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L’exposition du foetus aux produits chimiques augmente les risques d’obésité

En fait, les femmes enceintes qui sont fortement exposées à des produits chimiques communs dans l’environnement, comme les PFC, auraient des bébés plus petits à la naissance et plus gros à 20 mois, selon une étude de la Rollins School of Public Health de l’Emory University. Les experts croient que cette tendance pourrait mener à l’obésité plus tard dans la vie.

Publiée en ligne dans l’Environmental Health Perspectives, l’étude explique que les PFC que l’on retrouve dans divers produits d’emballage, dans les meubles et dans le matériel de cuisine anti-adhésif ont été recensés dans le lait maternel, le sérum humain et le sang du cordon.

Les résultats de l’étude viennent confirmer ce que d’autres recherches sur l’exposition prénatale aux PFC avaient laissé présager.

« Nos découvertes confirment ces études et les preuves émergentes que les produits chimiques dans notre environnement contribuent à l’obésité et au diabète et démontrent que cette trajectoire est établie très tôt dans la vie des gens exposés », dit la scientifique en chef derrière la recherche, Michele Marcus.

Rappelons que les PFC ne constituent pas seulement un danger pour les bébés. Faire cuire la viande rouge dans des poêles à frire anti-adhésives à de hautes températures augmenterait le risque de développer un cancer de la prostate de 40 % chez les hommes.

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Autisme : des produits chimiques en cause?

Dans le but de trouver les causes environnementales possibles d’augmenter les risques d’autisme et autres troubles neurologiques chez les petits, un rapport de chercheurs de la Mount Sinai School of Medicine a été publié dans la revue Environmental Health.

La National Academy of Sciences affirme que 3 % de tous les troubles neurocomportementaux chez les enfants, tels que le trouble du spectre autistique (TSA) et de déficit d’attention avec hyperactivité (TDAH), sont dus à des expositions à des produits toxiques dans l’environnement.

Un autre 25 % serait causé par des interactions entre les facteurs environnementaux et génétiques.

Pour les chercheurs de cette étude, il est clair que le facteur héréditaire demeure l’une des causes principales des troubles neurologiques du développement.

Toutefois, ils croient que les causes environnementales jouent un rôle également, rôle qui pourrait être « potentiellement évitable », disent-ils.

Les 10 premiers produits toxiques montrés du doigt sont le trihydrate d’acétate de plomb, le méthylmercure, les polychlorobiphényles (PCB), les pesticides organophosphorés, les pesticides organochlorés, les perturbateurs endocriniens, les gaz d’échappement des automobiles, les hydrocarbures aromatiques polycycliques, les retardateurs de flamme (brome) et les composés perfluorés.

Mentionnons qu’une autre étude qui se retrouve dans la même édition de la revue a tenté de prouver que le tabagisme durant la grossesse accentuait les risques de syndrome d’Asperger.

Aux États-Unis, de 400 000 à 600 000 enfants sur 4 millions de naissances sont atteints d’un trouble neurocompotemental.

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Moins de sel, pas une si bonne idée

On sait qu’une alimentation riche en sel est néfaste pour la pression sanguine; plusieurs campagnes existantes tentent de faire baisser la consommation en sel de la population. Toutefois, comme on lit dans l’American Journal of Hypertension, la réduction de la teneur en sel n’est pas un si bon gage de santé.

En effet, la réduction du sel dans les aliments est compensée par l’addition de nombreux produits chimiques, lesquels sont mauvais pour le cœur.

Ainsi, après avoir analysé 67 études regroupant 40 000 personnes, il s’est avéré qu’une réduction du sel avait engendré une hausse de 2,5 % du taux de cholestérol et 7 % plus d’un gras pouvant causer des caillots sanguins.

Un changement dans les habitudes alimentaires d’une personne ferait en sorte que les reins libéreraient une plus grande quantité de la protéine rénine et de son hormone, l’aldostérone, ce qui est relié à l’hypertension artérielle.

