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Photographier ses repas pourrait indiquer un trouble alimentaire

S’il y a une mode bien étrange en ce moment, c’est celle de prendre des repas en photo pour les partager sur les nombreux réseaux sociaux.

Qui n’a pas déjà vu passer des photographies d’assiettes remplies, de fast-food ou de sushis, se demandant quel était le but réel de cette manœuvre.

Pour Valerie Taylor, du Women’ s College Hospital de l’Université de Toronto, ce phénomène n’est pas toujours bénin. En fait, il est même probable qu’il cache un problème alimentaire chez plusieurs de ces personnes, rapporte La Dépêche, qui reprend les propos de la spécialiste.

« J’ai des patients pour qui la nourriture est devenue problématique, et il leur est difficile de sortir sans parler d’autre chose que de ce qu’ils mangent, quand ils mangent, le moment où ils vont de nouveau passer à table », explique Taylor.

Vous reconnaissez quelqu’un qui ressemble à ce profil? Ou peut-être faites-vous vous-même partie de cette catégorie…

Pour la spécialiste, qui s’exprimait lors du Sommet canadien sur l’obésité récemment, l’obsession de la nourriture est un trouble alimentaire en soi, et souvent un pas vers l’obésité.

« On prend des photos de ce qui est important pour nous, et pour certaines personnes, la nourriture devient centrale alors que tout le reste — le lieu, les personnes, etc. — fait uniquement partie du décor », termine Taylor, qui présente ici un problème fort intéressant.

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Les problèmes psychologiques liés au travail sont encore sous-estimés

Quiconque aura travaillé dans un bureau ou dans un emploi dit « traditionnel » saura de quoi traite ce nouveau rapport, paru en France, qui s’applique à presque toutes les régions du monde.

Selon les informations rapportées par Top Santé, un rapport déposé le 14 mai dernier fait étant d’une situation alarmante en matière de stress au travail et des troubles psychologiques qui en découlent.

Le véritable problème, et tout le monde sera d’accord avec cette affirmation, se situe surtout dans l’attitude des dirigeants et des employés des firmes et bureaux de ce monde, qui sous-estiment souvent et grandement les impacts psychologiques liés au travail.

Performance, argent, trimestre, date de tombée, bref, une panoplie de facteurs et de mots-clés font passer l’institution avant l’humain. Une façon de faire décriée dans ce rapport proposé par le Conseil économique et social français.

« L’impact des troubles psychosociaux sur notre compétitivité économique est encore largement sous-estimé. L’absentéisme, le renouvellement de personnel, les formes les plus diverses de désengagement ont pourtant un coût élevé pour les entreprises. Nous formulons donc le vœu que cet avis permette aux acteurs économiques et sociaux de mieux appréhender et prévenir les risques psychosociaux, en s’inscrivant dans une démarche de progrès et en remettant en question le sens même du travail dans notre société », résume Sylvie Brunet, qui s’occupe du dépôt du rapport.

Heureusement, quelques entrepreneurs visionnaires savent maintenant donner plus de liberté et faire confiance à leurs employés, mais il s’agit d’un phénomène encore trop rare.

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L’effet antidépresseur de l’exercice physique vanté

Alors que plusieurs études et rapports de spécialistes indiquent qu’il serait peut-être bon de revoir à la baisse le nombre de prescriptions d’antidépresseurs et de diagnostics « préventifs » de dépression, voici une étude qui vante l’exercice comme méthode alternative.

Pour les Drs Chad Rethors et Madhukar Trivedi de l’Université du Texas, l’activité physique permet non seulement de garder une bonne santé générale, mais aussi mentale, rapporte Top Santé

Peu onéreux et très efficace, l’exercice est une option de choix en prévention ou en traitement de troubles dépressifs. Cependant, les chercheurs croient qu’il existe des contextes et des paramètres précis pour assurer le bon fonctionnement de ce traitement alternatif.

D’abord, il ne faut pas lésiner. On conseille vivement jusqu’à cinq séances par semaine d’exercice physique, de 45 minutes minimum chacune, à bonne intensité.

On constate que cette façon de faire commence à porter des fruits après la quatrième semaine de labeur, et qu’il faut maintenir le rythme durant près de 12 semaines pour assurer un « traitement » complet.

