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La vitamine E pourrait ralentir la progression de la maladie d’Alzheimer

Une nouvelle étude encourageante démontre le potentiel de la vitamine E à freiner les ardeurs de la maladie d’Alzheimer, et ainsi permettre le ralentissement de la progression de cette terrible maladie.

Cette découverte provient d’une équipe de chercheurs américaine basée au Minnesota et menée par le Dr Maurice Dysken. Elle fait état d’une amélioration de la condition des patients souffrant d’Alzheimer ayant reçu de fortes doses de vitamine E.

« On a découvert que la vitamine E ralentit significativement la progression, en comparaison avec le placebo », lance le Dr Dysken.

Il ne s’agit aucunement d’une forme de traitement, mais plutôt d’une manière de gagner du temps et d’améliorer la condition des patients souffrant d’Alzheimer, selon les informations rapportées par The National Library of Medicine.

On parle d’une réduction de 20 % du déclin annuellement, et d’un besoin moins évident de soins de la part du personnel médical, toujours selon l’étude de Dysken et de son équipe.

Les résultats de l’étude ont été publiés dans le Journal of the American Medical Association, au dernier jour de 2013.

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Un régime spécial pour ralentir la maladie d’Alzheimer

Santé Log rapporte une étude américaine qui fait état d’une découverte intéressante concernant la maladie d’Alzheimer.

En effet, des chercheurs de la USC Davis School of Gerontology(Université de Californie du Sud) auraient réussi à ralentir la progression de l’Alzheimer chez des souris, grâce à un régime alimentaire dit « hypoprotéiné ».

On commence par nourrir le sujet de façon normale, avant de le placer sous une diète stricte composée d’aliments forts en protéines et d’acides aminés spécifiques. On poursuit ainsi ces deux cycles alimentaires durant quatre mois.

Au final, les rongeurs observés lors de l’étude ont démontré des améliorations notables de leurs réactions cognitives, notamment lors du fameux test du labyrinthe. De plus, la protéine tau, caractéristique de l’Alzheimer, voyait son taux diminuer.

Il demeure bien sûr plusieurs essais cliniques à effectuer avant de parler de véritable découverte, car on ignore si le modèle peut se transposer chez l’humain.

Cependant, cette avancée permet de rester optimiste, surtout lorsqu’on combine celle-ci avec les autres percées récentes en matière d’Alzheimer.

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L’eau du robinet jouerait-elle un rôle dans le développement des allergies?

Une étude rapportée par www.nlm.nih.gov propose un lien possible entre l’eau du robinet et le développement de certaines allergies alimentaires.

Si la nouvelle peut faire peur, on ne peut s’empêcher de constater qu’une telle cause à effet serait tout à fait logique, bien que les spécialistes se gardent d’employer une telle expression.

Plus concrètement, les chercheurs de l’American College of Allergy, Asthma and Immunology (ACAAI) ont étudié les composantes chimiques retrouvées dans l’eau « plate » du robinet, dont les dichlorophénols.

Ces derniers sont des composantes utilisées, entre autres, pour la création de pesticides. On pourrait retrouver ces pesticides dans le traitement de plusieurs fruits et légumes sur le marché.

L’étude suggère que « les hauts niveaux de pesticides à base de dichlorophénols peuvent possiblement affaiblir la tolérance à la nourriture chez certaines personnes ».

La Dre Elina Jerschow explique plus en détail le phénomène : « Ces composantes chimiques sont retrouvées fréquemment dans les pesticides utilisés par les fermiers, ainsi que dans les produits contre les insectes (moustiques, par exemple) et les produits contre les mauvaises herbes. Même chose pour l’eau du robinet ».

À la suite d’une étude plus approfondie qui impliquait plus de 2200 participants, les chercheurs ont constaté qu’un lien pouvait être établi entre l’eau du robinet et la montée en flèche des cas d’allergies alimentaires, notamment chez les enfants.

D’autres études sont attendues sur le sujet.

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La maladie d’Alzheimer serait moins agressive à un âge plus avancé

La revue PLoS ONE dévoile une étude américaine disant que la maladie d’Alzheimer serait moins agressive chez les aînés plus âgés.

