Sans se fatiguer et surtout en respectant son rythme, marchez et montez des escaliers. La tête du bébé sera ainsi portée à «frapper» le col de l’utérus. Cette pression favorisera la sécrétion de l’ocytocine, l’hormone secrétée par le cerveau durant l’accouchement.
Vous pouvez également vous promener en voiture et surtout ne pas contourner les bosses! Elles aideront beaucoup à la pression, suggère le site Famili, pour provoquer un accouchement.
Pourquoi ne pas faire d’une pierre deux coups? En faisant le grand ménage avant l’arrivée de bébé, exercice qui incitera sa naissance. En effet, il semblerait que laver un plancher à quatre pattes est une position parfaite pour dilater le col de l’utérus, alors que laver ses fenêtres les bras en l’air peut entraîner des contractions.
Joindre l’utile à l’agréable en faisant l’amour. Des hormones appelées prostaglandines cachées dans le sperme aideraient à dilater le col de l’utérus. Chez la femme, le sexe encouragerait également la sécrétion d’ocytocine.
N’hésitez pas à vous masser ou demander à votre partenaire de vous caresser les seins, cela pourrait avoir un pouvoir magique.
Les adultes qui dorment moins de six heures ou plus de huit heures auraient un risque plus élevé de souffrir d’une crise cardiaque, d’un AVC ou d’autres problèmes cardiaques.
L’étude faite par le docteur Arora a démontré que les adultes qui manquent de sommeil seraient deux fois plus sujets à des crises cardiaques et à des AVC et 1,6 fois plus sujets à des défaillances cardiaques.
Toutefois, ceux qui dorment trop seraient deux fois plus susceptibles d’avoir de l’angine et 1,1 fois plus susceptibles de développer des maladies coronariennes.
Dans d’autres études, les chercheurs avaient établi que la privation de sommeil était reliée à des irrégularités au niveau du système nerveux, à l’intolérance au glucose, à des niveaux élevés de cortisol ainsi qu’à des troubles du coeur et une pression sanguine élevée.
Selon le docteur Arora, les médecins devraient porter plus d’attention au nombre d’heures de sommeil de leurs patients.
Rappelons que l’augmentation de l’appétit représenterait une autre conséquence négative considérable associée au manque de sommeil.
Selon une étude des Hôpitaux universitaires de Genève, chez les fœtus estimés à un poids supérieur au 95e percentile lors des échographies, les effets indésirables tels que la dystocie des épaules se produisaient trois fois moins si le travail était déclenché chez les mères.
De plus, des études antérieures ont révélé que l’induction du travail peut réduire le poids de naissance, diminuer le risque de blessures néonatales comme la dystocie de l’épaule, les lésions du plexus brachial et la mort.
Provoquer le travail a également été associé à une plus grande probabilité d’accouchement vaginal spontané (58,7 % contre 51,7 % pour les grossesses à terme), ont signalé les spécialistes à la réunion annuelle de la Society for Maternal-Fetal Medicine.
Cependant, ils ont également constaté des taux plus élevés de césariennes à l’induction, et la fiabilité de l’estimation du poids fœtal était plus souvent mise en doute.
Un résultat qui a été « un peu inquiétant », ont déclaré les experts, est un risque accru d’ictère dans le groupe de femmes au travail provoqué. Cela serait peut-être dû à la naissance quelque peu prématurée ou encore à un effet direct de l’ocytocine.
L’étude a démontré que la prévention de la macrosomie à la naissance peut conduire à des résultats d’accouchement sans risque.
On apprend par voie de communiqué que l’Organisation mondiale de la santé met en garde quant au déclenchement de l’accouchement. Il semble qu’une telle procédure comporte des dangers.
Entre autres, on mentionne que provoquer artificiellement le travail augmenterait par trois fois le recours subséquent à la césarienne, de même que l’injection d’anesthésiants et l’admission aux soins intensifs.
L’OMS recommande donc « de faire preuve de prudence lors de la préconisation d’un accouchement sans indication médicale. » Elle soutient aussi, à la suite d’une étude effectuée auprès de 38 000 femmes enceintes, que le déclenchement de l’accouchement est parfois inutile.
Il semble finalement que le bébé ne soit pas exposé aux mêmes risques que maman lorsque l’accouchement est provoqué. Malgré tout, on a remarqué un retard de l’allaitement chez 22 % des poupons.