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De meilleures étiquettes pour de meilleurs choix santé

The National Library of Medicine rapporte les conclusions d’une étude voulant que la population bénéficie grandement de meilleures étiquettes sur les produits qu’elle achète et consomme.

L’étude, effectuée par la FDA, croit que les consommateurs pourraient faire de meilleurs choix et ainsi être plus proactifs en ce qui concerne leur santé s’ils étaient mieux informés.

Ainsi, on suggère un système uniforme d’étiquetage, dans lequel on retrouverait les fameux tableaux nutritifs présentés sous forme plus détaillée et claire.

On éviterait ainsi aux gens la tâche de devoir multiplier et faire des calculs pour bien comprendre combien de calories ils consommeront, et quel sera l’apport alimentaire de leurs portions. On veut aussi s’assurer que les ingrédients soient tous inscrits.

« Je crois que les gens ont un véritable problème à bien interpréter les étiquettes et à bien comprendre de quoi il retourne. C’est presque comme s’il y avait une surcharge d’informations, en plus de ne pas être toujours très claires », commente le Dr Eric Matheson, chercheur en nutrition de l’Université de Caroline du Sud.

On pourrait donc assister à une révolution en la matière dans les prochains mois et les prochaines années.

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Les petits fruits à la rescousse de votre santé cardiaque

Une toute nouvelle étude américaine vient saluer les vertus des petits fruits dans la prévention des maladies du cœur, rapporte Top Santé.

Ce sont des chercheurs de Harvard qui proposent ces conclusions, qui feront le bonheur des fanatiques de fraises, bleuets, framboises, mûres et autres petits fruits.

Comme Harvard ne fait jamais rien à moitié, les membres de l’équipe ont analysé les cas de près de 94 000 patientes âgées de 25 à 42 ans. Elles ont été suivies durant 18 ans et elles devaient répondre à plusieurs questions et sondages sur une base régulière.

Pour ces spécialistes de la prestigieuse université, il est évident que la consommation de fraises et de bleuets est hautement bénéfique pour la santé, plus particulièrement pour le cœur.

« Nous avons calculé que les femmes qui mangeaient des fraises et des bleuets au moins trois fois par semaine avaient 32 % moins de risques de souffrir de problèmes cardiaques que celles qui en mangeaient moins d’une fois par mois », lance le Dr Eric Rimm.

Les chercheurs notent également les effets à long terme de ces fruits. En effet, ils semblent que les gens qui en consomment dès leur jeune âge voient leur protection être efficace encore bien des années plus tard.

Cette étude devait d’abord statuer sur les effets des petits fruits sur la santé cardiaque des femmes, mais ils s’appliqueraient aussi aux hommes.

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Parler deux langues serait bénéfique pour le cerveau

Plusieurs sources, dont topsante.com, rapportent une étude qui trace un lien entre la maîtrise de plusieurs langues et les performances cérébrales.

On parle d’au moins une seconde langue, comme parler l’anglais pour un francophone, ou l’inverse. Selon les chercheurs de l’Université du Kentucky, qui parlent de « flexibilité cognitive », le fait d’être bilingue (ou trilingue, pourquoi pas) aurait un réel impact sur le lobe cérébral frontal.

Ces variations et optimisations cognitives seraient observables de façon croissante tout au fil de la vie d’un individu qui parle plus d’une langue, toujours selon l’étude publiée dans la plus récente édition du Journal of Neuroscience.

Pour prouver ces dires, les chercheurs américains ont étudié les cas de 110 personnes (de 60 à 88 ans) à qui l’on faisait passer une série de tests afin d’évaluer cette fameuse « flexibilité cognitive ».

Les chercheurs ont pu constater que les sujets bilingues passaient les tests avec plus de facilité, en plus de dépenser moins d’énergie en le faisant (évalué sur le cortex préfrontal).

Plus étonnant encore, cette étude s’ajoute à une récente publication qui prétendait que le bilinguisme serait excellent dans la prévention de certaines maladies comme l’Alzheimer et la démence.

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Le système immunitaire pourrait bien ne pas s’affaiblir avec l’âge

C’est toute une nouvelle que rapporte www.nlm.nih.gov, alors qu’une étude qui remet en doute l’affaiblissement du système immunitaire lors du vieillissement vient de paraître.

C’est du moins ce que croient les chercheurs canadiens à l’origine de l’étude, qui déclarent que les gens âgés sont encore assez forts pour combattre et terrasser les virus connus.

