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Ton petit look

Avoir trop de choix, c’est pire que de ne pas en avoir assez

Je me suis rendu compte récemment du problème qui causait probablement mon immobilisme du moment : le choix. Ou plutôt, devrais-je dire, le trop-plein de choix. Je vous parlerai plus loin de mon dilemme face à mon futur lieu de résidence, mais pour commencer, je vous invite à écouter le Ted Talk du psychologue Barry Schwartz :

Si jamais vous n’avez pas le temps ou l’envie de l’écouter, je vous résume ses propos ci-dessous avec mes mots.

La logique voudrait que plus nous avons de choix, plus nous sommes libres, et plus nous sommes libres, plus nous sommes heureux. Ça pourrait être vrai… en théorie. Le problème est que, comme notre cher Barry essaie de nous l’expliquer, au final « trop de choix tue le choix ».

Mais pourquoi donc?

Alors qu’il nous illustre son idée avec une paire de jeans, je le ferai plutôt avec Netflix. Combien d’entre nous ont déjà passé de (trop) longues minutes à chercher quelque chose à écouter sur la plateforme? Certains diront que c’est parce que le catalogue n’est pas bon. C’est une réponse possible, oui, mais c’est aussi, de mon point de vue, parce que trop de possibilités s’offrent à nous.

Si le catalogue nous proposait seulement dix films, eh bien, nous choisirions dans celui-ci sans nous poser plus de questions. Si le film choisi n’est pas bon, nous en voudrons alors à Netflix de proposer si peu de contenu. Autrement dit, ce sera la faute de la plateforme. Par contre, si nous avons 1000 choix, nous allons être envahi.e.s de questions et nous allons nous demander si nous faisons le bon choix. Ce ne sera alors plus la faute de Netflix, mais la nôtre, car nous aurons eu une grande liberté de choix. À qui la faute si le film que j’ai décidé d’écouter n’est pas bon? À moi, très certainement, car j’aurais pu mieux choisir. Voilà le piège qui nous guette lorsque nous avons trop de choix; cette multitude de possibilités, au lieu de nous donner un sentiment de liberté totale, provoque de l’angoisse et de l’anxiété. (Pas) super!

De mon côté, mon trop-plein de choix concerne en ce moment la ville dans laquelle je pourrais m’installer. Concrètement, en ce moment, j’ai la possibilité de partir où je le souhaite, d’aller dans n’importe quelle ville. 

Sauf que ce « n’importe quelle ville » me donne le vertige. Comment choisir parmi cette multitude de choix? Est-ce que la ville va me plaire ? Et si je n’arrivais pas à m’intégrer? Et si, tout simplement, je faisais le mauvais choix? 

Vous voyez; de l’angoisse. En plus, j’ai un problème pour faire des choix, ce qui n’arrange rien, mais je me rends compte que ce trop-plein de possibilités, au lieu de me donner l’impression d’avoir une grande et belle liberté, me stresse. Aussi, je me doute que je ne suis pas la seule qui stresse devant ce genre de questionnements.

J’ai l’impression que c’est la première fois que j’ai autant de « liberté » par rapport à mon futur lieu de vie. Je n’ai pas vraiment eu à choisir mon secondaire, ni lorsque je suis partie à l’université; j’en avais sélectionné deux et quand j’ai décidé de partir au Québec, je ne me suis pas vraiment posé la question sur la ville où je voulais aller.

Maintenant, je fais des listes de pour et de contre et je fais l’inventaire de mes envies aussi. Il faut juste que je prenne des risques et que je fonce, I know. Ça devrait être le fun de se sentir libre, non? Je vais m’efforcer d’y penser!

Qui sait, mon prochain article sera peut-être sur le fait qu’il n’y a pas de mauvais choix et qu’il n’y a que des manières différentes de les vivre? Maybe!

Est-ce que trop de choix tue le choix pour vous aussi?

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Ton petit look

L’égoïsme, c’est si mal que ça?

« Égoïsme »:  Déjà à la première vue de ce mot, on a une impression négative. On a souvent perçu cette caractéristique humaine comme un défaut. Mais en est-ce vraiment un?

