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Les patients souffrant d’Alzheimer reproduiraient les émotions environnantes

The National Library of Medicine dévoile des conclusions fort intéressantes concernant la maladie d’Alzheimer et comment elle agit sur les patients qui en souffrent sur le plan émotionnel.

Des chercheurs californiens, de UCLA et UCSF, ont constaté que les patients atteints d’Alzheimer avaient tendance à réagir aux émotions environnantes et démontrées par les proches, et à les reproduire.

Ainsi, une personne anxieuse et troublée ne ferait pas bon ménage auprès des personnes atteintes d’Alzheimer, ne faisant que contribuer à un état de confusion et de malaise.

« Le calme appelle le calme », lance le Dr Sam Gandy, spécialiste new-yorkais sur la question.

« C’est la façon dont voyagent les émotions à travers les gens et sans avertissement. Les maladies comme l’Alzheimer et les autres démences accentuent cet effet de contagion émotionnelle », explique Virginia Sturm, de l’Université de San Francisco.

Les chercheurs se disent stupéfaits de constater le lien unique qui unit les êtres humains entre eux, et croient que ces conclusions permettront aux intervenants d’effectuer du meilleur travail auprès des patients. 

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Un QI élevé permettrait une perception différente

Des chercheurs basés à Rochester, aux États-Unis, ont évalué la perception des gens face à leur environnement ou à des objets en mouvement, selon les quotients intellectuels de chacun.

Ils sont arrivés à des conclusions étonnantes, révèle le Daily Mail (UK), à commencer par la variation de la perception sensorielle.

Ainsi, les sujets au QI plus élevé ont démontré plus de facilité à faire abstraction d’un environnement afin de se concentrer sur un petit objet en mouvement. Cependant, contre toute attente, ces mêmes sujets ont été plus lents que les autres à détecter un objet plus large qui se trouvait directement en face d’eux!

Serait-ce la preuve que les gens brillants voient souvent beaucoup trop loin et s’avèrent parfois incapables de résoudre de petits problèmes de la vie quotidienne? Pas nécessairement, croit Duje Tadin, de l’Université de Rochester.

Il explique : « Il y a quelque chose chez les cerveaux au QI élevé qui les empêchent de voir rapidement un mouvement large, au contraire d’un plus petit. Cette habileté est toutefois très utile dans un monde rempli de distractions. Un cerveau efficace se doit d’être sélectif ».

Saviez-vous que la moyenne de QI général est de 100 et qu’elle augmente d’à peu près trois points par décennie chez plusieurs populations? C’est ce qu’on appelle « l’effet Flynn ».

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Un Viagra féminin sur les rayons en 2016?

Les femmes pourraient avoir droit à un traitement similaire au Viagra pour soigner leur panne de désir, selon le Telegraph (UK).

Baptisé habilement Lybrido, le médicament serait une combinaison de testostérone et de certains ingrédients retrouvés dans le Viagra, et pourrait trouver le chemin des pharmacies au cours des prochaines années.

On avance 2016 comme date de lancement, mais le Lybrido pourrait être commercialisé avant, puisque les recherches semblent aller bon train.

Bien entendu, les compagnies pharmaceutiques se réjouissent d’avance de la mise en marché d’un tel produit, alors que le Viagra rapporte près de deux milliards de dollars annuellement dans le monde.

Fait étonnant, les chercheurs ont eu du mal à créer un médicament aussi efficace pour la femme que le Viagra l’est pour l’homme.

On pourrait expliquer le phénomène par le fait que la gent féminine doit également ressentir de l’excitation au plan psychologique, autant que sur le plan physique.

On peut donc conclure que la mécanique et la psychologie sexuelle des femmes s’avèrent plus sophistiquées et « évoluées » que celle des hommes… un fait que ces derniers ne sont certes pas prêts à accepter.

En partant du même raisonnement, on peut s’inquiéter de voir les femmes gober ce médicament au lieu de régler le véritable problème, un peu à l’image des antidépresseurs.

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Quand le stress ramène aux bonnes habitudes

Santé Log rapporte une nouvelle étude sur le stress qui dévoile des informations pertinentes concernant la gestion du stress et des habitudes qui en découlent.

On apprend que le fait d’être stressé ne mène pas toujours à de vilaines habitudes, mais parfois aussi à de bonnes. Encore faut-il en avoir déjà eu, explique notamment Wendy Bois, qui dirige l’étude en compagnie de David Neal.

Selon ces chercheurs, qui ont analysé les cas de plusieurs sujets au cours de cette étude, l’humain aurait tendance à se cacher derrière les habitudes du passé en situation accrue de stress.

