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Percée majeure pour améliorer la mémoire

Imaginez s’il était possible de se souvenir de tout ce que vous avez vu ou entendu, suggère Science World Report.

Des scientifiques ont réalisé qu’en retirant la protéine FXR1P, celle qui bloque la production de molécules pour stocker de l’information, il était possible de décupler la mémoire.

L’auteur qui a dirigé cette étude, Keith Murai, explique dans la revue Cells Report : « Des recherches antérieures ont démontré qu’il était nécessaire que de nouvelles molécules soient formées pour garder de l’information en mémoire dans le cerveau; si vous bloquez la production de ces molécules, la formation de nouvel espace mémoire est impossible ».

« Nos résultats démontrent que le cerveau contient une protéine clé qui limite la production de molécules de la mémoire. Lorsque celle-ci est supprimée, le cerveau est en mesure de stocker plus d’information. »

La suppression de la protéine FXR1P a été validée auprès de rongeurs en laboratoire, et les tests ont été concluants.

Les chercheurs ont très bon espoir qu’une telle découverte représente une percée majeure pour guérir des maladies du cerveau, notamment l’Alzheimer.

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Bébé et cie

40 % des décès de bébés prématurés causés par une rupture de membrane amniotique

Les scientifiques de l’Université Queen Mary de Londres croient avoir trouvé la source de 40 % des décès de bébés nés avant terme.

Medical News Today rapporte que les experts peuvent désormais expliquer en quoi consiste la rupture prématurée des membranes lors de la grossesse, qui mène à un accouchement avant la date prévue.

Ils ont utilisé des techniques de bio-ingénierie pour tester les conséquences de l’étirement répétitif des tissus de la membrane amniotique. Celle-ci protège le fœtus jusqu’à la naissance.

Ils ont pu observer la surproduction de la prostaglandine E2 (PGE2) qui endommage tant les cellules que la structure mécanique du tissu. Par conséquent, la PGE2 active la protéine de jonction communicante 43 (Cx43), qui à son tour inhibe la capacité d’étirement, menant potentiellement à la rupture de la membrane.

La recherche a été publiée dans la revue médicale Placenta et s’avère être la première étude sur le rôle de la Cx43.

Désormais, l’équipe de scientifiques s’affaire à trouver un traitement pour prévenir la rupture, et donc réparer la membrane pendant la grossesse. Ils ont déjà obtenu le financement nécessaire de la part de Rosetrees Trust.

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L’érythropoïétine pourrait protéger le cerveau des bébés prématurés

Cette hormone reproduite de façon synthétique a été utilisée de façon illégale par de nombreux athlètes pour améliorer leur performance. Aujourd’hui, la médecine pourrait utiliser l’érythropoïétine (EPO) pour stimuler la protection cérébrale dès la naissance d’un enfant né avant terme.

« Nous avons réalisé que le cerveau des enfants qui avaient reçu ce traitement était bien moins endommagé que celui de ceux à qui l’on avait donné un placebo », rapporte Dr Russia Ha-Vinh Leuchter au réseau BBC News.

« C’est la première fois que les bienfaits de l’EPO sur le cerveau de bébés prématurés peuvent être observés. »

Dans le cadre de l’étude, les chercheurs ont séparé en 2 groupes 495 bébés nés entre la 26e et 31e semaine de gestation. Ils avaient donc tous un risque plus élevé de séquelles cérébrales. Le premier groupe recevait par intraveineuse 3 doses d’érythropoïétine en 42 heures.

Dans le groupe placebo, 36 % des enfants ont révélé des dommages cérébraux, alors que ce taux s’élevait à 22 % dans le groupe ayant reçu les injections d’EPO.

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Les tumeurs cérébrales préfèrent les hommes

Une protéine retrouvée chez la gent féminine constituerait l’explication des scientifiques. Plusieurs conditions médicales ont leur préférence quant au sexe du sujet qu’elles attaquent. Les tumeurs ne font pas exception, rapporte Science World Report.

Puisque les tumeurs au cerveau représentent la seconde principale cause de décès reliés au cancer chez les moins de 20 ans et les hommes de 20 à 39 ans, ces informations sont cruciales.