L’égoïsme est un tempérament qui consiste, dans une définition populaire, à avoir tendance à privilégier son propre intérêt aux dépens d’une autre personne ou du reste du monde. Pourtant, c’est tellement important de penser à soi pour mieux penser aux autres!

À notre époque, on souligne de plus en plus l’importance de prendre soin de soi. Parallèlement, avec l’avènement des réseaux sociaux et la rapidité à laquelle nous sommes exposé.e.s à des nouvelles du monde ou à la vie quotidienne des autres, c’est si facile de se comparer, si facile de trouver que l’herbe est plus verte chez le voisin.

Arroser son propre gazon, c’est pas une mauvaise chose. C’est même important pour le voisinage au fond. On contribue à un meilleur paysage si on produit du beau. On a une meilleure vue d’ensemble si tout le monde prend soin de ses affaires, non?  Bref, quand on veut bien aller, bien interagir et se sentir mieux avec les autres, faut que ça commence par soi.

Alors, détruisons la pensée collective que l’égoïsme, c’est mal. L’égoïsme, ça peut même être bénéfique. Ça fait en sorte qu’on se sent moins mal de dire « non » quand notre petite voix intérieure nous crie qu’une situation ne nous convient pas. Ça fait en sorte qu’on ne sort pas mille excuses pour dire à nos amis qu’on ne va pas sortir avec eux un samedi soir parce que ce dont on a réellement besoin, c’est de rester chez nous dans un bain chaud à écouter un film ou lire un livre.

Prendre du temps loin des réseaux sociaux sans répondre à nos messages, si on en a besoin, ça fait du bien. Les gens sont capables de comprendre. S’ils ne comprennent pas, c’est à eux de se poser les bonnes questions sur leur gestion de la patience et leur empathie. Prendre soin de sa bulle est un comportement que l’on devrait applaudir. Parce que quand on ne prend pas assez soin de nous, on est plus irritable, moins patient.e, moins approchable, et plus explosif.ve.

Ça, ça peut avoir bien plus de répercussions que de s’éloigner un peu quand on en a besoin pour mieux revenir.

L’égoïsme, c’est de penser à soi avant les autres, pis c’est correct des fois.

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Art de vivre

L’infidélité qui m’a donné envie de plus

Mon histoire commence comme plusieurs autres infidélités: par des sourires et quelques mots. Ce moment où on devrait dire « non », celui que je reprocherais à mon amoureux. Tu étais brillant, important… Plus vieux.

On a parlé des semaines: de nos vies, de nos enfants. Nos échanges sont devenus des textos, de plus en plus crus, assumés. Tu t’adressais à la femme. Ça me faisait un bien fou. Tu m’as offert une sortie, un lift, un french d’adolescente. Puis, les frenchs sont devenus une vraie aventure, avec des souvenirs. Plus tu alimentais ce flirt, plus je réalisais à quel point ma vie sentimentale était loin de mes attentes.

J’étais insatisfaite et je pensais que de te gagner TOI chasserait ce mal-être. Pourtant, j’allais de mal en pis. Un an a passé… Personne ne comprenait.

« Si on se voit, il va falloir que ce soit le fun. » Ce sont tes mots, quelques mois avant la fin, quand je commençais à devenir lourde. J’ai cru que tu parlais de sexe. Avec le recul, je vois que ça signifiait que je devais être conciliante, jouer selon tes règles. Toujours heureuse, jamais dans la demande. Flexible, je devais accepter tes annulations, tes changements de plans, tes voyages soudains avec elle.

Cela dit, je n’ai jamais voulu du rôle de maîtresse. Je voulais ce chalet rêvé à deux. Je voulais connaître tes enfants. Tu me parlais d’elle, moi, je t’ignorais. Tu me parlais aussi de ma famille. De l’importance du couple, de l’impact d’une rupture sur des enfants. Tu ne voulais tout simplement pas d’une maîtresse célibataire qui n’a plus rien à perdre.

En fait, si un seul moment j’ai cru que tes paroles ou tes gestes servaient mon intérêt, j’ai eu tort. L’engagement des deux, ailleurs… Un beau filet.

