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Les hommes mariés auraient plus de chances de survivre à un cancer de la prostate

Mauvaise nouvelle pour les célibataires endurcis, alors que le Daily Mail (UK) rapporte une étude qui révèle des statistiques étonnantes en matière de chances de survie après un diagnostic de cancer de la prostate, et selon votre état civil.

Ainsi, on apprend que les hommes mariés auraient jusqu’à 40 % moins de chances de mourir de ce cancer que leurs homologues célibataires.

Attention, on précise ici que les chercheurs canadiens en tête de l’étude parlent d’un mariage heureux, et non nécessairement de toutes les unions maritales.

On expliquerait le phénomène par plusieurs facteurs, à commencer par le fait que les hommes mariés seraient davantage poussés à subir des tests de prévention et à parler de leurs problèmes de santé que lorsqu’ils sont célibataires.

Ces révélations vont dans le même sens que plusieurs autres études sur les relations, qui affirment qu’il existe des bénéfices nets sur la santé à être dans une relation stable et heureuse, plutôt que de vivre seul.

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La thérapie hormonale intermittente peu efficace contre le cancer de la prostate

La thérapie hormonale intermittente s’avèrerait peu efficace chez les patients en stade avancé de cancer de la prostate, rapporte The National Library of Medicine.

Le traitement, qui vise à faire baisser les taux de testostérone et ainsi ralentir la progression des tumeurs, ne semble pas obtenir les résultats escomptés lorsqu’il est administré de façon intermittente, selon une vaste étude.

Pire encore, selon plusieurs chercheurs, dont l’auteure principale de l’étude, Maha Hussain, ce genre de traitement peut même nuire au patient et à ses chances de rémission.

« Les bienfaits de la thérapie hormonale intermittente ne sont pas clairs. En termes de taux de survie, ce n’est pas meilleur », déclare Dre Hussain.

De plus, ce genre de traitement est très difficile à supporter et entraîne de nombreux effets secondaires graves chez les patients.

« Les patients ressentent des symptômes troublants comme des bouffées de chaleur, un gain de poids, une masse musculaire amoindrie et une perte de libido », explique en conclusion Maha Hussain.

Il y a cependant de l’espoir, car d’autres observateurs et chercheurs croient que les spécialistes sont sur le point de rendre le cancer de la prostate aussi traitable que la haute pression ou le diabète.

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Un traitement contre le cancer de la prostate découvert à Sherbrooke

Radio-Canada rapporte que des chercheurs de l’Université de Sherbrooke et du CHUS auraient découvert un traitement pour venir à bout du cancer de la prostate.

Cette spectaculaire nouvelle aurait mené à une subvention de 1,2 million de dollars pour l’équipe de chercheurs, qui croit être en mesure de ralentir la prolifération des cellules cancéreuses en cause dans le développement du cancer de la prostate.

Ce dernier est un réel fléau qui touche de plus en plus d’hommes à travers le monde. Si l’explication du traitement est complexe, son implication n’en demeure pas moins claire : on pourrait bientôt traiter le cancer de la prostate efficacement.

« L’enzyme peut être considérée comme des ciseaux moléculaires. On utilise une molécule pour empêcher ce ciseau d’avoir son action. Les molécules, que nous avons produites, doivent être encore développées pour améliorer leur stabilité et leur accessibilité aux tissus chez les humains. Nous sommes présentement en train de développer ces étapes », résume Robert Day, de la Faculté de médecine de l’Université de Sherbrooke.

Après des essais fructueux sur des souris, les chercheurs se disent maintenant prêts à commencer les essais cliniques sur des humains. La planète entière se croise les doigts.

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Moitié moins de risques de cancer de la prostate chez les hommes actifs

Santé Log rapporte une nouvelle étude concernant le cancer de la prostate qui risque de donner le goût à plusieurs hommes de se mettre à l’exercice physique.

Selon l’étude britannique, les hommes actifs verraient leurs risques de développer un cancer de la prostate être diminués de moitié, rien de moins.

Publiées dans la plus récente édition du magazine Cancer, ces recherches en provenance du Durham Veterans Affairs Medical Center ne sont pas complètes, mais apportent certains éléments qui tendent à prouver cette théorie.

