Selon Top Santé, dans la dernière décennie, le nombre de naissances prématurées a augmenté de 15 %, ce qui est énorme. Néanmoins, il faut quand même tenir compte du taux de natalité, qui a grimpé lui aussi.
Les facteurs considérés pour la prématurité sont notamment les grossesses tardives et les grossesses multiples, qui semble-t-il sont très élevées. Sans compter que de plus en plus de mères doivent planifier leur accouchement avec le médecin, afin d’éliminer des risques pour elles-mêmes et le bébé.
Dès un accouchement avant la 37e semaine, on parle de bébé prématuré. Ceux qui sont de « grands prématurés » naissent entre la 22e et 32e semaine. Parmi ces derniers, plus de 2000 meurent à la naissance ou peu après en France. Il y a aussi de grands risques de séquelles physiques et mentales.
Il existe désormais une méthode pour diminuer le nombre d’accouchements prématurés, surtout auprès des femmes ayant un historique du genre ou ayant subi une ou plusieurs fausses-couches. On leur administre de la progestérone naturelle entre la 16e et la 34e semaine.
Ce traitement diminue les risques de moitié.