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Les défis sociaux des enfants obèses

Une récente étude parue dans Pediatrics soutient que les enfants obèses sont plus enclins à vivre des problèmes sociaux et à faire face à des enjeux émotionnels. Des chercheurs australiens ont suivi des enfants à l’âge de quatre et cinq ans, puis quelques années plus tard, pour en venir à ce constat.

Le poids et la taille des participants étaient mesurés, puis leurs parents et enseignants devaient répondre à des questionnaires, lesquels rendaient compte de la santé mentale et de la qualité de vie subséquente de chaque enfant.

Ainsi, les enfants qui ont déjà un surpoids ou sont obèses dès l’âge de 4 ou 5 ans sont 15 à 20 % plus enclins à vivre des problèmes avec leurs semblables à l’âge de 8 et 9 ans. L’obésité peut devenir une cause majeure du malheur d’un enfant, et ce, sûrement parce qu’il devient la cible de railleries ou qu’il est socialement ostracisé, selon cette recherche.

Alors que jusqu’ici, plusieurs études sur le sujet avaient porté sur les problèmes émotionnels, comportementaux et de santé mentale des jeunes obèses, celle-ci s’est penchée sur l’obésité comme élément déclencheur de ces derniers.

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Les problèmes sociaux, à cause du visage?

Une récente expérimentation a démontré que les enfants qui étaient très anxieux socialement n’arrivaient pas, en fait, à interpréter correctement l’expression du visage des autres.

Ils mélangeraient les airs agressifs avec les airs tristes. Cela peut mener à une vie très pénible, car le visage de ceux qui nous entourent est notre premier contact avec la réalité.
 
Les résultats de recherche de l’Université d’Emory démontrent que le déchiffrement de la communication non verbale est réellement une aptitude. La prochaine étape serait donc de pouvoir mesurer les déficits et d’y remédier.
 
Déjà, on a pu prouver, au cours des dernières années, qu’un enseignement ciblé pouvait améliorer les aptitudes liées à la communication verbale chez des enfants atteints de problèmes de comportement, incluant ceux de l’autisme.

Quant à la présente étude, elle a été publiée dans le Journal of Genetic Psychology.