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Nouvelles quotidiennes

La récession profite aux voyageurs

Pour les voyageurs qui n’ont pas perdu d’argent lors de la crise économique actuelle, la récession est un cadeau du ciel. En effet, ils profitent du fait que les hôteliers du monde, affectés par la baisse d’occupation, réagissent en baissant leurs prix.

Une baisse de l’ordre de 17 % au cours du trimestre dernier touche en ce moment le monde de l’hôtellerie et plusieurs hôtels, inoccupés en raison de l’importante baisse d’achalandage, ferment des étages complets.

Selon l’indice des prix d’hôtels publié aujourd’hui par Hotels.com, cette baisse est la plus significative des 5 dernières années et elle survient sans surprise en temps de récession. L’étude porte sur environ 78 000 hôtels répartis dans plus de 13 000 destinations à travers le monde, ce qui en fait un portrait très précis du marché.

« Depuis la tourmente provoquée par les attentats du 11 septembre 2001, on n’avait pas assisté à un tel effondrement des prix des chambres d’hôtel », a déclaré David Roche, Président d’Hotels.com.

Pour démontrer davantage l’impact de la récession, Roche a précisé que Moscou et New York, deux des villes les plus dispendieuses en matière de chambres d’hôtel, ont enregistré respectivement une chute de 39 % et de 23 % sur le prix moyen de leurs chambres.

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Le double pour des médicaments génériques

Une étude menée par l’Institut Fraser démontre que les personnes âgées canadiennes paient le double pour acheter des médicaments génériques, comparativement à la population américaine.

À titre d’exemple, le prix des médicaments génériques vendus au pays était 101 % plus élevé que les similaires vendus chez nos voisins du Sud.

Ces conclusions de l’Institut Fraser s’ajoutent à une longue liste d’autres études qui prouvent que les Canadiens paient beaucoup plus cher les médicaments génériques. De plus, il semble que cette tendance s’est accrue au cours des cinq dernières années.

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Mazda réduit le prix de ses modèles 2009

Le constructeur japonais ajuste ses prix en raison de la force du dollar canadien, comme l’ont fait avant lui de nombreux autres manufacturiers.

Ainsi, la Mazda 3 subit un ajustement à la baisse de 2 000 $. Le prix de départ de la berline Mazda 3 GX 2009 est maintenant de 14 895 $. Celui de la berline à hayon s’établit à 15 895 $ et celui de la MAZDA SPEED 3 à 29 360 $. Cela représente des baisses de tarif variant entre 6 et 12 %.

La nouvelle Mazda 6, complètement renouvelée en 2009, subit aussi un ajustement de tarif de 2 000 $. Ainsi, le modèle de base, la GS à moteur quatre cylindres, débute à 22 495 $. La GT, équipée du moteur à 4 cylindres, sera offerte à 27 395 $, soit une réduction de 3 000 $. Les Mazda 6 à moteur V6 devraient être vendues au même prix que les modèles de l’année 2008, tout en offrant davantage de caractéristiques.

Le CX-7, le multisegment à moteur turbo quatre cylindres de 2,3 litres, bénéficie d’un ajustement de 2 100 $ et sera offert à partir de 29 995$. La version GT a été réduite de 1 600 $ et s’élève maintenant à 35 695 $.

Le CX-9, un multisegment intermédiaire pour sept passagers, voit son prix être fixé à 36 795 $, ce qui représente une réduction de 3 200 $ par rapport au prix du modèle 2008. Pour la version haut de gamme, la GT, la réduction est de 2 430 $. Son prix s’établit maintenant à 44 395 $.

Les prix des modèles 2009 de la camionnette de série B, de la Mazda 5 et de la décapotable MX-5 seront annoncés à une date ultérieure.

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Les consommateurs canadiens paient encore trop cher

Pour la deuxième année consécutive, CAA-Québec a analysé les frais exigés par les constructeurs pour l’ensemble des modèles disponibles sur le marché. Il appert que les Canadiens paient entre 30 à 60 % de plus que leurs vis-à-vis américains. 

Concrètement, certains constructeurs automobiles exigent 1 000 $ de plus des consommateurs canadiens en frais de transport et de préparation, une situation inexplicable pour l’organisme. 

Certains cas analysés retiennent particulièrement l’attention. Par exemple, pour une Acura MDX construite au Canada, les consommateurs canadiens débourseront 1 855 $ et les consommateurs américains 715 $, soit une différence de 61 %.

Pour le Town & Country de Chrysler, assemblé également au Canada, les frais s’élèvent à 1 350 $ de ce côté de la frontière comparativement à 770 $ pour le marché américain, soit 43 % d’écart. Pour acquérir une Subaru Outback construite au Japon, les consommateurs canadiens devront débourser 1 495 $, alors que ces frais sont de 645 $ aux États-Unis, une différence de 57 %.

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Les ventes de véhicules en chute libre

 

On connaissait déjà les difficultés des constructeurs nord-américains, mais il semble que la crise actuelle dans l’industrie automobile soit généralisée. 

