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Les protéines à la rescousse contre l’obésité

(Relaxnews) – Des chercheurs de l’Inserm ont réussi à démontrer comment les protéines alimentaires, présentes dans la viande, le poisson et les oeufs, et recommandées à grande échelle par les régimes amincissants hyperprotéinés, Dukan en tête, pouvaient générer une sensation de satiété, généralement ressentie plusieurs heures après un repas.

Publiés dans la revue scientifique Cell le jeudi 5 juillet, ces travaux permettraient d’améliorer la prise en charge des patients obèses ou en surpoids.

Dans cette nouvelle étude, les scientifiques ont montré que l’absorption de protéines alimentaires permettait de déclencher des échanges entre le système digestif et le cerveau, provoquant ainsi un effet « coupe-faim ».

En détail, ce sont des récepteurs présents dans le système nerveux, notamment connus pour leur rôle dans le système nerveux du plaisir, qui permettent l’échange de messages entre le cerveau et le système digestif.

« Sollicités trop fortement, ces récepteurs peuvent devenir insensibles. Il faudrait donc trouver le meilleur moyen de les activer “modérément” afin de garder leur effet bénéfique à long terme sur le contrôle de la prise alimentaire », assurent les principaux auteurs de l’étude.

Ces travaux pourraient ouvrir la voie à de nouvelles pistes thérapeutiques dans le traitement du surpoids et de l’obésité.

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Une protéine pour brûler plus de graisses

Des chercheurs de l’Université de Cambridge ont démontré que la protéine BMP8B pouvait inciter les graisses brunes à brûler davantage de calories.
 
Les tests effectués sur des souris révèlent que sans la protéine, les souris deviennent obèses, alors qu’avec la BMP8B, elles perdent du poids.
 
Nous avons tous différents types de graisses. Les blanches se stockent comme graisse viscérale, mais les graisses brunes brûlent des calories afin de produire de l’énergie via le processus de thermogénèse.
 
Ceci pourrait donc devenir une nouvelle cible thérapeutique pour la gestion du poids.
 
« D’autres protéines peuvent augmenter la thermogenèse dans le tissu adipeux brun, comme l’hormone thyroïdienne, mais souvent, ces protéines ont des effets secondaires importants. En revanche, la fonction de BMP8B semble très spécifique de la réglementation de la thermogenèse de la graisse brune, ce qui en fait une cible idéale pour de nouvelles thérapies », indique le Dr Andrew Whittle au journal Cell.
 
« On peut être sceptique et penser que ces thérapies qui visent à accroître le métabolisme pourraient être compensées par un besoin de manger plus, pour alimenter cette augmentation du métabolisme, mais nos résultats montrent que le traitement des souris avec BMP8B n’a pas cet effet », ajoute le docteur.
 
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Une protéine de soja pour protéger le foie

Des chercheurs de l’University of Illinois College of Agricultural affirment qu’une protéine du soja pourrait réduire l’accumulation de graisse et de triglycérides dans le foie des personnes obèses.
 
L’obésité est un facteur clé de la stéatose hépatique ou maladie du « foie gras », alors qu’il y a une accumulation de graisse dans les cellules hépatiques. Cela peut conduire à une insuffisance hépatique, où les graisses sont métabolisées dans le foie.
 
« Quand la graisse s’accumule dans un organe qui n’est pas censé la stocker, comme c’est le cas du foie, sa fonction vitale est dangereusement compromise », explique le professeur et auteur principal de l’étude, Hong Cheng, qui a présenté ses résultats lors du congrès de l’Experimental Biology.
 
On retrouve la protéine de soja dans le tofu et le yaourt de soja, entre autres.
 
Les tests menés sur des rats sont plutôt concluants, alors que la protéine de soja restaure partiellement la voie de signalisation clé dans le métabolisme des graisses.
 
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Une protéine de soja pour protéger le foie

Des chercheurs de l’University of Illinois College of Agricultural affirment qu’une protéine du soja pourrait réduire l’accumulation de graisse et de triglycérides dans le foie des personnes obèses.
 