Une étude récente menée par l’équipe de chercheurs de l’Université de Washington à St. Louis a mis en lumière la raison pour laquelle certaines tumeurs cérébrales sont deux fois plus fréquentes chez les hommes.

La protéine du rétinoblastome (RB), une protéine qui aide à réduire les risques de cancer, est beaucoup plus active dans les neurones cérébraux de la femme.

« C’est la première fois que quiconque relate une différence reliée au sexe en ce qui a trait au risque de tumeur », a commenté Dr Joshua Rubin, responsable de la recherche.

Selon lui, cette avancée permettra désormais de s’attarder à l’efficacité des traitements selon le sexe du patient, mais pas uniquement en ce qui a trait aux tumeurs cérébrales. Il faudra élargir le champ de recherche aux autres cancers.

Les résultats ont été publiés dans la revue scientifique Journal of Clinical Investigation.

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La découverte d’une nouvelle protéine pourrait aider les diabétiques

FGF1 pourrait donc être introduite dans les nouveaux traitements contre le diabète, explique Santé Log.

Parue dans la revue Nature, l’étude américaine qui a été réalisée auprès de souris pourrait s’avérer bénéfique à l’homme atteint de diabète de types 1 et 2.

En ce qui a trait aux diabétiques de type 1, la protéine FGF1 pourrait aider à stabiliser le taux de glycémie. Cependant, les personnes qui en sont atteintes devraient poursuivre les injections d’insuline.

Pour les personnes catégorisées dans le type 2, la protéine FGF1 signifie la possibilité d’un traitement efficace complet.

Le site Santé Log explique en détail certaines étapes de l’analyse. « Des injections répétées de FGF1 tous les 2 jours pendant 35 jours chez la souris améliorent leur sensibilité à l’insuline et réduisent leur glycémie sans effets secondaires graves.»

Dans certains cas, l’un des inconvénients pourrait être la prise de poids, relève l’étude qui compare les effets secondaires de la nouvelle protéine à d’autres antidiabétiques oraux, comme les thiazolidinediones ou les glitazones.

Crédit photo : Rustle/Bigstock.com

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Risque de cancer du sein si l’on consomme trop de viande rouge

Comme le rapporte Medical News Today, il existe déjà de nombreux facteurs de risque de développer le cancer du sein, et la viande rouge ne représentait pas nécessairement l’un d’entre eux.

Or, les études précédentes se basaient sur le régime alimentaire des femmes adultes jusqu’à la ménopause. Une nouvelle recherche fait la lumière sur un risque réel, en rapport avec la consommation de viande rouge chez les adolescentes.

Les données de 88 803 femmes de 26 à 45 ans ont été récoltées, mais en plus de leur régime alimentaire présent, les spécialistes compilaient les informations sur l’alimentation à l’adolescence. Les autres aliments riches en protéines faisaient également partie du questionnaire soumis.

Le suivi a été effectué pendant 20 ans, et selon les rapports médicaux, les chercheurs ont relevé 2830 cas de cancer du sein.

Il s’est avéré que la consommation de viande rouge avant la période adulte avait un impact direct sur le risque de cancer du sein (22 % plus de risque).

Au contraire, celles qui consommaient plus de poulet durant la même période abaissaient leur risque de développer un cancer du sein. Remplacer un repas de viande rouge par une autre source de protéine permettait une diminution du risque de 14 %.

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Une juste portion de protéines à chaque repas serait bénéfique pour la santé

Une nouvelle étude américaine vient ajouter de l’information concernant les protéines et leurs bienfaits sur la santé, mais vient surtout proposer une posologie à respecter pour des effets bienfaiteurs maximisés.

Ainsi, selon les chercheurs de l’aile médicale de l’Université du Texas à Galveston, les habitudes des Nord-Américains en matière de repas ne permettraient pas d’optimiser le vieillissement en bonne santé.

Trop de protéines au souper, croient les chercheurs, qui estiment à 30 grammes la portion nécessaire (et maximale) par repas, au lieu d’une surabondance de protéines dans un seul repas au cours de la journée. On donne en exemple le déjeuner, qui bénéficierait davantage de la présence d’un œuf ou d’un verre de lait que de celle d’un bol de céréales très sucrées ou d’une pâtisserie.

