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Un truc simple pour se rappeler plus facilement

Santé Log rapporte la suite d’une étude précédemment réalisée sur la mémoire, qui ajoute cette fois un détail qui vient boucler la boucle.

Une recherche avait établi que le fait de serrer le poing droit permettait de mieux mémoriser certains détails, en plus d’améliorer l’attention.

Cette fois, des chercheurs de la Montclair State University corroborent cette affirmation, mais ajoutent que pour se remémorer les données entrées dans le cerveau à la dure, il suffirait cette fois de serrer le poing gauche!

Publiées dans la revue PLoS ONE, ces révélations, qui semblent de prime abord futiles, pourraient bien aider plusieurs personnes aux prises avec des problèmes de mémoire à court et long terme.

C’est après avoir analysé les résultats de quatre groupes de sujets, qui devaient mémoriser une longue liste de mots divers, que les chercheurs ont pu confirmer cette théorie.

Après avoir demandé aux différents groupes de serrer les poings dans des ordres différents ou encore de ne rien faire du tout, les chercheurs concluent que la meilleure combinaison en est une « droite gauche », qui ferait appel à des zones spécifiques du cerveau et qui permet de mémoriser des données avant de les récupérer.

Un truc simple à essayer pour ceux qui oublient tout!

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Les hommes mariés auraient plus de chances de survivre à un cancer de la prostate

Mauvaise nouvelle pour les célibataires endurcis, alors que le Daily Mail (UK) rapporte une étude qui révèle des statistiques étonnantes en matière de chances de survie après un diagnostic de cancer de la prostate, et selon votre état civil.

Ainsi, on apprend que les hommes mariés auraient jusqu’à 40 % moins de chances de mourir de ce cancer que leurs homologues célibataires.

Attention, on précise ici que les chercheurs canadiens en tête de l’étude parlent d’un mariage heureux, et non nécessairement de toutes les unions maritales.

On expliquerait le phénomène par plusieurs facteurs, à commencer par le fait que les hommes mariés seraient davantage poussés à subir des tests de prévention et à parler de leurs problèmes de santé que lorsqu’ils sont célibataires.

Ces révélations vont dans le même sens que plusieurs autres études sur les relations, qui affirment qu’il existe des bénéfices nets sur la santé à être dans une relation stable et heureuse, plutôt que de vivre seul.

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Les humains pourraient éprouver de l’empathie pour… des robots

Santé Log rapporte une étude à saveur psychologique et technologique qui se penche sur une question existentielle.

Les chercheurs allemands qui publient l’étude croient que nous, humains, pourrions ressentir des émotions similaires à l’empathie envers d’éventuels compagnons robotisés, bref, des robots.

Par exemple, l’étude note que si un humain moyen était confronté à des sévices infligés à un robot, celui-ci réagirait probablement de la même façon que si ces agressions survenaient sur un camarade homo sapiens.

Effectuée à l’Université de Duisburg Essen et présentée lors de la conférence de l’International Communication Association de Londres, l’étude soumettait les participants à des mises en situation comme celle décrite plus haut. On analysait ensuite les réactions des sujets par des tests de résonnance magnétique, ce qui aurait clairement démontré des émotions distinctes de la part des sujets humains envers les robots.

« Un des objectifs de la recherche en robotique actuelle est de développer des robots compagnons qui établissent une relation à long terme avec l’utilisateur humain. Nous travaillons à des robots qui pourraient accompagner les personnes âgées ou handicapées dans les tâches quotidiennes, et contribuer ainsi à une autonomie plus longue à domicile », lance l’auteur en chef de l’étude, en conclusion de cette recherche psychologique fascinante.

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La différence entre le cerveau des hommes et des femmes illustrée

Bien des blagues à caractère sexiste, que ce soit envers les hommes ou les femmes, trouvent leurs origines dans cette notion évidente qui veut que les deux sexes ne soient pas véritablement construits de la même façon.

Ce serait notamment vrai en ce qui concerne le cerveau, non seulement au sens propre, mais aussi au sens psychologique. Voici une nouvelle étude sur le sujet qui tente d’illustrer cet état de fait, et qui confirme par la même occasion qu’il existe bel et bien des différences notables entre les deux genres sur le plan cérébral.

D’abord, rapporte Daily Mail (UK), on constate que les femmes sont plus susceptibles de développer des troubles de démence et de dépression, alors que les hommes seraient plus souvent frappés par des troubles comme la maladie de Parkinson, par exemple.

Ensuite, l’étude confirme que les hommes possèdent un plus gros cerveau que leurs camarades féminines, mais que celui de ces dernières serait plus efficace en gestion de crise et en résolution de problèmes, notamment grâce à une meilleure performance du lobe frontal (aussi plus gros, en moyenne).

On note aussi une capacité accrue à « sentir le danger » chez l’homme, alors que la femme obtient quant à elle une sensibilité et une réponse au toucher accrues.

On avance également que le cerveau de la femme « n’est jamais au repos », alors que celui de l’homme « se repose souvent »… Des munitions pour la gent féminine lors des débats animés entre gens de sexes opposés!

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La dépression pourrait bien se transmettre d’une personne à l’autre

Top Santé rapporte une étude sur la dépression qui révèle des faits étonnants au plan scientifique, mais dont plusieurs personnes se doutaient probablement.

