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Les prothèses contrôlées par la pensée désormais sur le marché

Relevant autrefois davantage de la science-fiction, il est désormais possible pour l’homme de faire bouger une prothèse par la pensée, et il pourra bientôt ressentir des sensations à l’aide de celle-ci.

Des membres robotisés pour les individus amputés seraient intégrés aux os, muscles et nerfs. Les électrodes neuromusculaires permettent au cerveau d’adapter les mouvements de la prothèse, selon que la personne manipule des oeufs ou pousse une tondeuse, par exemple.

Science World Report mentionne qu’un homme a eu la chance d’en faire l’essai dans la vie de tous les jours en Suède. Le scientifique Max Ortiz Catalan explique que la fusion entre la robotique et le corps humain a atteint de nouveaux niveaux : « Cela crée une union intime entre le corps et la machine; entre la biologie et la mécatronique ».

La seule chose qu’il manque, à l’heure actuelle, est la sensation. « Le retour sensoriel intuitif est essentiel pour interagir avec l’environnement », ajoutent les chercheurs. « Nous y travaillons et avons bon espoir de l’intégrer d’ici peu. »

La recherche a été publiée dans la revue Science Translational Medicine, et une vidéo de la prothèse peut être visionnée ici.

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Quand une prothèse de la hanche s’infecte

C’est plutôt rare, mais une prothèse de la hanche ou du genou qui s’infecte n’est pas un cadeau. Cela se produit chez les personnes âgées qui ont de la difficulté à se remettre d’une chirurgie et à se réadapter au quotidien.

Les personnes atteintes auront de la douleur, et l’endroit où a eu lieu l’intervention sera porté à rougir ou enfler. Elles pourront être fiévreuses, s’apercevoir que leur cicatrice a de la difficulté à guérir (rouge, gonflée, chaude, écoulement, etc.). Pour certains, la douleur pourrait être pire qu’avant l’opération, et le membre « réparé » et les fonctions avoisinantes pourraient davantage se dégrader.

Lorsqu’il y a infection, les médecins doivent opérer à nouveau rapidement pour nettoyer l’os et la prothèse et donner une chance à l’articulation de toujours bien fonctionner. Dans certains cas, un changement complet de l’implant est inévitable. À ce moment, les spécialistes font un prélèvement qui permettra de créer un antibiotique adapté à la personne, explique Top Santé.

Certaines personnes qui ont recours à l’implant d’une prothèse de la hanche ou du genou sont plus à risques que d’autres de développer une infection. Il s’agit notamment des fumeurs, des diabétiques, des personnes obèses ayant un IMC de plus de 40, qui sont touchées par la polyarthrite rhumatoïde et la cirrhose.

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Un amputé retrouve le sens du toucher grâce à une nouvelle technologie

L’histoire fait le tour du monde, alors qu’un amputé serait parvenu à retrouver le sens du toucher grâce à une nouvelle prothèse à la fine pointe de la technologie, rapporte The National Library of Medicine.

Il s’agit d’un Danois, Dennis Aabo Sorensen, qui avait perdu sa main gauche lors d’un accident survenu il y a près de dix ans. Sorensen aurait confirmé être en mesure de « ressentir » l’effet des objets placés devant lui, lors d’essais expérimentaux.

Le Danois devient donc le tout premier amputé au monde à profiter d’une telle « information sensorielle », croient les chercheurs qui dirigent ces recherches.

« Je pouvais ressentir les choses rondes, les choses dures et les choses molles. C’était vraiment génial, parce que je pouvais soudainement ressentir quelque chose que je n’avais pas ressenti depuis les neuf dernières années », lance Dennis Aabo Sorensen, visiblement ravi.

Pour parvenir à leurs fins, les chercheurs ont placé une électrode dans le bras du sujet, reliée à la main « bionique » installée. Il s’agit également d’une première, puisqu’aucune électrode n’avait jamais été implantée directement dans le corps d’un sujet pour stimuler son système nerveux.

Les observations et conclusions de ces essais ont été publiées dans le magazine Science Translational Medicine.

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Cancer du sein : nouvelle reconstruction

Pour les survivantes du cancer du sein ayant subi une simple ou double mastectomie, un problème récurrent postopératoire est les prothèses mammaires.

