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Amanda Bynes est désormais en mesure de subir son procès

Bien qu’elle doive demeurer sous la tutelle légale de sa mère, qui doit prendre toutes les décisions à sa place, Amanda Bynes, 27 ans, peut reprendre les démarches au tribunal pour son procès.

La starlette est accusée, rappelons-le, de conduite avec facultés affaiblies. L’incident ayant mené à son arrestation a eu lieu le 6 avril 2012 en Californie. Bynes avait alors endommagé une voiture de police dans le West Hollywood.

Placée sous les soins de spécialistes en psychiatrie depuis, TMZ informe qu’un rapport a été émis, précisant que la santé mentale de Bynes lui permette désormais de faire face à la justice.

« L’avocat d’Amanda, Rich Hutton, ne s’est pas opposé », rapporte le site. « Les démarches, qui avaient été reportées, peuvent désormais reprendre. »

Il semble que Bynes pourrait même retourner à la maison d’ici Noël, alors qu’on lui avait prescrit un traitement jusqu’en 2015. Elle souffrirait de bipolarité et de schizophrénie.

Il y a moins d’un mois, TMZ rapportait pourtant que l’avocat ne croyait pas que l’actrice était rétablie. Il affirmait alors qu’elle était incapable « de comprendre les accusations qui pèsent contre elle ».

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La mise en tutelle d’Amanda Bynes est refusée

Vendredi dernier (26 juillet), les parents d’Amanda Bynes, Rick et Lynn Bynes, se sont présentés devant le juge pour demander la tutelle de leur fille de 27 ans.

La décrivant comme une toxicomane paranoïaque, ils demandaient d’avoir un contrôle financier et personnel de leur fille jusqu’à ce qu’elle remette sa vie sur les rails.

Rappelons que Bynes a été arrêtée le 22 juillet dernier après avoir allumé un feu chez une voisine. Les autorités l’avaient envoyée en soins psychiatriques pour une évaluation de 72 heures, mais le juge a ordonné que ce confinement soit prolongé de deux semaines, afin d’obtenir une meilleure évaluation de l’actrice.

Par contre, le juge a refusé la tutelle pour le moment. Il va d’abord demander l’avis des médecins, prendre connaissance de l’analyse psychiatrique et s’entretenir personnellement avec Amanda Bynes avant de rendre sa décision.

Il a également demandé à l’avocate de Bynes d’interroger sa cliente afin de suggérer des recommandations lors de l’audience prévue le 9 août prochain. Selon TMZ, l’avocate aurait l’intention de soutenir que sa cliente est saine d’esprit. Elle avait même déposé une requête permettant à l’actrice d’être libérée des soins médicaux, mais pour le moment, elle y restera deux semaines.

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Amanda Bynes hospitalisée en psychiatrie

Est-ce qu’Amanda Bynes sera traitée pour ses problèmes? L’actrice a finalement été hospitalisée en psychiatrie après avoir tenté de mettre le feu à la résidence d’une voisine en Californie.

Selon TMZ, la police aurait été appelée sur place lundi soir (22 juillet). La résidante, Bonnie Braaten, a mentionné : « Je n’ai aucune idée de ce qu’elle faisait et je pense qu’elle ne savait même pas ce qu’elle faisait ».

C’est un voisin qui a éteint le feu. Il travaillait sur sa voiture dans son garage lorsqu’il a entendu du bruit. Il est sorti et a vu un groupe d’adolescents qui tentaient d’éteindre un feu, et une femme aux longs cheveux blonds assis sur le trottoir. C’est seulement le lendemain au bulletin de nouvelles qu’il a appris qu’il s’agissait d’Amanda Bynes.

Les policiers ont retrouvé Bynes avec un bidon d’essence, et elle tenait des propos incohérents. Ils ont donc convenu qu’elle répondait à la procédure 5150, qui consiste à interner une personne pendant 72 pour évaluation psychologique si elle est considérée comme dangereuse pour elle-même ou pour autrui.

Depuis un moment déjà, les parents de l’actrice affirment que leur fille devrait être placée sous tutelle.

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Une seule protéine serait à l’origine de plusieurs troubles psychiatriques chez les enfants

Des chercheurs allemands ont découvert que la malformation d’une protéine spécifique liée au développement du cerveau, appelée SRGAP3, serait la cause de troubles chez les souris présentant des symptômes qui s’apparentent à certains problèmes psychiatriques et neurologiques chez les humains.

Comme les scientifiques savent que cette protéine a une fonction similaire chez l’humain, ils pensent que la SRGAP3 pourrait être liée à plusieurs maladies telles que la schizophrénie, les handicaps mentaux, le trouble du spectre autistique et l’hydrocéphalie.

Selon les chercheurs, ces problèmes sont tous causés par un problème de malformation du système nerveux, et il est maintenant établi que l’on peut tous les relier à cette protéine.