Encore une fois, ce sont les fameuses cellules T qui sont à l’honneur. Ces cellules de défense permettent de lutter contre les infections virales avec la même vigueur et force chez un jeune que chez une personne plus âgée.

« Depuis fort longtemps, il était normal de croire que les personnes plus âgées étaient plus à risque face aux infections parce qu’ils manquaient de cellules immunitaires. Mais, ce n’est tout simplement pas le cas. Les personnes âgées sont certainement capables de développer une immunité face aux virus », lance candidement Jonathan Bramson de l’Université McMaster d’Hamilton, en Ontario.

Pour en arriver à cette conclusion, Bramson et son équipe ont analysé les réponses du système immunitaire de trois groupes de sujets différents, de différentes tranches d’âge, évidemment.

Tous les groupes ont démontré que les réactions des cellules T étaient les mêmes.

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Le café de nouveau vanté pour ses bienfaits sur la santé

Le café reprend ses lettres de noblesse petit à petit, et une nouvelle étude vient une fois de plus vanter les mérites de cette boisson très populaire.

Cette fois-ci, c’est une étude de l’American Cancer Society, rapportée par www.nlm.nih.gov, qui explique que boire quelques tasses de café par jour pourrait bien prévenir le cancer de la bouche ainsi que certains types de cancer de la gorge.

Il semble qu’il soit établi que les buveurs de café réguliers sont moins à risque de développer ces cancers que ceux qui n’en boivent qu’occasionnellement.

Janet Hildebrand, auteure principale de l’étude, commente : « Le café est l’une des boissons les plus consommées dans le monde, et il contient une variété d’antioxydants, de polyphénols et d’autres éléments actifs qui aident à protéger le corps contre le développement de certaines maladies, dont les cancers. Même s’ils sont moins présents aux États-Unis, les cancers oraux et de la gorge sont parmi les dix cancers les plus communs dans le monde ».

Cette étude est le résultat d’analyses de plusieurs autres recherches menées sur le café et le cancer, depuis 1982.

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Les fruits « colorés » et les légumes au sommet de leur forme en automne

Le Dana-Farber Cancer Institute de Boston tient à rappeler à la population que la période actuelle en est une excellente pour intégrer les fameux fruits et légumes à son régime alimentaire.

Il appert que, selon les propos rapportés par www.nlm.nih.gov, la valeur nutritive des fruits et légumes est à son meilleur en automne. Même chose, donc, pour les propriétés anti-cancer des fruits dits « colorés ».

Stacy Kennedy, nutritionniste du Dana-Farber Institute, rappelle que ces fruits « colorés » (ainsi que les légumes) pourraient bien être la clé principale d’une vie sans cancer.

La pomme, par exemple, contient des nutriments qui protègent les cellules d’ADN des dommages qui pourraient mener à un cancer.

« La clé est de les manger crus, avec la peau. C’est là que se trouvent la plupart des nutriments. Et plus la pigmentation du fruit est puissante et riche, plus ses propriétés de protection contre le cancer sont élevées.

Elle souligne aussi l’importance et la puissance des légumes foncés et verts, comme le brocoli et les choux de Bruxelles, par exemple.

L’automne serait donc la saison parfaite pour remettre son corps sur la bonne voie!

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Les amateurs de thé vert mieux protégés contre le cancer

Les amateurs de thé vert seraient mieux protégés contre le cancer, affirme une étude reprise par www.nlm.nih.gov.

Ce serait particulièrement vrai pour les femmes plus âgées qui en boivent régulièrement. Les risques pour cette tranche de la population, en consommant du thé vert, diminueraient considérablement en ce qui a trait aux cancers du côlon, de l’estomac et de la gorge

Les recherches, effectuées sur des femmes originaires de la Chine, démontrent que celles qui boivent du thé ont 14 % moins de chances de développer une de ces maladies, contrairement à celles qui n’en boivent pas.

Si les résultats semblent évidents, les chercheurs tiennent à mettre un bémol sur la question, puisque selon eux, les gens qui sont amateurs de thé sont aussi généralement plus conscients de leur santé en général. D’autres facteurs sont donc peut-être à considérer.

Malgré tout, selon le Dr Wei Zheng, chef du département d’épidémiologie de la Vanderbilt University School of Medicine de Nashville, les vertus du thé en matière de prévention du cancer sont tout de même prouvées et claires.