L’obésité est un facteur clé de la stéatose hépatique ou maladie du « foie gras », alors qu’il y a une accumulation de graisse dans les cellules hépatiques. Cela peut conduire à une insuffisance hépatique, où les graisses sont métabolisées dans le foie.
 
« Quand la graisse s’accumule dans un organe qui n’est pas censé la stocker, comme c’est le cas du foie, sa fonction vitale est dangereusement compromise », explique le professeur et auteur principal de l’étude, Hong Cheng, qui a présenté ses résultats lors du congrès de l’Experimental Biology.
 
On retrouve la protéine de soja dans le tofu et le yaourt de soja, entre autres.
 
Les tests menés sur des rats sont plutôt concluants, alors que la protéine de soja restaure partiellement la voie de signalisation clé dans le métabolisme des graisses.
 
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Un régime riche en protéines est dangereux pour les maladies rénales

Les personnes en surpoids ou obèses qui souffrent d’une maladie rénale chronique peuvent endommager leurs reins si elles adoptent un régime riche en protéines.
 
Une équipe de la Cleveland Clinc a analysé les habitudes de vie de plus de 11 000 personnes obèses.
 
50 % des gens qui ont tenté de perdre du poids avaient adopté le régime riche en protéines, qui consiste à consommer quotidiennement 1,9 g de protéines par kilogramme de poids corporel.
 
Seulement, avec une maladie rénale, on recommande de consommer de 0,6 g à 0,75 g de protéines par kilogramme de poids corporel par jour.
 
Les personnes ayant un surplus de poids sont déjà plus susceptibles de souffrir d’une maladie rénale chronique. Avec une alimentation qui comporte une forte teneur en protéines, leur état peut s’aggraver, rapporte le journal Obesity.
 
Il est donc essentiel que les personnes aient un suivi médical rigoureux pour développer un programme de perte de poids qui préservera la fonction rénale.
 
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L’obésité pourrait être une maladie infectieuse

Des chercheurs de l’Université Yale viennent de découvrir que l’obésité pourrait être une maladie infectieuse.
 
Selon la revue Nature, l’obésité et la stéatose hépatique non alcoolique, une maladie du foie, pourraient être déclenchées par une famille de protéines nommées les inflammasomes.
 
Celles-ci peuvent se transmettre, faisant de l’obésité une maladie infectieuse.
 
On constate en fait qu’une carence de deux inflammasomes chez la souris accroît le nombre de bactéries dans l’estomac. C’est ce déséquilibre qui causerait la prise de poids et la maladie hépatique.
 
Lorsque des souris en bonne santé côtoyaient les souris ayant cette instabilité bactérienne, elles devenaient également obèses ou contractaient une stéatose hépatique non alcoolique.
 
Maintenant, les chercheurs doivent étendre leurs recherches afin de savoir si les résultats seront les mêmes chez les humains.
 
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Découverte concernant la sclérose latérale amyotrophique

Une équipe de l’Université Laval a découvert le mécanisme cellulaire de la sclérose latérale amyotrophique (SLA).
 
C’est en analysant la moelle épinière de personnes décédées qui avaient la maladie que les chercheurs ont découvert qu’il y avait une surproduction de la protéine TDP-43 dans les tissus nerveux.
 
Toutefois, ils ont également constaté que cette protéine interagissait avec la NF-kB, une protéine clé du système nerveux qui régule de nombreux gènes dans la réponse immunitaire.
 
« La surexpression de TDP-43 entraîne une réponse inflammatoire exagérée qui augmente la vulnérabilité des neurones aux molécules neurotoxiques qui circulent dans l’organisme », explique le professeur Jean-Pierre Julien.
 
On connait déjà des inhibiteurs de la protéine NF-kB, et des tests menés sur des souris avec la SLA démontrent que la molécule parvient à réduire l’inflammation et améliorer le contrôle moteur.
 
