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Parents alcooliques : la santé mentale des enfants atteinte

L’étude Bottling It Up: The Next Generation, réalisée en Ukraine au cours de la dernière année, a démontré que dans ce pays, plus de 12 000 personnes avaient joint des groupes d’aide et que 2,6 millions d’enfants vivaient avec au moins un parent alcoolique.

La santé mentale de ces jeunes peut être affectée par l’alcoolisme parental, se traduisant par des désordres alimentaires, la dépression et même le développement d’une psychose à l’âge adulte.

Ces enfants seraient également portés à expérimenter les mondes de l’alcool et des drogues plus tôt que les autres.

En effet, sur 1000 parents alcooliques, 52 % autorisent leurs enfants à consommer. Soixante-dix-sept pour cent d’entre eux donnent le feu vert avant que l’adolescent ait 16 ans, et 6 % ne disent rien lorsque leurs enfants boivent avant l’âge de 10 ans.

Seuls 28 % de ces adultes sont conscients que leur problème d’alcool fait manquer des cours ou nuit à la concentration de leurs bambins en classe.

La moyenne de consommation quotidienne était de 10 fois la limite permise, soit l’équivalent de trois bouteilles de vin ou 15 chopines de bière.

Près de la moitié des gens qui ont rejoint des groupes d’aide sont des mères qui ont trois enfants ou plus et qui craquent à l’idée d’être des « supermamans ».

Pour déconnecter, sauver les apparences et tenter d’être toujours à la hauteur, la plupart des femmes boivent en cachette, le soir, lorsque les enfants sont au lit. Certaines vont même jusqu’à prendre de la vodka pour éviter l’odeur trop forte d’autres boissons.

Certaines disent que le manque de soutien de leur conjoint les pousse à sombrer dans l’alcool.

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Les petits garçons n’aiment pas parler

On a longtemps cru que les garçons (et les hommes, par le fait même) n’étaient pas enclins à parler de leurs problèmes et de leurs émotions parce qu’ils craignaient de paraître faibles ou d’en être embarrassés.

Or, une récente étude menée par l’Université du Missouri indique qu’il ne s’agit pas de la bonne raison. Oui, les garçons semblent moins vouloir partager ce qu’ils vivent que les filles. Toutefois, ils agissent par manque d’intérêt, non par peur.

C’est ce que l’on a constaté après avoir questionné et observé près de 2 000 enfants et adolescents. Les garçons ne souhaitent pas parler d’eux aux autres parce que cela les fait sentir « bizarres » et qu’il s’agit d’une « perte de temps ».

Quant aux filles, elles ont des attentes positives, lesquelles consistent entre autres à se sentir comprises et moins seules. Ajoutons que les garçons n’ont pas plus fait mention de sentiments négatifs que les filles quant à partager leurs émotions.

On suggère aux parents d’encourager ce réflexe, d’autant plus chez leur fils. Il faut, selon les chercheurs, prendre le temps d’expliquer que parler de ce que l’on ressent n’est pas une perte de temps.

Les résultats de cette recherche sont attendus dans la prochaine édition de Child Development. Ses premiers éléments sont maintenant affichés sur le site de l’université.

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Moins de glucides pour combattre l’acné

Un régime alimentaire pauvre en glucides ne va pas seulement vous aider à perdre du poids. Selon WebMD News, ce type d’alimentation peut également aider à contrôler les problèmes de peau comme l’acné.

 

Souvent, les personnes qui souffrent d’acné ont un excès d’insuline dans leur sang. En consommant moins de glucides, cela aiderait à garder un meilleur contrôle du taux d’insuline, par conséquent à traiter l’acné.

 

Ainsi, il serait préférable d’éviter des aliments tels que le riz blanc, les friandises ou les pains blancs. Privilégiez plutôt les produits frais comme les fruits et légumes et les viandes.

 

Il existe de nombreux produits cosmétiques pour vous aider à vaincre vos problèmes de peau, mais dans les cas plus persistants, il est recommandé de consulter un dermatologue qui pourra prescrire des produits un peu plus concentrés pour finalement mettre fin au problème.

 

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Les effets négatifs du 3D

Plusieurs cinéphiles se plaignent encore de vertiges lorsqu’ils regardent un film en 3D. Certaines personnes ne s’y habituent pas et les lunettes spéciales seraient en cause.
 
