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Diminuer les glucides et augmenter les protéines pour combattre le cancer

Le Cancer Research mentionne qu’une alimentation faible en glucides et riche en protéines diminue les risques de développer un cancer et ralentit la croissance des tumeurs déjà présentes dans le corps.
 
Les résultats obtenus sur des souris de laboratoire sont si probants que les scientifiques croient fermement qu’ils seront les mêmes chez les humains.
 
Les rongeurs ont été divisés en deux groupes. Le premier avait une alimentation occidentale typique avec 55 % de glucides, 23 % de protéines et 22 % de graisses. Le second groupe avait un régime comportant 15 % de glucides, 58 % de protéines et 26 % de graisses.
 
Dans le second groupe, on a constaté qu’il y avait moins de tumeurs.
 
Chez les souris prédisposées au cancer, celles avec le premier régime ont été près de la moitié à développer un cancer du sein dans leur première année et une seule souris a atteint son deuxième anniversaire.
 
Avec le deuxième régime, il n’y a eu aucun cas de cancer dans la première année et près de la moitié ont atteint leur deux ans.

De plus, privilégier l’alimentation pauvre en glucides et riche en protéines permet de mieux maîtriser le taux d’obésité.

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Du lait maternel… de vache

Des scientifiques de l’Argentine ont annoncé qu’ils avaient réussi le clonage de la première vache ayant deux gènes humains, nous apprend Le Parisien.

Cette découverte pourrait avoir des répercussions majeures quant à l’alimentation des bébés. C’est que les gènes en question contiennent les protéines que l’on retrouve habituellement dans le lait maternel, soit le lysozyme et la lactoferrine.
 
Si cette dernière protéine se retrouve dans le lait de plusieurs mammifères, le lysozyme l’est en très faible quantité dans le lait de vache habituel. Il y en a pourtant une grande quantité dans le lait maternel humain durant la première semaine de lactation.
 
Le lait produit par Rosita, la jeune vache clonée, permettrait aux bébés d’être protégés contre des maladies et d’absorber plus de fer. Reste à savoir si tout changera quant à l’allaitement.

Pour l’instant, on doit prouver que les protéines mentionnées se retrouvent bien dans le lait de Rosita. C’est ce que nous saurons dans un peu moins d’un an, à la suite d’une simulation de grossesse de la jeune vache clonée.

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Déceler le diabète infantile par les protéines

Des chercheurs de la Georgia Health Sciences University effectuent des tests sur des souris qui pourraient en dire long sur la détection du diabète chez les enfants, lisons-nous sur Medical News Today.

En comprenant comment le déficit en protéines peut atteindre les fonctions immunes et détruire les cellules d’insuline chez ces souris diabétiques, on pourrait reporter ces observations chez les humains.
 
C’est que la faible quantité dans le sang de protéines responsables de la réduction inflammatoire pourrait être un fort indicateur du diabète de type 1. De plus, cette détection pourrait éviter à certains enfants d’en souffrir.

Les chercheurs font aussi des analyses sanguines d’enfants prédisposés par leurs gènes à développer ce type de diabète. L’hypothèse en question est donc vérifiée auprès de 2 500 enfants.

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Attention aux vaccins, pour les enfants allergiques

Les parents dont l’enfant est allergique au lait devront redoubler de prudence lors de sa vaccination.

On apprend dans le Journal of Allergy and Clinical Immunology que les enfants qui ont ce type d’allergie pourraient réagir à la protéine du lait présente dans certains vaccins.

Il s’agit de celui contre le tétanos, la coqueluche et la diphtérie. Une recherche de l’École de médecine du Mont Sinai a en effet démontré que ce vaccin pourrait entraîner une forte réaction chez les enfants souffrant d’une allergie au lait sévère.

La protéine en question est un dérivé du lait de vache et elle est employée dans la constitution même dudit vaccin.

Selon les chercheurs de la présente étude, on aurait répertorié des patients ayant eu une réaction entre septembre 2007 et mars 2010. Précisément, on a relevé le cas de 5 garçons et 2 filles d’un âge moyen de 11 ans.

Les symptômes d’une réaction peuvent être une difficulté à respirer, de l’urticaire ou une toux persistante, par exemple.

Bien que ces résultats soient encore préliminaires, les chercheurs suggèrent aux parents de faire preuve de vigilance.

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Le quinoa, ce méconnu

Bien que le quinoa soit déjà bien connu des végétariens, il n’a encore que peu d’adeptes dans la population en général. Plusieurs croient à tort qu’il s’agit d’une céréale, alors qu’il s’agit pourtant d’un grain.

On commence aussi à reconnaître ses bienfaits sur la santé, en plus de ses qualités nutritives. Par exemple, il est riche en protéines, en acides aminés et en fibres, d’où l’intérêt des personnes suivant un régime végétarien.
 
Il joue aussi un grand rôle quant aux muscles, en plus d’aider à perdre du poids. Il permet également de stabiliser la glycémie et constitue une solution de rechange idéale pour ceux qui souffrent d’intolérance au gluten. Finalement, il contient des antioxydants, desquels nous connaissons déjà les nombreux bienfaits.
 
Si l’on croit encore qu’il est difficile de cuisiner le quinoa, il est pourtant facile à cuire et à intégrer dans nos plats. On peut trouver le quinoa entier, en flocons ou en farine, d’où son grand nombre de possibilités.

Il est donc évident que nous trouverons peu à peu de nouvelles sources de renseignements sur ce grain, comme le livre Quinoa Extra écrit par Patricia Green et Carolyn Hemming.

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Des chercheurs établissent le régime idéal

Le New England Journal of Medicine rapporte les résultats d’une étude danoise qui a établi le régime idéal qui permet de ne pas reprendre de poids.
 
