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Les phoques et lions de mer sont derrière le fléau de la Tuberculose

Des scientifiques se sont penchés sur la provenance de l’infection de la Tuberculose qui tue encore des millions de personnes de nos jours. Des bêtes marines seraient coupables de la propagation de la maladie.

À l’époque, avant l’arrivée des Européens en Amérique, la souche de la tuberculose était étroitement liée à des souches de pinnipèdes, qui sont notamment les phoques et les lions de mer. Les bêtes auraient propagé la maladie en quelque sorte d’un continent à l’autre.

En effet, ces mammifères auraient « transporté » le microbe d’Africains malades aux gens d’Amérique du Sud. La maladie est fort probablement native de l’Afrique du Sud, car c’est à cet endroit qu’il y a la plus grande diversité parmi les souches de la tuberculose, explique Science World Report.

Les Européens ne seraient donc pas les « méchants » qui ont apporté la souche de la Tuberculose en Amérique et la migration d’humains ne serait pas responsable du fléau.

L’étude a été publiée dans la revue Nature.
 
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VIH chez les enfants : un nouveau moyen de traiter l’infection

L’utilisation du raltégravir avec d’autres médicaments antirétroviraux a été approuvée par la FDA, en décembre dernier, pour le traitement de l’infection au VIH chez les enfants et les adolescents âgés de 2 à 18 ans.

Rappelons que depuis 2007, le raltégravir, qui fait partie d’une classe de médicaments appelés inhibiteurs de l’intégrase du VIH, est utilisé chez les adultes.

Un essai clinique a prouvé que 53 % des 96 patients inscrits se sont retrouvés avec une quantité indétectable du VIH dans leur sang, après avoir été traités avec le raltégravir pendant 24 semaines. Le traitement au raltégravir chez les enfants consiste notamment à avaler une pilule deux fois par jour, avec ou sans nourriture.

Pour les spécialistes, le raltégravir est une nouvelle option importante, efficace et sans danger pour le moment pour les enfants atteints du VIH.

L’étude de l’utilisation de ce traitement chez les enfants et les adolescents va se poursuivre. L’une des prochaines étapes pour faire progresser l’étude est également d’examiner les possibilités de traitement chez les nouveau-nés.

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Meilleure compréhension de la rougeole

Le Québec n’est pas le seul à assister à une éclosion de cas de rougeole. La France est aux prises avec une épidémie depuis un moment déjà, si bien que les chercheurs de l’Inserm ont tenté de savoir pourquoi la maladie était si contagieuse et se propageait aussi facilement.
 
En fait, le virus quitterait la personne qu’il a infectée en utilisant le récepteur nectine-4 qui est situé dans la trachée. La propagation se fait donc facilement et rapidement par les voies aériennes, rapporte Top Santé. Lorsqu’une personne postillonne ou éternue, le virus est rapidement transmis à d’autres.
 
La vaccination est le seul moyen efficace pour éviter de contracter la maladie. Au Québec, une campagne de vaccination intensive se fait ce mois-ci dans les établissements scolaires.
 
La maladie, qui peut causer des otites, des pneumonies et des encéphalites causant des dommages allant jusqu’à des retards mentaux, peut même entraîner la mort.
 
La dernière épidémie, qui avait touché le Québec en 1988-1989, avait fait 7 morts.
 
La rougeole peut facilement être enrayée avec la vaccination, mais dans les dernières années, le relâchement de celle-ci pourrait avoir causé la réapparition de la maladie.
 
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De l’espoir pour la sclérose latérale amyotrophique

Une équipe de chercheurs de l’Université de la Colombie-Britannique a établi un lien entre les prions et la sclérose latérale amyotrophique (SLA), aussi nommée la maladie de Lou Gehrig.
 
Cette maladie incurable, qui touche 3 000 Canadiens, est causée par une dégénérescence des neurones contrôlant l’activité musculaire. Cette pathologie devient mortelle lorsqu’elle atteint le système respiratoire. Habituellement, les personnes qui en souffrent ont une espérance de vie de 3 à 5 ans. Le seul traitement existant pour le moment leur donne trois mois supplémentaires.
 
Les chercheurs ont découvert que la protéine SOD1, qui est impliquée dans la maladie, a des propriétés associées aux prions qui forcent une protéine à changer de forme et à s’accumuler en grappes. Cette découverte explique donc la propagation progressive de la SLA dans le système nerveux.
 
Ceci pourrait donc ouvrir la voie à des traitements ciblés, d’autant plus que l’équipe de scientifiques a également identifié une molécule qui, une fois manipulée, freine la transformation de la SOD1.
 
