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L’infertilité encore en hausse

Aujourd’hui, rapporte La Presse, 12 à 16 % des couples n’arrivent pas à avoir d’enfants. Ce qui est malheureux, c’est qu’il existe de fausses perceptions sur les méthodes « assistées » pour avoir un bébé.

Audrey L’Espérance est chercheuse postdoctorale à l’Université de Toronto et affirme que le succès n’est pas aussi élevé qu’on peut le croire.

Les cliniques de fertilité comme Procréa entretiennent le conte de fées. Le taux de réussite des grossesses de 73 à 83 % est erroné. Il ne s’agit pas de bébés, mais bien de résultats d’échographie à 6 semaines de grossesse.

Les données réelles, cumulées auprès de 31 cliniques au pays (sur un total de 32), démontrent qu’un tiers des couples ou femmes qui essaient se retrouvent face à l’échec.

Quant à l’adoption, sa proportion est minime chez les couples infertiles. Au Québec, par exemple, on parle d’à peine 500 enfants adoptés en 1 an pour 17 500 femmes qui ont eu recours à la procréation assistée pour la même période.

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Le stress s’avère l’ennemi de la fertilité

Le stress est une porte ouverte sur de nombreux ennuis de santé, qu’ils soient physiques ou psychologiques. Plusieurs études démontrent les impacts du stress sur la santé, qui peut même influencer la longévité d’un individu.

Une nouvelle étude américaine trace cette fois un parallèle entre le stress et l’infertilité, rapporte Santé Log, et semble confirmer la théorie précédemment avancée par une étude en provenance du Royaume-Uni.

L’étude de l’Université d’Ohio State analysait en effet un groupe de femmes afin de vérifier la corrélation possible, et a estimé à 29 % la réduction des chances d’une femme de tomber enceinte lorsque celle-ci présente des marqueurs biologiques de stress importants.

Les spécialistes croient donc que malgré la pression et le stress qui surgissent souvent lors de périodes de vaines tentatives de procréation, les couples ne doivent pas céder à la panique ou à l’angoisse, et s’assurer de demeurer étroitement liés.

Les conclusions complètes de l’étude américaine sur le stress et l’infertilité ont été publiées dans le magazine Human Reproduction.

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5 millions d’enfants par procréation médicalement assistée

Cependant, la moitié de ces enfants, soit 2,5 millions, ont été conçus dans les 6 dernières années. Ces données proviennent de l’International Committee for the Monitoring of Assisted Reproductive Technologie (ICMART), représentant plus de 50 organismes de fertilité.

Dans un communiqué de presse, Richard Kennedy, membre du conseil de l’Internal Federation of Fertility Societies (IFFS) a déclaré être fier de ce succès médical. « Le nombre de bébés qui sont nés à l’aide de la procréation assistée représente la population du Colorado ou d’un pays comme le Liban ou l’Irlande. C’est un grand succès médical. »

Selon Scienceworldreport, Louise Brown, née en 1978 au Royaume-Uni, a été le premier bébé conçu à l’aide de l’assistance médicale à la procréation (AMP).

En 1990, déjà 90 000 naissances par AMP étaient répertoriées. Le chiffre a grimpé à 2,5 millions en 2007.

Bien que la percée médicale soit extraordinaire pour les gens qui souhaitent avoir une famille, mais n’en ont pas la possibilité, une problématique sous-jacente mérite un questionnement. Si le taux de naissances in vitro grimpe en flèche, cela signifie en contrepartie que la capacité reproductive de l’adulte moyen s’amenuise.

Bientôt, payer de 12 000 $ à 17 000 $ pour chaque essai in vitro deviendra-t-il la norme?

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L’alimentation au service de la procréation chez l’homme

Voici une étude qui s’adresse aux hommes, et plus particulièrement à ceux qui sont concernés par la question de la paternité.

Selon le Daily Mail (UK), bien manger n’aurait pas qu’une incidence sur la bonne santé, mais aussi sur la capacité à procréer chez l’homme.

