Catégories
Uncategorized

Information utile sur les bébés prématurés

Selon Top Santé, dans la dernière décennie, le nombre de naissances prématurées a augmenté de 15 %, ce qui est énorme. Néanmoins, il faut quand même tenir compte du taux de natalité, qui a grimpé lui aussi.

Les facteurs considérés pour la prématurité sont notamment les grossesses tardives et les grossesses multiples, qui semble-t-il sont très élevées. Sans compter que de plus en plus de mères doivent planifier leur accouchement avec le médecin, afin d’éliminer des risques pour elles-mêmes et le bébé.

Dès un accouchement avant la 37e semaine, on parle de bébé prématuré. Ceux qui sont de « grands prématurés » naissent entre la 22e et 32e semaine. Parmi ces derniers, plus de 2000 meurent à la naissance ou peu après en France. Il y a aussi de grands risques de séquelles physiques et mentales.

Il existe désormais une méthode pour diminuer le nombre d’accouchements prématurés, surtout auprès des femmes ayant un historique du genre ou ayant subi une ou plusieurs fausses-couches. On leur administre de la progestérone naturelle entre la 16e et la 34e semaine.

Ce traitement diminue les risques de moitié.

Catégories
Uncategorized

Une hormone ajoutée à l’insu des consommateurs est retrouvée dans le lait

Radio-Canada rapporte des informations concernant le lait et ses produits dérivés qui pourraient inquiéter la population, à la suite du dépôt d’une étude de l’Agence canadienne d’inspection des aliments (ACIA).

Selon l’Agence, on retrouve maintenant de la progestérone dans le lait, le beurre et les autres produits laitiers.

Il s’agit d’une hormone qui permet aux éleveurs de mieux contrôler la reproduction des vaches, en synchronisant le cycle de reproduction de ces bovidés.

En administrant de la progestérone aux bêtes, les agriculteurs peuvent ainsi choisir les moments de procréation, au lieu de laisser le hasard et la nature décider pour eux.

Un comportement qui risque fort d’en inquiéter plusieurs, malgré les conclusions de l’Agence canadienne d’inspection des aliments qui affirment que l’ajout de progestérone n’aura aucune incidence sur la santé des Québécois.

C’est après avoir consulté Santé Canada sur le dossier que les experts de l’ACIA concluent à l’absence de risques pour la population.

Catégories
Uncategorized

Naissances prématurées : la progestérone à la rescousse des mamans

Deux nouvelles recommandations concernant la longueur du col utérin qui devrait être prise en considération pour déterminer le risque d’un accouchement prématuré et l’utilisation de la progestérone ou d’autres traitements pour les femmes jugées à risque ont été établies par la Société de médecine maternelle et foetale (SMFM) et du Collège américain des obstétriciens et gynécologues (ACOG).

Ces nouvelles lignes directrices, publiées dans l’American Journal of Obstetrics and Gynecology, visent à fournir aux cliniciens des recommandations fondées sur des preuves pour identifier et traiter les femmes enceintes qui sont à risque élevé de naissance prématurée.

Selon les spécialistes, le dépistage de la longueur du col utérin des femmes durant la grossesse permettrait de réduire énormément les coûts médicaux, mais surtout de sauver des vies.

Mentionnons que la naissance prématurée est la principale cause de mortalité infantile et de nombreux handicaps sévères. Aux États-Unis, ce sont 12 % des bébés qui naissent trop tôt, et la prématurité coûte annuellement plus de 26,2 milliards de dollars au pays.

Pour les femmes qui ont un col utérin court (moins de 20 mm à 24 semaines) et qui sont plus à risque d’accoucher à l’avance, l’introduction de progestérone par voie vaginale (suppositoire de 90 ou 200 mg) ou musculaire a fait ses preuves en matière d’efficacité.

Bien que le dépistage universel de la longueur du col chez les femmes sans antécédents de naissance prématurée soit encore controversé et ne puisse être encore universellement obligatoire, les analystes croient qu’il serait dorénavant raisonnable pour les praticiens d’envisager individuellement la mise en œuvre d’une stratégie de dépistage, à la suite des recommandations influencées par les données de l’Organisation mondiale de la santé.

Catégories
Uncategorized

Naissances prématurées : un gel vaginal n’est pas la solution

Selon le comité de la FDA Reproductive Health Drugs Advisory, le gel développé par Watson Pharmaceuticals et Columbia Laboratories n’a pas raison d’être commercialisé.

Sachant qu’un col de l’utérus plus court que la normale (≤ 3 cm à 24 semaines de gestation) est un facteur de risque bien connu pour les naissances prématurées, la compagnie pharmaceutique a mentionné que son gel diminuait le taux de raccourcissement du col et qu’il conduisait à une réduction des naissances prématurées.

Cette mention ne se révèle en fait pas totalement vraie. 465 femmes avec un col plus court, provenant de 10 pays différents, ont participé à l’étude.

Près de 9 % des femmes traitées avec le gel avec un taux de progestérone de 8 % ont donné naissance avant 33 semaines de gestation, comparativement à 15,2 % des femmes qui recevaient le placebo.

En ce qui a trait aux effets indésirables, aucune différence n’a été remarquée entre le gel à la progestérone et le placebo.

Le gel à la progestérone n’a donc pas été approuvé dans aucun pays pour la réduction du risque d’accouchement prématuré.

Rappelons que le taux de prématurité aux États-Unis a augmenté depuis 1990; 13 % des naissances sont concernées.

