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Le manque de sommeil serait-il devenu un fléau de société?

Si vous vous sentez souvent fatigué et semblez manquer de sommeil constamment, vous n’êtes vraisemblablement pas seul!

En fait, selon Top Santé, qui rapporte une étude des CDC américains sur le sujet, le manque et les troubles de sommeil seraient en voie de devenir une « épidémie », c’est-à-dire un problème collectif et récurrent.

Un terme que n’hésite pas à utiliser l’association américaine pour alerter la population contre le fléau qui n’a rien de bénin.

Manque de productivité généralisée, accidents et manque d’attention, maladies et troubles de la santé divers, voilà quelques-uns des dommages collatéraux découlant d’un manque de sommeil collectif.

Bien que l’on rappelle les heures de sommeil nécessaires au bon fonctionnement de l’être humain (9-10 heures pour les adolescents, 7-9 heures pour les adultes), on ne mentionne pas les raisons de cette soudaine épidémie en santé publique.

Trop de travail? Trop de stress? Manque de sensibilisation sur l’importance du sommeil? Pour l’instant, tout ce qu’on sait, c’est que les Nord-Américains ne font pas passer le sommeil en tête de liste de leurs priorités… et qu’ils ne dorment pas assez.

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Le poids idéal, selon Jean-Michel Cohen

Le Dr Jean-Michel Cohen s’avère être un personnage qui détonne un peu en comparaison des autres nutritionnistes et auteurs.

C’est que le sympathique spécialiste n’hésite pas à personnaliser le concept de « poids santé » et déconseille vivement aux personnes qui désirent perdre du poids de se fixer des objectifs trop éloignés de leurs caractéristiques physiques.

Cette fois, c’est le Telegraph (UK) qui le cite en rapportant certains propos de l’auteur, à commencer par ceux qui traitent de la génétique.

Cette génétique qui, très souvent, trace des inévitabilités pour chaque individu. Des caractéristiques qui risquent de rendre une personne fort malheureuse si cette dernière se fixe des objectifs basés sur la génétique de quelqu’un d’autre.

Spécialement si l’on se fie à une image renvoyée par les médias ou les magazines, croit Cohen, qui lance le conseil suivant : « Ne soyez pas trop durs envers vous-même ». Le poids idéal d’une personne serait celui observé à son plus mince, sans régime.

Il explique d’abord l’importance de cesser de trop culpabiliser, mais de compenser. Par exemple, si vous faites un écart de conduite alimentaire aujourd’hui, cessez de vous culpabiliser et soyez plutôt vigilant le lendemain.

Il suggère également que l’alcool, surtout le vin,  n’est pas un ennemi mortel lorsque consommé avec modération, et que plus vous achetez de légumes lors de votre marché, plus vous pourrez manger sans gêne.

Il termine en conseillant d’éviter le stress à table et d’apprécier chaque repas!

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Le lien entre la tristesse et la crème glacée démystifié

Vous êtes du genre à bondir vers le pot de crème glacée, par ailleurs délicieux, lorsque vous ressentez de la tristesse ou vivez des émotions négatives? Vous n’êtes pas le seul. Selon le Daily Mail (UK), il ne s’agit cependant pas d’un phénomène aléatoire, loin de là.

Selon les explications proposées par des chercheurs allemands de l’Université de Wuzburg, les gens en détresse émotionnelle (tristesse, peine amoureuse, deuil, lendemain de veille difficile, etc.) verraient leur capacité gustative se modifier.

Ainsi, en ces moments difficiles, les individus seraient moins à même de reconnaître les gras, mais seraient en revanche beaucoup plus sensibles aux produits contenant du sucre.

Pour étayer et prouver cette théorie, les chercheurs ont fait visualiser différentes scènes et mises en contexte à un groupe cible, avant de lui proposer de la nourriture.

Les sujets ayant été mis en contexte d’émotions tristes ou relatives à la négativité ont tous été moins habiles à détecter la présence de gras dans les aliments proposés, mais réagissaient subitement plus efficacement aux aliments sucrés.