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Danger : siège d’auto

Selon Le Figaro.fr, il ne serait pas si prudent d’asseoir bébé dans son siège en voiture. Un organisme américain, Ecology Center, soutient qu’environ la moitié des sièges d’auto de ce pays contiendraient des produits chimiques présentant un danger pour la santé.
 
L’organisme en question a réalisé une étude sur 150 sièges avant de présenter cette conclusion. Il soutient aussi que les rayons ultra-violets accéléreraient le processus desdites substances dangereuses.
 
Du brome, du chlore ou des PVC ont été identifiés dans 60 % des sièges d’auto testés. Ces substances font toutes parties des produits cancérigènes reconnus aux États-Unis, pouvant représenter un danger pour le système reproductif et immunitaire. Rappelons que le brome est aussi pointé du doigt pour entraver le bon développement du cerveau.
 
Les bébés se retrouvent donc très exposés à ces substances, étant plus vulnérables parce que leur corps est encore en développement. Ecology Center demande aux entreprises fabriquant les sièges d’auto d’éviter les produits chimiques.
 
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Les meilleures façons d’éviter les intoxications

Cinq gestes simples pourraient éviter que nos enfants soient exposés à des substances chimiques et toxiques dans la vie de tous les jours. Le Partenariat canadien pour la santé des enfants (PCSEE) les décrit sur EurekAlert.

La première des choses à faire est de tenir la maison bien propre, et ce, en passant fréquemment l’aspirateur, en nettoyant les planchers et en époussetant à l’aide d’un linge humide.
 
Ensuite, lorsque l’on nettoie, on privilégie les produits écologiques, comme le vinaigre et le bicarbonate de soude, par exemple.
 
De plus, quand on rénove, on demeure prudent. Les femmes enceintes et les enfants devraient être tenus à l’extérieur de la maison lors de rénovations, leur évitant ainsi l’exposition aux émanations toxiques pouvant venir de la peinture, des calfeutrages ou des colles.
 
En quatrième lieu, on évite le plastique le plus possible, surtout pour le service et la conservation des aliments. Le PCSEE recommande aussi aux parents d’être vigilants quant aux produits que l’on dit sans danger au micro-ondes, car les substances chimiques de ces articles peuvent toujours migrer dans la nourriture.
 
Finalement, quand on cuisine du poisson, on choisit des espèces qui ne contiennent pas beaucoup de mercure, comme le maquereau de l’Atlantique, le hareng, la truite arc-en-ciel, le tilapia ou le saumon sauvage ou en conserve.
 
Pour de plus amples renseignements, on peut consulter le site du Partenariat canadien pour la santé des enfants et l’environnement.
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Le plastique toujours dangereux pour les enfants

Des évaluations de l’Université de Göteborg en Suède révèlent qu’un grand nombre d’objets autour de nous comporteraient un danger pour la santé.

Parmi 13 articles en plastique destinés aux enfants, 5 libéraient des substances toxiques. On comptait parmi eux des jouets pour le bain et des flotteurs.
C’était aussi le cas du tiers des objets testés lors de la même étude, selon Medical News Today.
 
Au total, 83 articles neufs en plastique (PVC ou polyuréthane), en époxy et en tissu synthétique (fibres plastiques) ont été plongés dans l’eau désionisée durant 1 jour. Par la suite, l’eau était analysée.
 
Les polymères de plastique se sont avérés les plus dangereux quant à leur libération de substances chimiques. Il s’agit entre autres de certains PVC, polyuréthanes et polyacrylonitriles.

Ces résultats sont très inquiétants, étant donné que la production de plastique mondiale a doublé au cours des 15 dernières années.

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L’exposition prénatale aux produits chimiques : nouveau constat

Un récent comité des Pediatric Academic Societies a fait état d’un lien inquiétant entre l’exposition aux produits chimiques pendant que le bébé est dans le ventre de sa mère.

Comme nous l’apprenons sur MedPage Today, certains solvants augmenteraient de manière claire les risques de maladie cardiaque congénitale lorsqu’il y a exposition prénatale.
 