En effet, pour les trente derniers jours, l’industrie automobile en Amérique du Nord peine. La baisse des ventes affecte non seulement les constructeurs américains, mais aussi les marques asiatiques et allemandes.

La baisse la plus importante est enregistrée par Chrysler. Le numéro 3 américain voit ses ventes reculer de 36 % en juin. Même le numéro 1 mondial, Toyota, n’échappe pas à la conjoncture économique et constate un recul de plus de 21 % de ses ventes.

Parmi les exceptions à cette hécatombe, notons les performances de Honda (1,1 %) et de Hyundai (1,3 %) qui augmentent leurs ventes durant la même période.

Depuis quelques mois, les constructeurs remarquent un effritement de leurs ventes. La hausse du prix du carburant semble avoir plombé les dernières semaines. 

Dans ces circonstances, il n’est pas surprenant d’entendre de plus en plus de rumeurs concernant la survie de certaines marques. La dernière en lice fait état de difficultés financières chez Chrysler. Le dernier bilan de juin semble indiquer qu’il n’y a pas de fumée sans feu.

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Les Québécois voyageront en voiture

En dépit de la flambée des prix de l’essence, 64 % des Québécois prévoient réaliser de deux à quatre déplacements routiers d’ici la fête du Travail, selon un sondage national récemment effectué.

Néanmoins, les prix à la pompe influeront sur les projets de voyage de plus de la moitié (54 %) des Québécois, ceux-ci prévoyant raccourcir leurs vacances ou choisir une destination plus près de chez eux.

Ce sondage a été mené par Harris/Decima pour le compte de Pneus Uniroyal entre le 25 avril et le 5 mai 2008 par un panel en ligne, rassemblant un échantillon de 1 262 Canadiens adultes. Un échantillon aléatoire de cette taille comporte une marge d’erreur de plus ou moins 2,8 %, 19 fois sur 20.

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Les travailleurs modifient leurs habitudes de transport

L’étude réalisée par la firme Robert Half International indique que plus de quatre sur dix (44 %) des professionnels interrogés ont déclaré que la hausse du prix de l’essence avait une incidence sur leurs déplacements quotidiens. Ce pourcentage était de 34 % il y a deux ans, alors qu’un sondage semblable avait été mené. 

Les changements les plus fréquemment cités par les répondants affirmant avoir modifié leurs habitudes de transport pour se rendre au travail sont le covoiturage simple ou alterné (46 %), la conduite d’un véhicule plus écoénergétique (33 %) et le recours plus fréquent au télétravail (33 %).

Trois répondants sur dix ont aussi dit être à la recherche d’un nouvel emploi situé plus près de leur domicile. 

De plus, le sondage révèle que les employeurs mettent sur pied diverses initiatives pour alléger le fardeau qui pèse sur les employés en raison de la hausse du prix de l’essence. Les mesures les plus couramment offertes par les entreprises sont l’augmentation du remboursement consenti pour le kilométrage effectué, les programmes de covoiturage simple et de covoiturage par fourgonnette et le transport subventionné.

Près de six répondants sur dix (59 %) ont toutefois indiqué que leur entreprise n’offrait pas de programme pour compenser l’augmentation du prix de l’essence.

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Disparités injustifiées à la pompe accuse le CAA-Québec

Selon CAA-Québec, il existe au Québec deux marchés tout à fait différents. Le premier, celui de Montréal et de l’ouest de la province, relativement équilibré, où, à certains moments, il a été possible pour les automobilistes de se procurer de l’essence sous le prix réaliste de CAA-Québec, et un autre, celui de Québec et de l’est de la province, où l’essence était vendue, la plupart du temps, à un prix plus élevé que le prix réaliste.

L’organisme affirme qu’à Montréal, le prix à la pompe de l’essence ordinaire a été plus élevé que le prix réaliste calculé par CAA-Québec pendant 121 jours ouvrables sur 245 (49 %). À Québec, cette situation a prévalu 144 jours (59 %).

De plus, CAA-Québec ajoute que même les jours où le prix à la pompe descendait légèrement sous le prix réaliste, les automobilistes étaient encore défavorisés par rapport à ceux de Montréal puisque, contrairement à ce qui prévalait dans la région de la métropole, le prix réaliste de Québec était calculé à partir d’une marge au détail déjà supérieure à la moyenne des 52 dernières semaines pour l’ensemble du Québec. En effet, à Québec, la marge au détail moyenne est près de 20 % plus élevée que la marge au détail moyenne de la province, ce qui gonfle inévitablement le prix réaliste dans cette région.

Outre Montréal et Québec, la ville de Sherbrooke fait également l’objet d’observations dans le cadre du programme Info Essence, et ce, depuis le 16 mai 2007. CAA-Québec a pu notamment y observer de longues périodes de stabilité de prix qui n’étaient pas toujours à l’avantage des automobilistes. Pendant ces périodes, de fortes marges au détail ont en effet pu être notées (supérieures à 7 cents du litre). À ce chapitre, CAA-Québec a notamment pu constater que, de façon générale, l’ouest du Québec est avantagé sur le plan des marges au détail, souvent inférieures à la moyenne des 52 dernières semaines, la situation inverse prévalant pour l’est.