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Réduire les risques de dépression en vieillissant grâce au vin

Vieillir comme le bon vin pourrait bien être plus facile… grâce au vin!

En effet, selon les informations rapportées par Top Santé, le vin serait un allié de taille dans la prévention de la dépression chez les personnes qui commencent à prendre de l’âge, soit de 55 à 80 ans, en moyenne.

C’est justement cette tranche d’âge qu’ont analysé des chercheurs espagnols lors d’une étude qui trace un lien direct entre la consommation de vin et une réduction des risques de dépression chez les gens à l’âge de la retraite.

« Nous avons sélectionné 5500 personnes âgées de 55 à 80 ans et, pendant sept ans, nous avons suivi leur état de santé psychologique et mis en parallèle leur consommation de vin. Nous nous sommes rendu compte que le risque de dépression était diminué en moyenne de 32 % chez les personnes qui buvaient de deux à sept petits verres de vin par semaine », explique Miguel Martinez-Gonzalez, de l’Université de Navarre.

Donc, en moyenne, l’effet optimal pourrait se faire sentir avec un verre de vin bu quotidiennement, mais les excès risquent d’apporter plus de problèmes qu’ils n’en règlent!

Comme l’élément clé de cette réduction des risques de troubles dépressifs est le resvératrol, on suggère aussi de consommer des petits fruits comme la canneberge ou les mûres, par exemple.

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La dépression frappe autant les hommes que les femmes

Plusieurs études et recherches tendent à vouloir démontrer que la dépression est un trouble qui frappe davantage les femmes que les hommes, ou à tout le moins que ces dernières présentent plus souvent des symptômes liés à la dépression que leurs congénères masculins.

Or, selon une étude rapportée par The National Library of Medicine, rien ne serait plus faux. Les conclusions de l’étude tracent plutôt un portrait équitable chez les deux sexes en matière de dépression, avec un pourcentage similaire d’environ 16 % de la population.

On suggère que l’impression générale actuelle, à savoir que les femmes sont plus sujettes aux symptômes de la dépression, pourrait bien être explicable par le fait que les hommes sont plus enclins à garder leurs émotions pour eux et à ne pas demander d’aide.

« Cela ne nous aide pas beaucoup de savoir que plus d’hommes souffrent de dépression que nous le pensions, si nous ne pouvons les amener à franchir la porte pour obtenir de l’aide », tranche Lisa Martin, auteure principale de l’étude en provenance du Michigan, aux États-Unis.

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Viagra féminin : le dossier avance rondement

Encore une étape vers la matérialisation et la commercialisation d’un « Viagra féminin » semble avoir été franchie, selon ce que rapporte Top Santé.

« Plusieurs médicaments visant à doper le désir sexuel des femmes sont en cours d’essai aux États-Unis. Ils s’adressent aux 10 à 30 % de femmes qui souffrent d’un manque de libido », titre le magazine Libération.

Contrairement au Viagra déjà connu, qui favorise l’érection chez l’homme de façon physiologique, le produit destiné aux femmes stimulerait plutôt la libido.

Le dossier provoque beaucoup de réactions à travers le monde, tantôt sympathiques, tantôt réfractaires, alors qu’on approche d’un lancement probable du produit.

Un spécialiste américain, Andrew Goldstein, affirme clairement la « nécessité de ne pas transformer les femmes en nymphomanes », alors que pour Odile Buisson, gynécologue, plusieurs femmes « présentent une insensibilité cérébrale aux stimulations sexuelles, et ces troubles du désir peuvent générer une détresse psychique ainsi que des difficultés dans les rapports aux autres ».

Il semble que les plus récents essais cliniques aient été suffisamment concluants, et que la commercialisation serait envisageable au courant de l’année 2015 ou 2016.

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Le processus de dépendance à l’alcool s’éclaircit

Encore un pas est franchi dans la compréhension des dépendances et du développement des habitudes, selon Santé Log, qui rapporte une recherche exhaustive sur le sujet.

« L’humain est une créature d’habitudes », lance-t-on bien souvent, avec raison. Oui, mais pourquoi, et surtout, comment?

Selon cette nouvelle étude en provenance du Scripps Research Institute, et initialement publiée dans le PNAS, le cerveau démontre diverses réactions en fonction de nos actions, comme la consommation d’alcool justement.

Ainsi, un abus d’alcool chronique pourrait faire passer l’action de boire un verre de la « zone de décision » à la « zone d’habitude », pavant ainsi la voie à une dépendance à proprement parler.

C’est après avoir testé les effets de l’alcool sur le striatum dorsal du cerveau, impliqué dans le développement des habitudes, que les chercheurs ont pu confirmer leur théorie initiale.

Plus les comportements sont fréquents et abusifs, plus la « zone d’habitude » prédomine sur la « zone de décision », et il devient conséquemment de plus en plus difficile de cesser le comportement.

