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Le traitement contre le cancer affecte la masse osseuse

Selon le Dr Fred Saad, de l’Université de Montréal, les personnes qui sont traitées contre les cancers du sein et de la prostate pourraient voir leur masse osseuse diminuer. Ce phénomène aurait pour conséquence de les rendre plus vulnérables à l’ostéoporose et aux fractures.

Ce sont les traitements avec les inhibiteurs d’aromatase, les bisphosphonates et l’hormonothérapie anti­androgénique qui occasionnent une perte de la masse osseuse, qui peut varier entre 5 à 45 %.

« Cette incidence de perte osseuse associée au cancer ne peut que susciter une prise de conscience chez les cliniciens qui se devront d’identifier les patients les plus sujets aux fractures et leur prescrire les traitements appropriés », a souligné le Dr Saad.

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Mieux comprendre le cancer de la prostate

Les centres hospitaliers universitaires de Montréal (CHUM), McGill (CUSM), Québec (CHUQ) et Sherbrooke (CHUS) viennent de mettre en place une biobanque afin de récolter quelque 2 000 échantillons de cellules dans l’espoir de mieux comprendre le cancer de la prostate, qui touche un Québécois sur sept.

Déjà 600 hommes ont répondu à l’appel et accepté de donner des échantillons, en plus de répondre à un questionnaire sur leurs habitudes de vie.

« La première chose que nous ferons sera de déterminer les traits typiques des hommes atteints. Ont-ils une habitude de vie particulière? Prennent-ils des médicaments? De quelle origine ethnique sont-ils? », a noté le Dr Armen Aprikian, urologue au CUSM.

Grâce à cette biobanque, les chercheurs espèrent trouver de meilleurs traitements au cancer de la prostate.

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Le dépistage du cancer de la prostate contesté

Selon les médecins de la U.S. Preventive Services Task Force, passé les 75 ans, les examens de dépistage du cancer de la prostate causent plus de dommages que de bienfaits aux patients.

L’organisme, qui a publié cette recommandation hier, rapporte que les preuves du bienfait de tels examens « sont petites ou inexistantes. »

Cette mise à jour du guide des procédures est une première depuis 2002. 

Selon la Société canadienne du cancer, à compter de 50 ans, les hommes devraient demander à leur médecin s’il est nécessaire de passer un test de dépistage du cancer de la prostate.

Le cancer de la prostate se forme dans les cellules de la prostate, une glande de l’appareil reproducteur masculin. La prostate sert principalement à sécréter une partie du liquide (dit séminal) qui, combiné aux spermatozoïdes produits par les testicules, forme le sperme. Le sperme est éjaculé lors des relations sexuelles.

Le cancer de la prostate est le type de cancer le plus répandu chez les hommes au Canada. En général, le cancer de la prostate évolue lentement et peut souvent être guéri ou traité avec succès.

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Les brocolis bons contre le cancer

Selon une étude clinique réalisée par des chercheurs britanniques et publiée aux États-Unis hier (2 juillet), la consommation régulière de brocolis diminuerait l’incidence de cancer de la prostate ou réduirait l’agressivité d’une tumeur, rapporte Cyberpresse.ca.

Le Dr Richard Mithen, qui a mené cette recherche, a permis de faire un lien entre la consommation de brocolis et les risques de développer un cancer de la prostate.

Lors de cette étude, des hommes, qui étaient plus prédisposés à développer ce type de cancer, ont consommé 400 grammes de brocoli, ou 400 grammes de pois, à chaque semaine durant 12 mois, sans modifier leur alimentation habituelle.

Les chercheurs ont effectué des prélèvements de tissu de leur prostate au début, à six mois et à douze mois, prouvant ensuite que les hommes consommant du brocoli avaient de meilleurs résultats que ceux ayant consommé des pois.

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Traitement du cancer de la prostate pour 22 000 $

Le Journal de Montréal nous apprend que la clinique Rockland MD offre désormais à ses patients souffrant d’un cancer de la prostate un traitement pour lequel il faut débourser 22 000 $.

Cette même clinique avait fait la manchette dernièrement lorsqu’elle avait signé une entente de partenariat public-privé avec l’Hôpital du Sacré-Coeur de Montréal.

Dans ce cas-ci, c’est US HIFU (High Intensity Focused Ultrasound), une société américaine, qui fournit l’appareil pour le traitement contre le cancer de la prostate et loue les locaux et les membres du personnel de la clinique Rockland MD.

Cette nouvelle ne plaît pas au ministère de la Santé et des Services sociaux qui a demandé à la Régie de l’assurance maladie de mener une enquête à propos de la légalité des traitements offerts.

