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Consommer des protéines pour préserver ses muscles à la ménopause

Consommer des protéines tout au long de la journée est le meilleur moyen de conserver sa masse musculaire pour une femme ménopausée, rapporte le Science Daily.

Selon une étude d’une équipe de l’Université de l’Illinois, en plus de permettre d’éloigner la sensation de faim durant un régime alimentaire, les protéines permettent également de préserver les compositions du corps.

Une alimentation riche en protéines aide à pallier les effets négatifs de la perte de poids sur les muscles, de même que les effets de la ménopause.

Ceci permettra aux femmes d’avoir plus de chances de conserver leur mobilité et leur autonomie en vieillissant.

Diminuer les graisses lors d’un régime et augmenter les muscles avec des exercices intenses est également bénéfique pour maintenir l’équilibre et les performances.

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Consommer des protéines pour préserver ses muscles à la ménopause

Consommer des protéines tout au long de la journée est le meilleur moyen de conserver sa masse musculaire pour une femme ménopausée, rapporte le Science Daily.

Selon une étude d’une équipe de l’Université de l’Illinois, en plus de permettre d’éloigner la sensation de faim durant un régime alimentaire, les protéines permettent également de préserver les compositions du corps.

Une alimentation riche en protéines aide à pallier les effets négatifs de la perte de poids sur les muscles, de même que les effets de la ménopause.

Ceci permettra aux femmes d’avoir plus de chances de conserver leur mobilité et leur autonomie en vieillissant.

Diminuer les graisses lors d’un régime et augmenter les muscles avec des exercices intenses est également bénéfique pour maintenir l’équilibre et les performances.

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Le lait et le soya pour réduire l’hypertension

Les participants à la recherche devaient chaque jour remplacer une collection ou une partie de leur repas par un supplément de 40 g de protéines de lait, de soya ou par un placébo.
 
L’exercice se déroulait sur une période de huit semaines avec une pause de trois semaines entre chaque supplément.
 
Les résultats ont démontré que les protéines de lait faisaient baisser la pression artérielle de 2,3 mmHg et celles du soya de 2 mmHg. Ce qui permettrait de réduire d’environ 6 % le taux de mortalité dû aux accidents vasculaires cérébraux et de 4 % les troubles cardiaques.
 
Le placebo, quant à lui, a légèrement fait augmenter l’hypertension, rapporte le journal Circulation.
 
Toutefois, il est encore prématuré de suggérer de prendre ces protéines pour traiter l’hypertension, des études complémentaires étant nécessaires.
 
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Le petit déjeuner est un atout majeur pour la santé

Nous le savons déjà, un bon petit déjeuner permet de bien commencer la journée et vous évitera quelques fringales durant la journée.
 
Des chercheurs de l’Université du Missouri mentionnent maintenant que prendre un petit déjeuner riche en protéines est encore mieux.
 
Selon Health and Food, un petit déjeuner protéiné vous donnera un sentiment de satiété encore plus longtemps et vous évitera de grignoter entre les repas.
 
Certaines personnes, surtout les adolescents, sautent le petit déjeuner, mais il a été démontré qu’elles étaient beaucoup plus sujettes aux fringales dans la journée.
 
Durant l’étude de trois semaines, on a demandé à des adolescents de sauter le premier repas de la journée ou de prendre un petit déjeuner avec une quantité normale de protéines. L’autre groupe devait prendre un repas riche en protéines.
 
Les deux types de petits déjeuners démontrent des bénéfices pour la santé, mais celui riche en protéines encore plus, car il diminue davantage la faim tout au long de la journée.
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Une protéine protègerait du cancer de la prostate

Des scientifiques viennent de découvrir ce qui pourrait ouvrir la voie à de nouveaux traitements contre le cancer.
 
Une équipe de l’Imperial College London a mis en lumière une protéine naturelle, nommée FUS, qui inhibe la croissance des cellules cancéreuses. En laboratoire, les tests ont démontré qu’elle freinait la croissance du cancer de la prostate.
 
De plus, il a été observé que les personnes ayant un plus haut taux de FUS vivaient non seulement plus longtemps, mais que leur cancer était beaucoup moins agressif.
 
Bien qu’il ne s’agisse que de premiers résultats, cela suggère que la protéine FUS pourrait ouvrir la voie à de nouveaux traitements, non seulement pour le cancer de la prostate, mais éventuellement pour d’autres types de cancers, dont celui du sein.
 
En effet, la FUS freinerait la croissance tumorale et la propagation de la maladie à d’autres parties du corps.
 
Les recherches se poursuivent, mais la revue Cancer Research mentionne que si les résultats se confirment, les scientifiques auraient fait un grand pas en avant dans la lutte contre le cancer.
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Manger des noix pour freiner la perte des cheveux

Les chercheurs ayant récemment découvert que le mauvais fonctionnement des cellules souches du cuir chevelu était à l’origine de la calvitie, le DailyMail rapporte certains trucs afin de freiner la perte des cheveux, notamment en changeant quelque peu des éléments de l’alimentation.
 
Les hommes qui ont peur de perdre tous leurs cheveux devraient adopter des habitudes qui peuvent aider à ralentir le processus. Le manque de fer notamment peut accélérer la chute des cheveux. Ainsi, mangez des noix et de la viande rouge. Ne lésinez pas non plus sur les protéines qui influent sur le niveau de kératine que l’on retrouve dans les cheveux.
 