Ne soyez donc pas trop inquiet lors de votre prochaine rupture, il semble tout à fait normal de tomber tête première dans la crème glacée! Il s’agit de savoir quand s’arrêter, tout de même…

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Des souvenirs préfabriqués par le cerveau en réaction au stress

Vous avez un souvenir bien précis d’un événement passé et vous pensez avoir conservé une image vive de celui-ci? Pensez encore.

Selon Top Santé, le cerveau humain serait capable de créer des souvenirs fabriqués de toutes pièces ou préfabriqués afin de composer avec différentes situations, dont celles de stress et d’anxiété.

Les chercheurs en provenance des Pays-Bas en tête de cette étude donnent l’exemple des soldats qui ont vu la guerre de près, et qui voient parfois leurs souvenirs se transformer ou encore s’effacer.

Même chose pour nos souvenirs d’enfance, surtout pour ceux qui ont vécu des traumatismes, des sévices ou encore des périodes d’anxiété chronique.

Les tests, dont les résultats ont été publiés dans l’édition de mai de l’European Journal of Psychotraumatology, ont été effectués sur 250 soldats de retour de la guerre (Afghanistan).

Après plusieurs tests et questionnaires, près du tiers des soldats se souvenaient d’événements qui ne s’étaient jamais produits, confirmant en partie la théorie initiale des chercheurs.

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La personnalité ne serait pas que génétique

On pourrait croire que la génétique et notre ADN décident d’une grande part de qui nous sommes en termes de personnalité, mais il appert qu’elle n’est responsable que de 50 % de nos traits de caractère.

Après tout, lorsqu’on ressemble à nos parents et que l’on reproduit les manies et habitudes de l’un de ceux-ci, difficile de croire que l’on peut changer et s’éloigner de l’arbre familial.

Pourtant, selon une étude en provenance de l’Université Exeter, notamment rapportée par Santé Log, il semble que nous ayons beaucoup plus de contrôle sur le développement de notre personnalité au fil du temps qu’on pourrait le croire.

Testée pour l’instant sur des oiseaux et leurs descendants, la théorie des chercheurs s’est avérée exacte jusqu’à maintenant.

L’environnement, la prise de risques, l’aspect social et plusieurs autres facteurs peuvent véritablement changer la personnalité d’un individu.

D’un individu oiseau, pour l’instant, mais il serait certes fascinant de tester la même théorie sur les humains, qui croient trop souvent être victimes de leur propre personnalité. 

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Anxiété et cancer : Comprendre les émotions des proches d’un patient

Les proches d’un patient souffrant d’un cancer peuvent également vivre de grandes émotions et en subir les contrecoups sur leur santé physique. Mais qui a le temps de s’occuper de ça quand un proche reçoit un diagnostic de la maladie la plus terrifiante connue?

Il semble qu’il faudra bien aborder le problème, car Santé Log rapporte des statistiques intéressantes qui confirment l’existence de ce problème collatéral.

L’étude en question vise pour l’instant les conjoints, amoureux et époux de patients atteint d’un cancer, et démontre que l’anxiété frappe beaucoup plus souvent et beaucoup plus violemment la tendre moitié que le patient lui-même.

Plus de 30 % de chances de développer des troubles anxieux, note la recherche, un problème qui peut perdurer sur une période de plus de dix ans! La férocité et la longévité du problème sont de plus encouragées par le fait que personne (ou presque) ne reconnait le phénomène.

Comme on le sait, les troubles anxieux et d’angoisse peuvent mener directement à plusieurs problèmes de santé majeurs.

La publication de cette étude, parue dans le magazine Lancet Oncology, s’avère un excellent point de départ pour les conjoints et les proches d’une personne atteinte d’un cancer, souvent impuissantes et délaissées.

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61% des Américaines préfèrent bien manger plutôt que de trouver l’amour

Une étude aussi légère que stupéfiante nous est rapportée par le Daily Mail (UK), alors que des femmes qui répondaient à un sondage sur leurs préférences et habitudes alimentaires ont majoritairement préféré leur régime sain à l’amour!

61 % des répondantes, en fait, préfèrent bien manger plutôt que de trouver l’amour, ou disent prioriser une alimentation saine à une relation saine.

Avoir accès à des aliments de qualité et à une diète équilibrée passe même devant toutes les autres priorités des répondantes américaines sondées, comme de jolis vêtements et de substantielles économies.