La journée où tu m’as dit que tu ne partirais PAS, j’ai trouvé un logement et j’ai fait mes valises. Une semaine plus tard, je dormais sur le plancher d’un appartement vide. J’ai emménagé avant mes meubles, je voulais un endroit pour pleurer.

Même s’il n’en savait rien, je ne pouvais plus rester dans sa vie. Tu m’avais donné envie de plus et ce que je voulais n’était ni dans ma relation avec toi, ni avec lui. Alors, je suis partie. Tu as disparu, des semaines, des mois.

Ceux qui savent me demandent souvent si je t’en veux. J’y étais aussi, c’était mon choix. Tout de même, je t’en veux de m’avoir promis tant et donné si peu, de ne pas m’avoir prévenue. Je t’en veux de m’avoir fait croire que je n’étais « pas assez » et SURTOUT, je t’en veux de te pas plus t’en excuser à ce jour.

Aujourd’hui, tu es toujours avec elle. Je ne voudrais plus sa place. Tu m’écris de temps en temps, tu t’informes. Tu t’en fais pour moi… Faux!

Tu t’en fais pour toi et moi, je ne réponds pas. Ça m’amuse de penser que, dans ta vie si heureuse, tu as peur… Juste assez.

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Et si on était plus gentil.le?

T’sais, la vie va vite. On l’dit souvent pis des fois c’est cliché en maudit, mais c’est vrai. On a déjà tellement à faire pour soi-même, pourquoi on se préoccuperait autant des autres? J’ai souvent eu cette réflexion? est-ce que je suis la seule?

Mais dernièrement, je réfléchis beaucoup à mes actions et mes réactions. J’essaie d’être plus consciente de ce qui m’entoure, que ce soit les personnes qui me sont chères ou des inconnus, et de garder en tête que les gens peuvent vivre des choses vraiment difficiles sans que ce soit nécessairement visible.

À un moment donné, je me suis tannée de cet espèce de sentiment d’être blasée et de penser que anywé, j’ai pas d’impact. Je me suis dit : et si j’étais plus gentille.

Plus gentille avec moi, oui, mais aussi plus gentille avec les autres. Ne vous méprenez pas, je ne suis pas une personne horrible (en tout cas, je ne pense pas!), je crois être de manière générale, une personne qui care beaucoup pour les autres? mais j’ai réalisé que je pouvais prendre le temps d’être plus sensible aux réalités qui m’entourent.

Tenir la porte à la personne derrière moi, répondre aux questions d’un touriste perdu dans la ville, prendre le temps de discuter avec une personne en situation d’itinérance, moins juger les actions ou les paroles des personnes sans connaître le contexte en entier? Ça prend littéralement quelques secondes être gentil.le et je me suis rendue compte que trop souvent, je ne prenais pas le temps de le faire.

Ce qui a déclenché cette prise de conscience en moi, c’est un événement qui m’a beaucoup bouleversé. J’avais pour habitude d’ignorer les personnes en situation d’itinérance, elles me rendaient mal à l’aise et c’est difficile pour moi de l’avouer? Mais il y a quelques mois, pressée par le temps et courant vers un rendez-vous, je me suis fait abordée par un homme. Sa voix brisée et ses grands yeux tristes m’ont pris le c?ur en étau. Je ne pouvais pas l’ignorer. Je n’avais pas de monnaie, ce que je lui ai dit et il m’a répondu « est-ce que vous pouvez juste m’acheter une paire de bas, s’il-vous-plaît? Je ne veux pas de monnaie? j’ai tellement froid aux pieds et mes bas sont troués. »

Je n’avais pas le temps, c’est ce que je me disais. J’étais en retard? Je lui ai dit qu’en sortant de mon rendez-vous, s’il était encore dans les parages, j’irai lui acheter une paire de bas. Une heure plus tard, il n’était plus là et la honte, la culpabilité m’ont tellement envahies.

Qu’est-ce que cinq minutes dans ma vie à moi? Alors que ça aurait pu en changer beaucoup pour cet homme.

À partir de ce moment-là, je me suis promis de prendre le temps d’être plus gentille avec les inconnus, parce qu’on ne sait jamais l’impact que peuvent avoir nos simples actions dans la vie d’une autre personne?

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C’est ok de ne pas être full cohérent.e, on n’est pas des robots!

