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Devriez-vous vous inquiéter des petits écarts de conduite de vos enfants?

Mentir : Qu’on le veuille ou non, tous les enfants font des mensonges. Lorsque votre enfant ment, essayez de comprendre les raisons, selon « sa logique ». Par exemple, voulait-il éviter une punition ou vous faire plaisir? Ce comportement est uniquement problématique s’il est généralisé.

Ne pas écouter : C’est normal pour eux de vouloir continuer à jouer, dans l’espoir que le parent les laissera faire. Pour vous faire entendre, regardez-les dans les yeux et soyez fermes, mais calmes.

Voler : À partir de cinq ans, les enfants devraient savoir que c’est mal de prendre quelque chose qui ne leur appartient pas. Si ça arrive une fois ou deux, ce n’est pas alarmant, peut-être simplement que l’enfant n’a pu résister à son impulsion. Faites-lui retourner l’article et apprenez-lui une leçon de vie. Si ça arrive souvent, consultez.

Manquer de respect : Le meilleur moyen d’éviter que ça se produise, c’est de montrer l’exemple, en ne criant pas et en restant posé. Une certaine opposition envers les parents est normale, mais il faut quand même apprendre aux enfants à répondre avec le plus de respect possible. Un problème survient lorsque l’enfant manque de respect envers tout le monde.

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Grossesse : les méthamphétamines causent des problèmes de comportement chez l’enfant

Hyperactivité, dépression et anxiété ne sont que quelques-uns des problèmes qui guettent les enfants qui ont été exposés à des méthamphétamines in utero. Elles peuvent avoir été consommées sous forme hydrochlorée, appelée Pervitin®, ou sous forme solide et cristalline, aussi connue sous le nom de crystal meth.

L’étude réalisée par des chercheurs de la Brown University à Providence a permis de voir chez des enfants d’âge préscolaire des effets secondaires néfastes de cette drogue synthétique psychostimulante hautement addictive lorsque prise au-delà des dosages médicinaux.

Dans la revue en ligne Pediatrics, les chercheurs ont rapporté que ces enfants avaient plus de chances de souffrir d’une plus grande réactivité émotionnelle et de niveaux plus élevés d’anxiété et de dépression que leurs pairs non exposés à la drogue in utero.

À l’âge de 5 ans, des problèmes de comportement d’extériorisation (acting out) et d’attention avec hyperactivité (TDAH) ont été également remarqués.

Il s’agit là des premières études pour connaître l’effet de la drogue sur le comportement de la petite enfance. Les effets néfastes ont déjà été prouvés en ce qui concerne la croissance fœtale, le neurocomportement infantile et la motricité fine.

L’exposition prénatale à la méthamphétamine est inquiétante, selon les chercheurs, car elle est utilisée davantage par les femmes que par les hommes, et elle est plus populaire que la cocaïne et les opiacés combinés. Une étude prospective, longitudinale et complémentaire à cette recherche est en cours aux États-Unis.

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Naître un peu plus tôt est problématique

Il semble que naître un tant soit peu prématurément comporterait son lot de problèmes potentiels. On apprend ainsi dans Archives of Disease in Childhood qu’une naissance avant 32 semaines de grossesse serait liée à une plus grande prévalence de difficultés durant l’enfance.

Les bébés nés à ce stade de la grossesse seraient en fait plus enclins à avoir des problèmes de comportement et affectifs, en comparaison avec des enfants nés à terme.

Il avait déjà été annoncé que les bébés réellement prématurés (avant la 32e semaine de grossesse) avaient plus tendance à vivre avec les problèmes cités. Il n’avait jusqu’ici jamais été démontré que cet impact était possible si l’enfant naissant seulement quelques semaines avant une grossesse à terme.

Plus de 1500 enfants ont été évalués à l’âge de 4 ans, pour en venir à cette nouvelle conclusion. Sept aspects du comportement ont été abordés, dont l’anxiété (ou la dépression), l’agressivité, le trouble de l’attention et les maux psychosomatiques (sans cause physiologique valable).

