Catégories
Uncategorized

Le chocho ou lupin changeant pourrait détrôner le quinoa

Il s’agit d’un « super aliment », du fait de sa grande teneur en protéines, sans gluten, rempli d’oméga-3, de fibres et de minéraux essentiels.

Même les Incas utilisaient le lupin changeant, et encore aujourd’hui, il s’agit d’un aliment de base dans les cultures équatorienne et péruvienne. Avec ses qualités nutritives, on comprend pourquoi!

De nos jours, ce légume sec s’utilise broyé dans la farine ou frit comme collation, dans les soupes, ragoûts et autres plats traditionnels. Comme il est utilisé dans la farine, on en fait également du pain. D’autres utilisent ses fèves pour confectionner boissons et desserts.

Pour le moment, le lupin n’est pas encore accessible en Amérique du Nord, du moins de façon générale. Il se peut que vous en trouviez broyé dans certains magasins bios. On l’appelle aussi parfois le chocho jamaïcain.

Son intégration à notre culture prendra sans doute un peu de temps, comme ce fut le cas pour le quinoa, encore inconnu il y a quelques années. D’autant plus que le lupin, selon Nutrition Unplugged, a un goût très amer. Selon ce que l’on dit, on doit laisser tremper le légume pendant des jours pour en retirer l’amertume.

Attendons donc qu’il soit ajusté à notre culture, mais attendons avec impatience, puisque ce seul aliment comblera de nombreux besoins alimentaires essentiels.

Catégories
Uncategorized

La fertilité masculine restaurée grâce à des protéines

En fait, l’infertilité causée par l’absence d’une protéine vitale pourrait être guérie. L’injection de cette protéine pourrait donc augmenter les chances de devenir père.

C’est ce qu’ont découvert les chercheurs de la Cardiff University. La protéine, appelée PLC-zeta (PLCz), pourrait être injectée dans l’ovule, activant ainsi le développement de l’embryon.

Toutefois, les experts soutiennent que de fertiliser l’ovule avec une forme défectueuse de la protéine, qui peut être responsable de l’infertilité dans certains cas, n’activait pas le développement de l’embryon.

« Nous savons que certains hommes sont infertiles parce que leur sperme ne réussit pas à activer l’ovule. Même s’il fusionne avec l’ovule, rien ne se produit. Ces spermes peuvent manquer d’une version fonctionnelle de PLCz, qui est essentielle pour activer la prochaine étape de la grossesse », explique l’un des principaux chercheurs de cette étude, Tony Lai.

Rappelons par ailleurs que les hommes infertiles seraient plus à risque d’être frappés par le cancer du testicule. Des chercheurs ont conclu que ces hommes étaient 1,3 fois plus à risque de souffrir de ce type de cancer, comparativement à la population masculine en bonne santé.

Catégories
Uncategorized

Boire du petit-lait est de plus en plus à la mode

Autrefois, les protéines de petit-lait étaient plutôt réservées aux sportifs, car elles aident la reconstruction des fibres musculaires après l’effort physique.
 
Aujourd’hui, le petit-lait est devenu à la mode, notamment chez les stars comme Gwyneth Paltrow qui vante ses vertus, entre autres, contre le vieillissement.
 
Selon les chercheurs du Centre de recherche et d’études nutritionnelles (CERIN), le petit-lait n’a pas fini de faire parler de lui, car les chercheurs se penchent de plus en plus sur cet aliment.
 
Le petit-lait est obtenu après avoir supprimé les lipides et la caséine du lait lors de la fabrication du fromage. On lui attribue des propriétés énergétiques, reminéralisantes et diurétiques également.
 
Il y a deux ans déjà, une équipe de l’université de Washington mentionnait que la consommation régulière de petit-lait aidait à réduire l’hypertension.
 
Par contre, il est fortement déconseillé de consommer du petit-lait pour les personnes qui sont intolérantes au lactose.
 
Catégories
Uncategorized

Obésité infantile : des bactéries intestinales en cause?

Il semblerait que les enfants en surpoids ou obèses ont une plus faible concentration de bactéries du groupe des Bacteroides fragilis, des germes fécaux qui constituent une partie importante de la flore intestinale.

De plus, ces bambins ne consommeraient pas beaucoup de protéines, avancent des chercheurs des universités de Hasselt et d’Anvers en Belgique.

Pour arriver à ces conclusions, les selles de 26 enfants (6 à 16 ans) obèses et 27 de poids normal ont été analysées pour évaluer la présence de différents types de bactéries dans l’intestin.

