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La vitamine D et les oméga-3, un duo de choc pour contrer l’Alzheimer?

Des chercheurs américains sont parvenus à déterminer le processus de fonctionnement de la vitamine D (D3) et des oméga-3 sur le système immunitaire, qui permettrait notamment d’annihiler ce qu’on appelle les plaques amyloïdes.

Ces dernières se retrouvent au cerveau et sont une caractéristique de la maladie d’Alzheimer.

Selon les conclusions de ces chercheurs californiens, rapportées par Santé Log, la vitamine D3 permet d’éliminer les plaques amyloïdes en éradiquant sa protéine, la protéine bêta-amyloïde.

Même son de cloche concernant les oméga-3, qui permettraient la même chose, sauf que dans ce cas-ci, on s’attend à d’autres recherches sur le sujet afin d’avoir un portrait plus clair.

C’est que les oméga-3 et leurs effets sur la santé, notamment sur le cerveau, font l’objet d’une certaine polémique au sein de la communauté scientifique.

Toutefois, pour les chercheurs de l’Université de Californie en tête de l’étude, la vitamine D et les oméga-3 pourraient constituer un intéressant cocktail pour plusieurs patients.

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Découvrez la molécule TIC 10

Santé Log nous apprend l’existence d’une molécule qui s’avère une alliée de taille dans la lutte au cancer, selon des recherches publiées dans la plus récente édition du magazine Science Translational Medicine.

Appelée TIC 10, cette molécule « pousserait les cellules cancéreuses au suicide », une image dramatique qui explique bien ses méthodes de fonctionnement. Cette molécule TIC 10 favoriserait la création de la protéine baptisée Trail, qui lutte contre les cellules cancéreuses.

Le problème, c’est que la protéine Trailperd de son efficacité lorsque le cancer gagne du terrain. Il est donc primordial de lui redonner les outils afin qu’elle poursuive son combat tout au long de la terrible maladie.

C’est là qu’intervient la fameuseTIC 10, qui stimule les facultés et le rôle joué par la protéine. D’ailleurs, l’appellation « TIC » signifie « TRAIL-Inducing Compound ».

Le processus a été étudié sur des souris, et dans plusieurs cas, celui-ci s’est avéré efficace pour contrer les cellules cancéreuses, et ce, en moins de trois semaines.

D’autres recherches sur des rongeurs sont prévues avant de commencer les essais, cliniques, mais il s’agit d’une autre percée porteuse d’espoir.

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Étape importante franchie dans la lutte à l’influenza

Radio-Canada rapporte qu’un groupe de chercheurs, spécialistes et scientifiques provenant de partout dans le monde annonce qu’il est parvenu à définir un processus qui permettrait d’enrayer plusieurs virus bien connus.

Il s’agit donc d’une percée fort importante si ces dires se vérifiaient, car on parle de vaincre une fois pour toutes certains virus comme la grippe, le SRAS, l’hépatite C, la fièvre du Nil et la polio.

Voilà une bonne nouvelle pour les gens qui souffrent ou ont souffert de ces maladies, ainsi que pour les citoyens des pays les plus glaciaux en hiver, là où les épidémies de grippe frappent sauvagement chaque année.

C’est donc lors d’un congrès se déroulant en Saskatchewan, au Canada, que cette découverte a été dévoilée, celle de la structure d’une protéine que l’on dit clé dans la prévention et la protection contre plusieurs virus notoires.

On avance aussi que les chercheurs de l’Université McGill et du Centre de recherche australien sur la médecine moléculaire ont été des chefs de file lors de ces travaux.

Le groupe croit qu’après avoir réussi à établir la structure de cette fameuse protéine, il pourra maintenant mettre au point de nouveaux traitements efficaces et ainsi possiblement enrayer plusieurs types de maladies virales, notamment plusieurs souches de l’influenza.

La grippe pourrait-elle bientôt n’être qu’un lointain souvenir? Une histoire à suivre…

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Percée prometteuse dans la lutte au VIH

Le moment de vérité approche : le premier essai clinique d’un vaccin contre le VIH sur l’homme est sur le point d’être effectué, rapporte Santé Log.

Rappelons que ce vaccin doit cibler et bloquer ce que les spécialistes appellent la protéine Tat, qui s’attaque au système immunitaire et empêche celui-ci de se défendre adéquatement contre le virus.

Selon le Dr Erwann Loret, il s’agit d’un moment empreint d’espoir pour les chercheurs et les patients atteints de cette terrible maladie, car cet essai clinique pourrait bien s’avérer la première étape vers un traitement complet.

