Où faire ses courses alimentaires pour économiser ? Bien des gens se posent la question. Le Journal Métro a décidé de faire enquête pour déterminer si le panier d’aliments était le moins cher. À noter que le Journal Métro n’a rien à voir avec les supermarchés Métro.
Métro a donc sélectionné 13 produits couramment consommés par les Québécois et a fait ses courses dans une fruiterie, un supermarché d’une grande chaîne, une épicerie au rabais et une épicerie fine.
Les produits incluent des oeufs, des pâtes, de la sauce tomate, du beurre, de la viande., du fromage et du pain.
Dans une épicerie à bas prix, le total a été de 62,80 $. Dans une fruiterie, il a coûté un total de 66,70 $.
Ces deux options sont bien moins chères que celle du supermarché d’une grande chaîne où il a fallu débourser 84,10 $, et en épicerie fine, qui remporte le palmarès des endroits les plus chers, le total est revenu à 89,40 $.
Le Journal Métro précise qu’il a été impossible de trouver de la viande en fruiterie et ses journalistes ont dû se rendre dans une épicerie indépendante pour compléter leurs achats.
C’est le beurre et le pain blanc qui affichaient les différences de prix les moins grandes entre les établissements
Quant aux avocats, aux viandes, aux bananes et à la sauce tomate, ces produits affichaient les plus grandes disparités de prix.
En épicerie fine, il était affiché à 1,33 $ l’unité. Dans un supermarché et en fruiterie, il coûtait 2,49 $.
Pour la viande, il en coûtait moins cher d’acheter du boeuf et du jambon dans fruiterie, en épicerie indépendante et en supermarché au rabais.
Et dans les supermarchés, au rabais comme dans les grandes chaînes, les marques maison permettaient souvent de faire des économies.
Ceux et celles qui prennent les transports en commun régulièrement vont bientôt être à leur tour victimes de l’inflation. Dès le 1er juillet, les tarifs des autobus et métros partout dans le territoire de l’Autorité régionale de transport métropolitain (ARTM) vont augmenter, rapporte Narcity.
L’agence de transport a fait l’annonce de sa nouvelle grille tarifaire mercredi.
Ainsi, les trajets des réseaux exo, du Réseau express métropolitain (REM), du Réseau de transports de Longueuil (RTL), de la la Société de transports de Laval (STL) et de la Société de transports de Montréal (STM) vont connaître une hausse moyenne de 3 %.
Ainsi, les titres unitaires coûteront 25 cents de plus. Sur l’île de Montréal, il en coûtera donc dorénavant 3,75 $ pour un aller simple. Les déplacements entre les zones ABC coûteront de leur côté 6,75 $.
« L’augmentation par tranche de 0,25 $ permet de faciliter les transactions au comptant », justifie l’ARTM dans un communiqué.
Deux passages coûteront 6,50 $, soit une hausse de 50 cents. Toutefois, pour les titres d’un, deux et 10 passages des zones A et B, qui incluent Montréal, Longueuil et Laval, le gel des tarifs sera appliqué. Ainsi, il en coûtera toujours respectivement 4,50 $, 9,00 $ et 42,50 $.
Autre nouveauté : les titres de 24 heures et de trois jours disponibles sur tout le Grand Montréal, alors qu’ils étaient auparavant réservés à la zone A.
« Ainsi, les usagers profiteront d’une plus grande flexibilité dans leurs déplacements, notamment pour répondre à leurs nouvelles habitudes quotidiennes ainsi que pour prendre part aux nombreuses activités estivales », ajoute l’ARTM.
Quant aux personnes de 65 ans et plus qui vivent à Montréal, le transport sera gratuit pour elles dans la zone A.
C’est ce soir que se poursuit la série entre les Maple Leafs de Toronto et le Lightning de Tampa Bay alors que les Leafs auront la chance de passer en deuxième ronde pour la première fois depuis 2004.
Ils auront l’occasion de le faire devant leurs partisans et renverser l’histoire alors qu’ils ont une fiche de 0-10 à leurs 10 derniers matchs décisifs en séries éliminatoires.
Les partisans de l’équipe sont naturellement excités d’avoir vu les leurs prendre une avance de 3 à 1 face au Lightning et espèrent les voir changer l’histoire sous leurs yeux ce soir.