Ces produits sont l’éthylbenzène, le benzène, le TCA et le DAC, puis le m-xylène, le p-xylème et l’o-xylène. Une trace de ces produits a été relevée pour 82 % des enfants ayant pris part à l’étude et ayant une maladie cardiaque congénitale.
 
Ces découvertes auront certainement un impact sur la santé publique, car d’autres facteurs auraient de la même façon été démentis.
 
En effet, aucun lien entre une telle maladie et l’alcool, la cigarette, les drogues, l’obésité ou d’autres solvants n’a pu être établi. Plusieurs cas de maladie pourront donc être réexpliqués à la lumière de ces nouveaux résultats.

Toutefois, d’autres recherches subséquentes devront être effectuées, car il ne s’agit ici que d’une première corrélation.

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Les plastiques reliés à une ménopause précoce

Une vaste étude regroupant 26 000 femmes de 18 à 65 ans démontre qu’il existe un lien clair entre le plastique et la ménopause précoce. Pour être plus précis, ce sont des composés chimiques du plastique, les hydrocarbures perfluorés (PFC), qui sont responsables de cette perturbation.
 
Selon le Journal of Clinical Endocrinology & Metabolism, une grande exposition aux PFC mènerait à une ménopause vers l’âge de 42 ans. Selon les observations recueillies durant l’étude, on croit notamment que les femmes conservent un trop haut taux de PFC, car elles ne peuvent plus l’évacuer par leur sang menstruel.
 
Toutefois, les recherches doivent se poursuivre pour confirmer les résultats et connaître la cause exacte de ce lien entre les PCF et une ménopause à un plus jeune âge.
 
Les PFC sont reconnus pour provoquer de nombreux effets indésirables sur l’humain. Ils augmentent notamment les risques cardiovasculaires, en plus d’être à l’origine d’une déficience du système immunitaire.
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Les produits nettoyants des piscines seraient nocifs pour la santé

Bien que la natation soit bénéfique pour garder la forme, nager dans une piscine pourrait également représenter un danger pour la santé.
Selon le journal Environmental Health Persperctives, des chercheurs du Centre de recherches en épidémiologie environnementale et de l’Institut de recherche de l’Hospital del mar ont étudié les liens possibles entre les produits de nettoyage des piscines et les effets provoqués des mutations de l’ADN des nageurs.
 
« Des effets toxiques au niveau génétique ont été observés chez 49 adultes sains ayant nagé 40 minutes dans la piscine couverte traitée au chlore. Une augmentation du niveau de deux marqueurs de toxicité génétique a été relevée chez ces nageurs en relation avec la concentration dans l’air expiré, après exercice, de DBP (produits chimiques dérivés de la désinfection) », expliquent les chercheurs dans un communiqué.
 
Un de ces marqueurs identifiés est lié à un risque accru de cancer.
 
Bien que des études supplémentaires soient nécessaires, on demande une réduction de l’utilisation des produits chimiques dans les piscines. De plus, les nageurs devraient toujours se doucher avant d’aller dans la piscine et idéalement porter un bonnet de bain.
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Les polluants accélèrent la puberté

Le site spécialisé TopSanté rapporte que les produits chimiques polluants accélèrent la puberté chez les jeunes filles. Une situation qui inquiète grandement les médecins.
 
Une étude américaine effectuée avec 1 100 filles de 8 et 9 ans démontre la présence de trois classes de produits chimiques polluants dans leur urine. Ces polluants sont présents dans l’environnement. Il s’agit des phénols, des phtalates et des phytoestrogènes.
 
Ceux-ci demeurent dans l’organisme pendant plusieurs années et y sont stockés dans les tissus adipeux. Cela a pour effet de provoquer un développement très rapide des jeunes filles et une puberté très précoce dès l’âge de huit ans.
 
Les médecins s’inquiètent de cette situation aux conséquences graves, surtout à long terme, car un développement précoce de la poitrine chez les filles signifie également qu’elles s’exposent à un risque accru de cancer du sein, et ce, à un plus jeune âge également.
 
De plus, il a été démontré que les polluants augmentaient les risques de cancers.