Le vaccin étant également créé pour prévenir la maladie, on pourrait voir les statistiques concernant le VIH et le SIDA baisser dramatiquement. Il est important de mentionner que celles-ci sont déjà un peu en baisse, à la suite des efforts phénoménaux de prévention effectués par des spécialistes et patients de partout sur la planète.

Il semble que le message soit passé, mais cela ne suffit pas. Le Dr Loret souhaite depuis maintenant sept ans s’attaquer à la source même du problème.

Il déclarait à l’époque : « Les antiviraux actuels ne permettent pas de guérir du SIDA; le virus responsable de la maladie reste dans les cellules humaines. Plusieurs études montrent que la protéine virale Tat bloque les cellules tueuses du système immunitaire, empêchant celles-ci d’éliminer les cellules infectées ».

Il semble donc que son rêve puisse se réaliser, et on attend la suite avec impatience.

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Une protéine dans le sang liée à l’état dépressif

On apprend par l’entremise de www.nlm.nih.gov que des chercheurs viennent d’identifier une protéine spécifique qui pourrait indiquer l’état dépressif, voire mener à la maladie.

Les chercheurs danois qui publient cette étude croient avoir remarqué que les taux de la protéine C réactive dans le sang sont clairement plus élevés chez les gens qui souffrent de dépression que chez les autres.

Il est d’autant plus intéressant d’apprendre cet état de fait que la hausse de C réactive est aussi un symptôme lié aux inflammations ou à certaines infections.

Une grande question demeure : ces taux de protéine C réactive dans le sang sont-ils simplement des indicateurs ou sont-ils aussi en cause dans le développement des troubles dépressifs?

Bien sûr, s’il était prouvé que les humeurs peuvent varier en fonction de ces taux, les chercheurs pourraient éventuellement en arriver à certaines nouvelles formes de traitement.

Pour l’instant, le Dr Borge Gronne, du Copenhagen University Hospital, se limite à confirmer que les gens avec des taux élevés de C réactive sont deux à trois fois plus sujets à la dépression que les autres.

Il précise par contre qu’ils ignorent lequel déclenche quoi, c’est-à-dire quelle action vient en premier.

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Des chercheurs réussissent à « inverser » l’obésité chez des souris

Aussi incroyable que cela puisse paraître, des chercheurs sont parvenus à « inverser » le processus qui mène à l’obésité chez des souris, en isolant et en manipulant une protéine de l’organisme.

Ainsi, selon ce qu’explique santelog.com, les chercheurs d’une équipe internationale ont réussi l’exploit en favorisant la production de la tyrosine protéine kinase-2 (que nous appellerons Tyk2 pour plus de clarté).

La Tyk2 est une enzyme qui permettrait la régulation du poids et donc de l’obésité. Ces théories et observations ont été publiées dans la plus récente édition du magazine scientifique Cell Metabolism.

Le fait d’avoir réussi ce tour de force chez les rongeurs laisse croire qu’ils pourraient reproduire le « traitement » aussi chez l’humain.

C’est la découverte du « tissu adipeux brun » actif chez l’adulte qui a mené à ces conclusions, puisque l’on croyait depuis longtemps que ce type de tissu n’était actif que chez les bébés.

Une corrélation entre ce tissu adipeux et la Tyk2 a ensuite été énoncée, puis maintenant prouvée, selon ce que l’on comprend des conclusions avancées par les chercheurs.

Le professeur Andrew Larner a bon espoir de voir cette enzyme produire d’excellents résultats, et même un jour peut-être inverser carrément le phénomène d’obésité.

D’autres tests et études sur le sujet sont à venir.

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Nouvelle stratégie pour combattre efficacement l’influenza et l’inflammation

Des chercheurs auraient trouvé une nouvelle technique pour contrer les effets de l’influenza, mieux connue sous le nom de virus de la grippe, et ses possibles complications.

Même si une grippe n’est souvent pas mortelle pour celui qui la contracte, elle peut apporter son lot de désagréments et de complications qui peuvent rapidement dégénérer. Plusieurs ont sans doute vécu le phénomène d’une grippe qui s’aggrave au point de former une bronchite ou une pneumonie, par exemple.

C’est que le corps humain répond à la présence du virus par le système immunitaire, ce qui peut parfois mener à une inflammation (des poumons, entre autres).