« Ces problèmes sont parmi les plus dévastateurs que peuvent vivre les enfants et les jeunes adultes », a noté l’auteur de l’étude, Dudan Bartsch, tel que rapporté par EurekAlert!. « Nous espérons que nos données serviront à mieux comprendre ces maladies, et surtout à en arriver à fournir de meilleurs traitements. »

Les résultats de cette étude ont été publiés dans la revue médicale The FASEB Journal.

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Des secrets de l’hypnose révélés

Des tests de résonnance magnétique effectués sur des patients sous hypnose révèlent certains secrets de cet art, rapporte www.nlm.nih.gov.

Il appert que le cerveau des gens qui sont sensibles à l’hypnose est différent de celui de ceux qui ne sont pas « hypnotisables », affirme cette étude récente.

Les chercheurs ont utilisé des tests de résonnance magnétique (MRI) afin d’examiner l’activité de trois zones du cerveau sur 12 adultes réceptifs à l’hypnose, et sur 12 qui ne le sont pas.

Les trois zones, ou réseaux, du cerveau analysées étaient le mode « pause », le mode « exécutif », utilisé lors d’une prise de décision, et le mode « saillie », utilisé lorsque l’on veut choisir entre deux options.

Ainsi, on a constaté que les deux groupes avaient le même système cérébral de « pause », mais que ceux qui s’avéraient de meilleurs sujets d’hypnose avaient des systèmes « exécutif » et de « saillie » plus coopératifs.

L’hypnose permet d’aider les gens aux prises avec des problèmes de douleur, d’angoisse, de stress et phobiques.

Le Dr David Spiegel conclut : « Jamais une signature cérébrale d’hypnose n’a été obtenue, et nous sommes sur le point d’y arriver ».

Un tel accomplissement pourrait jeter beaucoup de lumière sur l’obscur processus de l’hypnose sur le cerveau humain.

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Utiliser des drogues pour soigner la dépression

En Suisse, des scientifiques recommandent maintenant de soigner les patients dépressifs, avec des troubles compulsifs ou des douleurs chroniques, avec des psychotropes comme du LSD, de la kétamine et des champignons hallucinogènes.
 
Apparemment, ces drogues pourraient permettre aux patients d’avoir une tout autre perception de leur problème ou diminuer l’intensité de leur douleur. Ainsi, ils pourraient mieux amorcer leur thérapie.
 
Bien entendu, le Nature Neuroscience ajoute que ces prescriptions seraient de faibles doses. « L’idée est que ce soit très limité, peut-être plusieurs sessions sur plusieurs mois et non une prise à long terme comme dans le cas d’autres médicaments », explique le psychiatre et chercheur Franz Vollenweider.
 
« Les psychotropes peuvent offrir aux patients de nouvelles perspectives, notamment quand les souvenirs enfouis remontent à la surface. Ils peuvent alors travailler à partir de cette expérience », ajoute-t-il.
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Encore beaucoup de tabous autour de la santé mentale

La 8e édition du Bulletin national sur la santé au Canada, présenté par l’Association médicale canadienne (AMC), nous apprend qu’il y a encore beaucoup de chemin à faire concernant la perception des troubles mentaux.

« Le bulletin de cette année jette un éclairage peu flatteur sur les attitudes que nous avons au Canada face à la santé mentale. À certains égards, les maladies mentales constituent la dernière frontière de la discrimination acceptable par la société », a déploré le président de l’AMC, le Dr Brian Day.

Ainsi, 27 % des Canadiens craignent d’être en présence d’une personne souffrant de troubles mentaux graves. De plus, la moitié d’entre eux n’hésiteraient pas à cacher à leur entourage qu’un membre de leur famille a une maladie mentale, alors qu’elles discuteraient volontiers d’autres maladies comme le cancer ou le diabète.

« Ces statistiques montrent clairement la stigmatisation insidieuse qu’on associe toujours à la santé mentale et aux maladies mentales. Ce sont ces attitudes qui relèguent la santé mentale au second plan depuis beaucoup trop longtemps », a conclu le Dr Day.

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Intervention plus rapide en soins psychiatriques au Québec

Selon une étude de l’Institut Fraser, la population québécoise est celle qui attend le moins quand vient le temps de recevoir des soins psychiatriques. Le délai d’attente est évalué à 15,9 semaines, tandis que le reste des Canadiens doivent patienter 18,5 semaines.

La Nouvelle-Écosse, l’Île-du-Prince-Édouard et l’Alberta sont les provinces canadiennes où les patients aux prises avec des troubles psychiatriques doivent s’armer de patience avec 39,2; 38,7 et 26,7 semaines d’attente respectivement.

Malgré cette bonne nouvelle, Tasha Kheiriddin, directrice de l’Institut Fraser pour le Québec, estime qu’il y a place à l’amélioration en la matière au Québec. En effet, selon Mme Kheiriddin, le délai d’attente des Québécois pour rencontrer un psychiatre est plus long que ceux avec un autre médecin spécialiste.