Catégories
Uncategorized

Contrer les nausées naturellement

Bien qu’elles soient normales, les nausées du matin peuvent causer bien des désagréments à la femme enceinte. Parfois, elles perdurent plus de trois mois et entraînent des vomissements durant toute la grossesse.

Ces nausées sont dues à l’estrogène et à la progestérone que produisent les ovaires. Cela engendre une plus grande quantité de cellules gastriques dans l’estomac.
 
Si les médicaments ne vous soulagent pas entièrement, vous pouvez essayer ces quelques trucs offerts par Shine.
 
Tout d’abord, ne vous levez pas d’un bond au matin. Prenez le temps de vous lever tranquillement.
 
De plus, manger avant de vous lever vous aidera beaucoup. Ainsi, gardez du pain ou des craquelins sur votre table de chevet et mangez-en un peu avant de vous lever.
 
Les petits déjeuners au lit sont aussi très conseillés, surtout s’ils contiennent du yogourt ou du fromage cottage.
 
Dans la journée, ne prenez pas de trop gros repas, mais sans laisser votre estomac vide trop long. Prenez donc plusieurs petits repas.

Finalement, ayez toujours de petites menthes sur vous. Elles vous aideront à prévenir vos nausées.

Catégories
Uncategorized

Lien entre la pilule et les problèmes respiratoires

On apprend sur Medical News Today qu’une récente étude norvégienne suggère que la prise de la pilule contraceptive ne serait finalement pas liée à l’apparition de problèmes respiratoires chez l’enfant. 

En 1997, une étude précédente avait noté une augmentation des cas d’asthme chez les enfants nés de mères ayant pris la pilule. D’autres études subséquentes étaient aussi allées dans cette même voie.
 
Toutefois, dans le cadre de la présente recherche de Norvège, on a pu statuer que l’usage d’un contraceptif oral combiné, soit de progestérone et d’œstrogène, avant que la femme tombe enceinte n’entraînait pas de risques de râle ou d’asthme chez l’enfant à naître.
 
C’est que la progestérone est primordiale lors de la grossesse. Chez le fœtus, elle est un élément clé du développement de la respiration ainsi que des capacités immunes.

Ces nouveaux résultats devraient donc rassurer la grande majorité des femmes qui prennent la pilule durant des années avant de tomber enceintes.

Catégories
Uncategorized

La progestérone retarde l’accouchement

On vient d’expliquer en quoi la progestérone peut retarder un accouchement. Des chercheurs de l’École de médecine de l’Université de Tufts viennent de présenter leurs résultats lors d’un colloque annuel, selon EurekAlert!.

Si les traitements actuels à base de progestérone sont efficaces pour prévenir les accouchements prématurés, c’est en grande partie grâce à trois protéines qu’ils contiennent, soit la XIAP, la BID et la Bcl-2.

Ces dernières sont reconnues pour bloquer l’apoptose, c’est-à-dire la mort programmée des cellules présentes dans les membranes fœtales.

Ainsi, si ces membranes sont plus épaisses et plus résistantes, elles auront moins tendance à rompre, ce qui provoquerait un accouchement prématuré.

La recherche en question permet donc de jeter les bases pour mieux comprendre le déclenchement du travail et connaître les aboutissants de la rupture des membranes fœtales ainsi que le rôle de progestérone.

Il y a donc beaucoup d’espoir quant à ce traitement. Rappelons que les naissances prématurées sont un phénomène encore trop fréquent. Aux États-Unis seulement, on en compte un demi-million chaque année. Une naissance avant la 37e semaine entraîne inévitablement des problèmes de santé.

Catégories
Uncategorized

Un accouchement prématuré détecté par la salive

Une étude publiée sur le site Internet du British Journal of Obstetrics and Gynaecology nous apprend que les futures mères qui donnent naissance avant terme, soit avant 34 semaines de grossesse, ont un taux de progestérone moindre dans leur salive.

Grâce à cette découverte, les chercheurs de l’University College et du King’s College de Londres espèrent mettre au point un test de dépistage afin d’identifier le risque de naissance prématurée.

Les auteurs de cette recherche ont travaillé avec 92 femmes enceintes ayant déjà des antécédents d’accouchement prématuré ou de fausse couche. Des échantillons de salive ont été prélevés chez ces patientes, de la 24e semaine de gestation à l’accouchement.

Les scientifiques avancent comme hypothèse qu’un faible taux de progestérone, une hormone anti-inflammatoire, pourrait contribuer à une infection bactérienne, une cause reconnue d’accouchement prématuré.

Catégories
Uncategorized

Les hormones féminines liées au cancer de l’estomac

Selon un article publié dans le journal médical Gut, le nombre d’années de fertilité chez une femme semble jouer un rôle protecteur contre le cancer de l’estomac.

« Les facteurs hormonaux semblent avoir un effet sur le cancer du système digestif, mais des études plus poussées devront être effectuées », a tenu à préciser le docteur Neal D. Freedman, chercheur à l’Institut national du cancer de Rockville, au Maryland, qui a observé 74 442 femmes originaires de Shanghai pour cette recherche.

Plus l’âge de la ménopause était élevé, plus le risque de souffrir d’un cancer de l’estomac diminue. Le nombre d’enfants, l’allaitement et l’usage d’un contraceptif oral semblent également jouer dans la balance.

Selon le docteur Freedman, cette conclusion va dans le même sens que plusieurs autres recherches qui affirmaient que l’oestrogène et la progestérone protègent les femmes contre le cancer de l’estomac.