Toutefois, voir un film en 3D permettrait de savoir si vos yeux sont sains. En effet, si vous vous sentez étourdi après le visionnement, cela pourrait être un signe que vos yeux sont endommagés, rapporte le Health Day.
 
Selon l’Association américaine d’optométrie, les personnes qui ne supportent pas le 3D ressentent des nausées, des étourdissements, des maux de tête ou encore ont une vision trouble. La plupart du temps, c’est que leurs yeux n’arrivent pas à combiner les ombres.
 
Si vous avez du mal à regarder un film en 3D, il pourrait être judicieux de consulter un professionnel de la vue afin de vous assurer que vous n’avez pas de problèmes graves
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Une petite taille favorise les problèmes cardiaques

Des chercheurs finlandais ont découvert que la taille était liée à la santé cardiaque, toutefois, ils ne peuvent pas expliquer parfaitement ce phénomène.
 
Selon l’European Heart Journal, ils ont analysé 52 études consacrées à la condition cardiaque, totalisant donc trois millions de personnes.
 
Ainsi, pour les hommes, il est préférable de mesurer plus de 5 pieds et 4 pouces et pour les femmes plus de 5 pieds pour avoir une bonne santé cardiaque.
 
Les chercheurs de l’Université de Tampere soutiennent que les adultes de petite taille ont 1,5 fois plus de risques de développer ou de mourir de maladies cardiaques comparativement aux personnes plus grandes.
 
On émet l’hypothèse que de petits vaisseaux sanguins peuvent se bloquer plus rapidement et plus facilement. Selon l’auteure principale de l’étude, la Dre Tuula Paajanen, les petits ne devraient pas s’inquiéter, mais plutôt modifier ce qu’ils peuvent changer. « La taille n’est qu’un des facteurs qui peuvent contribuer au risque de maladies cardiaques. Si les gens n’ont aucun pouvoir sur leur taille, ils peuvent cependant contrôler leur poids, leurs habitudes de vie comme l’alcool, la cigarette et l’exercice. Tous ces éléments influent aussi sur les risques », explique-t-elle.
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Les couples de lesbiennes ont des enfants mieux adaptés

La revue spécialisée Pediatrics rapporte une étude qui démontre que les couples de lesbiennes ont des enfants mieux adaptés et moins susceptibles d’avoir des problèmes de comportement que les autres.
 
L’étude a été réalisée pendant plusieurs années sur 78 couples de lesbiennes dont les enfants étaient nés grâce au don de sperme. Les mères ont été interrogées lors de leur grossesse et ensuite lorsque leur enfant avait 2, 5, 10 et 17 ans.
 
Les réponses ont été comparées à celles de couples hétérosexuels.
 
Les enfants élevés par deux femmes obtenaient de meilleurs résultats scolaires, avait une meilleure compétence sociale, moins de problèmes de comportements et étaient moins agressifs.
 
Bien souvent dans ces couples, les femmes ont vécu la maternité à un âge plus avancé. Elles étaient donc plus matures et plus en mesure de prodiguer de meilleurs soins à leurs enfants et d’être souvent plus présentes également, rapportent les chercheurs.
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Les enfants adoptés auraient plus de problèmes émotifs

Le Journal of the American Medical Association rapporte que les enfants adoptés seraient plus fragiles psychologiquement.
 
Selon une étude américaine, les enfants adoptés ont plus de chances de souffrir de troubles de comportement, d’anxiété et de dépression.
 
Ces enfants auraient deux fois plus de chances de consulter un psychologue éventuellement.
 
« Les parents adoptifs consultent plus les psychologues pour leurs enfants, car ils sont probablement plus à l’écoute que les autres. Il est cependant vrai qu’il ne faut pas sous-estimer le traumatisme de la séparation initiale avec la mère biologique ni oublier de prendre en compte toute la période où le bébé aura été pris en charge dans un orphelinat ou une collectivité », nuance le professeur Moro qui est également le directeur du service de pédopsychiatrie de l’hôpital Avicenne de Bobigny, près de Paris.
 
En plus, dans les années suivantes, les enfants adoptés peuvent se sentir exclus des autres enfants en raison de leurs différences, notamment la couleur de leur peau ou encore la texture de leurs cheveux. Voilà donc des facteurs qui les fragilisent encore davantage.
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Un nouveau responsable de l’obésité

Le manque de sommeil favoriserait l’obésité. Toutefois, c’est un cercle vicieux puisqu’avec l’obésité viennent des problèmes de sommeil.
 
