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Les enfants dépressifs risquent plus de développer des problèmes de santé

Des chercheurs américains ont étudié les données provenant de 201 enfants dépressifs avec un âge moyen de 9 ans, ainsi que 195 de leurs frères et sœurs qui n’avaient jamais souffert de dépression.

Pour former un 3e groupe de contrôle, 161 enfants du même âge et du même sexe, qui n’avaient pas d’historique de dépression, ont également été inclus.

À l’âge de 16 ans, ces jeunes ont été évalués à nouveau, s’attardant entre autres aux taux de tabagisme, d’obésité et d’activité physique au sein des trois groupes.

22 % des enfants qui avaient souffert de dépression étaient obèses, comparativement à 17 % de leurs frères et sœurs, et 11 % des enfants du groupe de contrôle.

Un tiers des enfants dépressifs fumaient quotidiennement, comparativement à 13 % de leurs frères et sœurs, et seulement 2 % des autres.

Les données étaient similaires pour ce qui est de l’activité physique : les jeunes dépressifs étaient les moins actifs, et ceux appartenant au groupe de contrôle l’étaient le plus.

Les chercheurs ont également remarqué qu’un historique de dépression était associé à un risque accru de développer des problèmes cardiaques, peu importe si les jeunes de 16 ans souffraient toujours de dépression ou pas, selon Science Daily.

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Les enfants dépressifs risquent plus de développer des problèmes de santé

Des chercheurs américains ont étudié les données provenant de 201 enfants dépressifs avec un âge moyen de 9 ans, ainsi que 195 de leurs frères et sœurs qui n’avaient jamais souffert de dépression.

Pour former un 3e groupe de contrôle, 161 enfants du même âge et du même sexe, qui n’avaient pas d’historique de dépression, ont également été inclus.

À l’âge de 16 ans, ces jeunes ont été évalués à nouveau, s’attardant entre autres aux taux de tabagisme, d’obésité et d’activité physique au sein des trois groupes.

22 % des enfants qui avaient souffert de dépression étaient obèses, comparativement à 17 % de leurs frères et sœurs, et 11 % des enfants du groupe de contrôle.

Un tiers des enfants dépressifs fumaient quotidiennement, comparativement à 13 % de leurs frères et sœurs, et seulement 2 % des autres.

Les données étaient similaires pour ce qui est de l’activité physique : les jeunes dépressifs étaient les moins actifs, et ceux appartenant au groupe de contrôle l’étaient le plus.

Les chercheurs ont également remarqué qu’un historique de dépression était associé à un risque accru de développer des problèmes cardiaques, peu importe si les jeunes de 16 ans souffraient toujours de dépression ou pas, selon Science Daily.

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Des chercheurs développent une prothèse cardiaque « vivante » pour les nouveau-nés

Des chercheurs du Texas ont publié les résultats de leur recherche, provenant de nombreuses années d’effort pour en arriver à créer une prothèse cardiaque biocompatible, qui bat comme un cœur humain.

Aux États-Unis, environ un enfant sur 250 naît avec une malformation cardiaque congénitale, mais seulement 3 à 6 sur 10 000 souffrent d’un problème appelé tétralogie de Fallot, qui requiert l’ajout d’une prothèse sur le ventricule droit du cœur.

En ce moment, ces prothèses sont faites de tissus synthétiques ou prélevés sur des vaches ou sur le corps du petit patient. Elles servent à protéger les tissus cardiaques et à permettre à ceux-ci de bien se développer. Le problème est qu’elles ne grandissent pas avec le patient et ne s’incorporent pas vraiment aux tissus cardiaques.

Puisque les prothèses actuelles sont considérées par le corps comme un « tissu mort », le cœur fonctionne moins bien avec celles-ci, ce qui expose ces enfants à un risque plus élevé de développer de l’insuffisance cardiaque, de l’arythmie et de la fibrillation.

La prothèse « vivante » développée par les chercheurs pourrait remplacer avantageusement les prothèses artificielles, tout en se dégradant naturellement dans le corps une fois que le cœur n’en a plus besoin.

Toutefois, il reste encore plusieurs années de recherche avant que cette nouvelle prothèse puisse être utilisée, selon ce que rapporte Medical News Today.

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Des chercheurs développent une prothèse cardiaque « vivante » pour les nouveau-nés

Des chercheurs du Texas ont publié les résultats de leur recherche, provenant de nombreuses années d’effort pour en arriver à créer une prothèse cardiaque biocompatible, qui bat comme un cœur humain.

Aux États-Unis, environ un enfant sur 250 naît avec une malformation cardiaque congénitale, mais seulement 3 à 6 sur 10 000 souffrent d’un problème appelé tétralogie de Fallot, qui requiert l’ajout d’une prothèse sur le ventricule droit du cœur.

En ce moment, ces prothèses sont faites de tissus synthétiques ou prélevés sur des vaches ou sur le corps du petit patient. Elles servent à protéger les tissus cardiaques et à permettre à ceux-ci de bien se développer. Le problème est qu’elles ne grandissent pas avec le patient et ne s’incorporent pas vraiment aux tissus cardiaques.

