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Le « gène de jouvence » pourrait accélérer le processus de guérison

Le Daily Mail (UK) rapporte une découverte effectuée par des chercheurs de la prestigieuse Université Harvard, et qui pourrait s’avérer le premier pas vers une véritable révolution en matière de santé.

Les chercheurs en tête de l’étude, d’ailleurs publiée dans le journal scientifique Cell, annoncent qu’ils sont parvenus à identifier le « gène de jouvence », le Lin28a, qui permet de régénérer les cellules et les tissus plus rapidement, à l’image de certains jeunes animaux.

C’est d’ailleurs en se basant sur les capacités de régénération accrue de certains jeunes mammifères que les chercheurs de Harvard ont cherché à savoir si la propriété génétique en question pouvait être identifiée et reproduite.

Il semble que oui, avec l’annonce de la découverte du gène Lin28a, hautement actif chez les bébés qui ne sont pas encore nés, et qui s’amenuise rapidement avec l’âge.

« Pourquoi certains animaux peuvent régénérer complètement leurs organes alors que d’autres ne peuvent pas est l’un des plus anciens mystères de la biologie. Nos recherches soutiennent l’idée que le système de récupération des tissus chez les mammifères peut être grandement amélioré en réactivant les gènes observables chez les plus jeunes », explique George Daley, impliqué dans ces travaux d’avant-garde.

On croit maintenant être possiblement en mesure de créer un médicament qui permettrait une meilleure capacité de guérison et de réparation des tissus chez l’homme.

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Le rôle de la sérotonine dans la perte de poids

La sérotonine et son impact sur la perte de poids éventuelle d’un individu intéresse de plus en plus les chercheurs, rapporte Top Santé, alors que deux spécialistes américains publient une étude qui affirme que la sérotonine permet d’accélérer le processus de perte de poids.

Cette recherche se base initialement sur des analyses effectuées sur un ver, le C. elegans, qui semble perdre du poids tout en conservant le même rythme de consommation de nourriture.

Perdre du poids sans cesser de manger ou diminuer l’apport calorique, donc?

Oui, expliquent les deux chercheurs californiens, à condition que deux éléments actifs soient réunis, à commencer par la sérotonine. Le deuxième élément est l’adrénaline, qui permettrait de maximiser les effets de perte de poids causés par la sérotonine, initialement.

« Lorsqu’on active la perte de poids en donnant juste de la sérotonine, c’est mieux qu’un composant équivalant à l’adrénaline soit présent. Si vous enlevez l’adrénaline, la sérotonine reste active, mais l’efficacité est grandement réduite. Ces deux neurotransmetteurs ont besoin l’un de l’autre », résume la Dre Supriya Srinivasan, qui publie sa recherche dans la plus récente édition du magazine Cell.

Srinivasan et ses collègues croient maintenant que le procédé pourrait être recréé chez l’homme, pavant ainsi la voie à des traitements efficaces contre la prise de poids et l’obésité.