Avez-vous remarqué qu’il y a toujours quelqu’un.e pour nous ramasser quand on a le malheur de poser une action incohérente avec une de nos convictions?

« T’es écologique, mais t’as pas fait la marche? »

« Tu veux faire plus de sport, mais tu ne prends pas les escaliers? »

« Tu fais attention à tes dépenses, mais t’arrives en taxi? »

On a tou.te.s notre lot de convictions qu’on expose et défend plus ou moins intensément, selon le contexte. D’ailleurs, ces convictions peuvent évoluer au fil du temps parce qu’en échangeant, en se documentant, ou encore en vivant des expériences, eh bien, on évolue.

On travaille fort pour agir en cohérence avec ce lot de convictions et puis parfois, on se loupe, on flanche, on n’a pas le courage, on est mal informé.e., on n’est pas encore assez imprégné.e d’une conviction pour se défaire d’anciens réflexes.

Et puis, c’est correct, parce que nous ne sommes pas des robots. On a le droit de se fixer un objectif ambitieux et puis de s’en rapprocher à petits pas en passant par de multiples étapes intermédiaires. J’ai envie d’ajouter ici que c’est même ce qui fait notre charme en tant qu’humain.e!

Alors, c’est sûr qu’à annoncer (et soutenir) parfois intensément certaines de nos positions, on tend le bâton pour se faire taper sur les doigts, hein. Parce qu’involontairement, on déclenche un sentiment bien désagréable (also known as la culpabilité) chez son interlocuteur.trice qui dès lors va nous attendre au tournant… parce qu’il.elle est humain.e!

Il y a tellement de causes pour lesquelles on peut s’engager que la tête m’en tourne parfois. Il y a tellement d’habitudes que l’on peut changer dans son quotidien pour augmenter ses chances de rester en bonne santé que mon cerveau surchauffe parfois. Et tellement de comportements qu’on devrait éviter pour être plus ceci ou moins cela que parfois, je ne sais plus quoi faire ou par où commencer pour avoir une vie plus harmonieuse.

Hélas, à passer son temps à peser le pour et le contre, on ne vit plus. Ou du moins, c’est mon impression. Alors comme vous (je suppose), j’ai choisi quelques causes et deux ou trois habitudes santé accompagnées d’une coupe de façons de penser pour me sentir mieux.

Je les fais évoluer de temps à autre, et puis j’avance avec mes incohérences au risque de me faire ramasser et parfois? d’en ramasser quelques-un.e.s parce que je ne suis pas un robot, ahah!

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Je performe socialement et ça gruge mon énergie

J’accorde une grande importance à ma vie sociale, mais pourtant, je me sens souvent à côté de la plaque.

La raison: J’ai souvent l’impression de mettre des efforts pour des choses qui pourtant, devraient « venir toutes seules » dans mes interactions.

C’est comme si je devais performer quelque chose en tout temps. Je tente de surveiller mes mots, mes paroles, ma posture et même ma façon de montrer mes émotions. J’ai commencé à avoir ce type comportements assez tôt. Vers l’adolescence, à la suite d’épisodes d’isolement, je me souviens que j’ai commencé à me pratiquer à parler devant le miroir, un peu comme si je répétais une pièce de théâtre. Après en avoir parlé avec une psychologue, elle m’a dit que je vivais probablement avec une phobie sociale.

En tant que personne neurodivergente, je peux vous dire que beaucoup de choses qui sont innées pour une majorité de personnes ne le sont pas nécessairement pour absolument tout le monde. De mon côté, le social comporte plusieurs choses que je n’ai jamais vraiment acquises sur le tas, mais plutôt à la suite d’objectifs et de défis que j’ai voulu relever avec acharnement (sûrement le sujet d’un autre article).

Avec le temps, j’ai fini par avoir certains bons réflexes dans ma manière de m’exprimer, mais il arrive encore que certaines personnes trouvent que mes paroles sont forcées et manquent de naturel, comme si on pouvait entrevoir le texte défiler dans ma tête pendant que je tente de l’ajuster tant bien que mal au moment présent.