Ainsi, quelqu’un qui a un passé de mauvaise alimentation pourrait se remettre à manger de façon malsaine, mais un ancien sportif pourrait tout aussi bien se remettre à la course…

Les chercheurs croient donc, en conclusion, que la meilleure arme en gestion de stress ne serait pas tant de tenter de contrôler cette émotion, mais plutôt de voir à ce que les habitudes adoptées soient bonnes pour la santé.

Lorsque vous êtes trop fatigué pour expérimenter de nouvelles méthodes, la prochaine situation stressante vous donnerait donc l’envie de reprendre d’anciennes habitudes. D’en adopter de nouvelles pourrait donc être bénéfique pour l’avenir!

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Une mode sud-coréenne sème la controverse

La Corée du Sud, à l’inverse de sa voisine du nord, ne fait pas parler d’elle pour ses frasques internationales, mais plutôt pour ses succès technologiques et la hausse spectaculaire des chirurgies esthétiques qu’elle enregistre.

Récemment, un concours de beauté local faisait le tour du web, alors que les photos des participantes démontraient qu’elles se ressemblaient toutes! La raison évoquée est celle de la chirurgie, un phénomène qui prend de l’ampleur dans le pays.

Cette fois, rapporte Top Santé, le nouveau scandale en provenance de la Corée du Sud est en lien avec ce nouveau type de chirurgie, qui vise à remodeler la mâchoire.

Une intervention dangereuse, difficile et souvent bien douloureuse pour celles qui s’y risquent. Elles sont cependant de plus en plus nombreuses à tenter le coup, alors que le culte de la beauté est à son paroxysme, et que la nouvelle tendance coréenne est d’afficher une mâchoire fine et élancée.

De nombreux incidents ont été rapportés à la suite de ce type d’opération, et on s’inquiète de plus en plus de la pression vécue par les femmes de ce pays, qui doivent répondre à des critères incohérents et irréalistes si elles souhaitent faire leur marque et trouver l’amour.

Une tendance que pourraient adopter les Nord-Américaines, au grand dam des spécialistes qui déconseillent vivement ce genre d’intervention extrême.

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Le champagne au service de la mémoire

Alors que les percées médicales en matière de traitement des maladies dégénératives comme l’Alzheimer abondent depuis quelque temps, l’ultime découverte se fait encore attendre.

Les citoyens craignent donc, avec raison, d’être confrontés à ce genre de maladies neurologiques graves, et ne peuvent pour l’instant que se doter de moyens de prévention.

L’un de ceux-là pourrait bien joindre l’utile à l’agréable, selon Top Santé, car des chercheurs de l’Université de Reading croient que le champagne pourrait s’avérer une arme de prévention contre la maladie d’Alzheimer, en plus d’améliorer la mémoire. 

On parle d’une consommation variant d’une à trois coupes de champagne par semaine, soit un peu moins que ce qui est avancé dans le cas du vin rouge. Dans ces deux cas cependant, on reconnait les polyphénols comme facteur expliquant cet effet protecteur.

« Le champagne est plus riche en composés phénoliques que le vin blanc, en raison des propriétés des deux cépages dont il est issu », explique le professeur Jeremy Spencer, auteur de l’étude.

Les chercheurs ont pu vérifier cette théorie sur des rongeurs, avant de publier les résultats dans une récente édition du magazine Antioxidants and Redox Signalling.

Plus besoin d’attendre de grandes occasions pour boire du champagne, selon Spencer et son équipe. Pourquoi alors ne pas simplement trinquer à la bonne santé!

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Le syndrome prémenstruel finalement reconnu par les spécialistes

Peut-être aura-t-il fallu qu’un plus grand nombre de femmes accèdent à des postes importants, notamment en sciences et en recherche, pour que le fameux syndrome prémenstruel (SPM) soit finalement reconnu pour autre chose qu’une vulgaire blague.

C’est que selon ce que rapporte La Presse, l’Association psychiatrique américaine (APA) reconnait enfin les conséquences bien réelles du SPM, spécialement dans ses formes les plus violentes.

Tellement que l’Association a décidé d’inclure le syndrome dans son fameux DSM, soit le Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux.

Publié depuis le début des années 50, l’ouvrage retrace tous les troubles mentaux reconnus, et le syndrome prémenstruel y fait son apparition pour la toute première fois.

Baptisé trouble dysphorique prémenstruel, ce diagnostic est associé dans cette nouvelle édition du DSM à des problèmes psychologiques comme la dépression et la bipolarité, ce qui choque certains observateurs.