Les personnes entre 60 et 70 seraient frappées plus durement par la maladie. En effet, selon les résultats obtenus avec des imageries et les niveaux de biomarqueurs sur 723 patients de 65 à 90 ans, le déclin cognitif serait plus important chez les « jeunes aînés » que chez les 80 ans et plus.

Pourtant, un des facteurs de risque de cette maladie est l’âge. C’est réellement la progression de la maladie qui est plus lente et moins agressive.

« Les patients présentent généralement une détérioration marquée année après année. Pourtant, les patients les plus âgés ne montrent pas la même progression et cela explique parfois pourquoi ces patients ne reçoivent pas les soins appropriés et voient leur qualité de vie dégradée », explique le professeur, chercheur et auteur des travaux, Dominic Holland.

Par contre, on note que les aînés, au-delà de 80 ans, peuvent souffrir de démence mixte, soit la maladie d’Alzheimer combinée à une autre pathologie neurologique.

Crédit photo; FreeDigitalPhotos.net

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Vers un traitement plus efficace de la myopie

Les résultats de cette étude, publiés dans Investigative Ophtalmology and Visual Science, font état des observations des chercheurs ayant comparé les effets du port de lunettes à verres ophtalmiques progressifs versus le port de lunettes à verres unifocaux.

Les résultats démontrent que la myopie progresse moins vite chez les enfants qui portent des lunettes à verres ophtalmiques progressifs que chez les autres.

« Les lunettes à verres unifocaux sont normalement prescrites quand un enfant a besoin de lunettes, mais les lunettes à verres ophtalmiques progressifs ont réduit la progression de la myopie dans notre étude », explique l’aide-professeur de l’UH College of Optometry, David Bernsten.

De plus, ces verres n’ont pas des effets uniquement pendant que les enfants les portent. « Nous avons trouvé que les effets bénéfiques étaient présents pour au moins un an après que l’enfant ait arrêté de porter des lunettes à verres ophtalmiques progressifs », ajoute-t-il.

Cette découverte a de quoi rassurer les experts. Rappelons qu’en 30 ans, le taux de myopie est passé de 25 à 42 % aux États-Unis.

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Un gène aiderait à lutter contre le cancer du sein

Depuis un moment déjà, on soupçonnait le gène 14-3-30σ d’empêcher la scission des cellules cancéreuses du sein. Une équipe du Centre de recherche sur le cancer Goodman de l’Université McGill a voulu confirmer l’hypothèse et y est parvenue.
 
Selon le Cancer Discovery, ce gène joue un rôle important dans la lutte contre la maladie. Il influence l’interruption du déclenchement et de la progression du cancer. Il s’agit donc d’une nouvelle cible potentielle pour de nouveaux traitements qui pourraient ralentir la progression du cancer ou même la freiner carrément.
 
Pour parvenir à de tels résultats, les chercheurs ont utilisé des souris transgéniques qui exprimaient l’oncogène ErbB2 et ont désactivé le gène 14-3-30σ dans la glande mammaire.
 
« Nous avons découvert que la perte de cette expression entraînait l’accélération radicale de l’apparition d’une tumeur. Les gènes 14-3-3 et ErbB2 coopèrent, le premier agissant comme un frein. Sans ce frein, l’ErbB2 peut induire la scission indéfinie des cellules. Par ailleurs, non seulement la capacité de ces cellules à se fractionner augmente-t-elle, mais ces cellules deviennent métastatiques et peuvent envahir des zones distantes », explique le professeur William J. Muller.
 
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Combattre le cancer de la prostate

On n’aurait pu deviner des bienfaits aussi grands de la marche rapide : elle aiderait grandement les hommes souffrant du cancer de la prostate. Il semble même que faire cette activité au moins trois heures par semaine bloquerait la progression de la maladie.

C’est à cette conclusion que sont arrivés des chercheurs de l’Université de la Californie à San Francisco après avoir suivi 1 455 hommes ayant reçu un diagnostic de ce type de cancer. Tous les participants avaient aussi un cancer de la prostate qui ne s’était pas encore étendu ailleurs dans l’organisme.
 
