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Les inhalateurs pour l’asthme augmentent les risques de cancer de la prostate

Ce médicament est utilisé par des milliers d’hommes dans le monde afin de traiter leur asthme, mais les inhalateurs les exposent aussi à plus de risques d’un cancer de la prostate, rapporte le journal, Cancer Epidemilogy, Biomarkers and Prevention.

 

Les hommes qui prennent régulièrement des stéroïdes inhalés pour maîtriser leur asthme ont 40 % plus de chances de souffrir d’un cancer de la prostate que ceux qui ne sont pas asthmatiques.

Ceux qui utilisent les bronchodilatateurs pour leur respiration sifflante sont 36 % plus à risques. Mais le plus grand danger est pour les hommes souffrant d’asthme sévère qui doivent prendre des comprimés de stéroïdes ou des injections. Dans leur cas, les risques sont accentués de 70 %.

Des études précédentes démontraient que le simple fait de souffrir d’asthme augmentait les risques de tumeur de 25 %.

Par contre, il ne s’agit que de résultats préliminaires qui ont besoin d’être confirmés par d’autres études. Les hommes asthmatiques ne devraient donc, en aucun cas, cesser de prendre leur médicament. Car s’il y a un lien réel entre les inhalateurs et le cancer de la prostate, ce lien serait marginal.

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Le poids d’une tumeur cancéreuse de la prostate est proportionnel au poids du patient

Lors de la rencontre annuelle de l’American Urology Association, le Dr Nilesh Patil, urologue de l’Hôpital Henry Ford à Détroit, a révélé les résultats de sa nouvelle étude.
 
Il affirme que la taille d’une tumeur cancéreuse de la prostate est directement proportionnelle au poids du patient. C’est ce que dévoilent ses résultats, obtenus après six ans de recherches sur les tumeurs de 3 327 personnes.
 
De plus, on constate que plus la tumeur est grosse, plus le cancer est agressif. « Lorsque l’indice de masse corporelle (IMC) augmente, le volume de la tumeur s’accroît proportionnellement. À partir de nos résultats, nous pensons que le fait d’avoir une tumeur plus volumineuse pourrait aussi contribuer à une agressivité accrue du cancer chez les hommes ayant un IMC plus élevé », explique le Dr Patil.
 
L’âge moyen des patients qui ont collaboré à la recherche était de 60 ans. Ils ont été divisés en différentes catégories selon leur IMC : poids normal ou trop maigre (IMC de 24 ou moins), en surpoids (25 à 29,9), obèse (30 à 34,9) et très obèse (IMC de 40 et plus).
 
Les chercheurs ont observé que le poids de la tumeur était très lié au poids de la personne malade.
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L’obésité, un facteur de récurrence

Selon le Dr Stephen Freedland, du Centre de recherche sur le cancer de la prostate de l’Université Duke en Caroline du Nord, l’obésité fait augmenter l’incidence de récidive du cancer de la prostate.

Pour en arriver à ces conclusions, le scientifique a examiné les dossiers médicaux de 1 415 patients ayant souffert de la maladie et qui avaient subi une prostatectomie comme traitement.

« Nous avons découvert qu’un indice de masse corporelle élevé était associé à un risque accru de récurrence du cancer, tant chez les Blancs que chez les Noirs », ont précisé les auteurs de cette recherche.

Ces derniers croient qu’un surplus de poids altère le taux d’hormones, comme l’œstrogène et la testostérone, ce qui pourrait rendre plus agressive la tumeur, comme le suggèrent des études antérieures sur le sujet.

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Les vertus du cannabis

Selon la Dre Ines Diaz-Laviada et ses collègues de l’Université d’Alcala à Madrid, les cannabinoïdes, des substances que l’on retrouve dans la marijuana, pourraient être efficaces pour traiter les patients atteints du cancer de la prostate.

Les chercheurs ont testé ces substances sur des souris et ont observé une diminution de la tumeur.

Malgré ces résultats encourageants, cette recherche n’en est qu’à un stade exploratoire et d’autres études devront être menées pour vérifier si les cannabinoïdes sont tout aussi efficaces chez l’homme.

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Des analgésiques contre le cancer de la prostate

Selon la Dre Jennifer St. Sauver, qui oeuvre pour la Clinique Mayo au Minnesota, des analgésiques comme l’aspirine et l’ibuprofène protègent les hommes contre un éventuel cancer de la prostate.

