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Le dilemme de la provenance des cellules souches

On le sait, les cellules souches transplantées chez des patients atteints du cancer et suivant un traitement de chimiothérapie offrent beaucoup d’espoir.

Ces patients voient leur moelle épinière être ravagée par les traitements, et les cellules souches peuvent venir contrer ce phénomène.

Une nouvelle étude s’attarde cependant sur une question importante, soit la provenance de ces cellules souches. Souvent, la technique utilisée est celle de la transplantation de moelle épinière, mais il est également possible d’arriver au même résultat par une transfusion sanguine (sang périphérique).

Quel est donc le meilleur moyen, se questionnent les chercheurs dans cette étude que propose www.nlm.nih.gov.

L’étude démontre que les cellules souches de sang périphérique pourraient réduire les risques d’échec de greffe, alors que la moelle épinière pourrait réduire les risques de développer une maladie chronique postgreffe.

Le débat risque de se poursuivre pour un bon moment.

Dans les dix dernières années, 75 % des transplantations de cellules souches provenant d’une personne non reliée par la famille ont été faites à partir de sang périphérique. Il semble que plusieurs études ont aussi démontré que la moelle épinière peut mener à des complications plus sérieuses, ce qui aurait influencé le choix des spécialistes.

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Vos enfants devraient savoir d’où provient leur nourriture

D’après la fondatrice de D.C. Farm to School Network, Andrea Northrup, le fait d’apprendre comment un fruit ou un légume atterrit dans leur assiette pourrait encourager les enfants à manger des aliments plus sains.

« Qu’est-ce qui est plus excitant que de voir une laitue pousser à partir d’une graine? Ou que de tirer une carotte du sol, de la rincer et de croquer dedans? Non seulement les expériences pratiques qui relient les enfants à leur nourriture les rendent plus susceptibles de les goûter, mais elles aident les enfants à réaliser que lorsqu’ils les choisissent, ils soutiennent un fermier local », soutient-elle.

Elle suggère aux parents de faire participer leurs enfants à la préparation des repas ou de s’inscrire volontairement dans un jardin ou un potager communautaire. Ainsi, leurs enfants pourront côtoyer de vrais fermiers et avoir la fierté de faire pousser eux-mêmes des légumes ou fruits qu’ils mangeront.

Rappelons que les diététistes recommandent aux parents qui veulent faire manger plus de légumes à leurs enfants de varier les achats et les recettes. Transformer le traditionnel brocoli cru et au goût peu plaisant en brocoli sauté dans un poulet teriyaki ou en brocoli broyé dans le pâté au poulet peut être un exemple.