Cette dernière parle de 50 % moins de risque concernant le cancer de la prostate, mais aussi d’une meilleure capacité de rétablissement en cas de cancer, en plus de risques atténués de subir des lésions graves lors des traitements ou du développement d’une maladie du genre.

L’étude semble controversée depuis sa sortie, puisqu’elle parle des bienfaits de l’exercice physique en matière de cancer de la prostate chez les hommes blancs seulement, ce qui fait bondir certains spécialistes et observateurs.

Il est clair que d’autres études sur le sujet sont à prévoir.

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Les fibres et la prostate

Il semble que les fibres soient des alliées précieuses pour les hommes qui souhaitent mettre toutes les chances de leur côté afin de prévenir un éventuel cancer de la prostate, rapporte E-Santé.

Une molécule que l’on retrouve dans ces fameuses fibres octroierait cette protection, selon les recherches publiées par des chercheurs de l’Université du Colorado.

Cette molécule permettrait d’abord de prévenir des lésions que l’on dit précancéreuses, une prémisse du cancer de la prostate. Un régime fort en fibres permettrait donc de freiner la formation de vaisseaux sanguins qui créent ce genre de lésions, limitant ainsi les chances de progression d’un cancer de ce type.

Les recherches tendent non seulement à démontrer la véracité de cette théorie, mais on constate que les peuples asiatiques affichent des statistiques bien en deçà de celles des Nord-Américains en matière de cancer de la prostate.

Il est facile de faire le lien avec les régimes alimentaires des deux régions du monde, qui sont souvent diamétralement opposés.

Encore une fois, on constate que ce que l’on mange influence fortement le type de maladies auxquelles nous risquons de faire face dans la vie.

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La calvitie et le cancer de la prostate associés

Une nouvelle étude australienne tente de démontrer qu’il existe un lien entre la calvitie dite « précoce » et les risques de cancer de la prostate chez l’homme, rapporte Santé Log.

On veut sensibiliser la population masculine à ces risques, mais on précise toutefois qu’il n’y a pas lieu de s’alarmer.

Selon les conclusions de l’étude, présentées et publiées dans la plus récente édition du magazine Cancer Epidemiology Biomarkers and Prevention, il existerait une corrélation entre la calvitie chez les jeunes hommes et les chances de voir ceux-ci développer un cancer de la prostate.

Lorsque l’on parle de « précoce », on parle d’avant la quarantaine, puisqu’il est commun de voir les hommes perdre du volume capillaire passé cet âge. Ainsi, on suggère à ces hommes plus jeunes de songer à commencer les tests de dépistage pour le cancer de la prostate plus tôt que prévu, bien que l’on conseille à tous les hommes de le faire en général.

Aussi, on stipule qu’il ne faut pas croire que la calvitie est un gage de cancer, et que plusieurs types de cancer de la prostate ne sont pas très agressifs et « facilement » traitables.

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Une étude suggère un nouveau traitement contre le cancer de la vessie

www.nih.gov rapporte que des chercheurs ont établi un lien entre une protéine retrouvée chez certains patients de façon héréditaire et le cancer de la vessie, ce qui pourrait mener à de nouvelles pistes de traitement, selon eux.

La protéine en question se nomme « cellule souche antigène de la prostate » et se retrouve également de façon massive chez les patients atteints du cancer du pancréas et de la prostate, notamment.

Le traitement éventuel auquel les chercheurs font référence est celui effectué par une concentration de traitement sur ces cellules de la tumeur, une façon de faire qui rend les spécialistes forts optimistes.

De tels traitements sont déjà à l’essai pour des cas de cancer de la prostate et du pancréas, et les chercheurs expriment le souhait de voir cette thérapie porter des fruits aussi dans le cas du cancer de la vessie.

Ceci s’inscrit encore dans cette nouvelle philosophie en oncologie, alors que l’on parle beaucoup plus de « cibler les cellules » et de « greffe de cellules » que de chimiothérapie dans les traitements de l’avenir.

La chimiothérapie et la radiothérapie sont là pour rester, mais pourraient grandement bénéficier de l’appui de ces traitements ciblés au niveau des cellules.

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Nouvelle percée majeure contre le cancer de la prostate

Santelog.com rapporte une nouvelle percée dans la lutte au cancer, plus particulièrement contre le cancer de la prostate.

