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Astuces pour se débarrasser des culottes d’entraînement pendant la nuit

Rester positif

Le rythme de chaque enfant étant différent, il faut d’abord demeurer positif, et ce, en tout temps. Inutile d’ajouter de la pression à votre enfant, cela lui causera un stress inutile et un sentiment d’échec et de déception. Le succès de l’opération repose sur la confiance que l’enfant a en lui.

Prendre le temps

Contrairement au retrait de la suce, éduquer son enfant à la propreté prend du temps. Ne sautez pas d’étapes, c’est-à-dire ne tentez pas de retirer la couche d’un seul coup. Passez de celle-ci à la culotte d’entrainement et aux sous-vêtements en vous assurant que votre enfant est au sec pendant de nombreuses nuits avant de passer au prochain stade.

Soyez bien préparé

Il existe de longs coussinets absorbants que vous pouvez disposer sous le drap pour éviter de mouiller le matelas. Ensuite, assurez-vous de ne pas vous fâcher contre votre enfant lorsqu’il demandera de l’aide pour le petit pot en pleine nuit.

Évidemment, il faut limiter les boissons avant l’heure du coucher et uriner avant d’aller au lit.

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Adieu les couches, bonjour petit pot!

C’est du moins ce qu’assure Rachael Forder, créatrice de LumiPotti -formation du petit pot en Angleterre.

Sur le site Female First, la professionnelle explique qu’il est difficile de savoir quand votre enfant sera prêt à faire place au changement. L’expérience peut être vécue entre 18 mois et 3 ans.

Forder affirme qu’aller sur le petit pot donnera à votre enfant un sentiment de maîtrise de son corps et consiste en une étape clé du développement. Toutefois, elle n’hésite pas à dire que cela exigera de la patience, mais cela devrait aller mieux au bout d’environ 3 semaines de tentatives assidues.

En résumé, elle suggère comme première étape de placer le petit pot à un endroit visible et accessible pour l’enfant. Celui-ci se promènera sans couches ni pantalons à la maison. Si un enfant ne s’est jamais mouillé les pieds avec son urine, il ne pourra pas comprendre l’importance d’aller sur le petit pot selon la spécialiste.

Rappelez la présence du petit pot aussi souvent que possible et à des moments stratégiques de préférence : après les repas, avant le dodo, etc. Le parent doit encourager l’enfant et manifester sa déception, sans se choquer.

Soyez assuré de communiquer vos efforts aux responsables du service de garde pour travailler de concert et si cela ne fonctionne pas, réessayez quelques semaines plus tard.

Cliquez ici pour connaître sa théorie complète et ses trucs détaillés.

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Les bébés vietnamiens sont souvent propres à 9 mois

Des chercheurs suédois ont étudié le cas de 47 bébés vietnamiens et ont constaté que là-bas, l’apprentissage de la propreté commence dès la naissance. Ainsi, les enfants n’ont habituellement plus besoin de couches à l’âge de 9 mois.

La technique utilisée par les mamans vietnamiennes consiste à apprendre à reconnaître les signes subtils et les habitudes du bébé, pour décoder lorsque celui-ci a besoin d’uriner. Puis, chaque fois que le bébé urine, les mères émettent un sifflement.

« La femme peut par la suite siffler pour rappeler à son bébé d’uriner. La méthode du sifflement commence dès la naissance et devient de plus en plus efficace pour la communication à mesure que le bébé grandit », a expliqué l’auteure de l’étude, Anna-Lena Hellström, selon Science Daily.

Les bébés commencent à montrer des progrès dès l’âge de 3 mois et peuvent habituellement utiliser la toilette à l’âge de 9 mois, avec des rappels. Ils sont habituellement complètement propres et autonomes avant 2 ans.

Les enfants occidentaux sont aujourd’hui propres plus tard qu’auparavant, et il n’est rare qu’ils continuent à porter des couches jusqu’à l’âge de 3, voire 4 ans.

