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Le contrôle de soi mènerait au bonheur

En cette ère d’instantanéité, d’individualité et d’abondance, on a tendance à associer plaisir et bonheur.

De plus, chaque besoin et envie est désormais comblé facilement, comme par enchantement, grâce à des produits et services de toutes sortes, abordables et à proximité.

Or, selon ce que rapporte Top Santé, il serait peut-être faux de croire que la satisfaction du plaisir instantané mène directement au bonheur.

En fait, selon une étude en provenance de Chicago et publiée dans le Journal of Personality, plus un individu est capable de faire preuve de patience et de contrôle de soi, plus il serait proche de ce qu’on appelle le bonheur.

C’est après avoir observé et questionné 205 sujets adultes pour cette étude que les chercheurs ont constaté le lien évident existant entre l’épanouissement et le bonheur, et la capacité de se contrôler face à des envies, des besoins ou des désirs.

La patience et le plaisir d’anticipation seraient donc des vertus non négligeables dans la quête ultime du bonheur. Dommage qu’elles soient aussi en voie d’extinction…

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Un lien est démontré entre la santé psychologique et la sexualité

Quelques études sur la sexualité paraissent aujourd’hui, dont une sur les effets d’une sexualité abondante, mais celle qui retient le plus l’attention est probablement cette autre qui trace un lien entre la santé psychologique et certains comportements sexuels.

C’est Santé Log qui rapporte cette étude, par ailleurs effectuée par des chercheurs de l’Université California State, voulant que les gens plus enclins aux aventures d’un soir ou uniques puissent présenter des signes d’instabilité psychologique ou d’anxiété.

Publiées dans le Journal of Sexual Research, les théories et conclusions avancées font état d’autres études précédentes sur le sujet, pas toutes concluantes, mais dont certaines avaient reconnu le lien entre le « vagabondage sexuel » et une faible estime de soi.

La présente tend plus à conclure que les gens plus stables sur les plans psychologique et émotif chercheraient moins les rapports sexuels constants avec plusieurs partenaires différents pour des histoires d’un soir.

Les chercheurs impliqués dans l’étude tiennent cependant à préciser qu’on parle bien d’un lien tracé, et non d’une cause à effet.

L’étude a été effectuée auprès de près de 4000 sujets.

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Les hommes obéissent, les femmes confrontent?

Une étude dévoile certains traits de caractère observés chez les hommes et les femmes qui s’unissent pour tenter la belle aventure du couple.

Les conclusions proposées par les chercheurs de l’Université de l’Arizona, et rapportées ici par Top Santé, font état d’un fait qui ne surprendra pas les foules et qui peut être interprété de deux façons, selon le terme utilisé.

Ainsi, selon les chercheurs américains, les hommes seraient plus « coopératifs » que leur compagne au sein du couple, c’est-à-dire qu’ils seraient plus enclins à choisir la même opinion que celle-ci afin d’éviter toute source de conflits.

Les femmes, quant à elle, seraient plus rapides à confronter le partenaire (ou qui que ce soit d’autre), peu importe la situation.

De bien beaux termes qui signifient, en vérité, que les hommes sont plus portés à la soumission, et les femmes au débat.

« La coopération est quelque chose de précieux et d’important dans une relation épanouie, mais les hommes et les femmes ne la vivent pas de la même manière. Cette étude donne une autre piste pour comprendre comment les émotions des partenaires peuvent être liées, mais de plus amples recherches sont nécessaires pour comprendre comment ces réponses émotionnelles peuvent au final contribuer à la longévité ou au terme d’une relation amoureuse », résume Ashley Randall, qui mène l’étude, par ailleurs effectuée sur 44 couples volontaires.

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Les hommes et le sexe : plus de mythes que de réalité

Une stupéfiante nouvelle recherche sur les hommes et leur relation avec la sexualité lève le voile sur plusieurs faits qui s’avèreraient en fait des mythes plutôt tenaces…

C’est ce qui ressort des conclusions proposées par des chercheurs de l’Université Duke et rapportées par le Daily Mail (UK), alors que l’on constate que les hommes ne sont pas toujours aussi obsédés par la sexualité qu’ils le prétendent.