Cette étude, ainsi que les précédentes sur le sujet, permettrait de mieux combattre les troubles de dépendance dans l’avenir.

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Facebook, manifestement un ennemi du couple

Santé Log rapporte une étude sociopsychologique qui confirme ce que l’on savait déjà : Facebook n’est pas le meilleur ami d’un couple en bonne santé.

Véritable secret de polichinelle, l’impact de Facebook au sein des relations amoureuses est parfois sournois et même dévastateur. C’est ce que confirme cette étude en provenance de l’Université d’Ohio State, qui parle d’un phénomène de « surveillance interpersonnel ».

Ainsi, outre les occasions de faire des rencontres et de tricher virtuellement grâce au réseau social, on se rend compte qu’un grand nombre de gens espionnent leur tendre moitié ou encore leurs ex!

Et alors que les soupçons grandissent, la tension aussi. Rien pour améliorer des relations modernes déjà éphémères et souvent superficielles ni la capacité de patience et la traversée des épreuves, en somme.

Plusieurs études sociologiques et psychologiques commencent à paraître en matière de réseaux sociaux, et on constate plusieurs problèmes liés au phénomène. Une récente recherche dévoilait des pointes de troubles de l’humeur et de dépression chez une majorité d’usagers de Facebook.

Bien sûr, plusieurs avantages sont liés au site de réseautage, mais sommes-nous en mesure d’avouer que nous vivions avant son apparition et que les choses n’allaient somme toute pas si mal? 

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Loin du travail, loin du coeur?

Loin des yeux, loin du cœur, dit-on, mais cette maxime s’appliquerait également en ce qui concerne les longs et fastidieux voyages pour se rendre et revenir du boulot, selon une nouvelle étude.

Top Santé rapporte en effet que selon une équipe de chercheurs suédois, la distance entre le domicile et le lieu de travail peut avoir un impact majeur sur le succès ou l’échec d’une relation.

C’est la conclusion apportée par Erika Sandow, en tête de cette recherche, après avoir sondé un million de personnes dans son pays d’origine et avoir analysé les impacts de ces déplacements sur la santé de leurs couples.

Il semble que 45 minutes soit le maximum de temps à accorder aux transports pour se rendre au travail, car passé cette barre les relations commenceraient à en souffrir. On parle d’un risque de rupture de plus de 40 %!

On imagine que la fatigue, la distance et le manque de temps sont tous des facteurs qui peuvent expliquer ces séparations massives dans ledit contexte.

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Le bénévolat pourrait bien vous faire vivre plus longtemps

Une stupéfiante nouvelle étude vante les mérites du bénévolat sur la santé, et même sur la longévité!

La recherche, rapportée par le Daily Mail (UK), parle d’un risque de mort prématurée réduit jusqu’à 20 %, chez les personnes qui se portent volontaires dans leur communauté.

Le bénévolat et l’aide communautaire auraient un effet appréciable sur la santé, croit l’équipe de chercheurs de l’Université d’Exeter, qui base ses conclusions sur l’analyse de 40 études internationales.

Aider les gens de sa communauté permettrait notamment une meilleure santé physique et mentale, un risque moindre de dépression, de même qu’un sentiment de plénitude et de satisfaction beaucoup plus élevé.

« Il n’est pas encore clair si les facteurs biologiques et culturels ainsi que les ressources sociales, qui sont souvent associées avec la bonne santé et la longévité, sont également reliés au désir de faire du volontariat au départ », précise Dre Suzanne Richards, leader de ces recherches.

L’étude va de pair avec une autre, parue récemment, qui traçait un lien entre l’altruisme et la longévité.

stupéfiante nouvelle étude vante les mérites du bénévolat sur la santé, et même sur la longévité!

La recherche, rapportée par le Daily Mail (UK), parle d’un risque de mort prématurée réduit jusqu’à 20 %, chez les personnes qui se portent volontaires dans leur communauté.

Le bénévolat et l’aide communautaire auraient un effet appréciable sur la santé, croit l’équipe de chercheurs de l’Université d’Exeter, qui base ses conclusions sur l’analyse de 40 études internationales.

Aider les gens de sa communauté permettrait notamment une meilleure santé physique et mentale, un risque moindre de dépression, de même qu’un sentiment de plénitude et de satisfaction beaucoup plus élevé.

« Il n’est pas encore clair si les facteurs biologiques et culturels ainsi que les ressources sociales, qui sont souvent associées avec la bonne santé et la longévité, sont également reliés au désir de faire du volontariat au départ », précise Dre Suzanne Richards, leader de ces recherches.

L’étude va de pair avec une autre, parue récemment, qui traçait un lien entre l’altruisme et la longévité.

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net

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La danse et la lecture pourraient bien mener au bonheur

Top Santé rapporte une étude qui révèle les impacts de certaines activités sur le bonheur, un palmarès qui place la danse en tête de liste.