À la longue, c’est énergivore au maximum. Mais le pire, c’est que cette hypervigilence toujours d’actualité affecte mes amitiés. Beaucoup trop souvent à mon goût.

Bien sûr, avec certaines personnes, je ressens moins ce besoin de performer socialement. Les choses se font plus naturellement, mais je reste une personne assez introvertie, qui ne ressent pas vraiment le besoin d’être entourée en tout temps. Il m’arrive de retrouver certaines difficultés, probablement faute d’une expérience solide dans ce genre de choses.

J’aime mes ami.es et c’est sincère, mais il m’est souvent arrivé de penser que je les aimais de loin. Je peux ne pas les voir pendant plusieurs semaines et ne pas sentir la solitude peser sur mon moral. Cela n’empêche pas que je peux penser à eux et m’ennuyer de leur présence, mais je n’ai pas toujours le réflexe de les inviter chez moi ou de leur proposer une activité. Je sais très bien que je devrais le faire plus souvent que de coutume. J’essaie d’expliquer mon fonctionnement quand il le faut, mais cela dit, je comprends que ce n’est pas tout le monde qui se sent à l’aise avec ce genre de dynamique. J’ai même fini par penser qu’en fin de compte j’étais une simplement une personne solitaire et que je n’étais pas vraiment faite pour l’amitié.

De plus, je manque beaucoup d’assurance dans certaines situations de conflit. En particulier, lorsqu’une personne de mon entourage fait un comportement qui me déplaît et que je dois agir dans l’immédiat. La confrontation me rend très anxieuse et en fin de compte je finis plus souvent par ne rien dire et prendre mes distances plutôt que d’en parler dans l’immédiat. Le dark side autocritique en moi trouve tout plein de raisons:

« Je ne veux pas gâcher la journée ».

« Après tout, je ne devrais pas être dérangée ».

« L’autre personne n’a fait rien de mal, c’est moi qui exagère».

« Je n’ai pas le droit d’être en colère ».

Je ne suis pas surprise au final d’en ressentir de la frustration et de voir la relation s’effriter, pour finalement me sentir comme un visage à deux faces.

J’espère réellement acquérir de la confiance en ce genre de circonstances plus difficiles, car c’est un peu inévitable. La plupart des amitiés profondes passent par là et … à peu près n’importe quelle relation à long terme en fait (y compris les relations de travail mais ça, on s’en reparle).

Je dois trouver un équilibre là-dedans pour me rendre la vie plus simple et surtout apprendre à communiquer sans craindre le jugement ou le rejet. Je sais que j’ai de la job à faire sur ce point.

Mais le plus important: je dois tout de même me respecter. Faire des efforts: oui. M’épuiser à la tâche: non.

Pis honnêtement, c’est ben correct que je ne ressente pas le besoin de socialiser à tout prix.

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Potins

Julie Bélanger : « le vin était devenu une bouée »

C’est par l’entremise de son blogue que Julie Bélanger s’est ouverte à ses fans, afin de partager une expérience de vie qui pourrait en aider plusieurs.

L’animatrice qui a « toujours écrit » révèle avoir touché le fond du baril et s’être inscrite à une thérapie fermée afin de régler certains problèmes personnels.

« … je savais que j’avais besoin d’aide. Je savais que le vin que mon chum et moi on se tapait à chaque soir était devenu une bouée, une façon de ne pas sombrer, le seul moyen de décompresser après le stress imposé à chaque jour, de souffler enfin calmement. Ça n’avait plus de sens. Je ne me reconnaissais plus. Je pleurais à un rien, je m’enrageais à un rien, j’avais la fleur de peau écorchée vive. Je devais absolument faire quelque chose », explique Julie Bélanger sur son blogue, en plus de relater son expérience en thérapie.

Puis, au lendemain (21 juillet) de la publication de son billet, Julie Bélanger est revenue sur les nombreuses réactions générées par son témoignage par l’entremise de son compte Facebook :

« Je me doutais que mon dernier billet allait susciter des réactions, mais pas tant que ça! Quelques précisions en vrac:

-La période dont il est question est survenue en 2008…il y a 8 ans! Aujourd’hui, je vais très bien merci et c’est pourquoi j’ai été capable d’en parler. 🙂

-La thérapie que j’ai suivie à l’époque est maintenant offerte sous forme d’ateliers intensifs d’un weekend. (Voir le site Coexister de Louise Sigouin pour les infos.)