772 familles européennes, avec au moins un enfant de 17 ans en bonne santé et un parent de 18 à 65 ans, ont participé à la recherche.
 
Avant l’étude, les adultes en surpoids ont été soumis à un régime de 800 calories par jour pendant huit semaines, leur permettant de perdre une moyenne de 11 kg. Ensuite, chacun a été soumis à l’un des cinq régimes proposés.
 
Le régime riche en protéines et faible en glucides a été le plus efficace. Il est composé de viandes blanches, de produits laitiers faibles en gras, de haricots pour les fibres et de peu de pains et de riz blancs, car ils sont riches en glucides.
 
En adoptant ce genre d’alimentation, il est possible de ne pas reprendre de kilos, même en mangeant à sa faim et sans compter les calories.
 
Après six mois, les personnes qui avaient eu le régime riche en protéines et faible en glucides avaient repris en moyenne 0,74 kg, alors que celles ayant eu le régime faible en protéine et riche en lipides avaient repris 1,67 kg.
 
Chez les enfants, l’écart était encore plus marqué, et ce, même si ces derniers n’avaient pas été soumis à un régime amaigrissant avant le début de l’étude.
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Manger trois repas par jour serait le meilleur des régimes

Bien des gens croient qu’il est préférable de manger six petits repas par jour pour perdre du poids. Selon des chercheurs américains, cette idée est totalement fausse. Une équipe de l’Université Purdue, en Indiana, affirme que manger trois repas remplis de protéines par jour est plus bénéfique.
 
On a demandé à 27 hommes de prendre part à une étude. Les 27 allaient avoir 750 calories en moins chaque jour. Toutefois, pendant trois jours, on a demandé à un premier groupe de manger trois repas protéinés par jour et l’autre groupe a eu six petits repas. Ensuite, on a inversé les groupes pendant trois autres jours.
 
Finalement, le journal Obesity rapporte que les hommes affirment avoir été plus rassasiés avec les trois repas protéinés aux cinq heures. Ils n’avaient pas faim en pleine nuit et ils pensaient moins à la nourriture qu’avec les six petits repas aux deux heures.
 
Cela contredit ceux qui croient que manger de petits repas sur toute la journée est le meilleur des régimes que l’on peut adopter.
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Les jeûnes protéinés seraient très nocifs pour la santé

Le jeûne protéiné consiste à ne consommer que de petits repas et des poudres ou liquides riches en protéines, pour un total de 800 calories par jour. En moyenne, un adulte a besoin de 2 000 calories quotidiennement.

 

Depuis les années 1970, certains médecins prescrivent ces jeûnes protéinés pour traiter leurs patients en surpoids qui souhaitent perdre quelques kilos rapidement. Voilà que Le Devoir mentionne qu’un rapport de l’Agence d’évaluation des techniques et des modes d’interventions en santé dit que ces régimes peuvent être dangereux pour la santé.

Il y aurait encore trop d’inconnus dans cette méthode. Surtout qu’il est très facile de se procurer des sachets protéinés sans supervision médicale. Ce type de régime devrait toujours être fait sous recommandation d’un médecin, et ce dernier doit effectuer un suivi rigoureux.

De plus, l’efficacité de ces jeûnes, qui se déroulent en moyenne sur deux à quatre mois, est remise en cause. D’après des études, un an après le jeûne, 50 % du poids perdu est regagné.

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Ajoutez des protéines au petit déjeuner pour éviter les fringales

Selon des chercheurs américains, les personnes qui prennent des protéines dans leur petit déjeuner ont moins de chances d’avoir une fringale en milieu de matinée.
 
Donc, il est préférable de manger des œufs. Non seulement vous éviterez le petit creux, mais cela aide aussi à réduire le nombre de calories que vous consommerez pour le reste de la journée.
 
Les chercheurs de l’Université du Connecticut ont testé leur hypothèse avec 21 hommes âgés de 20 à 70 ans. Un groupe a mangé un petit déjeuner à base de bagel riche en glucides et l’autre groupe consommait des œufs, donc un repas plus protéiné.
 
Trois heures plus tard, ils avaient tous droit à un buffet à volonté où on leur demandait de manger jusqu’à ce qu’ils n’aient plus faim. Ceux ayant mangé le petit déjeuner riche en protéines se sont contentés d’un goûter léger. Un test sanguin a également confirmé les données. Ceux ayant pris les œufs avaient un taux de ghréline (hormone de l’appétit) plus bas que les autres participants. Leurs taux de glycémie et d’insuline étaient aussi plus faibles.
 
« Il y a un nombre croissant de preuves qui confirment l’importance des protéines de bonne qualité dans l’alimentation pour la santé de manière générale et en particulier au petit déjeuner », affirme l’un des auteurs de l’étude, Mario Luz Fernandez.
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Les protéines animales affectent le côlon

TopSanté nous apprend que les personnes qui mangent beaucoup de viandes et de poissons ont trois fois plus de risques de souffrir d’une maladie inflammatoire aux intestins à un moment de leur vie. 
 
Selon des chercheurs français, cela serait dû à une trop grande quantité de protéines animales qui seraient ingérées. Par contre, les protéines des produits laitiers et des œufs ne sont pas touchées. Ces dernières n’affectent pas le côlon et le tube digestif, contrairement à celles provenant des viandes et poissons.
 
Ces maladies mettent rarement en danger la vie des personnes atteintes, mais elles sont réellement difficiles à vivre et souvent tabou. Parmi les symptômes provoqués, on note de la diarrhée, des douleurs abdominales, de la fièvre, de la fatigue et une perte de poids.
 
Ces maladies sont dues à une inflammation du côlon et du tube digestif qui, eux, répondent à la présence de bactéries inconnues dans la flore intestinale.