On ne pourra donc plus taxer les femmes, américaines dans ce cas-ci, des nombreux préjugés auxquels fait face la gent féminine!

Les temps changent et les priorités aussi, se réjouit notamment Jennifer Grayson, éditrice chez Abe’s Market. « Ces résultats sont spectaculaires », lance-t-elle, visiblement ravie de ce changement de philosophie du côté des femmes américaines.

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15 h : l’heure fatidique au travail

Si vous devenez inopérant, obsolète dans vos fonctions professionnelles lorsque sonne 15 h, vous n’êtes probablement pas seul, rapporte Top Santé

Selon une étude britannique, 14 h 55 serait le dernier moment de productivité ressenti par les 400 travailleurs interrogés par les chercheurs anglais, ce qui démontre une tendance.

Il s’agit bien sûr d’une moyenne établie par l’équipe de recherche, qui a constaté qu’il serait certainement plus utile de prendre une pause pour se dégourdir ou pour se faire un café que de tenter de pousser la machine en milieu d’après-midi.

De plus, les chercheurs découvrent certains cycles de travail qui leur permettent de conclure deux choses : « La plupart du temps, si les personnes ont un élan d’énergie et abattent beaucoup de travail en une heure, ils ont tendance à être en sous-régime les deux heures suivantes. On recommande de prendre plusieurs petites pauses de cinq minutes pendant la journée ».

Michael Davies, qui dirige l’étude, croit donc qu’il ne faut pas lutter contre ce que l’on ressent, notamment lors des baisses de régime, qu’elles soient à 15 h ou ailleurs dans la journée.

Il termine en expliquant : « Nous connaissons tous des pics et de creux de productivité, mais l’astuce est de maintenir un niveau de travail constant plutôt que d’osciller d’un extrême à l’autre ».

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La thérapie devrait être privilégiée après un diagnostic de dépression

La montée en flèche des prescriptions et de la consommation d’antidépresseurs a de quoi inquiéter. Véritable solution miracle qui permet de ne pas faire face à la racine du mal, de plus en plus de spécialistes s’accordent pour dire que les statistiques en matière d’antidépresseurs dépassent les bornes.

Des opinions qui seront renforcées par cette nouvelle étude rapportée par Top Santé, qui fait état des taux de succès de la psychothérapie, presque aussi efficace que le Prozac et ses homologues.

La recherche, en provenance de la Suisse, compile les résultats obtenus par différentes approches tentées auprès de patients dépressifs (198 études compilées, 15 000 patients au total).

Les résultats sont clairs pour le Dr Jürgen Barth, il faudra manifestement privilégier les options de thérapie dans le futur.

Moins dangereuses que les antidépresseurs, les différentes thérapies possibles ont également l’avantage de creuser le problème original et de tenter de régler le trouble dépressif à la source.

Il est à souhaiter que ce genre de message fasse son chemin à travers la population mondiale.

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Nouveau traitement futuriste et prometteur contre la schizophrénie

C’est toute une percée que rapportent plusieurs médias, dont Santé Log, alors que des chercheurs sont à mettre au point un système futuriste et prometteur qui permettrait d’améliorer le traitement de la schizophrénie.

Il s’agit d’un système virtuel de thérapie par visualisation, créé par des chercheurs de l’University College London, qui permet aux patients d’affronter leurs hallucinations grâce à la matérialisation physique de celles-ci.

En proposant une image de type avatar, un personnage virtuel qui possède la même voix que celle imaginée par un patient, ce dernier est à même de confronter l’entité créée de toutes pièces pour faire progresser sa thérapie.

Le patient contribue à créer le personnage et à lui donner la voix la plus ressemblante possible à celle entendue lors des crises, et peut ensuite dialoguer avec lui sous la surveillance d’un professionnel.

À mesure que le traitement avance, on rend le personnage virtuel de plus en plus agréable et de moins en moins agressif et effrayant. Au fil de plusieurs séances, le patient reprend progressivement le « contrôle » sur la représentation virtuelle, permettant ainsi une meilleure compréhension de son mal et une meilleure gestion du stress.

De plus vastes essais cliniques sont en cours, mais on se dit très optimiste face à cette nouvelle façon de faire.