – et de très bons – et je dois parfois faire des choix déchirants. Je tente de choisir avec mon cœur et de faire confiance à mon instinct », explique un Denis Villeneuve ravi par cette éclosion internationale.

On avance que Villeneuve pourrait aussi réaliser American Darling, produit par un certain Martin Scorsese.

Des honneurs bien mérités pour le réalisateur québécois, qui n’a cependant pas reçu toute l’attention méritée aux Golden Globe Awards, et en vue des prochains Oscars.

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Potins

Hugh Jackman est gêné par sa richesse

L’acteur australien Hugh Jackman a trop d’argent, et il en est totalement conscient. « Je suis un peu embarrassé et mal à l’aise à cause d’elle. » Il parle bien sûr de sa fortune.

Lorsqu’on lui a demandé s’il avait atteint son objectif de vie, il a répondu, selon Film-News : « Oh, je possède bien plus que ce qui est nécessaire, sans conteste ».

Mais c’est la perception de ses enfants, Oscar Maximilian et Ava Eliot, qui inquiète le plus Jackman. Celui-ci s’est confié au journal britannique The Times : « J’ai peur de l’effet qu’aura l’argent sur mes enfants. Qu’est-ce qui est un besoin? À quel moment est-ce un caprice? Et y a-t-il un point où il faut dire “Assez”? » 

Des questions qui ont dû poindre notamment à cause du rôle que Hugh Jackman campe en ce moment à l’affiche dans le film Prisoners. 

Il mentionnait récemment qu’il était également plus conscient des autres dangers qui guettent les jeunes. Ses recherches pour interpréter ce père accablé par l’enlèvement de son enfant l’ont beaucoup touché, et une citation dans le film lui est restée : « Il faut prier pour le meilleur, mais toujours se préparer au pire ».

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Hugh Jackman est gêné par sa richesse

L’acteur australien Hugh Jackman a trop d’argent, et il en est totalement conscient. « Je suis un peu embarrassé et mal à l’aise à cause d’elle. » Il parle bien sûr de sa fortune.

Lorsqu’on lui a demandé s’il avait atteint son objectif de vie, il a répondu, selon Film-News : « Oh, je possède bien plus que ce qui est nécessaire, sans conteste ».

Mais c’est la perception de ses enfants, Oscar Maximilian et Ava Eliot, qui inquiète le plus Jackman. Celui-ci s’est confié au journal britannique The Times : « J’ai peur de l’effet qu’aura l’argent sur mes enfants. Qu’est-ce qui est un besoin? À quel moment est-ce un caprice? Et y a-t-il un point où il faut dire “Assez”? » 

Des questions qui ont dû poindre notamment à cause du rôle que Hugh Jackman campe en ce moment à l’affiche dans le film Prisoners. 

Il mentionnait récemment qu’il était également plus conscient des autres dangers qui guettent les jeunes. Ses recherches pour interpréter ce père accablé par l’enlèvement de son enfant l’ont beaucoup touché, et une citation dans le film lui est restée : « Il faut prier pour le meilleur, mais toujours se préparer au pire ».

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Potins

Hugh Jackman se sent impliqué personnellement par son nouveau rôle

Hugh Jackman est même allé jusqu’à proposer au réalisateur d’incorporer la privation de sommeil dans son rôle, dans le nouveau film Prisoners de Denis Villeneuve.

L’acteur est allé jusqu’à faire de nombreuses recherches sur les familles ayant été victimes de l’enlèvement d’un de leurs enfants. « J’ai lu beaucoup d’histoires, vu beaucoup de vidéos de parents qui sont au bord du gouffre, lors des conférences de presse, où ils supplient qu’on relâche leurs enfants », a raconté Jackman à MTV News.

Il a avoué qu’il a été interpellé en tant que parent, inévitablement. « Je veux que mes enfants puissent avancer dans la vie en se disant que tout ira bien. Mais la réalité est différente. Elle nous rappelle à l’ordre », a réalisé Hugh Jackman, en incarnant ce père, Keller Dover, mourant à petit feu à force de perdre espoir de retrouver sa fille.

Il a appris « qu’il faut prier pour le meilleur, mais s’attendre au pire », une phrase de son personnage qui résonne encore à ses oreilles aujourd’hui.

En s’impliquant d’aussi près dans les histoires d’enlèvement, Jackman a voulu apporter un ton de vérité, plutôt que de sensationnalisme et de vengeance.

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Hugh Jackman se sent impliqué personnellement par son nouveau rôle

Hugh Jackman est même allé jusqu’à proposer au réalisateur d’incorporer la privation de sommeil dans son rôle, dans le nouveau film Prisoners de Denis Villeneuve.

L’acteur est allé jusqu’à faire de nombreuses recherches sur les familles ayant été victimes de l’enlèvement d’un de leurs enfants. « J’ai lu beaucoup d’histoires, vu beaucoup de vidéos de parents qui sont au bord du gouffre, lors des conférences de presse, où ils supplient qu’on relâche leurs enfants », a raconté Jackman à MTV News.

Il a avoué qu’il a été interpellé en tant que parent, inévitablement. « Je veux que mes enfants puissent avancer dans la vie en se disant que tout ira bien. Mais la réalité est différente. Elle nous rappelle à l’ordre », a réalisé Hugh Jackman, en incarnant ce père, Keller Dover, mourant à petit feu à force de perdre espoir de retrouver sa fille.

Il a appris « qu’il faut prier pour le meilleur, mais s’attendre au pire », une phrase de son personnage qui résonne encore à ses oreilles aujourd’hui.

En s’impliquant d’aussi près dans les histoires d’enlèvement, Jackman a voulu apporter un ton de vérité, plutôt que de sensationnalisme et de vengeance.

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Cinéma

Prisoners a droit au traitement royal pour sa sortie

C’est une période faste pour les réalisateurs et créateurs québécois en sol américain. On n’a qu’à penser à Jean-Marc Vallée et à Ken Scott pour constater que plusieurs de nos cinéastes et scénaristes n’hésitent plus à s’expatrier comme c’était le cas il n’y a pas si longtemps.

Finie l’époque où le Québec boudait ses voisins du sud en prétextant que le cinéma américain est moins digne et honnête que le nôtre, et il faut bien avouer que cette nouvelle attitude risque de payer pour tout le monde.

Denis Villeneuve vivra pleinement l’expérience américaine encore une fois, cette fois pour son film Prisoners, sa première production véritablement hollywoodienne qui met notamment en vedette Hugh Jackman, Jake Gyllenhaal et Terrence Howard.

En effet, le film doit sortir en salles aujourd’hui (19 septembre), et selon le Journal de QuébecPrisoners aura droit au traitement royal accordé normalement aux productions américaines.

En clair, cela signifie plus de 3000 salles qui présenteront le film, en plus d’une tournée promotionnelle et médiatique monstre, qui suit tout juste la présentation du film au fameux TIFF, le Festival international du film de Toronto.

Les critiques et le buzz pour Prisoners ne pourraient être meilleurs, et on s’attend à un franc succès en salles. La pression est donc forte pour Villeneuve, qui se dit ravi et impressionné par la « machine de Warner », qui distribue son film.