L’auteure a par exemple relevé qu’en Suède, les parents croient habituellement que les bébés ne peuvent être propres et qu’il est préférable d’attendre que ça vienne de l’enfant.

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Nouvelles quotidiennes

Londres : sale et inhospitalière?

Si la nouvelle en surprendra plus d’un, elle fera aussi sans doute sourire ceux qui sont plus familiers avec la ville de Londres, en Angleterre.

C’est que l’on apprend, via le Toronto Sun, que la ville anglaise commence à perdre sa cote d’amour auprès de certains voyageurs du monde entier. Pourquoi? Parce qu’elle serait sale et inhospitalière, pour commencer.

C’est ce qui ressort d’un vaste sondage effectué par TripAdvisor, qui fait un palmarès de 40 grandes villes du monde et demande aux répondants de les coter selon leurs opinions.

Londres est arrivée avant-dernière en ce qui a trait à l’ouverture amicale des citoyens envers les touristes, 28e en matière de sécurité, 26e pour la propreté des lieux, et 35e pour son retour sur investissement.

Car oui, en plus d’être peu amicale, la capitale anglaise semble ne pas vous en donner pour votre argent.

Malgré tout, Londres a tout de même été votée ville de l’année aux TripAdvisor’s 2012 Travellers Choice Awards, ce qui semble contradictoire.

Emma Shaw, de TripAdvisor, conclut : « Cette étude ne fait que démontrer que même une grande ville ne peut être parfaite à tous les égards ».

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Des trucs qui fonctionnent pour l’apprentissage de la propreté

Voici quelques trucs provenant de mamans, tels que compilés par Parents Magazine.

Les récompenses : Certaines mères ne jurent que par le fait de promettre une récompense si l’enfant va à la toilette. De petits bonbons (comme des Smarties par exemple), des autocollants ou des sous dans une tirelire peuvent fonctionner.

Laisser papa s’en occuper : Une maman qui avait tout essayé avec son fils est partie pour un week-end et a laissé « ses hommes » ensemble. Fiston a eu droit à des sous-vêtements « comme papa », et l’expérience a été un succès.

Les compliments : Complimenter, applaudir et câliner l’enfant à chaque réussite constitue un renforcement positif habituellement très efficace.

La constance : Au début, il est parfois nécessaire de mettre l’enfant sur la toilette toutes les 30 minutes; c’est beaucoup, mais ça lui fait apprendre plus vite.

Les livres : Les enfants adorent voir que des enfants passent par les mêmes étapes qu’eux. Ça peut les rassurer beaucoup.

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Peu importe la méthode d’apprentissage de la propreté choisie, les résultats sont les mêmes

Des chercheurs viennent de publier une étude qui tente de clore un débat vieux de presque cent ans sur l’apprentissage de la propreté, en affirmant que peu importe la méthode choisie, il ne semble pas y avoir d’influence sur les accidents urinaires chez les enfants.

Les chercheurs ont spécifié qu’il y a deux méthodes générales reliées à l’apprentissage de la propreté : celle initiée par le parent, souvent plus hâtive, et celle où le parent attend que l’enfant se dise prêt.

Ceux-ci ont analysé des données sur une population d’enfants âgés de 4 à 12 ans qu’ils ont séparés en deux groupes, ceux qui n’avaient pas d’accidents urinaires une fois l’apprentissage de la propreté terminé, et ceux qui souffraient d’incontinence ou de problèmes urinaires. Ils ont découvert qu’il n’y avait aucun lien entre ces problèmes et la méthode choisie.

Les chercheurs ont conclu que leur étude « révèle que le débat sur la meilleure méthode n’était pas basé sur des preuves scientifiques, mais plutôt sur des opinions. Nos résultats devraient rassurer les parents qui craignaient que les problèmes urinaires chez leurs enfants soient reliés à un apprentissage de la propreté incorrect. Ce n’est pas le cas », a dit le Dr Joseph Barone, selon Medical News Today.