« Le critère important est qu’à cause des symptômes, le fonctionnement de tous les jours est perturbé », nuance cependant le Dr Richard Bergeron, fondateur de la Clinique du syndrome prémenstruel du Centre hospitalier Pierre-Janet.

Le syndrome ne serait donc applicable qu’aux femmes qui n’arrivent plus à jouir de la vie ou à vaquer à leurs occupations quotidiennes lors de la période prémenstruelle.

Plusieurs femmes se réjouissent de cet ajout au DSM, témoignant des difficultés vécues lors d’épisodes graves de SPM, souvent mal compris et mal diagnostiqué par les médecins traitants, qui ont trop souvent recours aux antidépresseurs pour tenter de régler le problème.

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Les jolies femmes seraient plus fertiles et moins stressées

Difficile de parler de stéréotype lorsque l’information provient d’une étude scientifique, et pourtant, le sujet de celle-ci a de quoi surprendre.

C’est le Daily Mail (UK) qui rapporte les conclusions issues d’une étude traitant d’un possible lien entre la beauté physique d’une femme et sa fertilité, ainsi que son niveau de stress moyen.

Ainsi, on apprend qu’une femme plus jolie que la moyenne serait moins anxieuse et susceptible d’être stressée, en plus de bénéficier d’une fertilité plus accrue!

Cependant, à l’inverse des hommes, la beauté féminine ne serait pas gage d’un système immunitaire plus fort, toujours selon les chercheurs en tête de l’étude.

On peut également associer les deux faits ensemble, puisque le stress trop important nuirait à la fertilité chez la femme. On peut donc dire que la beauté engendre moins de stress, ce qui favorise conséquemment la procréation.

D’autres recherches sur le sujet sont à prévoir, mais il semble que les liens proposés ici soient bien réels. La beauté ne serait donc pas toujours que superficielle, semble-t-il.

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La dépression chez les femmes de plus de 40 ans pourrait mener à l’infarctus

Top Santé rapporte une étude exhaustive concernant les troubles dépressifs chez les femmes de plus de quarante ans, qui laisse croire qu’un lien de cause à effet est possible entre la dépression et certains problèmes cardiaques.

Après avoir suivi plusieurs femmes de 47 à 52 ans sur une période de 12 ans, les chercheurs de l’Université du Queensland, menés par le Dr Jackson, concluent que les femmes victimes de dépression une fois dans la quarantaine voient leurs risques de subir un infarctus augmenter d’un peu plus du double (2,4 fois).

L’étude corrobore donc les résultats de recherches précédentes effectuées sur des femmes de 60 ans et plus qui faisaient état d’un risque trois fois plus important de crise cardiaque à la suite d’un diagnostic de dépression.

Cette nouvelle étude est importante, car elle permet de souligner un autre facteur de risque d’AVC et de maladies cardiovasculaires, première cause de mortalité chez la femme. Les antidépresseurs seraient également risqués pour le cœur, ce qui fait alors bondir les statistiques!

Les chercheurs veulent sensibiliser les femmes de 40 ans et plus à se mettre au sport, qui permet non seulement de garder un cœur en santé, mais aussi de tenir à l’écart plusieurs problèmes psychologiques et troubles de l’humeur. 

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Les stéroïdes ne seraient pas dangereux que pour la santé physique

Bien que les stéroïdes anabolisants permettent des prouesses athlétiques et des gains musculaires spectaculaires, il est bien reconnu que d’en faire l’utilisation comporte sa part de risques pour la santé.

Mais pas uniquement pour la santé physique, apprend-on des informations rapportées par Santé Log, alors qu’une nouvelle étude en provenance de Suède fait état d’importants risques pour la santé mentale, à moyen et long terme.

Selon l’étude parue dans le British Journal of Sports Medicine, des recherches effectuées sur des athlètes suédois démontrent un lien direct entre l’utilisation des stéroïdes et le développement de certains troubles mentaux et psychologiques.

On parle notamment de problèmes de dépression, de concentration et de troubles comportementaux divers, qui peuvent survenir des années plus tard.

Le Dr Fahlke, auteur principal de l’étude, parle d’un « cercle vicieux » dont seraient victimes plusieurs athlètes au cours de leur vie, voyant certains problèmes de santé mentale être renforcés par l’utilisation de stéroïdes, et pouvant ensuite mener à des abus d’autres drogues ou d’alcool.

Un cercle vicieux que les chercheurs souhaitent éviter pour la nouvelle génération de sportifs, qui se doivent d’être sensibilisés à la cause et au phénomène.