Voilà que des chercheurs de l’INRA affirment être en mesure de régler le problème « à la source », après avoir isolé et supprimé la protéine PAR1 chez des souris. Cette protéine serait à l’origine du processus qui mène à une inflammation, rassemblant toutes les cellules inflammatoires au site de l’infection, selon ce qu’explique santelog.com.

Les chercheurs auraient donc réussi à protéger complètement les rongeurs d’une possible infection, ce qui permet de croire que le processus s’appliquerait aussi sur l’humain.

En supprimant PAR1, on s’attaque à la cellule hôte au lieu du virus en tant que tel. Une percée majeure qui pourrait mener à de nouveaux traitements efficaces, ce qui remonte le moral des chercheurs avec l’arrivée de nouvelles souches modernes et plus agressives de l’influenza.

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Une diète riche en protéines pour favoriser la perte de poids

Les gens qui consomment beaucoup de protéines lors de leurs repas et collations pourraient bien réussir à perdre quelques livres de plus que les autres, selon www.nlm.nih.gov.

Ces résultats proviennent d’une analyse de plusieurs études qui tendent à démontrer que sur une période de 12 semaines, ceux qui ont haussé leur consommation de protéines auraient perdu 1,8 livre de plus que ceux qui en mangeaient moins.

Tous les autres facteurs alimentaires devaient être similaires entre les groupes de gens étudiés, afin d’en venir à ces conclusions.

Ainsi, les protéines pourraient aider ceux qui aimeraient perdre quelques livres, raconte le Dr Thomas Wycherley, de l’Université d’Australie du Sud.

Il explique : « Les pertes de poids du groupe super-protéiné étaient supérieures, mais de façon modeste. Même à faible échelle, ceci peut tout de même signifier une importance clinique pour la population en général ».

Aucun changement n’a toutefois été observé en ce qui a trait aux taux de cholestérol ou de pression sanguine chez un groupe ou l’autre, précise l’étude.

Dr Wicherley émet l’hypothèse que le corps dépenserait peut-être plus de calories en brûlant des protéines que d’autres éléments.

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Trop de produits laitiers pourrait endommager le sperme

Le régime alimentaire d’un homme peut sensiblement faire varier ses capacités reproductives, selon plusieurs études et experts.
 
Mais de façon plus précise, une nouvelle étude annoncée par le site nlm.nih.gov déclare que les produits laitiers et les glucides seraient spécialement mauvais pour le sperme, et donc pour la reproduction en général.
 
Donc, plus un homme absorbe de lait et ses dérivés, plus ses chances de procréer diminuent, conclut l’étude effectuée à San Diego, Californie.
 
Du côté des femmes, on note des phénomènes similaires, alors que deux études sur la fertilité (in vitro) ont démontré que de hausser sa consommation de protéines tout en baissant celle de glucides leur permettrait d’augmenter leurs chances mathématiques de féconder.
 
Même si les liens sont plus qu’évidents aux yeux des chercheurs, l’effet de causalité n’a pas encore été prouvé hors de tout doute.
 
Ces plus récentes recherches ont été présentées à la réunion annuelle de l’American Society for Reproductive Medicine, par J.B. Russell.
 
Les chercheurs affirment par ailleurs que le taux de spermatozoïdes global est en déclin partout sur la planète, un phénomène appelé à grandir au courant du prochain siècle.
 
Il s’agit là d’une déclaration controversée et inquiétante.
 
Crédit photo : www.FreeDigitalPhotos.net
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Les fraises protègent des maladies cardiaques

Déjà, nous savions que les fraises avaient de nombreux bénéfices pour la santé, notamment sur les maladies du cœur et le diabète, mais cette fois, des chercheurs de la Warwick Medical School ont fait une autre découverte.
 
Les fraises activent dans l’organisme la protéine Nrf2 qui a un effet antioxydant, mais surtout protège des maladies cardiaques.
 
Cette protéine diminue les lipides dans le sang ainsi que le niveau de mauvais cholestérol, deux facteurs de risques importants qui favorisent l’apparition d’incidents cardiovasculaires.
 
Cette nouvelle étude, présentée à la réunion de la Society for Free Radical Research International, démontre donc que les fraises activent la protéine de protection, ce qui a pour effet d’augmenter nos défenses cellulaires pour protéger les organes.
 
Les scientifiques poursuivent leurs recherches pour non seulement confirmer les résultats, mais aussi découvrir quel type de fraise sera plus bénéfique et quelle façon de la consommer nous permettra de bénéficier de ces bienfaits au maximum.