Il est donc suggéré d’intégrer cette boisson à notre régime alimentaire, même si l’effet de causalité n’est pas démontré entièrement.

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Les antioxydants encore en vedette dans la lutte contre le cancer

Les antioxydants se retrouvent encore cités dans une nouvelle étude, eux qui sont déjà abondamment mis en vedette dans la lutte contre le cancer, cette fois en lien avec le cancer de la prostate.

Ces recherches tendent à démontrer que les hommes qui consomment des fruits, des légumes et du thé (et les antioxydants qu’ils contiennent) sont moins à risque de développer la forme la plus agressive de cancer de la prostate.

Les taux de survie seraient donc augmentés dans le cas d’un diagnostic de cancer de la prostate, rapporte www.nlm.nih.gov. Cependant, de l’aveu même des chercheurs, ces résultats sont partiels et limités. Il faudra donc attendre avant de pouvoir conclure qu’un régime alimentaire à base de fruits, légumes et autres végétaux protège vraiment contre le cancer.

Par contre, à la suite de l’examen de 1900 patients atteints, ceux qui avaient une meilleure diète et consommaient des fruits et légumes (et/ou du thé) avant l’apparition de la maladie ont donc réduit de 25 % leurs chances de développer la forme la plus ravageuse du cancer de la prostate.

« Nous voyons bien que même si cela ne vous prévient pas du cancer, les antioxydants permettent de se protéger de sa version la plus agressive », conclut la professeure Susan Steck de l’University of South Carolina’s Arnold School of Public Health.

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Tabagisme maternel : la vitamine C à la rescousse des poumons de bébé

« Fumer pendant la grossesse est connu pour affecter le développement pulmonaire du bébé. Cependant, nous avons trouvé que l’utilisation quotidienne de vitamine C (500 mg/jour) par une femme enceinte fumeuse améliore significativement les fonctions pulmonaires du nourrisson, d’après les résultats de tests effectués sur les bébés 48 h après leur naissance », a affirmé au site News Medical Cindy McEvoy, professeure associée à la pédiatrie de l’Oregon Health & Science University Doernbecher Children’s Hospital.

Ainsi, la vitamine C, qui représente un traitement simple, sûr et peu dispendieux, pourrait devenir une solution fort intéressante pour les 12 % des futures mères qui ne réussissent pas à cesser leur consommation de tabac durant la grossesse, pense la spécialiste.

Lors d’examens effectués 48 heures après la naissance de 159 poupons, il a été démontré que ceux dont les mères fumeuses avaient consommé de la vitamine C durant la grossesse avaient une respiration moins sifflante et une fonction pulmonaire plus efficace que ceux dont les mères avaient reçu le placebo.

Ce sont 500 mg de vitamine C administrés quotidiennement à la mère fumeuse qui pourraient être bénéfiques pour le bébé, avance l’étude qui sera présentée à l’ATS 2012 International Conference à San Francisco.

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Les garçons abusés sont moins portés à se protéger sexuellement

Une étude de l’Université de la Colombie-Britannique vient d’être publiée en ligne dans le Journal of Adolescent Health. Elle révèle que les garçons qui ont été abusés sexuellement, alors qu’ils étaient petits, sont cinq fois plus susceptibles de provoquer des grossesses chez les filles, pendant leur adolescence. 

Ils auraient également trois fois plus de chances d’avoir des partenaires sexuels multiples et seraient deux fois plus susceptibles d’avoir des relations sexuelles sans protection.
 
Pour en arriver à ces conclusions, les chercheurs ont analysé 10 séries de données canadiennes et américaines recueillies entre 1986 et 2011. On a fait remplir de façon anonyme des questionnaires par plus de 40 000 étudiants de niveau secondaire en Colombie-Britannique et aux États-Unis.
 
Cette enquête, selon les chercheurs, serait probablement la première à explorer l’impact que peut avoir la violence sexuelle sur le comportement des jeunes garçons.
 
Pour les spécialistes, il serait essentiel que la société (organismes, écoles, etc.) en fasse tout autant que pour les filles et songe davantage à venir en aide à ces garçons qui rarement exposent leur souffrance. Ils conseillent également aux adultes et parents entourant ces garçons de les sensibiliser aux conséquences de relations sexuelles non protégées.
 
En moyenne, il semblerait qu’environ 8 % des hommes et 20 % des femmes en Amérique du Nord soient ou aient été victimes d’abus sexuel.