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Les phtalates et le développement cérébral

Des chercheurs de la Columbia University ont présenté récemment de nouvelles observations quant à l’exposition aux phtalates durant la grossesse. Ces substances chimiques seraient liées à des retards de développement cérébral et moteur.

On aurait aussi établi une relation entre l’exposition aux phtalates et de plus grands problèmes de comportement chez l’enfant de trois ans. On continue donc de s’inquiéter quant à leur présence dans notre environnement, car on les considère depuis déjà un moment comme des perturbateurs endocriniens.

Comme le présentent les résultats parus dans Environmental Health Perspectives, ces substances se retrouvent encore dans une foule de choses, dont des matériaux de construction, des jouets de plastique et même certains shampoings.

Il s’agit de la première recherche à porter sur l’exposition prénatale aux phtalates et son lien avec la prédominance de problèmes moteurs, comportementaux et mentaux chez l’enfant d’âge préscolaire.

Pour ce faire, les bébés de 319 femmes non-fumeuses vivant au centre-ville et ayant accouché entre 1999 et 2006 ont été suivis. Un test validé a été effectué auprès des enfants afin d’évaluer leur développement mental et moteur.

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La puberté serait liée au comportement

La puberté se vit différemment pour chaque enfant, et il semble que la vitesse de celle-ci influence l’apparition de certains problèmes de comportement. Des chercheurs américains ont démontré ce lien après avoir suivi 364 garçons et 373 filles.

On avait déjà fait la lumière quant à de possibles conséquences d’une puberté plus hâtive, mais peu d’études ont porté jusqu’ici sur son rythme.

Il semble donc, comme nous le lisons dans Developmental Psychology, que plus la période de puberté d’un enfant se déroulera rapidement, plus il sera enclin à souffrir d’anxiété et de dépression.

De plus, les enfants étant très sensibles à la vitesse à laquelle les autres traversent leur puberté, cela peut contribuer à l’apparition de problèmes tels que la dépression.

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Du soutien pour l’enfant ayant une mère dépressive

Si les jeunes enfants de mères dépressives semblent accuser plus de problèmes de comportement que les autres en grandissant, on pourrait minimiser les dégâts en leur offrant du soutien.

C’est ce que suggère une étude de l’Université d’Adélaïde, en Australie, parue dans Pediatrics. Précisément, les enfants de deux ans dont la mère est dépressive, mais qui passent au moins une demi-journée par semaine avec un autre adulte, vivraient moins de problèmes comportementaux plus tard.
 
Quatre heures hebdomadaires passées avec une gardienne ou un membre de la famille, ou passées dans un service de garde, suffisent à réduire manifestement lesdits problèmes.
 
Ces résultats proviennent d’une étude longitudinale ayant débuté en 1998. 557 femmes et leur enfant ont été suivis, et ce, à partir de la grossesse jusqu’à ce que l’enfant ait atteint l’âge de neuf ans. Au final, les données portant sur 438 femmes et leur enfant étaient accessibles aux fins de la recherche.
 
Les cas de dépression étaient évalués à deux moments, soit lorsque le bébé a eu deux ans, puis trois ans et demi. Parmi les 438 mères retenues, 303 ne souffraient pas de la dépression, tandis que 88 d’entre elles en vivaient des périodes et que 47 en étaient atteintes de manière constante.

Ajoutons, en contrepartie, que des problèmes de comportements étaient plus courants chez les enfants de cinq ans dont la maman souffrait d’une dépression continue.

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Le manque de sommeil et l’hyperactivité

Après avoir suivi 6 860 enfants, on a conclu que l’hyperactivité et l’inattention étaient plus fréquentes chez les jeunes enfants qui ne dorment pas suffisamment. Ces résultats ont été présentés à la rencontre de 2011 de l’Associated Professional Sleep Societies LLC.