-À voir la quantité de messages reçus hier, ça ne fait que me prouver à quel point ça peut arriver à tout le monde et qu’il est important d’en parler. On n’est pas des machines, ça nous arrive tous de plier des genoux par moment et, surtout, on peut s’en sortir grandi. »

De nombreux messages de support et de témoignages de gens ayant vécu une expérience semblable à celle de l’animatrice se retrouvent sur la page Facebook de cette dernière.

Une nouvelle? : scoop@buminteractif.com

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Musique

Fall Out Boy : Une reprise de Disney et un album concept

Fall Out Boy est de retour et semble en pleine forme.

La formation pop punk rock propose sa reprise de l’un des classiques de Disney pour l’album concept We Love Disney, soit la chanson I Wan’na Be Like You.

La pièce est originalement issue de The Jungle Book.

Proposant une reprise éclatée et éclatante, Fall Out Boy ne rate pas sa chance.

Visiblement en grande forme, les membres de Fall Out Boy confirment du même souffle le lancement d’un nouvel album concept comprenant des remix de l’album American Beauty/American Psycho, et « rempli de rappeurs ».

Azealia Banks, Wiz Khalifa, UZI, A$AP Ferg, Juicy J et I LOVE MAKKONEN se retrouvent tous sur Make America Psycho Again, qui sera lancé le 30 octobre prochain.

We Love Disney sera également disponible le 30 octobre. L’album comprend des reprises d’Ariana Grande, Jason Derulo et Kacey Musgraves.

D’ici à ces deux lancements, découvrez la reprise d’I Wan’na Be Like You, par Fall Out Boy.

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Potins

Pamela Anderson se dénude pour PETA

L’actrice Pamela Anderson récidive et retire à nouveau ses vêtements pour PETA.

La vedette de 47 ans s’est dénudée pour PETA. Cette fois-ci, la campagne publicitaire ne vise pas directement la maltraitance des animaux. La nouvelle campagne vise plutôt à sensibiliser les gens sur le gaspillage de l’eau potable.

La publicité, où l’on aperçoit l’actrice nue dans une scène rappelant celle de la douche de Psycho, révèle que le tiers de l’eau potable dans le monde est consacrée, non pas à abreuver la population, mais à arroser les récoltes et à abreuver le bétail.

La publicité suggère aussi que pour aider l’environnement, il ne faut pas uniquement prendre une douche plus courte, mais devenir végétarien.

Pamela Anderson a ainsi expliqué les raisons qui l’ont poussé à s’associer à cette nouvelle publicité de PETA : « Les rivières sont siphonnées, pas seulement par les animaux, mais aussi pour faire de la nourriture pour les nourrir dans des fermes industrielles. Produire une livre de boeuf prend autant d’eau que de prendre une douche de six mois. »

Photo : BANG/BIG

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Potins

Pamela Anderson se dénude pour PETA

L’actrice Pamela Anderson récidive et retire à nouveau ses vêtements pour PETA.

La vedette de 47 ans s’est dénudée pour PETA. Cette fois-ci, la campagne publicitaire ne vise pas directement la maltraitance des animaux. La nouvelle campagne vise plutôt à sensibiliser les gens sur le gaspillage de l’eau potable.

La publicité, où l’on aperçoit l’actrice nue dans une scène rappelant celle de la douche de Psycho, révèle que le tiers de l’eau potable dans le monde est consacrée, non pas à abreuver la population, mais à arroser les récoltes et à abreuver le bétail.

La publicité suggère aussi que pour aider l’environnement, il ne faut pas uniquement prendre une douche plus courte, mais devenir végétarien.

Pamela Anderson a ainsi expliqué les raisons qui l’ont poussé à s’associer à cette nouvelle publicité de PETA : « Les rivières sont siphonnées, pas seulement par les animaux, mais aussi pour faire de la nourriture pour les nourrir dans des fermes industrielles. Produire une livre de boeuf prend autant d’eau que de prendre une douche de six mois. »

Photo : BANG/BIG