En effet, selon cette plus récente étude californienne sur le sujet, les hommes qui mangent mieux que la moyenne ou qui décident de changer leur alimentation en prenant de l’âge ont plus de chances de conserver leur capacité à se reproduire.

On vante particulièrement les noix, les fruits et légumes, et les poissons, notamment, qui procurent de forts apports en vitamines C et E, ainsi qu’en zinc.

Les spécialistes, dirigés par le professeur Simon Fishel, croient que les hommes qui ont du mal à réaliser leur rêve de faire un enfant devraient d’abord se tourner vers leur alimentation.

« Ce que l’on mange peut avoir une incidence positive ou dommageable. Les composantes associées à l’œstrogène qui passent dans la chaîne alimentaire, par exemple par la viande, peuvent avoir un effet dommageable sur le développement du sperme », résume le professeur Fishel.

i une étude qui s’adresse aux hommes, et plus particulièrement à ceux qui sont concernés par la question de la paternité.

Selon le Daily Mail (UK), bien manger n’aurait pas qu’une incidence sur la bonne santé, mais aussi sur la capacité à procréer chez l’homme.

En effet, selon cette plus récente étude californienne sur le sujet, les hommes qui mangent mieux que la moyenne ou qui décident de changer leur alimentation en prenant de l’âge ont plus de chances de conserver leur capacité à se reproduire.

On vante particulièrement les noix, les fruits et légumes, et les poissons, notamment, qui procurent de forts apports en vitamines C et E, ainsi qu’en zinc.

Les spécialistes, dirigés par le professeur Simon Fishel, croient que les hommes qui ont du mal à réaliser leur rêve de faire un enfant devraient d’abord se tourner vers leur alimentation.

« Ce que l’on mange peut avoir une incidence positive ou dommageable. Les composantes associées à l’œstrogène qui passent dans la chaîne alimentaire, par exemple par la viande, peuvent avoir un effet dommageable sur le développement du sperme », résume le professeur Fishel.

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net

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La personnalité directement liée au succès social

Des études effectuées sur des humains ainsi que sur des babouins démontrent clairement que le succès social découle de la personnalité de chaque individu… ou singe, selon ce que rapporte Radio-Canada.

De plus, il semble que des effets de longévité et une meilleure santé peuvent être observés chez ceux qui entretiennent des amitiés ou un réseau social actif.

Robert Seyfarth et Dorothy Cheney, respectivement psychologue et biologiste, tirent les mêmes conclusions des études proposées. D’abord, certains singes se font des amis plus facilement, ce qui augmente leurs chances de se reproduire. C’est le même phénomène chez les humains.

Pour en arriver à des résultats clairs, les chercheurs ont étudié les liens génétiques et sociaux d’un groupe de babouins de la réserve Moremi Game, au Botswana.

Il ressort de cette étude que le succès reproductif n’est pas tant lié à la domination, au fait d’être chef de son groupe social, mais plutôt à celui de parvenir à conserver les liens créés avec les autres.

Et tout cela, en fin de compte, découle du type de personnalité de l’individu. On note des femelles babouins très solitaires, mais se reproduisant beaucoup, alors que d’autres sont constamment entourées de leurs pairs, sans toutefois avoir de progéniture.

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Découverte majeure en fertilité

À la suite de 30 ans de recherche, des chercheurs viennent de présenter une grande découverte dans le domaine de la procréation. Ils ont démontré comment l’ovule et le spermatozoïde pouvaient s’attirer et se joindre.

Cette attraction n’avait pas encore été expliquée, ce qui constituait un blocage pour les couples infertiles. Or, ce lien entre l’ovule et le spermatozoïde serait possible grâce à une simple molécule.

L’ovule deviendrait collant à cause de cette molécule de sucre, d’où sa jonction avec un gamète. Les résultats complets de cette découverte sont présentés dans la revue Science.

Les possibilités qui suivront cette nouvelle explication scientifique sont évidemment nombreuses. Bien sûr, beaucoup d’espoir naît quant aux traitements de l’infertilité et de la fécondité limitée. On pense aussi à d’autres avenues en ce qui a trait à la contraception.