Présentée à Lyon en France lors d’un congrès européen sur l’obésité, la nouvelle étude n’a révélé aucun lien significatif entre les bactéries intestinales et les niveaux d’activité physique. Toutefois, les chercheurs ont prouvé une association entre l’alimentation et les bactéries intestinales.

En effet, certains aliments contenant des prébiotiques ou probiotiques peuvent aider à prévenir l’obésité, car ces derniers peuvent stimuler la croissance des bactéries utiles dans le tractus digestif et ainsi combattre le gain de poids.

Les chercheurs croient que certaines lignes directrices existantes sur la consommation de protéines auraient besoin d’être révisées.

Les données et les conclusions de cette recherche doivent être considérées comme provisoires jusqu’à une publication dans une revue médicale.

Catégories
Uncategorized

Manger du poisson pour prévenir l’Alzheimer

La consommation de poisson et d’autres aliments riches en acides gras et en oméga-3 diminuerait les risques de faire de l’Alzheimer. Les composants huileux qui combattent l’inflammation diminuent les niveaux de protéines particulières qui nuisent à notre santé, les bêta-amyloïdes.

En fait, les protéines forment des amas dans le cerveau des gens souffrant d’Alzheimer, ce qui constitue l’une des caractéristiques principales de la maladie.

Un apport quotidien d’un gramme d’oméga-3 de plus que ce que les gens consomment en moyenne réduit de 20 à 30 % la bêta-amyloïde.

« Même s’il n’est pas facile de mesurer le niveau de bêta-amyloïde déposé dans le cerveau dans ce genre d’étude, c’est relativement facile d’en mesurer le niveau dans le sang, qui est, d’une certaine manière, semblable à celui du cerveau », explique le principal scientifique derrière cette recherche, le docteur Nikolaos Scarmeas du Columbia University Medical Centre de New York.

Les oméga-3 et les acides gras sont principalement trouvés dans des poissons comme le saumon, le maquereau et le hareng. De plus petites quantités se retrouvent aussi dans les noix, dans quelques légumes comme les choux de Bruxelles, ou encore dans les huiles végétales.

Rappelons que le poisson est un aliment qui contribue à la bonne humeur. L’huile de poisson augmente l’acide gras EPA dans le corps, qui fait souvent défaut chez les personnes déprimées.

Catégories
Uncategorized

Un lien entre l’autisme et le syndrome du X fragile?

Il y aurait un mécanisme génétique sous-jacent commun à l’autisme et au syndrome du X fragile, lance la revue Neuron.

En effet, une étude new-yorkaise démontre un lien flagrant entre des gènes perturbés identifiés chez les enfants autistes et les gènes cibles de FMRP (la protéine produite par le gène FMR1), dont le dysfonctionnement conduit au syndrome X, la cause héréditaire la plus fréquente de déficience intellectuelle.

Le gène FMR1 joue un rôle vital dans le développement neuronal et la plasticité synaptique.

En observant 343 familles d’enfants autistes, il est ressorti que 20 % des participants détenaient des gènes régulés par la protéine FRMP.

Pour les spécialistes, la découverte d’un lien entre l’autisme et le syndrome X prouve « que l’autisme est en grande partie un désordre moléculaire de la neuroplasticité, le mécanisme par lequel notre système nerveux s’adapte aux changements ».

Pour les chercheurs, il faut exclure que le problème provienne du gène FMR1 en soi, mais plutôt des gènes qui sont « en aval » de celui-ci, écrit le site SantéLog.

Au moment même de cette découverte, des chercheurs du National Institute of Mental Health (NIMH) américain ont prouvé l’efficacité d’une nouvelle molécule, le GRN-529, pour traiter le comportement autistique chez la souris.

Le GRN-529, qui est testé pour le traitement du syndrome du X fragile également, permettrait à l’enfant autiste d’être plus sociable et de réduire son comportement répétitif.

Les résultats du NIMH devraient paraître ultérieurement dans la revue Science Transational Medicine.

Catégories
Uncategorized

On ne devrait pas retirer le jaune de l’oeuf avant de le consommer

Selon le département de l’Agriculture américain, il serait bon pour la santé de manger un oeuf par jour, et ce, sans en enlever le jaune.

Le jaune d’oeuf est l’un des aliments à plus forte concentration de cholestérol. Cependant, aucune étude n’a encore réussi à montrer de façon concluante que le fait de manger un oeuf complet par jour augmente le taux de cholestérol et entraîne des maladies cardiaques.