Deux ans après la tombée du diagnostic, le degré d’activité physique des patients a été évalué. Ceux qui faisaient de la marche rapide au moins 3 fois par semaine avaient un taux 57 % moins élevé de propagation de la maladie que ceux qui marchaient lentement et moins longtemps.
 
D’autre part, il semble que la distance parcourue n’ait aucune incidence quant au combat du cancer de la prostate. L’une des raisons de l’efficacité de la marche rapide serait de réduire les taux de circulation de l’hormone de l’insuline, laquelle est une protéine du métabolisme secrétée par les cellules de gras.
 
Lors de l’évaluation, on a tenu compte du surpoids de certains patients et on a exclu ceux qui pratiquaient une activité physique plus vigoureuse comme la course ou le vélo, par exemple.

Les résultats complets de cette recherche sont parus dernièrement dans Cancer Research.

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Le lithium pour ralentir la maladie d’Alzheimer

Le lithium est utilisé depuis longtemps, notamment pour combattre la dépression, mais il serait aussi utile contre la maladie d’Alzheimer.
 
Le British Journal of Psychiatry rapporte qu’un essai clinique a été effectué sur 41 personnes de plus de 60 ans avec une légère déficience cognitive, qui mène souvent à l’Alzheimer.
 
On a ainsi démontré qu’il y a eu 50 % moins de déclin chez les personnes qui prenaient 150 mg de lithium par jour, comparativement aux autres qui prenaient un placebo.
 
Tous les participants de l’étude ont connu un déclin de leurs capacités cognitives, mais celui-ci était beaucoup moins prononcé chez ceux ayant reçu le lithium. Cela suggère donc que le médicament offrirait une protection et permettrait de ralentir la progression de la maladie.
 
Bien que les résultats soient encourageants, il est encore trop tôt pour donner une conclusion définitive. De plus grands essais cliniques sont nécessaires, mais cela requiert également plus d’investissements dans les recherches sur la maladie d’Alzheimer.
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Forte progression de la dengue dans le monde

Depuis 30 ans, la dengue ou grippe tropicale n’avait pas progressé dans le monde, mais elle a regagné en force depuis. Aujourd’hui, 2,5 milliards de personnes dans le monde sont exposées au risque d’infection. Depuis février dernier, la dengue progresse dans une centaine de pays.
 
Habituellement, elle provoque peu ou pas de symptômes. Toutefois, elle se manifeste brusquement par une forte fièvre, des maux de tête, des nausées et vomissements, des douleurs articulaires et musculaires et parfois des éruptions cutanées. Des saignements de nez et des gencives peuvent aussi se manifester.
 
La forme hémorragique est par contre mortelle, mais représente environ de 1 à 5 % des cas. Il n’existe aucun vaccin ni traitement contre cette maladie, mais dans la majorité des cas, elle évolue vers la guérison.
 
La maladie est transmise par un moustique. La meilleure solution est donc de combattre ces moustiques par des moustiquaires, des répulsifs et de faire attention aux endroits où l’eau s’accumule, comme les conduits ou coupoles de pots de fleurs, qui favorisent le développement de larves de moustiques.
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Forte progression de la dengue dans le monde

Depuis 30 ans, la dengue ou grippe tropicale n’avait pas progressé dans le monde, mais elle a regagné en force depuis. Aujourd’hui, 2,5 milliards de personnes dans le monde sont exposées au risque d’infection. Depuis février dernier, la dengue progresse dans une centaine de pays.
 
Habituellement, elle provoque peu ou pas de symptômes. Toutefois, elle se manifeste brusquement par une forte fièvre, des maux de tête, des nausées et vomissements, des douleurs articulaires et musculaires et parfois des éruptions cutanées. Des saignements de nez et des gencives peuvent aussi se manifester.
 
La forme hémorragique est par contre mortelle, mais représente environ de 1 à 5 % des cas. Il n’existe aucun vaccin ni traitement contre cette maladie, mais dans la majorité des cas, elle évolue vers la guérison.
 
La maladie est transmise par un moustique. La meilleure solution est donc de combattre ces moustiques par des moustiquaires, des répulsifs et de faire attention aux endroits où l’eau s’accumule, comme les conduits ou coupoles de pots de fleurs, qui favorisent le développement de larves de moustiques.