C’est encore un traitement par l’utilisation d’un virus qui réussit sa mission, alors qu’on entend de plus en plus parler de ce type de façon de faire.

Récemment, on apprenait que certains patients atteints de cancer (notamment une fillette atteinte de leucémie) étaient en rémission à la suite de ce genre de traitement.

Cette fois, on parle de virus oncolytique, transmis par des cellules macrophages dans l’organisme afin de traquer les cellules cancéreuses et ainsi venir à bout de toute trace de tumeur restante.

Il s’agit d’un traitement parallèle à la chimiothérapie, permettant de maximiser ses effets et de combattre la maladie sur deux fronts.

Pour l’instant, ce traitement a été tenté sur des souris, et les chercheurs affirment avoir réussi à prouver l’efficacité de ce nouveau traitement par virus oncolytique.

Il reste donc à tenter les essais cliniques, mais il apparait de plus en plus clair que les spécialistes dans la lutte au cancer ont bon espoir de voir ces nouvelles méthodes porter des fruits et augmenter grandement les chances de survie à la suite d’un diagnostic de cancer.

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Une boisson gazeuse par jour pourrait mener au cancer de la prostate

Si une pomme par jour éloigne le médecin pour toujours, il semble que ce soit tout le contraire en ce qui concerne les boissons gazeuses.

En effet, radio-canada.com rapporte une étude qui prétend qu’une boisson gazeuse par jour pourrait suffire à mener au cancer de la prostate.

L’étude suédoise, très sérieuse, a été publiée dans l’American Journal of Clinical Nutrition et relate les observations effectuées par les chercheurs de l’Université Lund, Isabel Drake en tête.

Cette dernière parle même d’un risque de cancer de la prostate accru de 40 % chez les hommes qui consomment fréquemment des boissons de ce genre. Ce sont les conclusions qu’elle tire à la suite de tests effectués sur 8000 hommes âgés de 45 à 73 ans, évalués sur une période de 15 ans.

Aussi au banc des accusés : les régimes alimentaires de riz et de pâtes ainsi que les déjeuners forts en sucres et sucres ajoutés.

Difficile, d’ailleurs, de ne pas tracer un lien entre cette étude et celle parue récemment qui taxait le sucre d’être « toxique » pour l’organisme. Il semble que ce soit l’ennemi à abattre et, dans ce cas-ci, les boissons gazeuses.

Pour corroborer le tout, des études en Asie démontrent que les Asiatiques qui résident aux États-Unis (plus grand consommateur de boissons gazeuses dans le monde) développent plus de cancers de la prostate que leurs compatriotes demeurés en Asie.

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Le sexe et la santé : nouvelle étude

Plusieurs études sont sorties sur le sujet de l’amour, de la sexualité et de la santé au fil des dernières années. Si certains résultats se voulaient contradictoires au départ, les conclusions voulant que le sexe soit bénéfique sur la santé deviennent de plus en plus partagées par la communauté scientifique.

De nouvelles recherches viendraient corroborer les théories selon lesquelles une sexualité active a des effets bénéfiques sur la santé.

e-sante.fr rapporte une étude sur le sujet, effectuée par des chercheurs de l’Université Duke, qui explique que l’acte sexuel est bénéfique pour réduire les maux de tête, pour la mémoire et pour la ligne.

De plus, une sexualité saine et active permettrait de faire baisser les risques de cancer de la prostate et du sein, en plus d’une production supplémentaire d’anticorps. Le sexe pour se protéger de la grippe? Il semble que oui, à tout le moins partiellement.

L’étude de Duke a été effectuée sur 270 sujets sur une période de 25 ans et a noté que plus les hommes avaient des rapports sexuels fréquents, plus ils vivaient vieux. Ce ne serait pas forcément le cas chez la femme, alors que la notion de « qualité sexuelle » vient faire varier la donne.

Pour conclure, les chercheurs rappellent qu’il a été démontré que le bonheur permet de vivre plus longtemps. Une vie sexuelle satisfaisante serait donc non seulement bénéfique sur le plan physique, mais aussi psychologique, ce qui contribuerait encore plus au prolongement de la vie… en pleine santé.