Les experts rappellent également que le petit déjeuner est le repas le plus important de la journée pour stimuler le follicule pileux, donc ne sautez pas votre premier repas de la journée.
Parmi les autres moyens à adopter, on recommande de relaxer, car le stress fait perdre des cheveux. N’y allez pas trop fort sur la brosse, car elle gratte le cuir chevelu et arrache les cheveux à la racine, endommageant le follicule.
 
Traitez le plus possible les pellicules, l’eczéma et la dermatite qui sont liés à la calvitie également. Méfiez-vous des produits coiffants à base de pétrole, évitez également de trop teindre vos cheveux, ce qui les fragilise, et surtout, arrêtez de fumer, car la cigarette endommage aussi le follicule pileux.
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Les insectes : les aliments du futur?

Manger des insectes pourrait aider à préserver la planète, selon une étude publiée dans la revue PLoS ONE.
 
Ces bestioles, comme les vers de farine, les grillons, les criquets ou les blattes, sont riches en protéines et beaucoup moins pollueuses que les bovins ou les porcs.
 
L’étude mentionne que les insectes pourraient donc faire partie de notre alimentation quotidienne, comme dans certains pays du monde où on les inclut déjà aux aliments consommés.
 
L’élevage d’animaux pour la consommation humaine produit des émissions de gaz à effet de serre. 18 % du dioxyde de carbone (CO2) provient en effet de l’agriculture, par le biais de l’élevage, du transport et de la transformation.
 
Des scientifiques néerlandais ont étudié certains insectes, pour finalement constater que ceux-ci représenteraient une diminution de 99 % des gaz à effet de serre s’ils remplaçaient la consommation de viande bovine.
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Le lait que boit bébé influerait sur son poids

Des chercheurs américains viennent d’indiquer un nouveau facteur dans la santé et le développement de l’enfant.

Il semble, peut-on lire dans Pediatrics, que les bébés qui sont nourris au lait de vache prendraient du poids plus rapidement que ceux qui sont allaités.

Pour tirer ces conclusions, la psychobiologiste Julie Mennalla et son équipe du Monell Chemical Senses Center à Philadelphie ont suivi 59 bébés durant 7 mois. Au début de l’étude, les enfants étaient âgés de deux semaines.

Un groupe a été nourri avec une formule protéinée de lait maternisé et l’autre a bu du lait de vache. Le lait maternisé de l’étude représentait le lait maternel (le standard de l’étude), car il y est très ressemblant.

Les 35 poupons qui ont été nourris au lait de vache ont pris du poids plus rapidement que les 24 à qui l’on a donné une formule protéinée de lait maternisé.

Les deux types de lait avaient pourtant le même nombre de calories. C’est le taux de protéines qui différait de l’un à l’autre, le lait de vache en contenant moins.

Selon madame Mennella, il reste maintenant à statuer sur la raison pour laquelle les bébés à qui l’on donne du lait de vache se retrouvent suralimentés.

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Découverte majeure dans la lutte contre le VIH/sida

Il existe une minorité de personnes qui, même si elles sont contaminées au VIH, peuvent empêcher le virus de se multiplier dans leur système immunitaire, et ce, sans médicament. Elles sont rares, mais détiendraient la clé de la lutte contre la maladie.
 
En fait, une petite protéine représenterait le salut des personnes atteintes du sida.
 
Afin de trouver les différences génétiques, des chercheurs ont recruté 3 500 personnes dans différentes cliniques du monde. 2 500 avaient une infection progressive et 1 000 autres faisaient partie du groupe témoin.
 
Les experts ont identifié 300 sites liés au contrôle immunitaire du VIH qui sont situés dans les régions du chromosome 6 qui code les protéines HLA.
 
Avec une technique spéciale, ils ont isolé les acides aminés et on constaté que cinq variations de ceux-ci dans la protéine HLA-B expliquaient cette immunité naturelle contre le virus.
 
Il s’agit d’une découverte majeure dans le domaine, mentionne le magazine Science.
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Un pas de plus vers un traitement pour guérir l’asthme

Des chercheurs de l’Inserm ont mis en évidence une molécule qui permet aux cellules qui provoquent l’inflammation des poumons de survivre. Cette découverte laisse croire que l’on pourrait donc mieux traiter l’asthme allergique éventuellement.
 
Cette maladie chronique touche les voies aériennes supérieures. Sa prévalence et la sévérité de ses symptômes ont pris de l’ampleur ces dernières années.
 
Pour causer l’asthme chez une personne, des cellules du système immunitaire, les lymphocytes T, quittent la circulation sanguine pour se diriger vers les tissus pulmonaires. À cet endroit, elles produisent une substance qui cause l’inflammation des poumons et les symptômes de l’asthme. Jusqu’à présent, on ignorait comment les cellules inflammatoires parvenaient à survivre dans les poumons.
 
Les lymphocytes possèdent à leur surface la protéine CX3CR qui permet cette survie et provoque le développement l’asthme, mentionnent les chercheurs.
 
Ainsi, en créant un médicament qui freine ce mécanisme, on serait en mesure de bien traiter les patients qui souffrent de cette maladie. Il s’agit donc d’une découverte majeure dans le domaine.