Catégories
Hollywood PQ Potins

Affligé, Denis Lévesque en colère contre le système de santé

Denis Lévesque, à la tête d’un tout nouveau balado, avait un message clair à transmettre envers le système de santé, reconnu pour ses inefficacités.

L’ancien animateur-vedette de LCN explique avoir rencontré un problème à un œil, ce qui l’a poussé à consulter, commençant par visiter son pharmacien. Affligé d’un orgelet, l’intervieweur émérite a raconté son expérience désolante.

«Pour moi, ça a été une fin de semaine de zigonnage avec le système de santé. Vous voyez mes lunettes fumées, mais si je les enlève, il y a un gros orgelet qui est là. Il était bien pire hier, c’était une espèce de boule de baseball. J’ai essayé d’avoir une prescription du pharmacien. Il me voit, ça, en principe, il connaît ça, c’est juste un onguent antibiotique. Non, non, je ne peux pas, ça te prend un médecin!», dévoile-t-il sur un ton animé.

Capture YouTube
Capture YouTube

C’est donc par la suite que Denis a été contraint de prendre rendez-vous par visioconférence dans le secteur privé.

«Rendez-vous avec un médecin par ordinateur. Ça m’a coûté 180$ au privé pour avoir une petite pommade sur mon œil. Ça se peut-tu…quand on nous a dit que les pharmaciens, c’était l’avenir. Ça allait nous aider dans la rapidité au Québec. MON ŒIL…mon œil magané avec une boule. Parce que c’est toujours long dans une pharmacie et il ne voulait même pas me prescrire, ils n’ont pas le droit (…) Les médecins veulent garder leurs privilèges, en tout cas…», conclut Denis, pas très heureux de cette expérience.

Capture YouTube

Le message a le mérite d’être clair!

Un constat malheureux pour Denis, malheureusement représentatif de la réalité pour la majorité des Québécois.

Qu’en pensez-vous?

Catégories
Uncategorized

Les antennes-relais encore pointées du doigt

Une nouvelle étude lancée en octobre par l’Association santé environnement France (Asef) démontre une nouvelle fois que les antennes relais causent des problèmes de santé aux résidents à proximité.
 
L’étude effectuée sur 143 personnes demeurant tout près des antennes-relais dévoile que 43 % des personnes se plaignent d’acouphènes, comparativement à 15 % pour l’ensemble des Français.
 
55 % des personnes vivent avec des troubles de sommeil, et 27 % disent avoir de la difficulté à se concentrer.
 
Fait intéressant, la majorité des personnes qui laissent leur logement pour prendre des vacances affirment que leurs symptômes disparaissent durant ce temps.
 
« Les locataires que nous avons rencontrés ont l’impression qu’on se moque d’eux. On ne leur a pas demandé leur avis pour savoir s’ils étaient d’accord pour qu’on plante des antennes relais sur leur toit. Ils ne touchent même pas d’indemnités financières pour ça, et pourtant, ce sont eux qui prennent et assument le risque… C’est antidémocratique. En tant que médecins, nous estimons qu’il n’y a ni patient, ni citoyen de seconde zone », dit le Dr Patrice Halimi, qui est également le secrétaire général de l’Asef.
 
Catégories
Uncategorized

Les antennes-relais encore pointées du doigt

Une nouvelle étude lancée en octobre par l’Association santé environnement France (Asef) démontre une nouvelle fois que les antennes relais causent des problèmes de santé aux résidents à proximité.
 
L’étude effectuée sur 143 personnes demeurant tout près des antennes-relais dévoile que 43 % des personnes se plaignent d’acouphènes, comparativement à 15 % pour l’ensemble des Français.
 
55 % des personnes vivent avec des troubles de sommeil, et 27 % disent avoir de la difficulté à se concentrer.
 
Fait intéressant, la majorité des personnes qui laissent leur logement pour prendre des vacances affirment que leurs symptômes disparaissent durant ce temps.
 
« Les locataires que nous avons rencontrés ont l’impression qu’on se moque d’eux. On ne leur a pas demandé leur avis pour savoir s’ils étaient d’accord pour qu’on plante des antennes relais sur leur toit. Ils ne touchent même pas d’indemnités financières pour ça, et pourtant, ce sont eux qui prennent et assument le risque… C’est antidémocratique. En tant que médecins, nous estimons qu’il n’y a ni patient, ni citoyen de seconde zone », dit le Dr Patrice Halimi, qui est également le secrétaire général de l’Asef.
 
Catégories
Uncategorized

Être trop mince conduit aussi à de graves problèmes de santé

La semaine dernière, des chercheurs mentionnaient avoir découvert le gène de la minceur qui exposait à un plus grand risque de diabète de type 2. Voilà que les études confirment qu’être trop mince peut être aussi nocif que l’obésité.
 
Les personnes dont l’indice de masse corporelle (IMC) est inférieur à 18,5 sont considérées comme ayant une insuffisance pondérale. Celle-ci est liée à 34 000 décès par année aux États-Unis.
 
Les recherches sur le sujet n’en sont qu’à leur balbutiement, mais on constate qu’une grande minceur, comme on le voit régulièrement dans les magazines, chez les vedettes et les mannequins, prive le corps de nombreux nutriments essentiels.
 
Cela conduit alors à des os plus fragiles, donc plus de risques de fractures, notamment de la hanche, à un âge avancé.
 
Les personnes trop minces sont aussi plus susceptibles de souffrir d’arthrite et de maladies cardiaques.
 
Les risques de fausses couches dans les trois premiers mois est de 72 % supérieur et les complications durant la grossesse peuvent survenir également chez les femmes maigres.
 
Il y a un risque plus grand de dépression, surtout chez les hommes, et de cas d’infertilité masculine également. Les maladies pulmonaires sont aussi plus présentes dans les cas d’extrême maigreur.

De plus, on constate que les personnes trop minces, étant plus fragiles, ont plus de risques de mourir dans un accident de voiture, surtout les hommes, rapporte le Daily Mail.