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Marie-Annick Lépine annonce une nouvelle inquiétante au sujet de Karl Tremblay

Le chanteur des Cowboys Fringants est, comme nous le savons, aux prises avec un cancer de la prostate, diagnostiqué en janvier 2020.

Via la page Facebook de sa conjointe, Marie-Annick Lépine, elle aussi un membre phare des Cowboys, on apprend que les traitements de chimiothérapie de Karl Tremblay ne fonctionnent plus.

Elle expliquait le tout dans une publication qui résumait sa journée catastrophique et qui se terminait de façon encore plus difficile avec l’annonce que Karl Tremblay avait à lui faire.

«C’est à ce moment que Karl m’annonce que la chimiothérapie ne fonctionne plus. Il commencera un autre traitement après la relâche. Misère… bref, le vin est bon à soir!! Peut-être déjà pompette en écrivant ces mots 😁», lançait Marie-Annick avec une touche d’humour, mais visiblement découragée et triste.

Quand ça va mal…Ma journée a commencé avec un rendez-vous, chez un professionnel, oublié 🤦‍♀️. J’en avais besoin, je…

Posted by Marie-Annick Lépine on Tuesday, February 28, 2023

Souhaitons que la situation s’améliore pour le célèbre chanteur des Cowboys.

Toutes nos pensées à Karl, ses proches et au quatuor des Cowboys Fringants!

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Sport et Santé

Avoir plusieurs partenaires sexuels diminuerait le risque de cancer de la prostate

Une étude sur l’effet protecteur de l’éjaculation fréquente sur la prostate a donné des résultats étonnants, rapporte La Presse.

L’échantillonnage comprenait 3200 hommes de 40 à 69 ans, dont 50 % étaient atteints du cancer de la prostate. Apparemment, les hommes ayant eu plus de 20 partenaires sexuels masculins augmentaient considérablement le risque de ce cancer. S’il s’agissait de partenaires féminines, le risque chutait radicalement.

Ainsi, un homme qui avait la même partenaire toute sa vie avait 28 % plus de risques d’avoir le cancer de la prostate que celui qui avait eu plus de 20 partenaires sexuelles.

Marie-Élis Parent, auteure principale de la recherche, explique les résultats : « Nous pensons que chez les hétérosexuels, une vie sexuelle plus active permet d’évacuer certaines substances carcinogènes présentes dans le fluide prostatique, avec des éjaculations plus fréquentes ».

Quant à l’hypothèse chez les homosexuels, on pense aux dommages occasionnés à la prostate ou aux cas plus fréquents d’ITS. Par contre, un homme qui avait le même partenaire durant sa vie ne voyait pas ses risques de cancer de la prostate augmenter.

L’étude a été publiée dans la revue Cancer Epidemiology.

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Un régime riche en tomates pour le cancer de la prostate

Le cancer de la prostate est le second cancer le plus courant chez les hommes à travers le monde. À 80 ans, 80 % de ceux-ci auront reçu le diagnostic.

Les chercheurs de l’Université de Bristol ont fait un bond du côté de l’alimentation et du style de vie pour déterminer ce qui pourrait aider à diminuer le risque de contracter la maladie.

Ils ont découvert que les hommes qui consommaient plus de 10 portions de tomates par semaine étaient 18 % moins à risque que leurs homologues de développer le cancer de la prostate.

Les experts ont concentré leurs recherches auprès de 1806 hommes âgés de 50 à 69 ans atteints de ce cancer. Ils ont comparé leurs habitudes alimentaires avec un groupe de contrôle en santé de 12 005 hommes.

Cependant, les tomates à elles seules ne peuvent empêcher les troubles de la prostate, insiste Vanessa Er. « Les hommes devraient poursuivre une alimentation variée de fruits et légumes, maintenir un poids santé et demeurer actifs. »

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La vasectomie liée à un risque plus élevé du cancer de la prostate

Avant de paniquer, dites-vous que plusieurs urologues qui n’ont pas participé à l’étude affirment que plus de recherches seront nécessaires pour déterminer si les résultats de cette étude représentent la réalité.

Quand même, la recherche a nécessité 24 ans de suivi auprès de plus de 49 400 hommes américains, et ce, depuis 1986. Pendant cette période, 6023 cas de cancer de la prostate ont été diagnostiqués, dont 811 ont été fatals.

