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Les jus de fruits et les probiotiques seraient un match parfait

Les probiotiques ont pris le monde de l’alimentation et nos assiettes d’assaut au cours des deux dernières années, devenant une tendance incontournable en nutrition.

Il faut dire que les troubles de santé bénéficiant des vertus des probiotiques, comme les problèmes digestifs, sont en hausse en Amérique du Nord, selon les statistiques.

Les probiotiques nous sont souvent offerts au sein de produits laitiers comme les yogourts ou les laits enrichis, mais une nouvelle combinaison pourrait s’avérer le match parfait, selon MedicalNewsToday.

Selon une étude de l’Institute of Food Technologists (IFT), initialement publiée dans le Journal of Food Science, ce sont les jus de fruits qui seraient les meilleurs « véhicules » pour les probiotiques et qui permettraient de conserver massivement les effets bénéfiques de ceux-ci.

Non seulement l’ajout de probiotiques à certains jus de fruits permettrait un effet maximal, mais deux autres avantages majeurs seraient alors vérifiables.

D’abord, cela inciterait probablement une plus grande proportion de la population à consommer des jus de fruits (un avantage tant que ceux-ci en soient de vrais, et non des produits concentrés).

De plus, la manœuvre permettrait aux gens qui souffrent d’intolérance au lactose et aux produits laitiers, un phénomène également en hausse, de profiter des vertus des probiotiques.

Les jus de fruits véritables sont déjà reconnus pour leurs apports en vitamines, en antioxydants, en minéraux et en fibres.

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Agropur rappelle certains de ses produits Québon

Radio-Canada rapporte un important rappel de produits Québon, à savoir des laits et laits au chocolat, en provenance de Montréal.

Les produits visés sont ceux affichant les dates d’expiration du 1er, 2 et 3 novembre, et Agropur demande aux consommateurs d’être vigilants.

La compagnie lance cet avertissement en indiquant que les contenants de lait et de lait au chocolat visés n’auraient pas respecté les normes de qualité d’Agropur, sans toutefois en révéler davantage.

Quelques plaintes de la part de consommateurs ont été rapportées, mais on ne signale aucun problème de santé grave lié à la consommation de lait Québon jusqu’à maintenant.

La prudence est toutefois de mise, et l’entreprise invite les personnes ayant acheté ces produits à se présenter chez les détaillants pour se faire rembourser.

Voici la liste exhaustive des produits visés par le rappel :

– Lait blanc : cartons de 150 ml, 200 ml, 473 ml, 1 litre et 2 litres, et sachets de 4 litres, 10 litres, 20 litres, écrémé, 1 %, 2 %, 3,25 %.

– Lait au chocolat : cartons de 200 ml et 473 ml

– Lait blanc et chocolat : plastique de 473 ml et 2 litres, écrémé, 1 %, 2 %, 3,25 %.

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Une étude se porte à la défense du fromage

Il semble qu’il existe des courants et des modes en nutrition, alors que certains aliments se voient subitement massivement mis en relief dans des campagnes de promotion agressives, et que d’autres se voient ostracisés, devenant soudainement des ennemis de la santé.

Ce fut le cas du café, à une certaine époque, avant que celui-ci retrouve ses lettres de noblesse au fil des deux dernières années. On peut également penser au vin et à la bière, aux suppléments de vitamine et aux œufs, qui sont passés d’une catégorie à l’autre en l’espace de quelques modes.

L’un des plus récents et probants exemples de ce mouvement d’opinion est sans aucun doute celui du fromage, qui fut depuis des décennies un allié puissant de la santé, avant que l’on décide qu’il était « trop gras » et « dangereux pour le cœur ».

Or, Top Santé rapporte une nouvelle étude sur le sujet, qui invalide partiellement ces théories. La recherche, effectuée par le cardiologue Aseem Malhotra et publiée dans le British Medical Journal, conclut que les dangers du fromage et du beurre qui sont véhiculés en ce moment ne sont qu’une infime partie du tableau global.

« Paradoxalement, en cessant de consommer du beurre et du fromage, nous avons pris des risques cardiovasculaires, car les produits laitiers riches en graisses saturées sont également riches en vitamine A, en vitamine D, en calcium et en phosphore, dont notre corps a besoin pour bien fonctionner. Mais les consommateurs doivent faire la différence entre les graisses saturées et les gras trans que l’on trouve souvent dans les produits tout préparés, les plats industriels et la malbouffe », écrit le Dr Malhotra dans une analyse qui se veut on ne peut plus claire.

