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Trop de protéines peuvent affecter la santé des cinquantenaires

Les gens qui traversent le cap de la quarantaine et de la cinquantaine devraient surveiller leurs apports en protéines dans leur alimentation, si l’on se fie aux conclusions proposées dans une nouvelle étude.

L’étude en question, rapportée par The National Library of Medicine, estime qu’une diète à forte teneur en protéines peut s’avérer dommageable pour la santé des personnes en « milieu de vie », soit entre 45 et 60 ans.

Passé cet âge, étrangement, il semble que les protéines redeviennent un allié de la santé, comme le confirmait d’ailleurs une récente étude sur le sujet.

« La recherche démontre qu’une diète faible en protéines en milieu de vie peut être utile pour prévenir du cancer et de la mortalité en général. Cependant, nous proposons également qu’à un âge plus avancé, il peut être important d’éviter une diète faible en protéines afin de maintenir un poids santé », explique la coauteure de l’étude, Eileen Crimmins, de l’Université de la Californie du Sud.

En clair, l’humain doit s’adapter selon son groupe d’âge en matière de santé, et cette nouvelle étude confirme que les besoins et dangers du corps humain évoluent avec les autres facteurs lors du vieillissement.

Les conclusions de l’étude californienne ont été publiées dans le magazine Cell Metabolism.

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Les épinards et les oeufs favoriseraient des réflexes plus rapides

Certains aliments peuvent-ils augmenter votre vitesse de réaction et vos réflexes?

Si l’on se fie aux informations rapportées par Science Daily, il semble que oui, à condition que ces aliments contiennent de la tyrosine. Cette dernière est un acide aminé compris dans la composition des protéines, notamment.

Les épinards et les œufs sont d’excellents exemples d’aliments renfermant de la tyrosine, semble-t-il, puisqu’ils sont cités en exemple dans cette étude en provenance des universités Leiden et d’Amsterdam.

Les chercheurs ont testé les bienfaits des aliments renfermant de la tyrosine sur un groupe de sujets, et ont rapidement décelé une amélioration des réflexes et du temps de réaction de ceux-ci dans certaines situations données.

Notamment, on avance que les personnes ayant consommé des œufs ou des épinards avant de prendre le volant auraient moins de chances de faire un accident, ou à tout le moins de réagir plus rapidement que les autres en situation d’accident potentiel.

Les résultats étonnants de cette étude ont été publiés dans le journal Neuropsychologia.

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Le rat-taupe nu continue d’émerveiller la communauté scientifique

On rapportait récemment une étude fascinante effectuée sur le compte du rat-taupe nu et de son incroyable invulnérabilité au cancer, une recherche qui avait fait le tour du monde.

Voilà que le dossier se poursuit, explique Top Santé, alors qu’une nouvelle étude se penche maintenant sur la longévité stupéfiante de l’animal, qui peut vivre jusqu’à 35 ans!

Incroyable, si l’on considère que les animaux de la même famille vivent en moyenne deux petites années…

Une équipe de chercheurs menée par le professeur en biologie Andrei Seluanov a donc effectué des recherches plus poussées sur le rat-taupe nu, pour découvrir un système cellulaire et de création de protéines qui frisent la perfection.

« C’est important, car des protéines sans altération permettent au corps de fonctionner plus efficacement… Bien qu’il s’agisse de recherches fondamentales, nous espérons que notre découverte encouragera d’autres travaux sur des moyens d’améliorer la synthèse des protéines », explique Seluanov, visiblement enthousiaste. 

En clair, les recherches sur le rongeur africain pourraient un jour permettre de contrer certains effets retour du vieillissement, prévenir certaines maladies et peut-être protéger du cancer, comme on le mentionnait dans cette précédente étude publiée dans le magazine Nature récemment.

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Comprendre et maximiser l’impact des protéines

Plusieurs mythes et théories circulent en ce qui concerne les fameuses protéines, ce qui rend la compréhension de la chose un peu difficile pour le consommateur moyen.

Fraservalley.healthcastle.com tente de démystifier l’affaire et parle d’abord de l’importance du synchronisme lorsqu’il est question de protéines. Le moment de la journée est donc un facteur déterminant dans le rôle et l’impact qu’auront les protéines sur votre journée.

On explique que le corps est un peu comme un entrepôt, mais qu’il possède un espace limité. Il stocke donc les protéines, essentielles à l’énergie, mais d’en manger trop d’un seul coup s’avère inutile et non stratégique.

On doit donc étaler ses portions de protéines au cours d’une journée, explique Michelle Shepherd, et le quart de chaque repas devrait en être constitué.