La SLA se caractérise par la dégénérescence des neurones qui contrôlent les muscles.
 
On espère donc trouver une molécule capable de freiner l’interaction de la TDP-43 avec la NF-kB, sans pour autant influencer le rôle clé de cette dernière.
 
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Découverte du mécanisme du paludisme

Une équipe du Wellcome Trust Sanger Institute a découvert que le parasite Plasmodium falciparum, qui cause la forme la plus dangereuse du paludisme, pénètre dans les cellules des globules rouges en se liant à une seule protéine à la surface des globules.
 
Le paludisme est transmis par une piqûre de moustique et affecte surtout le continent africain.
 
Jusqu’ici, on croyait que le parasite se liait à plusieurs protéines, mais ce n’est pas le cas. « Nos résultats étaient inattendus et ont complètement changé la façon dont nous voyons le processus d’invasion. Notre recherche semble avoir révélé le talon d’Achille du mécanisme permettant l’infection des cellules rouges sanguines », explique l’un des auteurs, le Dr Gavin Wright, dans la revue Nature.
 
De plus, les chercheurs ont découvert qu’en bloquant cette protéine, on empêchait le parasite de pénétrer les cellules. « En identifiant un récepteur unique qui semble être indispensable pour que les parasites puissent envahir les globules rouges, nous avons également identifié une piste évidente et très excitante pour le développement de vaccins », ajoute le Dr Julian Rayner, coauteur de l’étude.
 
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Le cancer colorectal lié à l’alimentation

Selon une récente étude du Simmons College à Boston, l’alimentation serait liée au cancer colorectal chez la femme. Le taux de C-peptide, une protéine qui augmente le risque de ce type de cancer, serait associée à une alimentation en particulier, lit-on sur ScienceDaily.

Par exemple, les risques de cancer colorectal, chez la femme, seraient accrus si elle consomme beaucoup de viande rouge, de poisson à chair rouge et de boissons gazeuses. À l’inverse, une faible consommation de grains entiers, de produits laitiers et de café augmenterait le taux de peptide-C.

On explique que cette étude donne une explication de plus quant à la relation entre l’alimentation et le risque de cancer colorectal, ainsi que ses mécanismes. Il semble que ce type de cancer en soit un sensible à l’insuline.

L’étude en question s’est étendue sur 22 ans. Des femmes devaient fournir un suivi, à l’aide d’un questionnaire, sur leur alimentation. Le questionnaire comprenait 130 aliments; les participantes devaient indiquer le nombre de fois qu’elles en mangeaient ou buvaient.

Les femmes qui suivaient le modèle alimentaire expliqué plus haut se sont avérées, une vingtaine d’années plus tard, avec des risques de cancer colorectal 35 % plus élevés. Aussi, ces risques étaient plus marqués chez les femmes en surpoids que chez celles qui étaient minces – les gens inactifs et avec un excès de poids semblent plus influencés par l’alimentation.

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Prévenir les effets du manque d’oxygène

Une étude parue dans l’American Journal of Obstetrics and Gynecology donnera beaucoup d’espoir quant aux bébés qui souffrent d’un manque d’oxygène à la naissance.

Précisément, le taux sanguin élevé d’une protéine (la protéine acide fibrillaire gliale) dans les cellules du système nerveux central pourrait aider les médecins à reconnaître si un nouveau-né souffre de lésions cérébrales dues à un manque d’oxygène.

Mentionnons que les cellules du système nerveux central ici ciblées sont celles qui sont essentielles à la structure cérébrale. La mesure de la protéine en question pourrait soutenir un traitement de refroidissement corporel visant à prévenir les dommages permanents au cerveau.

Durant 1 an, on a suivi 23 bébés nés entre la 36e et la 41e semaine de grossesse qui avaient reçu un diagnostic de manque d’oxygène au cerveau. Ces poupons ont été comparés à d’autres qui étaient nés à la même étape de la grossesse, mais qui n’avaient pas subi de lésion cérébrale.