On explique sur Santé Log qu’en effet, ces implants doivent être remplacés tous les 8 à 10 ans. Sans compter que certaines femmes subiront un rejet, événement traumatisant.

Or, la nouvelle intervention dont il est question ici, la reconstruction par lambeau libre de Diep, consiste à prélever des tissus de l’abdomen de la patiente, un lambeau muni de gras, d’une artère et d’une veine dites perforantes.

Cela veut dire que les patientes reçoivent au passage une plastie de réduction abdominale discrète et facilement dissimulable.

Ce morceau de tissus est alors transplanté à la poitrine de la patiente. Cette opération exige en moyenne 5 jours d’hospitalisation. Une seconde intervention est ensuite menée 4 mois plus tard pour procéder aux corrections.

Comme il n’y a aucun corps étranger, le taux d’infection est largement diminué. Ayant un taux d’échec minime, environ 5 %, cette technique utilisée depuis 2012 en France est grandement encourageante pour les femmes ayant subi ou devant subir une ablation d’un ou des deux seins.

Raison de plus de considérer cette technique : vos nouveaux seins auront un aspect tout à fait naturel, et leur évolution se fera de façon symétrique et simultanée.

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Des chercheurs développent une prothèse cardiaque « vivante » pour les nouveau-nés

Des chercheurs du Texas ont publié les résultats de leur recherche, provenant de nombreuses années d’effort pour en arriver à créer une prothèse cardiaque biocompatible, qui bat comme un cœur humain.

Aux États-Unis, environ un enfant sur 250 naît avec une malformation cardiaque congénitale, mais seulement 3 à 6 sur 10 000 souffrent d’un problème appelé tétralogie de Fallot, qui requiert l’ajout d’une prothèse sur le ventricule droit du cœur.

En ce moment, ces prothèses sont faites de tissus synthétiques ou prélevés sur des vaches ou sur le corps du petit patient. Elles servent à protéger les tissus cardiaques et à permettre à ceux-ci de bien se développer. Le problème est qu’elles ne grandissent pas avec le patient et ne s’incorporent pas vraiment aux tissus cardiaques.

Puisque les prothèses actuelles sont considérées par le corps comme un « tissu mort », le cœur fonctionne moins bien avec celles-ci, ce qui expose ces enfants à un risque plus élevé de développer de l’insuffisance cardiaque, de l’arythmie et de la fibrillation.

La prothèse « vivante » développée par les chercheurs pourrait remplacer avantageusement les prothèses artificielles, tout en se dégradant naturellement dans le corps une fois que le cœur n’en a plus besoin.

Toutefois, il reste encore plusieurs années de recherche avant que cette nouvelle prothèse puisse être utilisée, selon ce que rapporte Medical News Today.

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Des chercheurs développent une prothèse cardiaque « vivante » pour les nouveau-nés

Des chercheurs du Texas ont publié les résultats de leur recherche, provenant de nombreuses années d’effort pour en arriver à créer une prothèse cardiaque biocompatible, qui bat comme un cœur humain.

Aux États-Unis, environ un enfant sur 250 naît avec une malformation cardiaque congénitale, mais seulement 3 à 6 sur 10 000 souffrent d’un problème appelé tétralogie de Fallot, qui requiert l’ajout d’une prothèse sur le ventricule droit du cœur.

En ce moment, ces prothèses sont faites de tissus synthétiques ou prélevés sur des vaches ou sur le corps du petit patient. Elles servent à protéger les tissus cardiaques et à permettre à ceux-ci de bien se développer. Le problème est qu’elles ne grandissent pas avec le patient et ne s’incorporent pas vraiment aux tissus cardiaques.

Puisque les prothèses actuelles sont considérées par le corps comme un « tissu mort », le cœur fonctionne moins bien avec celles-ci, ce qui expose ces enfants à un risque plus élevé de développer de l’insuffisance cardiaque, de l’arythmie et de la fibrillation.

La prothèse « vivante » développée par les chercheurs pourrait remplacer avantageusement les prothèses artificielles, tout en se dégradant naturellement dans le corps une fois que le cœur n’en a plus besoin.

Toutefois, il reste encore plusieurs années de recherche avant que cette nouvelle prothèse puisse être utilisée, selon ce que rapporte Medical News Today.