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Faire baisser les risques d’accidents cardiaques grâce aux animaux de compagnie

Amateurs d’animaux de compagnie, le fait de posséder un compagnon poilu pourrait bien avoir une incidence positive sur votre santé sans que vous le sachiez.

C’est que The National Library of Medicine rapporte une étude fort intéressante qui laisse croire que la présence d’un animal de compagnie dans une demeure peut faire baisser les risques de problèmes cardiovasculaires éventuels chez son propriétaire.

Publiées par l’American Heart Association, ces conclusions font également état d’une meilleure santé globale chez les propriétaires d’animaux de compagnie, qui afficheraient en moyenne des taux d’obésité, de mauvais cholestérol et de pression sanguine moins élevés.

« Posséder un animal, plus particulièrement un chien, est probablement associé avec une diminution des risques de maladies du cœur », lance le professeur Glenn N. Levine, de Houston.

On comprend donc que cette mention du chien fait référence au fait que le propriétaire d’un canidé doit le promener, et donc faire une certaine activité physique.

On parle également d’une réduction du stress et de l’anxiété, des facteurs de risque importants, chez tous les propriétaires d’animaux.

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Un plus petit nom pourrait signifier un plus gros salaire

C’est une étonnante étude que nous rapporte ici Top Santé, alors que des chercheurs américains ont tracé une corrélation entre la longueur des prénoms et le salaire annuel.

Ainsi, un prénom plus court aurait plus de chances de rapporter plus d’argent à son propriétaire, selon ce que l’on comprend des conclusions avancées et publiées dans The Ladders.

Pour en arriver à ce constat pour le moins farfelu, les chercheurs ont analysé les noms et les salaires de près de six millions d’Américains. Le calcul mathématique subséquent mène à une solution étonnante : chaque lettre en plus dans un prénom priverait le propriétaire de celui-ci d’une somme de 3600 dollars annuellement.

Donc, plus le prénom est court, plus on peut aspirer à de grandes choses sur le plan financier, comme les trois dirigeants d’entreprises les mieux payés aux États-Unis sont Tim (Cook), Larry (Ellison) et Ron (Johnson).

Pour ceux qui ont un nom assez long, les chercheurs n’hésitent pas à suggérer d’utiliser un surnom ou un diminutif de son vrai nom en affaires.

Croyez-vous à ces conclusions? 

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Le risque de dépression peut varier selon la qualité de votre relation amoureuse

Les relations amoureuses et sociales peuvent s’avérer déterminantes dans le développement des troubles dépressifs, rapporte Santé Log, alors qu’une étude sur le sujet vient de paraître dans la revue PLoS ONE.

On y avance que les relations d’amitié et amoureuses sont au cœur de plusieurs cas de dépressions nerveuses, et qu’une personne malheureuse en couple voit ses risques de développer de tels problèmes psychologiques augmenter grandement.

Si on analyse bien les chiffres démontrés, on parle même d’un risque accru pouvant aller jusqu’à 50 %!

On conseille donc le célibat, au lieu de faire perdurer une relation qui n’a manifestement pas d’avenir ou qui est constamment teintée d’émotions négatives et de conflits.

Cette étude en est une autre qui ouvre le débat sur les impacts de la vie sociale et générale sur la dépression, qui ne se forme pas toujours « par elle-même ». Bien qu’on parle de « maladie », plusieurs dépressions ne sont pas aléatoires et pourraient être prévenues par les patients si ceux-ci étaient attentifs aux aspects négatifs de leur vie.

On note également une différence de risque de dépression selon la classe sociale et le revenu, des conclusions qui font avancer la cause dans la bonne direction.

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Chialer est bon pour la santé, à condition de le faire… positivement

Il y a du nouveau concernant cette étude qui dévoilait les bienfaits observables lorsqu’on exprime ses émotions à voix haute. Chialer ou râler serait donc bon pour la santé, des conclusions qui avaient fait le tour du web lors de la publication du premier article concernant cette étude.

Or, selon le New York Times, cet énoncé serait vrai, mais uniquement lorsqu’on critique de façon constructive. Chialer… positivement, en bref, serait la clé pour se libérer de son stress et s’assurer de ne pas garder de mauvaises énergies embouteillées.

Ces propos, rapportés par Top Santé, font état de plusieurs détails oubliés par la précédente étude, à commencer par le fait que l’entourage d’une personne qui exprime ses émotions constamment peut vite se lasser de ce comportement.