D’ailleurs le prix des billets a explosé pour la rencontre.
Le journaliste Luke Fox de Sportsnet a publié le prix du billet le moins cher et celui le plus cher sur les sites de revente officiel. Voici le résultat.
Le billet le moins cher disponible pour le match de ce soir est de 645.88$ et se situe en haut complètement des gradins, pratiquement sur le toit, dans la section 317.
À l’inverse, le billet le plus cher toujours disponible sur le marché est de 2410$ et se situe dans la section 104.
Décidément, ce n’est pas donné d’avoir la chance de voir les Maple Leafs passer la première ronde.
Imaginez les prix s’ils se rendent en finale de la Coupe Stanley!
Le prix de l’essence a connu une forte hausse depuis un mois au Québec et risque de connaître encore des augmentations, rapporte Narcity.
D’après CAA National, il en coûte 12 cents de plus le litre qu’il y a un mois et cela risque de continuer à grimper.
En date de mardi, la moyenne québécoise était de 168,7 cents le litre. Lundi, ce chiffre était plutôt de 169,2 cents le litre. à
Soulignons qu’il y a un mois, il en coûtait environ 156,7 cents le litre, soit 12 cents de moins en moyenne.
Le prix le plus élevé date du 21 avril dernier, avec une moyenne de 176,9 cents le litre. Mince consolation : l’an dernier à pareille date, l’essence était affichée à 185,3 cents le litre.
Des experts prédisent toutefois que le prix de l’essence va grimper d’ici quelques semaines, et ce, partout au Canada. L’essence pourrait même de nouveau franchir la barre symbolique de 2 $ le litre au cours de l’été.
« Au Canada, des politiques et des engagements tels que la proposition de plafonnement des émissions annoncées à la COP27, l’engagement de définir et d’éliminer progressivement les subventions inefficaces aux combustibles fossiles d’ici 2025 et même l’annonce récente de la taxe de rachat pourraient exercer une pression supplémentaire sur les secteurs [de l’énergie], ajoutant au poids économique que certaines entreprises ressentent déjà », est-il écrit dans le rapport sur les prévisions des secteurs de l’énergie publié en décembre dernier par Deloitte.
Les prix de la laitue continuent d’augmenter et des pénuries sont même à prévoir.
C’est lors d’une entrevue à l’émission Your Morning, qui est diffusée à VTC, que le cofondateur de l’entreprise de distribution de produits frais Mr. Produce, Rich Donsky, a mis en garde la population quant à une éventuelle pénurie de laitues: «L’offre est faible. Nous sommes un distributeur de services alimentaires principalement pour de nombreux restaurants, hôtels, conseils scolaires, et lorsque nous nous attendons à ce que le produit arrive et que ce n’est pas le cas… ces pénuries ponctuelles sont un peu frustrantes.»
Alors que le dernier rapport de l’indice des prix à la consommation de Statistique Canada pour le mois de mars indique que la laitue a connu une réduction de prix de 6,8 %, en comparaison avec février 2023, il n’en demeure pas moins que l’inflation pour le légume se situe toujours à 8% annuellement.
Comme l’a précisé M. Donsky, les conditions météorologiques extrêmes aux États-Unis feront certainement en sorte que les prix de la laitue augmenteront encore ce mois-ci: «Ils ont connu un temps frais et humide plus tôt dans l’année dans les régions de culture du nord, ce qui a suspendu la capacité de planter et de se rendre dans les champs. Donc, le plan était de prolonger un peu plus la saison des régions de culture du sud, mais cela a posé un problème la semaine dernière, car il y a eu beaucoup de temps chaud. Ils n’ont donc pas pu utiliser beaucoup de produits qui se trouvaient là-bas.»
Selon M. Donsky, les changements drastiques du climat ont un impact très significatif sur la capacité de production de la laitue. Pour compliquer davantage les choses, le printemps est une «période de transition» pour les États du sud et ainsi, les rendements de la laitue peuvent être affectés par la température: «Tout dépend de la météo. Si le temps coopère, nous verrons des prix un peu meilleurs, sinon, il y aura plus de problèmes.»
Signalons enfin que M. Donsky dit espérer une baisse des prix de la laitue pour juin, soit lorsque les agriculteurs canadiens seront en mesure de vendre leurs produits.