Sur le total, 25 % des hommes avaient subi une vasectomie. Ceux-ci avaient un risque supérieur de 10 % de développer ce type de cancer, selon les résultats publiés dans le Journal of Clinical Oncology.

Cependant, cette augmentation n’était en rien reliée à un cancer léger. Les hommes vasectomisés étaient plutôt 56 % plus à risque d’un cancer de la prostate très agressif et mortel. Ce lien était encore plus fort chez les hommes ayant subi la vasectomie à un jeune âge.

Cependant, le risque absolu était minime, rapportent les scientifiques, soit 16 cancers mortels pour 1000 hommes.

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Des ITS pourraient causer le cancer de la prostate

Le développement du cancer de la prostate pourrait être encouragé dans certains cas par une ITS, une infection transmissible sexuellement, selon ce que rapporte Top Santé.

La nouvelle découle d’une découverte effectuée par des chercheurs californiens, qui auraient trouvé un lien entre le développement du cancer de la prostate et la présence dans l’organisme d’un parasite appelé trichomonas.

Comme la présence de ce dernier n’est souvent assortie d’aucun symptôme, il est facile pour les hommes de ne pas s’en soucier, et ainsi laisser la porte grande ouverte aux risques de développer un cancer de la prostate.

Les conclusions de la recherche en provenance de l’Université de Californie rappellent un peu celles observées en ce qui concerne le VPH chez la femme, qui peut mener au cancer du col de l’utérus.

Les chercheurs américains estiment donc que les hommes devraient se faire dépister même sans symptômes apparents, afin d’avoir le cœur net quant à leur état de santé et ainsi prévenir toute détérioration de leur état.

Un homme sur dix développerait un cancer de la prostate d’ici l’âge de 80 ans, selon plusieurs spécialistes.

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Des chiens capables de détecter un cancer de la prostate

Alors que la quête des meilleurs tests possible de dépistage du cancer se poursuit, une équipe de chercheurs italiens annonce qu’elle est parvenue à entraîner deux chiens dépisteurs capables de détecter la maladie.

Il s’agit de deux femelles nommées Zoé et Liu, rapporte Top Santé, qui seraient maintenant capables de détecter la présence du cancer de la prostate en reniflant simplement des échantillons d’urine prélevés des patients.

Il s’agit d’une toute nouvelle utilisation, aussi brillante qu’intrigante, de l’odorat développé des canidés, qui a déjà fait ses preuves dans un grand nombre d’autres situations.

C’est l’équipe du Dr Luigi Taverna, de l’hôpital Humanitas Research de Milan, qui a annoncé cette découverte pour le moins étonnante.

Plus étonnant encore, les résultats de ces deux chiens pisteurs frôlent la perfection. Sur une base de 902 échantillons, dont 362 étaient positifs, les chiens Zoé et Liu auraient reniflé la présence de la maladie avec une précision de 100 % et 99 %, respectivement.

« Ce type de diagnostic est reproductible, peu coûteux et non invasif », se réjouit le Dr Taverna, qui devra maintenant convaincre le reste du monde de la pertinence et de l’efficacité de son idée.

Cette recherche, par ailleurs présentée au Congrès annuel de l’Association américaine d’urologie d’Orlando, abonde dans le même sens que certaines précédentes, qui indiquaient de telles possibilités pour les canidés, notamment en matière de dépistage du cancer du poumon.

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Nouveau traitement prometteur contre le cancer de la prostate

Une lueur d’espoir nous provient d’Europe en matière de traitement du cancer de la prostate, rapporte Top Santé.

C’est qu’une équipe de spécialistes d’une clinique de Nantes mettra à l’essai un nouveau type de traitement contre cette forme de cancer, une méthode par ultrasons développée récemment.

Il s’agirait du deuxième établissement français de santé à tester la nouvelle machine à ultrasons, qui s’avère capable de cibler la tumeur cancéreuse de façon extrêmement précise.

« Auparavant, on avait tendance à enlever toute la prostate en cas de cancer. Avec cette méthode, il est possible d’agir beaucoup plus finement sur les cancers localisés. », explique justement l’équipe de spécialistes en question.