Malgré ces résultats, la chercheuse met en garde les hommes de ne pas consommer ce type de médicaments au-delà des recommandations, en raison des effets secondaires, notamment sur le système digestif.

« Nos résultats démontrent que si les hommes prennent ce type de médicaments, cela peut prévenir contre des maladies urologiques », a fait savoir la Dre St. Sauver qui précise que ces antidouleurs diminuent de 50 % le risque d’hypertrophie bénigne de la prostate.

De plus, ce type de médicaments représente un résultat inférieur de 10 % au test PSA utilisé pour détecter le cancer de la prostate.

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Un nouveau marqueur lié au cancer de la prostate

Une recherche, qui sera publiée dans Cell Cycle, nous apprend la découverte d’un nouveau marqueur lié au cancer de la prostate, à un stade avancé.

Le Dr Michael Lisanti et son équipe, de la Faculté de médecine de l’Université Thomas Jefferson à Philadelphie, ont analysé des échantillons prélevés chez des patients souffrant d’un cancer de la prostate.

Ils ont découvert la baisse marquée d’une protéine appelée caveolin-1 chez les sujets. Lorsque le taux de cette protéine est bas, les résultats du test Gleason, qui sert à diagnostiquer le cancer de la prostate, sont élevés.

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Modifier son alimentation prévient le cancer de la prostate

Selon une nouvelle publiée dans le Journal of Human Nutrition and Dietetics, une alimentation faible en gras et en viandes rouges, mais riche en fruits et légumes, serait grandement bénéfique pour la prévention du cancer de la prostate.

On a étudié les recommandations nutritionnelles pour la prévention, mais également pour les patients déjà atteints. Une telle alimentation aide au traitement de la maladie.

En outre, la tomate, le chou-fleur, le brocoli, le thé vert, les vitamines, dont la E, et le sélénium diminueraient les risques de développer ce type de cancer.

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Des nutriments sans effet sur le cancer

Selon des chercheurs ontariens, la vitamine E, le sélénium et le soya ne préviennent nullement l’apparition du cancer de la prostate.

« Plusieurs données scientifiques suggéraient que ces nutriments pouvaient avoir un impact notoire dans la prévention du cancer de la prostate. Nous avions vraiment espoir que ce soit l’élément magique qui agirait contre le cancer, mais malheureusement, ce n’est pas le cas », a souligné l’auteur principal de cette recherche, le Dr Neil E. Fleshner de l’Université de Toronto.

Le Dr Fleshner a travaillé avec 303 hommes ayant des lésions précancéreuses, à qui il a donné de la vitamine E, du sélénium et du soya. Au fil des ans, les candidats ont passé des biopsies qui n’ont révélé aucune amélioration notoire dans la rémission du cancer de la prostate.

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Un vaccin prometteur contre le cancer

La société Dendreon affirme que le vaccin Provenge qu’elle a mis au point augmente considérablement les chances de survie des hommes souffrant d’un cancer de la prostate.

512 participants atteints de la maladie à un stade avancé ont participé à ces essais cliniques.

Provenge n’est pas considéré comme un vaccin traditionnel puisqu’il agit sur le système immunitaire afin de lutter contre la tumeur. Ainsi, les patients qui ont été vaccinés vivent quatre mois et demi plus longtemps que les sujets ayant reçu le placebo. De plus, le taux de survie est de 34 % pour Prevenge, comparativement à 11 % pour les patients non traités au vaccin.

Tous les détails de cette recherche seront dévoilés le mois prochain lors d’un congrès organisé par l’American Urological Association.

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Des oméga-3 contre le cancer de la prostate

La recherche menée par l’équipe du Dr John S. Witte, de l’Institute for Human Genetics, Epidemiology & Biostatistics de San Francisco, démontre que les oméga-3 font diminuer l’incidence de cancer de la prostate.

Pour cette étude, dont les résultats se retrouvent dans la revue médicale Clinical Cancer Research, 466 hommes souffrant d’un cancer de la prostate à un stade avancé et 478 sujets en bonne santé ont été suivis par le Dr Witte.

« Nous avons découvert une association marquée entre la consommation d’acides gras et le cancer de la prostate », a mentionné le chercheur qui précise que le risque de ce type de cancer diminue de 63 % chez les hommes qui consomment beaucoup d’oméga-3.

Rappelons que l’on retrouve les oméga-3 dans les poissons gras, comme le saumon, les graines de lin et certains légumes verts, comme le chou.