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Les aliments à proscrire avant d’aller au lit

C’est bien connu, manger avant de s’installer pour une nuit de sommeil peut s’avérer dommageable et mauvais pour la santé. Non seulement les aliments ingérés sont plus susceptibles de faire grossir lorsqu’ils sont avalés juste avant d’aller au lit, ils peuvent aussi créer de sérieux problèmes de sommeil.

Top Santé dresse donc une petite liste des aliments à proscrire la nuit, à commencer bien sûr par l’alcool et la caféine. Ces boissons peuvent sérieusement nuire à un sommeil de qualité ou carrément vous priver de sommeil.

On déconseille ensuite les corps gras, qui créent des brûlements d’estomac ou des troubles digestifs, pavant ainsi la voie à une nuit d’enfer et à un réveil de mauvais poil.

Viennent ensuite les épices, qui peuvent créer cauchemars et agitations durant le sommeil. On conseille donc de ne pas en abuser au souper également, qui doit par ailleurs être pris préférablement au moins trois heures avant le coucher, rappelle-t-on.

La liste noire se termine avec les protéines qui, malgré leurs qualités reconnues, sont plus difficiles à digérer et vont donc nécessiter un travail digestif toute la nuit durant.

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La malbouffe devant la télévision est à proscrire

Pour chaque heure de télévision regardée par les enfants, leurs chances de manger un fruit sont réduites de 8 %. Ils portent aussi leur risque de manger une friandise à 18 %, et à 16 % leur risque de manger de la malbouffe, selon une étude de l’Eunice Kennedy Shriver National Institute of Child Health and Human Developpement.

Rendre plus accessibles de bons aliments serait un pas vers de plus saines habitudes chez les jeunes. Le fait est que les enfants sont plus exposés à des publicités concernant de la malbouffe que des fruits et des légumes.

L’étude a également démontré que les enfants ayant accès à des fruits qui regardaient la télévision avaient augmenté leur consommation de fruits.

« Bien sûr, un lien si étroit ne peut être fait entre le fait de regarder la télé et l’augmentation de la consommation de bonbons, de sodas et de malbouffe en général, mais cela suggère en quelque sorte que si vous mettez d’autres options accessibles à l’enfant — sans lui laisser d’options néfastes pour sa santé — il pourrait être encouragé à manger plus de fruits », explique l’une des deux auteures de la recherche, Leah Lipsky.

Rappelons que les publicités sur la malbouffe sont aussi présentes sur le Web. D’ailleurs, la British Heart Foundation a dénoncé les stratégies des marques pour vendre leurs produits que les enfants ne sont pas en mesure de comprendre convenablement, selon elle.