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Des pépites de poulet qui créent l’illusion

Les chaînes de restauration rapide sont devenues l’ennemi à abattre en santé de nos jours, et malgré des campagnes de prévention et une meilleure information, le public continue toujours d’affluer dans les différentes succursales de ces restaurants à travers le monde.

Les comportements changent, cependant, puisque plusieurs tentent de faire des choix éclairés au sein même de ces franchises de fast-food, un effort qui s’avère toutefois le plus souvent vain.

Une tendance remarquée est celle de se tourner vers les produits au poulet plutôt que ceux au bœuf, mais cette manœuvre ne s’avère pas aussi profitable qu’on pourrait le croire, selon le chercheur américain Richard deShazo.

Selon les analyses effectuées sur certains produits au poulet, les pépites dans ce cas-ci, vendus dans deux des plus grandes chaînes de restauration rapide au monde, deSHazo conclut que celles-ci contiennent plus de gras que de poulet, et qu’il s’agit d’un choix désastreux pour la santé, rapporte Top Santé.

La plupart de ces pépites créeraient plutôt une « illusion de poulet », comme le mentionne le chercheur, et seraient composées véritablement d’à peine 40 % de viande.

« Nous savons tous que la viande de poulet est une très bonne source de protéines maigres, c’est la raison pour laquelle nous encourageons nos patients à en manger. Mais certains industriels choisissent d’utiliser une mixture à base de poulet plutôt que de la viande maigre. Ils la mélangent, la font frire et continuent à l’appeler poulet », lance deShazo, en guise d’avertissement.

Aux amateurs de pépites de poulet et de produits de la volaille, le chercheur conseille vivement de les préparer soi-même.

Les analyses et conclusions tirées de l’étude de Richard deShazo ont été publiées dans la plus récente édition de The American Journal of Medicine.

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Mercure : manger du poisson serait moins dangereux que prévu

De nouvelles recherches sur les taux de mercure retrouvés dans les différents poissons consommés par la population en général tendent à démontrer que la situation pourrait être moins dramatique et inquiétante que prévu, selon MedicalNewsToday.

Particulièrement en ce qui concerne les femmes enceintes, principalement visées par les avis de prévention en matière de mercure dans le poisson.

Ces conclusions sont celles d’un groupe d’étude appelé les Children of 90’s, basé à l’Université de Bristol, qui a analysé 103 aliments et boissons couramment consommés par un groupe de près de 5000 femmes durant leur grossesse.

Tous ces produits n’auraient compté que pour 17 % du taux total de mercure dans le corps, ce qui mène l’équipe de spécialistes à croire qu’il faut possiblement revoir les avertissements liés aux poissons et aux produits de la mer.

D’autant plus que ces derniers possèdent plusieurs vertus santé et comprennent de nombreuses vitamines et minéraux essentiels et fort utiles au développement et au maintien de l’organisme.

Plusieurs autres facteurs ont semblé plutôt influencer les taux de mercure observés chez ces femmes, par exemple l’âge, l’environnement et le nombre de grossesses.

D’autres études seront nécessaires afin de valider cette plus récente recherche, publiée dans le magazine Environmental Health Perspectives.

Certaines recherches ont démontré dans le passé que des apports réguliers en poisson dans l’alimentation d’une femme enceinte pourraient influencer positivement le QI de l’enfant à naître.

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La FDA balise la notion de « sans-gluten » pour les consommateurs

La mode est au « sans-gluten » pour les plus branchés en nutrition de ce monde, mais pour certaines personnes, il s’agit d’une absolue nécessité.

On parle bien entendu des gens qui souffrent d’une intolérance au gluten, appelée maladie cœliaque, et qui peuvent subir des conséquences graves à la suite de la consommation de gluten.

Cependant, la notion « sans-gluten » demeure vague et reste propice à l’interprétation.

C’est pourquoi la FDA américaine a décidé de réagir, rapporte le site même de la Food & Drug Administration, au plus grand soulagement des défenseurs des droits de ces personnes, qui risquent leur vie au restaurant et au supermarché.

Désormais, sur le territoire américain, les producteurs, fabricants et commerçants devront atteindre certains standards afin de mériter le droit de publiciser la mention « sans-gluten ».

La barre est donc fixée à 20 ppm, soit « parts par million », un nombre suffisamment bas pour garder les personnes à risque hors de danger, toujours selon la FDA.

« Sans une règlementation adéquate des étiquettes, les patients atteints de la maladie cœliaque ne peuvent savoir ce que “sans-gluten” signifie quand ils le voient inscrit sur une étiquette », résume Allessio Fasano, directeur du Center for Celiac Research.