Certaines études montrent pourtant que la consommation d’oeufs peut entraîner une légère hausse du taux de mauvais cholestérol chez quelques personnes. Cependant, cette possible augmentation se fait dans une sous-classe des mauvais cholestérols, qui sont moins susceptibles de contribuer à l’accumulation de plaques dans les artères.

Malgré tout, les jaunes d’oeuf contiennent des protéines de grande qualité, des vitamines ainsi que des nutriments essentiels, comme les caroténoïdes. Ces caroténoïdes sont responsables de la couleur du jaune d’oeuf. Ils aident à préserver la vue et retardent la perte de vision.

De plus, se départir du jaune équivaut à retirer tous les acides gras essentiels ainsi que la majorité du calcium et du fer contenus dans l’oeuf.

Rappelons qu’il ne faut pas négliger la partie blanche de l’oeuf. Des scientifiques ont découvert qu’une protéine que l’on retrouve surtout dans le blanc d’œuf aide à rester éveillé et alerte. Cette protéine est beaucoup plus efficace que les glucides du chocolat, des biscuits ou d’autres aliments sucrés.

Catégories
Uncategorized

Obésité infantile : certains régimes fonctionnent mieux que d’autres

C’est en proposant trois sortes de régimes distincts à 85 enfants obèses âgés de 7 à 12 ans que des chercheurs de l’Université de Cincinnati se sont aperçus que les enfants préféraient le régime qui ne cause pas de déséquilibre de sucre dans le sang et qui est basé sur des aliments tels que les fruits, les légumes, les grains entiers, la volaille et le poisson.

Les deux autres régimes suggérés étaient un programme faible en glucides axé sur les protéines et un autre contrôlant les portions d’aliments et les calories, soit 55 à 60 % de glucides, 10 à 15 % de protéines et 30 % de gras. En plus d’être moins apprécié par les jeunes, ce dernier régime a été qualifié de compliqué pour les parents qui cuisinent.

L’étude parue dans la revue Pediatrics a indiqué qu’en montrant aux enfants à faire de l’exercice et en leur donnant des conseils d’une diététicienne durant trois mois, les enfants avaient, en moyenne, tous réussi à réduire leur indice de masse corporelle.

Ils avaient réussi à perdre du poids, même si leur tour de taille n’avait pas changé. Ceci pourrait aussi s’expliquer par une poussée de croissance, pensent les chercheurs.

Aux États-Unis, environ 20 % des enfants âgés de 6 à 11 ans sont obèses. Les spécialistes conseillent aux parents de ne pas pousser leur enfant vers n’importe quel régime, mais plutôt de faire appel à des programmes locaux pour trouver une diététiste professionnelle qui guidera la famille vers un mode de vie sain.

Catégories
Uncategorized

Oubliez les protéines avant une chirurgie

Une étude parue dans le Science Translational Medicine contredit une vieille recommandation disant d’adopter une alimentation équilibrée, même riche en protéines, avant une chirurgie afin d’aider le corps à récupérer.
 
Une équipe de l’École de santé publique de l’Université Harvard a découvert qu’un régime pauvre en protéines avant de passer sous le bistouri pouvait aider à éviter des complications graves, comme un infarctus ou un accident vasculaire cérébral.
                                                                                    
Deux groupes de souris ont été étudiés. Un groupe a reçu une alimentation sans protéines, et l’autre une alimentation normale. Après avoir été soumises à un stress opératoire, les souris du premier groupe ont toutes survécu, mais 40 % de celles qui ont eu une alimentation normale ont eu des complications mortelles.
 
Les chercheurs ignorent encore les mécanismes biologiques en cause et souhaitent maintenant vérifier l’hypothèse sur les humains.
 
Catégories
Uncategorized

Les protéines de soya et de lait contre l’hypertension

Il semblerait que les suppléments de lait ou de soya pourraient être efficaces pour abaisser la pression systolique.
 
Selon le Circulation: Journal of the American Heart Association, une étude, effectuée sur 352 personnes de plus de 22 ans avec des signes de risques accrus d’hypertension ou des cas légers de maladie, démontre que les protéines de soya et de lait peuvent remplacer les glucides ainsi que prévenir et traiter l’hypertension artérielle.
 
Cela concorde avec une étude antérieure qui affirmait qu’une alimentation riche en produits laitiers faibles en gras diminuait la pression artérielle, un problème de santé qui peut éventuellement entraîner des crises cardiaques, des insuffisances cardiaques, des accidents vasculaires cérébraux et des dommages aux reins.
 
Maintenant, des études à long terme doivent être faites pour savoir quelles seraient les nouvelles recommandations alimentaires pour contrer l’hypertension avec les protéines de soya et de lait.