Puisque les prothèses actuelles sont considérées par le corps comme un « tissu mort », le cœur fonctionne moins bien avec celles-ci, ce qui expose ces enfants à un risque plus élevé de développer de l’insuffisance cardiaque, de l’arythmie et de la fibrillation.

La prothèse « vivante » développée par les chercheurs pourrait remplacer avantageusement les prothèses artificielles, tout en se dégradant naturellement dans le corps une fois que le cœur n’en a plus besoin.

Toutefois, il reste encore plusieurs années de recherche avant que cette nouvelle prothèse puisse être utilisée, selon ce que rapporte Medical News Today.

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Les enfants séropositifs risquent plus que les autres d’avoir des problèmes cardiaques

L’étude menée en Espagne a porté sur 150 enfants et adolescents séropositifs, ainsi que 150 autres jeunes qui avaient le même âge et le même sexe que chacun des enfants atteints de la maladie.

Tous les participants ont subi des échographies pour mesurer l’épaisseur de leur artère carotide. Cette mesure était beaucoup plus élevée chez les patients séropositifs que chez les autres, même une fois que les chercheurs aient ajusté les données pour tenir compte de différents facteurs comme l’âge, le sexe et l’indice de masse corporelle.

Les chercheurs ont utilisé cette mesure particulière, parce qu’elle est fortement associée au développement éventuel de maladies cardiovasculaires. Les antirétroviraux pris par les patients atteints du VIH affectent souvent leur taux de cholestérol, et le virus provoque un état d’inflammation permanent dans leur corps. Ces deux facteurs les prédisposent au développement de problèmes cardiaques.

L’auteure de l’étude, la Dre Talia Sainz Costa, a expliqué que « lorsqu’ils atteindront 50 ans, ces jeunes auront accumulé beaucoup de toxines reliées au traitement et beaucoup d’effets secondaires de l’infection, ce qui les mettra particulièrement à risque d’avoir des problèmes cardiaques et d’autres complications », selon MedPageToday.

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Des facteurs psychologiques qui influencent les douleurs à la poitrine chez les enfants

L’étude a porté sur 129 patients âgés de 8 à 18 ans. Ceux-ci avaient tous été référés en cardiologie et étaient en attente d’un diagnostic.

« Nous voulons mettre l’accent sur les facteurs psychologiques qui peuvent influencer ces symptômes », a expliqué l’auteure Jennifer Lee. Celle-ci dit souhaiter que l’étude pousse les médecins à effectuer un dépistage psychologique, en plus d’examens physiques, auprès de ces enfants.

Les jeunes qui ont des douleurs à la poitrine fonctionnent moins bien que les autres dans leur vie de tous les jours et se plaignent également souvent d’autres problèmes inexpliqués, comme des maux de tête, des maux de ventre et des douleurs aux articulations.

« Le fonctionnement psychologique est profondément relié à la douleur. Parfois, votre esprit ne vous dit pas que quelque chose ne va pas, mais votre corps vous le fait sentir », a affirmé le coauteur, Dr Ronald Blount.

Le pédiatre Robert Campbell, qui n’a pas participé à l’étude, a quant à lui expliqué que « nous savons déjà que 99 % de ces patients n’auront aucune complication cardiaque. Mais je ne peux pas manquer “le” patient qui a un problème cardiovasculaire parmi eux, parce que les conséquences seraient catastrophiques », rapoorte PsychCentral.

Les résultats ont été publiés dans le Journal of Pediatric Psychology.

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Le Ritalin peut conduire au suicide

Perte d’appétit, anxiété, dépression, stress, sommeil perturbé, problèmes cardiovasculaires, d’estomac et cutanés, étourdissements, développement de tics et ecchymoses ne sont que quelques différentes avenues qui peuvent attendre les enfants consommant du Ritalin, relate le Daily Mail.

Quoiqu’encore rares, les effets secondaires mortels comme la psychose et les pensées suicidaires sont de plus en plus courants, affirment les spécialistes.

Des chiffres dévoilés au début mai ont démontré que les prescriptions de Ritalin ont quadruplé durant la dernière décennie, passant de 158 000 en 1999 à 661 463 en 2010. Le médicament est de plus en plus prescrit pour lutter contre l’hyperactivité.

Alors que cette médication n’est pas recommandée aux enfants d’âge préscolaire, il a été prouvé que dès l’âge de trois ans, des petits en consomment déjà.

Les spécialistes appellent à la prudence et à la bienveillance des parents, car devant un système de santé lourd où il y a un manque de professionnels et où ces derniers sont débordés, des diagnostics « ignorants » sont facilement donnés pour « régler le problème rapidement ».

« Les enfants qui sont anxieux peuvent être agités et se conduire mal, mais ces symptômes ne doivent pas être confondus avec le TDAH », revendique l’Agence européenne des médicaments. Cette dernière déclare que tous les patients doivent être surveillés pour des symptômes psychiatriques au cours du traitement et devraient être pesés tous les six mois, en lien avec la perte d’appétit.