De plus en plus de chercheurs s’intéressent au phénomène. Le manque de sommeil serait un nouveau responsable dans le fléau de l’obésité.
 
Une trentaine d’études à travers le monde démontrent qu’il existe un lien entre un temps de sommeil trop court et un indice de masse corporelle élevé.
 
Selon TopSanté, le manque de sommeil agirait sur deux hormones qui régissent notre comportement alimentaire. Ainsi, notre sensation de satiété est diminuée et notre appétit est augmenté.
 
De plus, les chercheurs constatent que plus les gens ont du mal à dormir, plus ils réduisent leurs activités physiques, car ils manquent d’énergie. Tout pour favoriser la prise de poids.
 
Le problème est que l’obésité cause des problèmes respiratoires qui peuvent occasionner à certaines personnes de la difficulté à dormir normalement. L’apnée du sommeil est sans doute le problème le plus fréquent avec la prise de poids. C’est donc un cercle vicieux sur lequel les spécialistes se penchent en ce moment.
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Faire face aux caprices de la peau durant la grossesse

Une grossesse provoque un changement hormonal important chez une femme. Elle suscite aussi souvent des nausées, de la fatigue, des douleurs diverses et, comme si ce n’était pas assez, la peau devient particulièrement capricieuse.
 
Selon Mère et Cie, il existe des solutions simples pour aider à passer à travers ces petits inconvénients en attendant bébé.
 
Durant la grossesse, la peau devient sèche, plus sensible et même intolérante à vos produits habituels. Choisissez des produits doux, hydratez votre peau matin et soir, faites un masque hydratant une ou deux fois par semaine et surtout, buvez beaucoup.
 
Pour certaines femmes, une poussée d’acné apparaîtra et persistera parfois jusqu’à l’accouchement, mais se résorbera ensuite. Si cela vous incommode trop, il est préférable de consulter un dermatologue qui pourra prescrire un traitement adapté aux femmes enceintes.
 
Pour ce qui est du « masque de grossesse », il peut aussi être recommandé de consulter votre médecin. Ce masque se caractérise par l’apparition de taches brunes sur les joues, le front, le nez et la lèvre supérieure. Habituellement, il disparaît dans les six mois suivant l’accouchement. Ce sont surtout les peaux plus foncées qui sont sujettes à cette hyperpigmentation.
 
Une grossesse peut aussi être synonyme d’excroissances de chair, sous les seins, dans le cou ou sous les aisselles. Totalement inoffensives, certaines disparaîtront d’elles-mêmes. Sinon, avant une grossesse ou après l’accouchement, un dermatologue peut les enlever avec de l’azote liquide.
 
Finalement, il est également possible de noter une perte de cheveux plus importante après l’accouchement. Ce problème devrait se régler dans les six mois après la naissance de bébé. Pour minimiser les pertes de cheveux, vous pouvez utiliser un shampoing doux à usage fréquent durant la grossesse.
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Le bisphénol A dangereux pour les femmes enceintes

Le Centre hospitalier universitaire de Sherbrooke, au Québec, a démontré que le bisphénol A (BPA) compromettait la santé du placenta chez les femmes enceintes.

Le bisphénol A est un composé chimique utilisé pour fabriquer des biberons, des conserves, des cannettes et des bouteilles de sport.

Pour l’étude, on a ajouté une infime quantité de BPA à des cellules de placenta, soit le centième de ce que l’on retrouve dans le sang des femmes enceintes. On a constaté que le BPA perturbe l’activité normale du placenta qui est essentielle au fœtus. Les cellules saines meurent ou s’enflamment, ce qui augmente les risques de fausse-couche ou de naissance prématurée.

En octobre 2008, le Canada a été le premier pays à ajouter le bisphénol A à la liste des substances dangereuses. Depuis, aucun biberon ou sucette ne peut en contenir. Les chercheurs recommandent toutefois d’éliminer tout BPA dans les produits.

Il a été démontré que ce composant affecte aussi la fonction intestinale, est lié à l’apparition de certaines maladies cardiovasculaires, du diabète, du cancer du sein et de la prostate, en plus d’être un facteur d’obésité.