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La FDA veut implanter de nouvelles règles en matière d’importation alimentaire

La FDA persiste et signe, rapporte Medical News Today, en confirmant son intention d’alourdir les règles en matière d’importation des aliments.

Cela s’inscrit notamment dans la lignée du Food Safety Modernization Act, signé par le président Barack Obama, qui cherche à protéger les consommateurs en alimentation.

Les autorités conjointes avouent souhaiter agir en prévention plutôt que de régler les problèmes lorsqu’ils arrivent, une philosophie toute à leur honneur.

Ainsi, on veut forcer les exportateurs d’aliments et de nourriture à s’assurer eux-mêmes des niveaux de qualité et de sécurité de leurs produits, les mêmes niveaux que ceux imposés aux aliments générés sur le sol américain.

Même chose pour les importateurs locaux, qui auront eux aussi la responsabilité d’inspecter les produits achetés et d’assurer la sécurité des consommateurs américains.

Ces mesures sont saluées quasi unanimement et confirment la volonté du gouvernement à faire des efforts en matière de sécurité alimentaire.

En ce moment, la moitié des fruits et 20 % des légumes seraient des produits importés aux États-Unis.

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Les cigarettes au menthol pourraient bien rendre plus dépendant

C’est toute une conclusion que rapporte Santé Log, alors qu’une nouvelle étude sur la cigarette est publiée, cette fois sur l’impact des cigarettes à saveur de menthe ou menthol.

Des chercheurs de la FDA proposent une vaste recherche sur les cigarettes de ce genre, qui tend à démontrer que ces dernières provoquent une plus grande dépendance chez les fumeurs qui les consomment.

Attention, on ne parle pas ici de degré de dangerosité ou encore de toxicité, mais plutôt d’un plus grand attrait pour le produit et d’une plus grande difficulté à se débarrasser de l’habitude une fois cette dernière bien implantée.

On mentionne et décrie également dans l’étude l’attrait de cette saveur pour les jeunes, public cible non seulement des cigarettiers, mais aussi des campagnes de prévention sur le tabac. On rappelle du même souffle que 88 % des fumeurs adultes ont développé l’habitude avant d’atteindre l’âge de la majorité.

La FDA souhaite donc voir apparaître de nouvelles législations concernant les saveurs ajoutées aux cigarettes et produits du tabac, à commencer par les produits au menthol.

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Les sachets de thé bon marché pourraient être néfastes pour vous

Le Daily Mail (UK) rapporte une étude qui s’est penchée sur le dossier des sachets de thé, plus particulièrement ceux moins dispendieux, en analysant les sachets de marques maison retrouvés dans les divers supermarchés.

Les conclusions peuvent sembler alarmantes pour les consommateurs, qui croient que chaque sachet en vaut probablement un autre.

Les chercheurs Laura Chan, Aradhana Mehra et Paul Lynch, de l’Université de Derby, ont donc procédé à plusieurs tests et en arrivent à la conclusion que plusieurs sachets de thé bon marché contiennent, notamment, trop de fluor.

Le fluor peut s’avérer essentiel pour la santé des dents et des os, mais une trop grande quantité (soit 4 milligrammes par jour) peut occasionner des douleurs, des problèmes musculaires et des maladies dentaires, ironiquement.

Plusieurs marques ont été montrées du doigt, et les chercheurs tiennent maintenant à ce que les taux de fluor soient toujours inscrits sur chaque emballage.

D’ici là, malheureusement, on suggère de se tourner vers des compagnies productrices de sachets de thé reconnues, malgré le prix parfois plus élevé.

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Le traitement de l’allergie aux produits laitiers pas encore au point

Il existe un traitement contre l’allergie aux produits laitiers, qui frappe beaucoup de gens et notamment des jeunes, mais qui semble ne pas encore donner tous les résultats escomptés, explique The National Library of Medicine.

Selon cette nouvelle étude sur le sujet, la thérapie dite « progressive » permet de belles améliorations, en réhabituant le corps avec de petites doses, pour ensuite augmenter celles-ci petit à petit.

Or, si le traitement semble fonctionner pendant un certain temps, les spécialistes avouent avoir du mal à faire durer l’effet sur une très longue période de temps.

Des recherches précédentes prévoyaient un bel avenir à cette façon de faire, mais l’étude à long terme démontre qu’il reste encore beaucoup de travail à faire.

On craint notamment les réactions subites bien longtemps après qu’un adolescent, par exemple, ait été traité.

On veut donc s’assurer de procéder avec précautions pour la sécurité des patients, jeunes et moins jeunes, mais on demeure convaincu, du côté des spécialistes, que le traitement est très prometteur.