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Prix Aurore : Ego Trip grand vainqueur selon le panel d’Infoman

Quoi de mieux qu’un vendredi (18 mars) pour découvrir les gagnants des Prix Aurore, l’équivalent humoristique québécois des prix Razzies.

Lancé par Infoman il y a quelques années, le « gala » propose de « récompenser » certains des pires éléments de l’année au cinéma québécois.

Ainsi, le jury (composé véritablement de critiques du cinéma) s’est tourné cette année vers Ego Trip pour le prix du Meilleur pire film.

Celui qui partage la vedette du film avec Patrick Huard, Guy Jodoin, a également reçu le Prix liquid paper masculin.

Édith Côté-Demers s’est vu remettre le même prix du côté des femmes pour son rôle dans Le Scaphandrier.

Louis Morissette et Maxim Gaudette ont également remporté des trophées Aurore, et ont même accepté de se présenter pour les recevoir, tout comme Guy Jodoin.

Plus rigolo encore, l’édition 2016 des Prix Aurore sera rediffusée juste après le « nouveau » Gala du cinéma québécois (anciennement Les Jutra), le 20 mars prochain à 23H35, rapporte Le Devoir.

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Omertà élu pire meilleur film aux prix Aurore

Encore une fois cette année, l’équipe d’Infoman a voulu souligner le pire du cinéma québécois, et ce, à quelques jours du gala des Jutra.

Omertà a été élu le Pire meilleur film de l’année. Étrangement, c’est aussi cette production qui recevra le billet d’or aux Jutra, pour le film ayant été le plus populaire au box-office.

Le film de Luc Dionne a également récolté les prix : Caméo de riche pour René Angélil, Liquid paper féminin pour Rachelle Lefebvre et Pire scène, ex aequo avec Esimésac.

De son côté l’Empire Bo$$é a aussi obtenu de nombreux prix, dont Pire coiffure, Pire charge anti-capitaliste, et Liquid paper masculin pour l’ensemble de la distribution d’acteurs.

Les films Liverppoool, Bestiaires, J’espère que tu vas bien et Toucher le ciel ont également été « récompensé ».

Cette année, le jury était composé de Manon Dumais du journal Voir, Odile Tremblay du quotidien Le Devoir, Michel Lacombe de Radio-Canada et Marc Cassivi et Marc-André Lussier de La Presse.

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Les pires films de l’année récompensés

C’est hier (8 mars), dans le cadre de l’émission Infoman, animée par Jean-René Dufort, qu’était présenté le 6e gala des prix Aurore, qui récompensent les meilleurs parmi les pires films québécois.

Ce gala plutôt loufoque a donc souligné les pires scènes et répliques de film, et ce sont les films French immersion et Angle Mort quisemblent s’y être particulièrement illustrés.
 
Dans la catégorie de la « Meilleure pire scène de film », le prix Aurore a été remis à Rita Lafontaine qui se retrouve le visage dans son ragoût quand elle apprend que son pensionnaire est juif. Elle va ensuite d’elle-même constater la circoncision du pensionnaire. Il s’agit d’une scène tirée du film French immersion.
 
Le prix Aurore « LA FARMETU TA YEULE? », attribué aux pires répliques de l’année a été décerné au film Angle Mort pour la réplique suivante : « … les clés des menottes! » (Sébastien Huberdeau) « mais j’les trouve pas! » (Karine Vanasse) « CHECK DANS SES POCHES! » dit Sébastien Huberdeau.
 
Dans la catégorie « LIQUID PAPER FÉMININ », remis à l’actrice qui devrait effacer de son CV le film dans lequel elle a compromis sa carrière cette année, c’est Karine Vanasse qui a remporté le prix en raison de son rôle dans le film Angle Mort.
 
Pour ce qui est du prix « LIQUID PAPER MASCULIN », il a été remis à toute la distribution masculine de French immersion, avec une mention spéciale à Yves Jacques et Robert Charlebois.
 
Finalement, le prix Aurore du « Meilleur pire film » a été décerné à French immersion, un film de Kevin Tierney.
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Les Prix Aurore récompensent le cinéma québécois

C’est hier soir (10 mars) qu’avait lieu le 5e gala des Prix Aurore au Cinéma Rialto de Montréal. 

Le gala devait initialement être animé par Jean-René Dufort, mais celui-ci étant en convalescence, c’est Chantal Lamarre qui a présidé la soirée aux côtés de MC Gilles.

Durant ce gala, quelque treize prix ont été remis en ondes. Ceux-ci ont été attribués par un jury qui était composé de critiques de cinéma.
 
Le prix La farme-tu-ta-yeule, remis pour les pires répliques de l’année, a été attribué au film Le poil de la bête.
 
Pour ce qui est du pire accessoire de l’année, c’est la coquille de Guy A. Lepage, dans le film L’appât, qui a remporté le prix.
 
Alain Crête et François Gagnon, du film Lance et compte – Chaque dynastie a sa tragédie, ont reçu le prix Garde-donc ta job de jour, remis à la personne qui ne devrait pas réorienter sa carrière dans le cinéma.
 
Le prix de la meilleure pire scène de 2010 a été remis au film Filière 13 pour la scène de Jean-François (Guillaume Lemay-Thivierge) qui se fait passer pour un homme de ménage.
 
Les prix Aurore liquid paper féminin et masculin, remis à l’acteur et à l’actrice qui devraient faire disparaître de leur CV le film dans lequel ils ont compromis leur carrière cette année, ont été donnés à Anik Jean pour le film Filière 13 et aux acteurs Guy A. Lepage et Rachid Badouri pour le film L’appât.

Finalement, le prix Aurore du meilleur pire film a été remis à Le poil de la bête, un film de Philippe Gagnon.

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Remise des prix Aurore

Pour une troisième année, l’équipe d’Infoman a remis ses prix Aurore, qui se veulent un clin d’oeil aux Razzie Awards récompensant les pires films américains de l’année.

Le jury était composé de chroniqueurs et de critiques de cinéma : Marc Cassivi (La Presse), Odile Tremblay (Le Devoir), Michel Coulombe (Radio-Canada), Manon Dumais (Voir) et Maxime Demers (RueFrontenac.com).

Le film Cruising Bar 2 a été nommé le pire film québécois de l’année. Du côté étranger, le film Astérix aux Jeux olympiques a remporté ce trophée en forme de rond de poêle.   

Parmi les autres gagnants, nommons Michèle Richard, qui a obtenu, pour le film Truffe, le Life Achèvement Aurore remis à l’artiste ou artisan du cinéma pour l’ensemble de sa carrière en espérant qu’il comprenne le message.

Les prix Liquid Paper sont remis à ceux qui devraient effacer de leur CV des rôles qui ont compromis leur carrière. Les trophées ont été décernés à Benoît Roberge, pour Le cas Roberge, et à Susan Sarandon, que l’on qualifie de nouvellement Québécoise en raison de la controverse née de la nomination de l’actrice au gala des Jutra.

Comme aucun gagnant n’a réclamé son prix, Pierre Brassard a fait des remerciements pour chacun.