Les premiers essais sur des souris semblent prometteurs. Les essais cliniques sur des humains pourraient débuter d’ici cinq ans.
 
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La papaye pour prévenir le cancer

La papaye ferait aussi partie des super fruits qui aident à prévenir le cancer. Selon le Journal of Ethnopharmacology, la papaye contient du lycopène, un nutriment reconnu pour sa grande efficacité dans la prévention du cancer et dans la lutte contre la propagation des cellules cancéreuses.
 
Selon la nouvelle étude, le lycopène stimule les défenses du corps pour combattre la maladie, tout en évitant les dommages à l’ADN, aux cellules saines et aux lipides qui inhibent la propagation du cancer.
 
La papaye serait particulièrement reconnue contre le cancer cervical, du sein, du foie, des poumons et du pancréas. Elle augmenterait la production d’une substance chimique qui régule le système immunitaire également.

De plus, il s’agit d’un fruit riche en vitamine C, en acide folique et en potassium.

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Les petits propagateurs de la grippe

Le nez qui coule, les mains souvent sales qui touchent à tout : il est facile de pointer les tout-petits du doigt lorsqu’on cherche les coupables d’une épidémie de grippe.

Or, une étude parue dans l’American Journal of Epidemiology fait porter le chapeau à des groupes d’âge plus avancés. Il semble que les adolescents et les jeunes adultes sont les plus grands responsables de la propagation de ce virus saisonnier.

Selon des données de l’Agence de santé publique du Canada, les taux de contamination chez les Canadiens de 10 à 19 ans et de 20 à 29 ans augmentent avant que la grippe atteigne les adultes d’autres groupes d’âge et les jeunes enfants.

La prévention au sein de ces deux groupes d’âge serait donc des plus efficaces pour contrer les épidémies, beaucoup plus que de viser les petites mains sales et le nez coulant des bébés.

Ces observations proviennent de la compilation de résultats positifs de tests de laboratoire sur l’influenza. Par exemple, lors de l’épidémie de la H1N1 en 2009, les cas ont grimpé chez les préadolescents et les adolescents quelques jours avant que les autres groupes soient atteints à leur tour.

La raison en serait que les enfants d’âge scolaire et les jeunes adultes sont tout simplement plus en contact avec d’autres personnes que les bébés.

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La H1N1 à l’école

Il semble que la propagation de la grippe se ferait entre filles et entre garçons. C’est la conclusion à laquelle on est arrivé en voulant étudier la façon dont se transmettait la grippe H1N1 en milieu scolaire.

C’est en analysant le cas de 370 enfants d’une communauté rurale de la Pennsylvanie que des chercheurs ont remarqué cette tangente. Les participants de l’étude étaient âgés de 6 à 18 ans.

Les enfants auraient donc tendance à transmettre trois fois plus souvent ledit virus à des compagnons du même sexe qu’eux. L’explication en est simple : les écoliers jouent dans la très grande majorité des cas entre filles et entre garçons.

De plus, la transmission de la grippe était cinq fois plus élevée chez des enfants de la même classe que chez ceux étant au même niveau, mais dans une classe différente. Finalement, le taux d’infection était le plus élevé chez les enfants de 6 à 10 ans, suivis par ceux de 5 ans et moins.

Cette étude pourrait servir à évaluer, dans le cas d’une épidémie, s’il faut fermer une école ou plus simplement fermer une classe d’écoliers. Les résultats sont parus récemment dans plusieurs parutions, notamment dans Proceedings of the National Academy of Sciences.

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L’aspirine réduit les risques de décès reliés au cancer du sein

Les femmes qui prennent régulièrement de l’aspirine auraient 50 % moins de risques de mourir du cancer du sein et 50 % moins de chances de voir la maladie se propager.
 
Selon le Daily Mail Online, une étude faite sur plus de 4 000 infirmières ayant pris de l’aspirine démontrerait clairement ces résultats augmentant les chances de survie des femmes ayant été traitées pour un cancer du sein à un stade précoce.
 
On mentionne que la prise d’aspirine de deux à cinq jours par semaine aurait ces effets. Par contre, on souhaite plutôt approfondir les recherches avant d’en tirer des conclusions définitives. Si le tout se confirme, cela pourrait devenir une alternative simple, peu coûteuse et relativement sûre pour aider les femmes.
 
Toutefois, on rappelle que la prise régulière d’aspirine devrait toujours être supervisée par un médecin. Certaines personnes en prennent sous la recommandation de leur spécialiste de la santé pour prévenir les maladies cardiovasculaires.
 
Il est à noter que l’aspirine ne doit pas être prise durant des traitements de radiothérapie et de chimiothérapie en raison des effets secondaires encourus.