Elle explique également dans son article que les protéines permettent un meilleur sentiment de satiété et qu’elles peuvent donc, par conséquent, contribuer à la perte de poids! Voilà qui est contraire à certaines théories partagées.

Pour terminer, n’oublions pas qu’il est toujours fortement recommandé de prendre un bon petit déjeuner, car il s’agit d’un moment clé de la journée pour ne pas rater notre rendez-vous avec les précieuses protéines!

ieurs mythes et théories circulent en ce qui concerne les fameuses protéines, ce qui rend la compréhension de la chose un peu difficile pour le consommateur moyen.

Fraservalley.healthcastle.com tente de démystifier l’affaire et parle d’abord de l’importance du synchronisme lorsqu’il est question de protéines. Le moment de la journée est donc un facteur déterminant dans le rôle et l’impact qu’auront les protéines sur votre journée.

On explique que le corps est un peu comme un entrepôt, mais qu’il possède un espace limité. Il stocke donc les protéines, essentielles à l’énergie, mais d’en manger trop d’un seul coup s’avère inutile et non stratégique.

On doit donc étaler ses portions de protéines au cours d’une journée, explique Michelle Shepherd, et le quart de chaque repas devrait en être constitué.

Elle explique également dans son article que les protéines permettent un meilleur sentiment de satiété et qu’elles peuvent donc, par conséquent, contribuer à la perte de poids! Voilà qui est contraire à certaines théories partagées.

Pour terminer, n’oublions pas qu’il est toujours fortement recommandé de prendre un bon petit déjeuner, car il s’agit d’un moment clé de la journée pour ne pas rater notre rendez-vous avec les précieuses protéines!

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net

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Les protéines « modifiées » soulèvent des inquiétudes en santé

Ah, les protéines! Elles sont vantées par quiconque vous parlera de santé et de saine alimentation. Pour plusieurs, protéines riment avec énergie, ce qui est effectivement le cas.

Le problème, rapporte avec brio Nutrition News, c’est que trop de consommateurs vouent un culte aveugle aux protéines, ce qui provoque deux effets observables.

D’abord, les protéines ne font pas exception à la règle générale, et il est bel et bien possible d’en manger trop. Ensuite, les compagnies productrices de produits alimentaires connaissent très bien la montée de l’engouement pour les produits à forte teneur en protéines, et particulièrement ceux qui sont biologiques et « santé ».

On se tourne donc vers des sources comme les pois, par exemple, que l’on « adapte » de façon à maximiser l’impact des protéines. Comme cet ingrédient ne transforme pas le goût d’un aliment, on peut donc l’intégrer à une multitude de produits.

Mais cette adaptation, vous l’aurez compris, est en fait une modification génétique. Un OGM, en bref, ce que dénoncent de plus en plus de gens et d’observateurs.

Ces derniers suggèrent d’ailleurs de ne pas se détourner complètement de la viande animale et des autres végétaux, qui proposent des protéines « complètes » et non modifiées afin d’en enlever les autres nutriments.

Une loi visant à obliger l’affichage des OGM sur les produits devrait être en vigueur d’ici 2018. 

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Rajeunir le coeur grâce à du sang neuf

Santé Log rapporte une découverte en provenance de Harvard qui pourrait changer certaines façons de procéder en cardiologie, plus particulièrement dans le traitement de certains problèmes cardiaques liés au vieillissement.

Cette découverte porte le nom de GDF-11, une protéine qui s’est avérée efficace pour « rajeunir » le cœur de souris lors d’essais en laboratoire.

La protéine est présente dans le sang des humains plus jeunes, et lorsque transplantée dans un organisme plus âgé, elle permettrait de traiter des problèmes liés à l’insuffisance cardiaque.

On comprend, des conclusions de ces spécialistes du Harvard Stem Cell Institute, que s’il est pratiquement impossible d’éviter ces changements dus à l’âge, la science pourrait maintenant assurer de meilleurs traitements ainsi qu’une meilleure capacité de prévention chez les gens qui prennent de l’âge.

L’étude effectuée sur des souris a été publiée dans la revue Cell et abonde dans le même sens que plusieurs autres publications parues dans le magazine Nature depuis quelque temps.

C’est une véritable avancée technologique et scientifique que cette découverte, qui jette encore une fois beaucoup d’optimisme chez les spécialistes en cardiologie. 

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Le blanc d’oeuf bon pour le coeur

Selon le site The Telegraph, certains chercheurs déclarent que la consommation de blancs d’œufs serait aussi efficace contre la haute pression que certains médicaments.

L’étude, menée par le Dr Zhipeng Yu de l’Université Jilin en Chine, a permis de découvrir qu’un peptide (un fragment de protéine) nommé RVPSL, contenu dans le blanc d’œuf, permettait de faire baisser la haute pression sanguine chez le rat.