Le fait d’étirer ses portions de protéines tout au long de la journée favoriserait la santé des muscles et permettrait de vieillir en meilleure santé, explique également Leslie Beck, une spécialiste américaine qui rapporte les conclusions de l’étude.

L’étude texane a été publiée dans le Journal of Nutrition.

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Une étude estime que certains antidépresseurs peuvent ralentir l’Alzheimer

La maladie d’Alzheimer pourrait-elle être freinée dans son développement par certains types d’antidépresseurs? Voilà la question qui se pose à la suite du dépôt d’une nouvelle étude sur le sujet.

L’étude en question, par ailleurs rapportée par The National Library of Medicine, constate que certains types de traitements contre la dépression semblent capables de limiter les niveaux de protéines responsables du blocage cérébral observable chez les patients souffrant de la maladie d’Alzheimer.

Le traitement mentionné dans cette étude préliminaire est le Celexa, qui possède plusieurs descendants du genre de la même famille. Quelques options sont possibles, donc, selon les chercheurs de l’Université de la Pennsylvanie à la tête de cette recherche.

« C’est le premier pas dans l’effort de se diriger vers un traitement préventif. Jusqu’à maintenant, les spécialistes ont concentré leurs efforts sur le traitement de l’Alzheimer en soi, mais il semble que ça se produit trop tard », explique la Dre Yvette Sheline, auteure de l’étude.

Des propos rassurants dans le dossier de l’une des maladies les plus terrifiantes, alors que la recherche se poursuit de plus belle.

Les conclusions de la Dre Yvette Sheline et son équipe ont été publiées dans le magazine Science Translational Medicine.

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Une protéine naturelle pour traiter l’intolérance au gluten

L’intolérance au gluten, ou maladie coeliaque, semble atteindre de plus en plus de gens et est ouvertement discutée par plusieurs, dont certaines célébrités.

Il s’avère donc important de mieux comprendre et de trouver de nouvelles pistes de solution, croient les spécialistes appelés à commenter cette hausse observable des cas d’intolérance au gluten.

La solution pourrait bien venir d’un groupe composé de chercheurs de trois établissements différents, soit l’INSERM (France), l’Université McMaster (Canada) et l’École polytechnique fédérale de Zurich (Suisse).

Les chercheurs de cette équipe seraient en effet parvenus à livrer avec succès une bactérie probiotique dans l’estomac de souris, et ainsi paver la voie à de possibles traitements contre l’intolérance au gluten, rapporte NutritionNews.

Plus encore, les spécialistes qui dirigent ces recherches auraient également confirmé avec succès les bienfaits d’une protéine naturelle de l’organisme en traitement de la maladie coeliaque. Il s’agit de la protéine humaine Elafin, qui permettrait l’élaboration de certains traitements.

Une bonne nouvelle, puisqu’aucun traitement officiel et efficace contre la maladie coeliaque n’a encore été découvert et approuvé. La seule solution qui se présente aux patients qui en souffrent est de cesser complètement la consommation de tout aliment comprenant du gluten.

Les conclusions et observations des chercheurs de cette étude ont été publiées dans l’American Journal of Gastroenterology.

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La protéine 73 et la fertilité masculine

Des chercheurs américains et allemands expliquent le lien qui existe entre une protéine spécifique et la capacité de reproduction masculine dans une nouvelle étude fort intéressante, rapporte Top Santé.

Les chercheurs de l’Université Göttingen en Allemagne et de l’Université Stony Brook de New York ont découvert qu’une protéine appelée P73 est nécessaire au bon fonctionnement du système reproducteur masculin, après avoir mené une série de tests et d’analyses sur des souris.

« Lors de la reproduction, deux types de protéines interviennent. La famille des protéines 53 et celle des protéines 63 qui, chez les mammifères, détruit les œufs et le sperme qui présentent des défauts et dommages à l’ADN. Nous avons constaté que sans la protéine 73, les spermatozoïdes n’étaient pas viables », peut-on lire dans les conclusions de l’étude allemande et américaine.

Si ces révélations ne veulent possiblement pas dire grand-chose pour commun des mortels, il est intéressant d’apprendre que celles-ci pourraient mener à de nouvelles possibilités en matière de traitement de l’infertilité masculine.

Les résultats de l’étude ont été publiés dans le Journal of Cell Biology.