En effet, selon l’étude-sondage écossaise, les répondants les plus heureux ont admis aimer danser, et démontrent un taux de bonheur jusqu’à 60 % plus élevé que ceux qui ne dansent pas!

La lecture aurait également un impact majeur sur la santé psychologique, puisque les répondants qui avouent lire souvent ou encore fréquenter des bibliothèques et des librairies seraient 30 % plus heureux que ceux qui ne lisent pas.

De plus, il semble que ces activités permettent non seulement un taux de bonheur plus élevé, mais aussi une meilleure santé en général.

L’enquête, menée dans le cadre du Scottish Household Survey en 2011, semble légère, mais se base en fait sur les réponses de près de 15 000 répondants. Plusieurs facteurs ont également été pris en compte, dont l’âge, la santé, l’emploi et l’éducation.

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Guérir la dépression par la thérapie sonore

De nouvelles recherches tendent à démontrer l’avenir prometteur de la thérapie sonore pour le traitement des troubles de l’humeur et de la dépression, selon le Daily Mail (UK).

Des chercheurs de l’Université d’Arizona, notamment, ont tenté l’expérience des ultrasons sur 14 étudiants volontaires, dont la moitié seulement ont reçu véritablement une « dose » d’ultrasons.

Les sujets croyaient participer à une étude sur la maîtrise de la douleur et n’y ont vu que du feu. Les chercheurs ont donc pu surveiller les variations de l’humeur de leurs sujets volontaires, quelque 10 minutes après l’expérience.

Les résultats, basés sur des échelles exhaustives de calcul des différentes émotions humaines possibles, révèlent des pointes de « bonne humeur » évidentes à la suite du traitement.

« Il est intéressant de constater que les ultrasons à la tête ont des effets sur le fonctionnement du cerveau et qu’ils peuvent influencer l’humeur. Il y a un potentiel d’aide contre la dépression clinique et l’anxiété. Toutefois, il faudra encore plus de travail et d’essais cliniques bien menés avant de pouvoir emmener ça en clinique », résume le professeur Nick Craddock, du Collège royal des psychiatres.

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La « dépression Facebook » : un phénomène bien réel?

Top Santé rapporte une étude fort intéressante sur l’impact du réseau social Facebook sur l’humeur de ses usagers.

Des chercheurs américains, en collaboration avec une équipe de chercheurs belges, ont cherché à comprendre les impacts de Facebook sur l’humeur et si ce dernier pouvait mener à des troubles comme la dépression.

Après avoir analysé les comportements et les réactions de 82 volontaires, les chercheurs concluent qu’en effet, le réseau social mène généralement à une moins bonne humeur générale.

Pour parvenir à cette réponse, on a fait répondre les sujets à plusieurs questionnaires avant l’étude, puis on a testé les réactions en temps réels de ceux-ci lors de l’utilisation de Facebook. Finalement, les volontaires ont repassé une série de questionnaires à la suite de l’étude.

Les résultats sont clairs : plus on utilise Facebook, moins on se sent bien.

Même si les chercheurs du Michigan ne souhaitent pas nier les avantages de Facebook en bloc, ils tiennent à mettre en garde la population, spécialement les gens qui souffrent déjà de troubles de l’humeur.

« Facebook peut constituer une ressource inestimable pour satisfaire le besoin humain de créer un lien social. Toutefois, plutôt que d’améliorer le bien-être, il semble le miner », conclut l’équipe de chercheurs américains.

op Santé rapporte une étude fort intéressante sur l’impact du réseau social Facebook sur l’humeur de ses usagers.

Des chercheurs américains, en collaboration avec une équipe de chercheurs belges, ont cherché à comprendre les impacts de Facebook sur l’humeur et si ce dernier pouvait mener à des troubles comme la dépression.

Après avoir analysé les comportements et les réactions de 82 volontaires, les chercheurs concluent qu’en effet, le réseau social mène généralement à une moins bonne humeur générale.

Pour parvenir à cette réponse, on a fait répondre les sujets à plusieurs questionnaires avant l’étude, puis on a testé les réactions en temps réels de ceux-ci lors de l’utilisation de Facebook. Finalement, les volontaires ont repassé une série de questionnaires à la suite de l’étude.

Les résultats sont clairs : plus on utilise Facebook, moins on se sent bien.

Même si les chercheurs du Michigan ne souhaitent pas nier les avantages de Facebook en bloc, ils tiennent à mettre en garde la population, spécialement les gens qui souffrent déjà de troubles de l’humeur.

« Facebook peut constituer une ressource inestimable pour satisfaire le besoin humain de créer un lien social. Toutefois, plutôt que d’améliorer le bien-être, il semble le miner », conclut l’équipe de chercheurs américains.

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net