En fait, selon l’étude, plusieurs mythes qui circulent autour des hommes seraient véhiculés par ces derniers eux-mêmes, notamment afin d’être à la hauteur du stéréotype.

Dans la même veine, les réponses obtenues sur l’échantillon de 101 hommes et de 101 femmes du groupe test révèlent que ce sont en fait les femmes qui seraient davantage attirées par la question sexuelle, et davantage que leurs confrères masculins!

Un point que les deux genres ont en commun, cependant, c’est qu’ils tendent à évaluer à la hausse le nombre de leurs rapports sexuels sur une base mensuelle. C’est donc à dire que tout le monde ment, consciemment ou pas, sur sa relation avec sa sexualité ainsi que sur la fréquence.

Les chercheurs terminent en rappelant que le désir et les performances sexuelles varient aussi beaucoup en fonction des humeurs, chez l’homme comme chez la femme.

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La dépendance à la nourriture, un phénomène bien réel?

Peut-on être dépendant de la nourriture? C’est une question ou plutôt une information largement répandue en cette période où le surpoids et l’obésité sont devenus des problèmes de santé de type pandémiques.

Doit-on considérer que certaines personnes ou certains comportements relèvent d’abord de la dépendance avant de soigner ou de diriger les patients vers des pistes de solution? Pour des chercheurs américains basés à l’Hôpital pour enfants de Boston, la réponse est oui.

Ces conclusions sont par ailleurs publiées dans l’American Journal of Clinical Nutrition et rapportées par le Daily Mail (UK), entre autres.

L’auteur en chef de l’étude, le Dr David Ludwig, explique : « Au-delà de la récompense et du manque, cette partie du cerveau est aussi liée à l’abus de substances et à la dépendance, ce qui soulève la question à savoir si certains aliments peuvent créer une dépendance ».

Le Dr Ludwig fait bien sûr référence au fameux « centre du plaisir » du cerveau, qui réagit fortement face à certains produits. Les plus connus sont bien sûr l’héroïne et la cigarette, mais on découvre qu’une réaction similaire est observable à la suite de l’ingestion d’aliments à forte teneur glycémique comme le pain blanc, les pommes de terre et plusieurs produits considérés comme de la malbouffe.

D’autres études doivent être faites, alors que le sujet demeure hautement controversé.

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De l’ocytocine pour aider à l’intégration sociale et la confiance personnelle

Voici une nouvelle qui risque d’en faire bondir plus d’un, à tout le moins ceux qui considèrent que la médication est une réponse un peu trop commune et facile aux maux de la planète.

C’est Santé Log qui rapporte une étude de chercheurs canadiens basés à l’Université Concordia, faisant état de la possibilité d’utiliser de l’ocytocine pour soigner les gens aux prises avec des problèmes d’intégration sociale.

La molécule permettrait d’augmenter la confiance d’un individu, de mieux contrôler et réguler ses émotions, tout en minimisant le stress. Tous ces facteurs permettent bien entendu une intégration sociale plus facile, et peut-être même une réduction des risques et des effets de la dépression.

L’étude fait état de 100 jeunes sujets testés à l’ocytocine, administrée à l’aide d’un simple vaporisateur nasal. Placés ensuite en situation de conflit ou de rejet social, ces mêmes sujets auraient mieux réagi grâce à l’ocytocine, ce qui laisse présager des traitements possibles pour les personnes aux prises avec des problèmes d’anxiété, de détresse ou psychosociaux graves.

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Obsession de la minceur : de précieuses minutes gaspillées chez les deux sexes

À moins que vous n’appréciiez vraiment vous en faire pour votre poids et culpabiliser dès que vous envoyez un aliment dans votre estomac, vous conviendrez que l’obsession de la minceur n’est pas le meilleur des passe-temps.

Pourtant, selon le Daily Mail (UK), cette obsession pour notre poids prendrait de plus en plus de temps dans une journée. Chez la femme, bien entendu, mais également chez l’homme, le phénomène n’étant plus du tout exclusif ou réservé à un genre.

