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Natalie Cole décédée d’un problème cardiaque

Dans un communiqué publié dans les dernières heures, on apprend que Natalie Cole souffrait d’hypertension artérielle pulmonaire qui l’a conduit à faire un arrêt cardiaque.

La chanteuse est décédée le 31 décembre, à 65 ans, dans un hôpital de Los Angeles.

Les problèmes de santé de la fille du regretté Nat King Cole ont débuté en 2009, alors qu’elle avait subi la transplantation d’un rein. C’est à ce moment que ses médecins ont diagnostiqué pour la première fois un problème de pression dans l’artère pulmonaire (vaisseau sanguin qui relie le coeur aux poumons).

Le communiqué explique : « Natalie Cole répondait bien depuis de nombreuses années aux traitements contre l’hypertension artérielle pulmonaire, période durant laquelle elle a donné de nombreux concerts dans le monde. Mais elle a succombé finalement à un arrêt cardiaque. »

L’interprète de Unforgettable avait dû subir une transplantation rénale en raison d’une hépatite et de problème de drogue survenus plus tôt dans sa vie.

Photo : BANG/BIG

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Des enfants obèses, des enfants cardiaques

Cholestérol, diabète et hypertension artérielle sont des conditions qui peuvent concerner la plupart des enfants obèses et qui, tôt ou tard, peuvent faire en sorte que leur vie cesse plus rapidement qu’elle ne le devrait.
 
Parue dans la revue Archives of disease in childhood, une étude néerlandaise a dévoilé que les bambins qui souffrent d’obésité sont beaucoup plus exposés à des risques cardiaques que les autres.
 
Pour en arriver à cette conclusion, les chercheurs ont demandé à des pédiatres de remplir des questionnaires pour cibler le cas de 500 enfants en surpoids. Parmi ces derniers, les « deux tiers des enfants présentaient au moins un facteur de risque cardiovasculaire ».
 
Divisés en catégories, 56 % d’entre eux faisaient de l’hypertension artérielle, 14 % détenaient un taux élevé de sucre dans le sang, tandis que 54 % avaient un fort taux de cholestérol, relate le journal Le Figaro qui ajoute que « les trois quarts des jeunes obèses après 10 ans vont le rester ».
 
Devant ce constat, les experts conseillent que les risques de maladies cardiovasculaires chez les jeunes soient envisagés beaucoup plus tôt et que des examens soient effectués plus précocement.
 
Bien que l’obésité infantile touche davantage les milieux défavorisés, la Dre Myriam Dabbas-Tyan, pédiatre à l’hôpital Necker-Enfants malades à Paris, conseille aux parents de tout de même encourager leurs jeunes à avoir de meilleures habitudes de vie, bouger plus et manger plus sainement.
 
Elle spécifie également que s’il le faut, modifier le mode de vie de toute la famille peut faciliter la tâche et assurer un avenir meilleur à tous.
 
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Perception des problèmes cardiaques infantiles

Il n’existe pas de règles universelles quant à l’analyse des douleurs thoraciques chez l’enfant. Une récente étude parue dans Pediatrics, ayant porté sur des patients du Children’s Hospital à Boston, est toutefois très rassurante.

On y apprend entre autres que les douleurs thoraciques chez l’enfant sont très fréquentes, mais qu’elles sont rarement graves : le risque d’un problème cardiaque est donc très faible.

Dans l’étude présente, sur 3700 enfants de 6 ans et plus qui s’étaient rendus à l’hôpital pour une évaluation de leurs douleurs de poitrine, seulement 1 % avait un problème cardiaque sous-jacent.

Le plus souvent, il s’agissait alors d’une inflammation du péricarde ou du muscle cardiaque, et la cause en était une infection ou la tachycardie supraventriculaire. De plus, après 10 ans, aucun enfant suivi dans cette étude n’est décédé d’une cause cardiaque.

Une douleur thoracique provient plutôt, le plus souvent, d’un problème mineur, dont les plus fréquents étaient certaines conditions respiratoires ou gastro-intestinales, et l’anxiété (1 % des cas). Finalement, chez 52 % des jeunes patients suivis, la cause précise n’a même pas pu être établie.

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Soulager les petits poumons

Des chercheurs de la Georgia Health Sciences University s’emploient à abaisser la pression exercée sur les poumons des bébés qui naissent avec une malformation cardiaque.

C’est qu’en naissant avec ce problème de santé, un nouveau-né verra aussi ses poumons être en danger, car ledit problème cardiaque peut faire augmenter leur volume sanguin jusqu’à trois fois.

Ils mettent donc au point un système de recyclage naturel qui fait en sorte que les vaisseaux sanguins se trouvent libérés d’une telle surcharge. Cette situation peut alors être maintenue jusqu’à ce que le problème cardiaque soit résolu.

En fait, comme lu sur Medical News Today, un médicament, le PPAR, peut libérer les petits poumons fragilisés. Ce médicament est déjà employé chez les adultes lors de lésions pulmonaires ou pour abaisser les taux de lipides et de glycémie dans les cas de diabète.

Les bébés atteints d’une malformation cardiaque sont exposés à la fatalité d’une maladie pulmonaire, même si les soins médicaux ont énormément progressé au cours des dernières années. Le but des chercheurs est donc d’aider à protéger ces enfants.

À l’heure actuelle, environ 1 % des nouveau-nés sont atteints d’une malformation cardiaque. La moitié de ces derniers doivent subir une chirurgie.

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La peur de mourir aggrave les problèmes cardiaques

Après une crise cardiaque, de nombreuses personnes ont peur de mourir, mais cela affectera grandement leur guérison.
 
En fait, lorsqu’une personne a des problèmes cardiaques, sa peur de mourir peut aggraver son état.
 
Selon l’European Heart Journal, des chercheurs de Londres ont analysé le cas de 208 personnes avec des maladies cardiaques. Ils ont noté qu’un niveau élevé de crainte de la mort aggravait leur condition.
 
Cela est causé par le stress provoqué par cette peur, qui augmente les composés chimiques THF-alpha. Ces derniers sont reconnus pour endommager le cœur et augmentent donc les risques de problèmes cardiaques.
 
Les personnes devraient à tout prix essayer d’éliminer cette peur de subir une crise cardiaque si elles ne veulent pas en avoir une.
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Mourir de timidité

Selon des chercheurs de l’Université Northwestern à Chicago, une personnalité timide chez un homme augmenterait de 50 % son risque de décéder d’un problème cardiaque.

L’étude effectuée durant plus de 30 ans, sur 2 000 hommes de 45 à 60 ans suivis jusqu’à leur décès, a permis l’observation d’une forte relation entre les maladies du coeur ayant mené au décès et  le niveau de timidité que ces hommes vivaient.

Les chercheurs affirment que le lien unissant la santé et les états émotionnels des gens aurait déjà été remarqué dans d’autres travaux.

Ils émettent aussi l’hypothèse voulant que les hommes timides subissent plus de stress et que de là, les problèmes cardiaques prendraient naissance.