Comme nous pouvons le lire sur Medical News Today, un manque de sommeil chez les enfants d’âge préscolaire est fortement lié aux problèmes de comportement cités, une fois que l’enfant est entré à la maternelle.
 
Mentionnons toutefois que les cas d’hyperactivité et d’inattention dont il s’agit ici sont ceux rapportés par les parents.
 
Ces nouveaux résultats semblent répondre à la récente association faite entre un comportement agressif et un manque de sommeil, toujours chez l’enfant.
 
Finalement, on avait déjà relevé des problèmes de sommeil chez des enfants d’âge scolaire et des adolescents. Le diagnostic d’hyperactivité et d’inattention survient habituellement durant les années d’école.

Cette corrélation nous indique malgré tout que les enfants qui ne dorment pas assez sont plus à risque de développer des troubles de comportement.

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Les traumatismes de l’enfance ont d’importantes conséquences

Une nouvelle étude américaine fait état de répercussions de traumatismes subis par les enfants. Ce que l’on constate devrait pousser les médecins à considérer le stress post-traumatique comme un mal tout aussi envahissant que le trouble déficitaire de l’attention.

C’est qu’un lien clair a été relevé entre un traumatisme et les risques de problèmes de comportement et d’apprentissage chez les enfants. De plus, ceux qui vivent une telle situation seraient plus exposés à souffrir d’obésité.
 
Les résultats parus dans Child Abuse & Neglect lèvent donc le voile, encore une fois, sur les problèmes de santé mentale pouvant découler de traumatismes infantiles.
 
Précisément, les enfants ayant vécu un traumatisme (dans cette recherche, quatre types d’événement) auraient 30 fois plus de risques d’avoir des problèmes de comportement ou d’apprentissage que les autres.

On conclut donc que l’évaluation de traumatismes devrait être faite systématiquement lors d’une visite médicale.

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L’allaitement pour un bon comportement?

Allaiter votre bébé pourrait non seulement vous protéger tous deux de maladies, cela pourrait même prévenir les problèmes de comportement, lisons-nous sur Medical News Today.

Plusieurs spécialistes approuvent ce lien. Une équipe de l’Université d’Oxford aurait donc démontré que les bébés allaités seraient moins enclins à développer des problèmes de comportement que ceux nourris au lait maternisé.
 
Semble-t-il que l’allaitement inculquerait des modèles comportementaux que l’enfant suivrait toujours, une fois plus vieux. Ces constatations ont été faites à la suite de l’analyse d’un sondage effectué auprès de 9 500 mères et leur bébé. L’enquête en question s’était tenue en 2000 et 2001.
 
Les participantes devaient faire état de problèmes vécus avec leur enfant. Des résultats anormaux étaient moins fréquents chez les enfants qui avaient été allaités au moins 4 mois, soit dans une mesure de 6 %.

À l’opposé, des problèmes de comportement ont été relevés dans une proportion de 16 % chez ceux qui avaient été nourris au lait maternisé.

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Stress et grossesse : répercussions comportementales

Une étude australienne parue dans Research Australia met en garde contre le stress que pourrait vivre la future maman.

À la suite de cette étude longitudinale ayant porté sur près de 3 000 femmes enceintes, les chercheurs ont remarqué une forte corrélation entre le stress et les problèmes comportementaux.

Ces problèmes ont été relevés auprès des enfants nés de cette cohorte, une fois qu’ils ont eu 2, 5, 8, 10 et 14 ans. Il semble que le nombre d’événements stressants pèse plus lourd dans la balance que le type de stress vécu en tant que tel.
 
Ainsi, vivre deux événements stressants ou moins n’aurait aucun impact, mais au-delà de trois, les risques que l’enfant ait un comportement difficile augmentent.

Les types de stress que peut vivre une femme enceinte ont ici été reconnus comme une perte d’emploi, des difficultés relationnelles ou financières, des problèmes avec ses autres enfants, une grossesse compliquée ou la mort d’un proche, entre autres.