Selon les statistiques rapportées par une équipe de chercheurs britanniques, une femme passerait jusqu’à 21 minutes par jour à penser à son poids, ce qui représente un nombre considérable. En fait, sur toute une vie d’une durée, disons, de 67 ans, cela signifie qu’une année entière aura été consacrée à l’obsession de la minceur.

Mais attention, les hommes ne sont pas loin derrière, avec une moyenne de 18 minutes par jour!

La pression devient de plus en plus forte, et même s’il s’agit d’une bonne chose de surveiller ce qu’on ingère, il faut aussi profiter de la vie et éviter de sombrer dans les troubles obsessifs. 

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Le stress et le pouvoir de la pensée pourraient nuire à votre santé

Le cercle vicieux du stress peut s’avérer dommageable pour votre santé, c’est bien connu, mais la force de votre pensée peut aussi boucler la boucle de ce cycle fatal.

En effet, selon des statistiques démontrées par la NHS en Angleterre, ici rapportées par le Daily Mail (UK), la perception du stress et de ses impacts sur notre santé pourrait être suffisante pour nous causer du tort.

Donc, une personne qui se dit stressée, tendue, et qui croit fermement que cet état d’esprit va lui causer des problèmes de santé fait bondir ses chances de crise cardiaque, par exemple, de 50 %…

Un autre bel exemple du pouvoir de la pensée, donc, énoncé dans cette recherche britannique qui fait état, pour l’une des premières fois, d’un véritable lien entre la pensée humaine et un effet réel sur l’organisme.

Cette cause à effet a été avancée à la suite de recherches effectuées sur 7000 patients, et ce, sur une période de 18 ans.

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Les médias sociaux en prévention du suicide

Les médias sociaux ont souvent eux-mêmes mauvaise presse et sont vus de haut par d’aucuns, parfois à tort ou à raison, mais il existe un phénomène qui semble difficile à contredire.

En effet, si les médias sociaux sont un lieu d’intimidation fréquent, et qu’il s’agit d’un problème de société flagrant chez la jeune génération, ces mêmes systèmes peuvent aussi sauver des vies.

De plus en plus de cas sont observés et rapportés, de jeunes (et moins jeunes) individus qui se tournent vers la toile et leurs médias sociaux favoris pour demander de l’aide en situation de crise et de détresse psychologique.

C’est le phénomène rapporté par le Daily Mail (UK), alors qu’une nouvelle étude fait état du réflexe des jeunes à se tourner vers les technologies pour partager leurs émotions les plus sombres et leurs idées suicidaires, plutôt que de parler à un proche ou d’appeler une ligne anti-suicide.

Des chercheurs de l’Ohio, auteurs de deux études sur le même sujet, croient qu’il faut concentrer les efforts de prévention du suicide vers le web et ce genre de plateformes, là où se trouvent véritablement les jeunes et les adolescents.

Ici, au Québec, plusieurs cas qui abondent dans ce sens ont aussi été rapportés.

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La « démence numérique » : un nouveau phénomène à prévoir?

Des spécialistes sud-coréens avancent une nouvelle théorie, rapporte le Daily Mail (UK), qui fait état d’un mal contemporain qui serait appelé à prendre de l’ampleur.

Il s’agit d’un phénomène baptisé « démence numérique » par les chercheurs, qui se définit par une perte des performances cognitives due à la surutilisation des technologies modernes.

C’est après avoir conduit des recherches préliminaires sur des groupes d’adolescents que les spécialistes sud-coréens ont constaté que la démence numérique n’était probablement pas qu’une théorie.

Ils ont en effet constaté que les sujets de l’étude les plus dépendants des technologies actuelles (les téléphones intelligents, les ordinateurs, les jeux vidéo et les médias sociaux, par exemple) souffrent d’une détérioration de leurs capacités cognitives.

En clair, plus on compte sur des objets et des technologies pour penser et se souvenir, moins on est capable de le faire par nous-mêmes.

Plusieurs sujets se sont révélés incapables de se souvenir de détails simples sans avoir recours à leur téléphone ou à un autre appareil.

Les chercheurs s’inquiètent particulièrement de la surutilisation de ces appareils par les enfants de 10 à 19 ans, dont le cerveau est en pleine formation et progression.