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Percée majeure dans le domaine des neuro-prothèses

Santelog.com rapporte une percée importante dans le domaine de la robotique, plus particulièrement celui des neuro-prothèses.

Ces dernières viennent en aide aux gens souffrant d’un handicap majeur comme la paralysie partielle ou totale, afin de les aider à recouvrer certains mouvements. Le principe est déjà connu et utilisé, mais une percée majeure viendrait d’être effectuée.

Ce sont des chercheurs de l’Université de Pittsburgh qui ont réussi à faire bouger un bras robotisé par une dame de 52 ans complètement paralysée.

Ces résultats ont été publiés dans la plus récente édition du magazine Lancet et font état de la procédure.

Il semble que les chercheurs américains avaient franchi une première étape en installant des microélectrodes dans le cerveau de la patiente en février 2012. Ces électrodes comprennent des puces qui permettent de transformer les pensées en signaux numériques, acheminées vers un ordinateur.

Au final, ce processus permet donc d’activer et de faire bouger un membre artificiel… par la pensée.

Andrew Schwartz, de l’équipe de chercheurs de Pittsburgh, résume : « C’est une avancée majeure dans la technologie d’interface cerveau-machine. La participante s’est montrée capable d’effectuer des mouvements des mains plus complexes avec son bras robotique. Le mouvement devient plus naturel et plus réaliste ».

Ces recherches sont cofinancées par la Defense Research Agency des États-Unis.

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Haut taux d’échec avec les prothèses de la hanche en métal

The Lancet publie une nouvelle étude sur le taux d’échec élevé des prothèses de la hanche métal sur métal.
 
Après avoir évalué plus de 400 000 implantations, on note un taux d’échec de 6,2 % sur cinq ans pour les prothèses métal sur métal.
 
La taille de la tête de l’implant joue aussi un rôle important dans l’usure plus rapide de ce type de prothèse.
 
Déjà, il y avait eu un rappel pour le modèle de prothèse DePuy aux États-Unis, une alerte au Royaume-Uni, et depuis, elles auraient été retirées du marché.
 
Les spécialistes suggèrent fortement un retour aux prothèses de céramique.
 
Les personnes qui ont eu une prothèse métal sur métal doivent donc être suivies de près et risquent fort bien d’avoir besoin d’un remplacement beaucoup plus rapide.
 
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Haut taux d’échec avec les prothèses de la hanche en métal

The Lancet publie une nouvelle étude sur le taux d’échec élevé des prothèses de la hanche métal sur métal.
 
Après avoir évalué plus de 400 000 implantations, on note un taux d’échec de 6,2 % sur cinq ans pour les prothèses métal sur métal.
 
La taille de la tête de l’implant joue aussi un rôle important dans l’usure plus rapide de ce type de prothèse.
 
Déjà, il y avait eu un rappel pour le modèle de prothèse DePuy aux États-Unis, une alerte au Royaume-Uni, et depuis, elles auraient été retirées du marché.
 
Les spécialistes suggèrent fortement un retour aux prothèses de céramique.
 
Les personnes qui ont eu une prothèse métal sur métal doivent donc être suivies de près et risquent fort bien d’avoir besoin d’un remplacement beaucoup plus rapide.
 
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Victhom passe à la phase de commercialisation

Normand Rivard, le président par intérim et chef de la direction financière de Victhom, a profité de l’assemblée annuelle afin de préciser les projets sur lesquels travaille la firme de Québec.

Ainsi, dès 2009, le Neurostep sera commercialisé, alors que les essais cliniques se poursuivent d’ici là.

Les patients dont la démarche est affectée à la suite d’un accident vasculaire cérébral vont désormais pouvoir bénéficier de ce neuromodulateur qui corrige le pied tombant.

L’autre projet sur lequel planche Victhom est la deuxième génération du Power Knee, alors que toute l’équipe s’efforce d’apporter des améliorations importantes à cette prothèse motorisée déjà sur le marché.

« Nous sommes très heureux de constater que le recentrage stratégique de nos activités de R&D, mis de l’avant il y a dix-huit mois, a permis à la société de développer avec succès deux produits comportant de grandes possibilités thérapeutiques et commerciales. Victhom s’appuie aujourd’hui sur deux divisions solides et porteuses, qui renferment chacune un excellent potentiel de création de valeur pour les actionnaires de la société », a souligné M. Rivard.