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Bonne nouvelle pour le test PCA3

Des essais cliniques effectués sur 570 hommes démontrent que le test PCA3, qui est un marqueur du cancer de la prostate, peut drôlement faciliter le diagnostic de ce type de cancer. Le test PCA3, fabriqué par DiagnoCure, est le premier test génique urinaire capable de détecter le cancer de la prostate.

Selon les derniers résultats obtenus, 14 % des participants dont le score au PCA3 était inférieur à cinq avaient une biopsie positive, tandis que 69 % des hommes qui présentaient un score supérieur à 100 avaient une biopsie positive.

Pour le président de DiagnoCure, John Schafer, il n’y a pas de doute que le test développé par sa société permettra de diagnostiquer le cancer de la prostate. « Cette étude est une preuve supplémentaire que le PCA3 est réellement un marqueur précis du cancer de la prostate. Ces résultats concluants devraient favoriser l’adoption du test par les médecins, qui ont besoin de meilleurs outils pour aider leurs patients aux prises avec le cancer de la prostate », a-t-il mentionné.

Cette nouvelle coïncide avec les plans de commercialisation du test PCA3 en Europe.

 

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Le cancer de la prostate en partie démystifié

Les récentes recherches ont démontré que la prédisposition au cancer de la prostate est en partie causée par les variations du code génétique d’une personne, dont celles des chromosomes 7, 10 et 11.

« Nous sommes en train de trouver les endroits dans le génome humain qui sont liés au risque de développer un cancer de la prostate. C’est important, parce que le cancer de la prostate est une maladie complexe qui n’est pas due à une seule défectuosité génétique ou à une exposition environnementale précise, » indique le Dr Stephen Chanock, directeur de l’une des études.

De telles trouvailles permettraient éventuellement de déterminer quelles personnes sont susceptibles de développer la maladie et d’établir le traitement adéquat à leur administrer.

L’exposition à un environnement néfaste et l’ingestion ou l’inhalation de certaines substances pourraient aussi favoriser l’apparition du cancer.

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Un mythe concernant le cancer de la prostate

Une étude publiée récemment dans le Journal of the National Cancer Institute écarte les hormones sexuelles dans l’explication du cancer de la prostate.

Andrew Roddam, du département de la recherche sur le cancer à l’Université d’Oxford, a analysé 18 autres recherches sur le sujet afin de déterminer s’il existe un lien entre ce type de cancer et les hormones.

« Pendant longtemps, on a cru que les variations des hormones sexuelles chez l’homme pouvaient être liées au cancer de la prostate. Or, nos conclusions nous portent à croire que ces variations d’androgène et d’oestrogène n’augmentent pas le risque de cancer », a précisé le chercheur.

Le cancer de la prostate est celui qui touche le plus les Américains. En 2007, 220 000 nouveaux cas ont été diagnostiqués dans ce pays. 27 000 hommes en sont décédés.

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Un champignon contre le cancer de la prostate

Une récente étude publiée dans la revue Molecular Biology Report dévoile les vertus d’un champignon rare, que les Chinois utilisent depuis des siècles dans la médecine traditionnelle.

Les scientifiques ont identifié une molécule contenue dans ce champignon, le reishi ou Ganoderma lucidum, qui favorise la lutte contre « la prolifération des cellules cancéreuses » de la prostate.

Selon le docteur Ben Zion Zaidman, le reishi agit sur les « récepteurs androgènes qui jouent un rôle central dans le développement de cette forme de cancer à son stade initial ».

Bien que son origine remonte à plusieurs siècles, ce n’est que depuis les années 1970 que des chercheurs japonais ont réussi à cultiver le reishi qui préfère se développer sur des arbres en décomposition comme les pruniers sauvages ou les chênes.

Cette percée médicale laisse donc entrevoir une lueur d’espoir pour le traitement de ce type de cancer qui touche annuellement 543 000 hommes à l’échelle mondiale.

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Obésité rime avec cancer de la prostate

Selon une étude réalisée par une équipe de chercheurs de l’Université Duke, les hommes obèses s’exposent davantage au cancer de la prostate. En effet, leur volume sanguin est plus élevé que chez les hommes ayant un poids santé. Or, cela rend plus difficile l’évaluation du taux de PSA, une molécule habituellement détectée lors de tests de dépistage précoce. Le diagnostic s’en trouve retardé ainsi que le traitement des patients atteints de cette forme de cancer.

Les scientifiques ont démontré qu’un indice de masse corporelle de plus de 35 % masque de 11 à 21 % le taux de PSA dans le volume sanguin.

Une autre recherche effectuée à l’Université de Harvard dévoile que chez les hommes possédant un surplus de poids, les risques de récidive du cancer sont 1,8 fois plus élevés dans les huit années suivant le premier diagnostic. Dans cette étude, les processus hormonaux, en plus du PSA, pourraient expliquer ce phénomène.