Le docteur espère obtenir une approbation rapide pour effectuer les mêmes tests sur des humains. Il dit : « Nos nouvelles trouvailles viennent soutenir des résultats semblables obtenus dans le passé. Ils sont assez prometteurs pour espérer passer à l’étape suivante et faire de plus amples recherches sur le peptide de blanc d’œuf, mais cette fois-ci sur les humains ».

Lors de la présentation de leur travail au rassemblement national de l’American Chemical Society, le Dr Yu et son équipe ont également révélé que le fragment protéiné semble fonctionner de la même façon que le Captopril, un médicament habituellement prescrit contre la tension artérielle.

De plus, la cuisson de l’œuf ne change rien à ce peptide, ce qui serait un bon outil pour aider les patients à baisser leur pression.

Autre bonne nouvelle, alors que les œufs ont longtemps été pointés du doigt à cause de leur teneur en cholestérol, d’autres récentes recherches ont conclu qu’ils sont meilleurs pour la santé que ce que l’on croyait.

 

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Percée importante dans le traitement de la trisomie 21

Santé Log rapporte des conclusions époustouflantes, qui tendent à laisser croire qu’un traitement, à tout le moins partiel, de la trisomie 21 est envisageable.

Selon les chercheurs du Sanford-Burnham Medical Research Institute, il serait possible de manipuler un chromosome responsable de la faible production d’une protéine retrouvée au cerveau.

Ils seraient même parvenus à prouver leur théorie sur des souris, ce qui rend la communauté scientifique optimiste quant à cette percée.

Il s’agit de la protéine trinexine 27, qui pourrait être restaurée par une thérapie génique précise. Le cas échéant, les chercheurs de Sanford-Burnham croient que plusieurs capacités cérébrales et fonctions cognitives pourraient être améliorées.

Le professeur Xu Huaxi, directeur de l’étude, explique : « Dans le syndrome de Down, le manque de SNX27 est au moins partiellement responsable des anomalies du développement et des déficits cognitifs. Tout revient à la normale après ce traitement par SNX27 ».

Les souris dites trisomiques qui ont subi l’intervention auraient effectivement retrouvé plusieurs fonctions cognitives, ce qui fait subsister l’espoir de voir un jour apparaitre un traitement efficace contre cette terrible maladie qui touche tant de familles.

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Les femmes sont-elles vraiment plus loquaces que les hommes?

Santé Log répond à une question qui semble de prime abord sexiste : les femmes parlent-elles plus que les hommes?

L’étude rapportée par le site répond non seulement à cette question par l’affirmative, mais elle explique également l’une des raisons qui pourrait expliquer ce phénomène.

On avance d’abord que la femme prononcera en moyenne 20 000 mots par jour, pour 7000 pour un homme. Mais attention, si on comprend bien les résultats de cette étude en provenance de l’Université du Maryland, ce phénomène cacherait un beau compliment pour la gent féminine.

En fait, il appert que si les femmes parlent plus, c’est qu’elles auraient une meilleure capacité d’apprentissage et de maîtrise du langage, une capacité démontrée et expliquée par la présence de la protéine FOXP2.

Cette dernière jouerait un rôle dans la capacité et la volonté de s’exprimer, et de le faire adéquatement.

Fait étrange, on retrouve davantage cette protéine chez les rongeurs mâles, comme les rats, mais moins chez leurs homologues humains.

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Une protéine qui augmente les risques de haute pression

Des chercheurs viennent de découvrir l’impact et l’importance insoupçonnés d’une protéine sur les risques de développer des problèmes de haute pression, rapporte les National Institutes of Health.

Cette protéine lrp1 était déjà bien connue des spécialistes, notamment pour son rôle dans la régulation du fer contenu dans l’organisme. Il appert maintenant qu’elle joue également un rôle important dans la prévention de la haute pression, plus précisément chez une forme qui affecterait les poumons.

Ce sont des tests effectués sur des souris qui ont permis d’en arriver à cette conclusion, et les chercheurs disent avoir bon espoir de pouvoir traduire ces recherches en percée médicale.

« Ces informations pourraient mener à des progrès concernant le traitement de la polycythémie et de l’hypertension pulmonaire qui surviennent sans cause apparente. Il est donc possible que ces désordres soient le résultat d’une dysfonction de la protéine lrp1 », déclare Tracey A. Rouault, auteure de l’étude.

Ces recherches ont également permis de mieux comprendre comment le corps dirige le fer dans l’organisme pour notamment prévenir l’anémie (déficience des globules rouges dans le sang).