Dépendamment de l’amphithéâtre, les billets pour aller voir un match de la LNH peuvent énormément varier. De plus, lors des séries éliminatoires, les organisations augmentent considérablement les prix, sachant que plusieurs partisans sont prêts à casser leur tirelire pour observer leur équipe préférée se battre pour gagner la Coupe Stanley.
La compagnie Ticket IQ en a profité pour sortir la moyenne des prix sur le marché secondaire pour chaque équipe.
Voici donc les cinq prix les plus chers :
Rangers (1 329$)
Maple Leafs (685$)
Devils (668$)
Oilers (576$)
Kraken (553$)
Un siège pour aller voir un match à New York est absolument exorbitant! Et pourtant, jusqu’à présent, les arénas sont toujours pleines.
Les billets les moins chers se trouvent en Floride, où tu dois débourser en moyenne 269$ pour aller voir les Panthers.
Voyez tous les prix dans la publication ci-dessous.
Alors que l’inflation continue de sévir, les automobilistes ne sont pas au bout de leurs peines en ce qui a trait au plein d’essence. D’après Narcity, le prix à la pompe va exploser mercredi.
D’après le site Gas Wizard, les automobilistes de Montréal et de Québec devront payer leur litre d’essence huit cents de plus que la veille, soit 176,9 cents le litre.
En comparaison, il en coûtait en moyenne 163,2 cents le litre la semaine dernière, d’après CAA National. Et il y a un mois, ce chiffre baissait à 155,8 cents.
Ainsi, mercredi marque la journée où le prix sera le plus élevé depuis un mois. C’est le 31 mars dernier que le prix de l’essence était de 169,9 cents le litre.
Mais quand on se compare, on se console. Au Canada, le Québec est la cinquième province où le plein coûte le plus cher. Ainsi, en Colombie-Britannique, les automobilistes doivent débourser en moyenne 185 cents le litre. À l’autre bout du pays, les gens de Terre-Neuve-et-Labrador doivent payer en moyenne 181,3 cents le litre. À l’Île-du-Prince-Édouard, ce chiffre baisse à 174 cents le litre, et à 167,6 cents le litre au Manitoba.
D’ailleurs, les automobilistes québécois ne sont pas au bout de leurs peines. Le prix devrait grimper et atteindre à nouveau 2 $ le litre au cours de l’été.
La visite d’un père de famille chez Ashton a tourné au cauchemar lorsqu’il a découvert ce qu’il y avait dans le repas qu’il avait commandé pour son enfant.
Pierre-Luc Asselin se souviendra longtemps de sa visite dans la succursale située sur la 1ère avenue, à Québec.
En effet, il ne devrait pas y retourner pendant un bon moment.
« Merci Restaurants Chez Ashton pour être rendu aussi CHEAP (!!!) avec vos repas pour enfants! C’était la dernière fois, promis!!! 7,90$ pour ça??? », a-t-il écrit sur son compte Facebook.
Il a accompagné son message avec une photo du repas en question et force est de constater que les quantités sont assez légères.
Une publication qui a suscité plusieurs réactions chez les internautes.
« Ya cheap pis cheap! Seigneur ont est en récession », a commenté une internaute.
« Ce que tu ne sais pas, pour un souci de préserver l’environnement. Maintenant tu peux manger les contenants. Tu comprends pourquoi ils ont diminués les quantités pour être certain qu’il mange tout pour avoir un dessert », a ironisé un autre internaute.
«23 décembre vient de remporter le Prix écran d’or, au gala des Prix écrans canadiens, qui récompense le film ayant récolté le plus de recettes au box-office au Canada! 🎉C’est la première fois que ce prix est remporté par un film scénarisé et réalisé par des femmes. J’en suis tellement fière! Bien contente que ces personnages féminins s’en aillent rejoindre Les boys, De père en flic et Bon cop bad cop! Des femmes, en comédie grand public, oui ça se peut! (J’ai de plus en plus d’arguments!) Merci au public! Tout ça c’est grâce à vous. En fait, je vous dois tout depuis si longtemps. Vous ne pouvez savoir à quel point je suis reconnaissante ! ♥️», lançait India sur Instagram afin de démontrer sa joie et sa fierté face à ce bel accomplissement!