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Moins de pression dans l’apprentissage de la propreté

C’est ce que croit l’auteure de livres pour les parents Madeleine Deny. Elle donne quelques conseils pour y arriver sans mettre trop de pression sur les tout-petits.

D’abord, elle suggère d’enfiler une culotte sans la couche. Si le petit s’échappe, il saura que ce n’est pas confortable d’avoir une culotte mouillée. Dans ce cas-ci, prenez le temps de l’accompagner à la salle de bains et ne le réprimandez pas.

La vessie des enfants atteint sa maturité vers deux ans ou deux ans et demi. Ce n’est qu’à ce moment que le petit saura qu’il a envie d’aller sur le pot.

Également, elle souligne que les enfants vont de 6 à 10 fois sur le pot. Il pourrait donc être bien pratique d’établir une sorte d’horaire. Par exemple, prévoir une pause pipi toutes les deux heures pourrait l’habituer à aller sur le pot.

Si l’enfant est en camp de vacances ou fréquente l’école sans être tout à fait propre, prévoyez deux ou trois culottes de rechange, juste au cas.

Rappelons que si les façons de faire quant à l’apprentissage de la propreté ont beaucoup évolué au fil des dernières années, il semble qu’elles ne soient pas appliquées de manière uniforme auprès de tous les enfants. Ce n’est donc pas parce que les autres enfants ont appris d’une telle manière que celle-ci fonctionnera avec votre enfant.

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La propreté peut rendre dépressif

Une grande propreté peut non seulement affecter la santé physique, mais aussi la santé mentale.
 
Une maison propre affaiblit le système immunitaire et affecte également le cerveau, selon des chercheurs.
 
Le journal Molecular Psychiatry mentionne que des études ont déjà établi un lien clair entre un environnement propre et un système immunitaire plus faible. On a aussi remarqué que les enfants exposés aux bactéries développaient plus de résistance à certaines maladies.
 
Un système immunitaire affaibli réagit de façon excessive à la poussière et à la saleté, notamment avec une inflammation ou des allergies. Cependant, les chercheurs ont également découvert que cela ralentit la production de substance chimique de bonheur, comme la sérotonine, dans le cerveau. Cela peut donc entraîner une dépression.
 
Le système immunitaire serait ainsi lié au risque de dépression chez une personne.
 
D’ailleurs, la dépression est beaucoup plus présente dans les pays développés que dans les régions les plus pauvres de la planète où, généralement, c’est moins propre également.
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Un peu de saleté pour leur santé?

Les femmes seraient plus à risque de développer certaines maladies parce qu’on leur impose trop de propreté lorsqu’elles sont petites, apprend-on dans le Social Science and Medicine.

L’asthme, la maladie de Crohn, la polyarthrite rhumatoïde et les allergies seraient liés aux jeux choisis par les petites filles, qui en souffriraient plus souvent.

On sait, par exemple, que l’asthme est plus fréquent chez la femme que chez l’homme, de même que les maladies auto-immunes qui sont trois fois plus présentes.

Plusieurs études américaines convergent vers le fait que les femmes souffrent plus souvent de ces maladies sans que l’on sache pourquoi. Il semblerait que le type de jeux que l’on impose aux petites filles – soit de jouer surtout à l’intérieur, d’être toujours propres et jolies – influencerait leur développement.

En effet, c’est que jouer à l’extérieur expose plus souvent les garçons à certains microbes, ce qui les aiderait à se protéger de plusieurs maladies. Il faudrait donc encourager les fillettes, de même que tous les enfants, à jouer plus souvent et plus longtemps dehors.

Le lien entre l’exposition aux bactéries et le développement des maladies a plus d’une fois été relevé. On savait déjà que cette exposition est inversement reliée à l’apparition de l’asthme, par exemple.