L’agence a ajouté qu’étant donné le manque d’informations sur les effets à long terme du Ritalin, les enfants devraient arrêter le traitement au moins une fois par an pour voir s’il est encore nécessaire.

Au bout d’un certain temps, le Ritalin ne fait plus son effet, et c’est ainsi que les doses sont sans cesse augmentées et peuvent causer des dommages irréversibles.

Des tests en laboratoire sur des rats ont permis de croire que les enfants sur le Ritalin risquent également d’avoir de graves problèmes de mémoire et de dépression à l’âge adulte.

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La fécondation in vitro à l’origine de problèmes cardiaques infantiles?

Depuis environ 30 ans, les techniques de procréation assistée sont utilisées pour venir en aide aux couples infertiles, mais peu d’éléments avaient été observés concernant les problèmes de santé potentiels et à long terme pouvant être associés à la procédure.

Cette étude de l’Hôpital Universitaire de Berne en Suisse, parue dans le Journal of the American Heart Association, suggère que plusieurs enfants et adolescents en santé conçus par cette méthode ont montré un dysfonctionnement vasculaire systématique de la circulation pulmonaire.

Comparativement aux autres, ces enfants avaient une dilatation de l’artère brachiale plus faible en moyenne, une vitesse d’onde de pouls beaucoup plus rapide et une épaisseur moyenne de l’intima-média de la carotide plus grande.

Pour les chercheurs, qui ont fait passer des tests complets à 135 enfants, le fait que la pression systolique soit supérieure chez les enfants conçus avec la technologie de reproduction assistée est dû à un dysfonctionnement vasculaire pulmonaire, et non à un dysfonctionnement cardiaque.

De plus, les parents ne seraient pas à l’origine de ce problème, alors que ce serait plutôt la procédure médicale en soi.

« La manipulation de l’embryon, l’exposition à l’extérieur du corps ou l’exposition à des milieux riches de culture aux produits chimiques pourraient être ce qui cause des changements épigénétiques. Ceux-ci sont ensuite transmis à la descendance, qui les manifeste par différentes conséquences phénotypiques », avancent les spécialistes.

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Un nouveau coeur artificiel pour les enfants malades

Élaboré pour la toute première fois par la Food and Drug Administration, le nouveau petit cœur artificiel permet enfin aux plus petits d’avoir un appareil sur mesure mécanique et pulsatile d’assistance respiratoire. Un énorme pas en avant pour le domaine de la santé.

Ce nouveau procédé, appelé système EXCOR Pédiatrique, a été conçu selon une taille adaptée à chaque enfant. Il permet de prolonger la période d’attente pour trouver un donneur pour une transplantation chez les enfants atteints d’insuffisance cardiaque.

Rappelons que les dispositifs d’assistance cardiaque qui existaient déjà pour les adultes étaient trop volumineux pour être utilisés chez les enfants dans l’attente d’une greffe cardiaque, explique la Dre Susan Cummins, directrice médicale en pédiatrie à la FDA pour les dispositifs.

Composé d’une ou deux pompes pour le sang et de multiples tubes pour relier la pompe vers les cavités cardiaques et les grandes artères, ce nouveau mécanisme permet d’améliorer la survie des petits patients.

Mentionnons que 17 à 23 % des enfants atteints d’insuffisance cardiaque ne parviennent pas à supporter les nombreux mois d’attente pour pouvoir bénéficier d’une greffe. Chez les bébés naissants, le temps d’attente moyen peut atteindre 119 jours.

Malgré cette avancée, les spécialistes rappellent qu’il reste toujours un grand travail à réaliser afin que plus de dispositifs soient conçus. Il en manque encore beaucoup trop pour les enfants, si l’on compare à ceux disponibles pour les adultes.

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Le psoriasis lié à des problèmes cardiaques accrus

Les personnes atteintes de psoriasis ont jusqu’à trois fois plus de risques, en moyenne, d’avoir des problèmes cardiaques et des accidents vasculaires cérébraux (AVC).
 
Des chercheurs danois croient que cela pourrait s’expliquer par le fait que les vaisseaux sanguins et la peau auraient des sources comparables d’inflammation. Cependant, les raisons d’un tel lien demeurent encore inconnues.
 
Les moins de 50 ans avec un psoriasis léger ont 50 % plus de risques d’avoir un rythme cardiaque anormal et 97 % plus de chances de vivre un AVC ischémique. Pour le même groupe d’âge, mais avec une forme sévère de psoriasis, les risques sont respectivement de 198 % et de 180 %.
 
L’European Heart Journal rappelle que le psoriasis se produit lorsque les cellules de la peau ont une croissance accélérée, car le système immunitaire envoie des signaux erronés.
 
Cela peut former des plaques rouge et blanche, squameuses, mais qui ne sont pas contagieuses, à la surface de la peau.