Et perdre tous ses amis n’aide en rien à la santé psychologique!

Pour déterminer le bon comportement, il faut savoir distinguer la critique constructive de l’attaque gratuite. En somme, si une critique négative a pour but et effet d’améliorer une situation ou d’aider à résoudre un problème, voilà ce qu’on appelle une critique constructive.

Jay Kelman, un rabbin de Toronto, commente et termine sur une note philosophique en y allant de cet exemple : « Vous devez vous plaindre de la justice sociale. Ça prouve que vous vous sentez concerné. Mais pour chaque plainte, il faut une action ».

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Le narcissisme et la superficialité obsessive démystifiés?

Le narcissisme et la superficialité, ou encore le fait de constamment penser à son apparence, sont des comportements mis en lumière dans une nouvelle étude sur le sujet, qui révèle des faits étonnants.

D’abord, on apprend que les gens obsédés par leur apparence ne le sont pas toujours parce qu’ils s’adorent, au contraire, mais aussi parce qu’ils ne sont souvent pas satisfaits de ce qu’ils voient.

Selon cette récente étude en provenance de l’Université de Californie, rapportée par The National Library of Medicine, certains de ces phénomènes pourraient s’expliquer par des connexions déficientes ou « mal branchées » au cerveau, qui pousseraient ces gens à ne voir que leurs défauts et leurs imperfections.

Difficile de penser à autre chose quand votre tête ne vous renvoie que des images négatives de vous, et ce, de façon incessante!

« Nous avons trouvé une forte corrélation entre des connexions déficientes autour du cerveau et la sévérité des symptômes de ce désordre », résume Jamie Feusner, auteur de l’étude.

On ne parle pas des possibilités de traitement, mais comme pour tous les désordres de ce type, ce genre de découverte est souvent un premier grand pas vers des solutions efficaces. Un dossier à suivre.

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Les jeux vidéo excellents pour la santé mentale et la longévité des aînés

Les détracteurs des jeux vidéo devront se rhabiller, car une nouvelle étude sur le sujet vante les mérites des jeux interactifs électroniques, rapporte Top Santé.

XBOX, Playstation, Wii, peu importe le produit, l’étude américaine en question estime cette fois que les personnes âgées aussi peuvent bénéficier de cette activité, et pas qu’un peu.

Longévité accrue, mémoire améliorée, déclin dû au vieillissement moins important et retardé, meilleures capacités cognitives, bref, les avantages de l’utilisation des jeux vidéo chez les personnes âgées sont notables.

Les chercheurs de l’Université d’Iowa ont sélectionné quelques sujets, avant de les diviser en deux groupes. On les a ensuite fait jouer à différents jeux et on a observé leur évolution cognitive.

Conclusion?

« On n’a pas seulement prévenu leur déclin, on a accéléré leurs facultés. », se réjouit le professeur Wolinsky, qui participe à l’étude.

Il faudra donc revoir certains mythes concernant les « vilains » jeux vidéo, et probablement en installer dans les résidences pour personnes âgées, qui peuvent bénéficier grandement de ces activités virtuelles… en plus de s’amuser.

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La foi au service de la santé mentale

S’il existe un sujet tabou en cette ère où les valeurs morales semblent de plus en plus être laissées de côté, c’est bien celui de la foi.

Pourtant, le fait de croire en quelque chose est une arme puissante remplie d’optimisme et d’espoir, mais on s’oblige à reléguer la foi aux oubliettes, comme s’il s’agissait d’un conte, d’une histoire pour enfants.

Pourtant, les gens portés par un sentiment de foi sont souvent plus souriants et optimistes que ceux qui ne croient nullement à une forme de vie après la mort.

Santé Log corrobore cette théorie en rapportant une étude de la Harvard Medical School, publiée récemment dans le Journal of Affective Disorders.

L’étude vante les mérites de la foi et avance que ceux qui ne craignent ainsi pas la mort sont moins enclins à développer des troubles dépressifs. Parmi ceux qui seront tout de même aux prises avec des symptômes de dépression, on dit que la foi permet un rétablissement bien plus rapide.

Bref, une meilleure santé mentale est observable chez les sujets qui croient, et malgré le tabou entourant le sujet, on ne peut que trouver de la logique dans ce raisonnement.

Après tout, vivre en étant convaincu que le néant nous attend au coin de la rue, c’est franchement déprimant.