La première phase de test s’effectuera sur 40 patients au cours d’une période d’essai de trois mois, au bout de laquelle les chercheurs et oncologues pourront évaluer son efficacité.

Autre point favorable à cette nouvelle technique par ultrasons : la diminution des effets secondaires dus aux traitements habituels contre le cancer de prostate.

On croit également que la technique pourrait être reprise pour traiter d’autres formes de cancer, si celle-ci s’avère un succès.

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Nouveau traitement prometteur contre le cancer de la prostate

Une lueur d’espoir nous provient d’Europe en matière de traitement du cancer de la prostate, rapporte Top Santé.

C’est qu’une équipe de spécialistes d’une clinique de Nantes mettra à l’essai un nouveau type de traitement contre cette forme de cancer, une méthode par ultrasons développée récemment.

Il s’agirait du deuxième établissement français de santé à tester la nouvelle machine à ultrasons, qui s’avère capable de cibler la tumeur cancéreuse de façon extrêmement précise.

« Auparavant, on avait tendance à enlever toute la prostate en cas de cancer. Avec cette méthode, il est possible d’agir beaucoup plus finement sur les cancers localisés. », explique justement l’équipe de spécialistes en question.

La première phase de test s’effectuera sur 40 patients au cours d’une période d’essai de trois mois, au bout de laquelle les chercheurs et oncologues pourront évaluer son efficacité.

Autre point favorable à cette nouvelle technique par ultrasons : la diminution des effets secondaires dus aux traitements habituels contre le cancer de prostate.

On croit également que la technique pourrait être reprise pour traiter d’autres formes de cancer, si celle-ci s’avère un succès.

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La vitamine E et le sélénium augmenteraient les risques de cancer de la prostate

Des apports trop élevés en vitamine E et en sélénium pourraient être hautement dangereux pour certains hommes, selon ce que rapporte Top Santé.

Ce sont les conclusions proposées dans une étude se basant sur les premiers essais du programme Selenium and Vitamin E Cancer Prevention Trial (SELECT) et mettant en doute les bienfaits des suppléments de vitamine E chez certains hommes.

L’étude en provenance du Fred Hutchinson Cancer Research Center avance des chiffres stupéfiants en la matière, considérant que les essais effectués avaient pour but de déterminer la réduction des risques de cancer liée à une prise de suppléments en vitamine E et en sélénium.

Au lieu de cela, on estime une hausse de 91 % des risques de cancer de la prostate chez les hommes consommateurs de suppléments de sélénium. La hausse des risques liée aux suppléments de vitamine E serait quant à elle de 63 %.

« Prendre des suppléments de sélénium sans carence peut devenir toxique. Les hommes qui prennent ce type de suppléments doivent arrêter. Les effets des suppléments simples à forte dose sont imprévisibles, complexes et souvent nuisibles. Les niveaux optimaux sont souvent ceux liés simplement à une alimentation saine », croit l’équipe de chercheurs en tête de l’étude.

Ces inquiétants résultats ont été publiés dans le Journal of the National Cancer Institute.

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Une composante de la graine de raisin pourrait permettre le traitement du cancer de la prostate

Une nouvelle étude propose des conclusions très encourageantes en matière de lutte au cancer de la prostate, rapporte MedicalNewsToday, alors que des chercheurs croient avoir identifié un élément naturel capable de favoriser le traitement de la maladie.

Il s’agit d’une composante retrouvée dans les extraits de graine de raisin, expliquent les chercheurs du centre en oncologie de l’Université du Colorado, et qui semble démontrer la capacité à éliminer les cellules cancérigènes liées au cancer de la prostate.

C’est du moins ce que l’équipe de spécialistes mentionne dans son rapport d’étude, publié par le journal scientifique Nutrition and Cancer.

« Cette composante naturelle de la graine de raisin comprend un mélange complexe de polyphénols et, jusqu’ici, on ne pouvait établir clairement ses impacts sur les cellules cancérigènes », explique Alpna Tyagi, qui prend part à l’étude.

Cette recherche abonde dans le même sens que plusieurs autres études précédentes, qui démontrent toutes le potentiel du raisin et du vin rouge dans la lutte à plusieurs types de cancer.