Selon les chercheurs américains qui se sont penchés sur le sujet, la dépression serait transmissible, ou « contagieuse », selon le type de personnes qui gravitent autour de la personne qui en souffre.

Ainsi, les personnes plus vulnérables à l’énergie des autres ou plus susceptibles de développer des troubles dépressifs elles-mêmes pourraient être influencées par une personne dépressive, et voir leur humeur changer radicalement.

L’étude, publiée récemment dans le magazine Clinical Psychological Science, parle de « vulnérabilité cognitive » et prétend que les jeunes sont particulièrement sensibles au phénomène.

L’environnement de ces derniers devient donc primordial pour assurer leur développement, le succès dans leurs études et sur le marché du travail, et pour éviter d’éventuels troubles dépressifs.

« Si vous incitez ces jeunes à s’entourer de personnes positives, vous éviterez à certains de sombrer dans la dépression. Alors que s’ils s’entourent de personnes moroses, ils ont de fortes chances de céder à leurs idées noires », concluent les chercheurs.

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Le café et le thé remportent la bataille des boissons

Si le thé est unanimement cité comme boisson santé par excellence, le café soulève beaucoup plus la polémique, et les avis sur cette boisson matinale divergent selon les chercheurs et les études proposées.

Une nouvelle étude rapportée par Epicurious rassure les amateurs de café et pointe plutôt du doigt les boissons gazeuses. On observe notamment des risques de dépression beaucoup moins grands chez les buveurs de café que chez les amateurs de colas, une différence appréciable.

L’étude croit que l’eau, le café et le thé sont les trois choix de prédilection des gens en bonne santé, au détriment des autres boissons sucrées comme les jus et les boissons gazeuses diverses.

On réitère aussi les vertus du thé sur la santé, déjà bien connues.

On peut donc conclure que les deux boissons chaudes remportent la bataille, mais c’est la première fois qu’une étude établit de façon claire un risque accru de dépression ou de trouble psychologique chez les buveurs de cola, qui serait 30 % plus à risque de troubles dépressifs que les amateurs de thé et de café.

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La gloire pourrait augmenter les risques de mourir prématurément

Une étude originale se penche sur un dossier intéressant, celui de la célébrité et de ses impacts sur la santé des individus qui en font l’expérience.

Des chercheurs canadiens, qui dirigent l’étude ici rapportée par Santé Log, ont cherché à comprendre les conséquences de la gloire sur la santé et la longévité, en plus de trouver des pistes d’explication à plusieurs décès de stars au fil de l’histoire.

On n’a d’abord qu’à penser à Amy Winehouse, plus récemment, et Jimi Hendrix ou Kurt Cobain, tous membres de l’illustre club des 27 (ils sont tous morts à 27 ans, et la liste est longue).

On parle d’abord de « comportements à risque », du côté des chercheurs, notamment une mauvaise hygiène de vie et alimentaire ainsi que l’usage d’alcool, de tabac et de drogues diverses. On croit qu’il est possible d’associer ces comportements à une mauvaise gestion du stress face à une pression souvent trop forte.

Les sportifs semblent eux aussi mourir plus jeunes, en moyenne, que les politiciens ou les hommes d’affaires, explique-t-on.

Finalement, l’étude semble corroborer une précédente recherche qui abondait dans le même sens, en concluant que le stress, la pression et de mauvaises habitudes de vie sont responsables de la plupart des décès prématurés dans l’industrie du spectacle.

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Psycho : le modèle Barbie ne tient pas la route

Que les femmes se le tiennent pour dit : le modèle Barbie n’a aucune cohérence, et ce genre d’images envoyé par la société devrait être tout bonnement ignoré.

Pourquoi? Parce que si l’on prend l’exemple de la célèbre poupée Barbie, explique Top Santé, on se rend compte que de telles proportions sont non seulement impossibles, mais rendraient une femme aux mensurations similaires incapable de vivre… ou même de marcher!

Barbie, dans la vraie vie, aurait d’abord un cou trop long, ce qui ferait pencher sa tête. Sa taille, quant à elle, ne permettrait même pas à la demoiselle d’avoir tous ses organes, puisqu’ils ne pourraient pas tous entrer dans une telle cavité.

On note aussi la maigreur malsaine de ses jambes et, qui plus est, de ses chevilles. Ces dernières ne pourraient même pas soutenir le corps! Elle ne pourrait donc pas marcher, ce qui ajoute au problème.

Une étude sympathique, mais importante, alors que la société et les médias en général bombardent la gent féminine d’images irréelles, retouchées et illusoires.

Les femmes doivent comprendre le phénomène et apprendre à s’aimer comme elles sont, ou à tout le moins de se fixer des objectifs sains et réalistes.

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Le bonheur sexuel se mesure-t-il en quantité?

Santé Log rapporte une étude sur la sexualité qui indique l’importance potentielle de la quantité de rapports sexuels sur la notion de « bonheur sexuel ».

Bien que l’on ne sous-estime pas l’importance de la qualité, les chercheurs croient aussi que la quantité est importante, tout comme pour l’argent.

Ainsi, après avoir mené des essais sur plus de 15 000 personnes volontaires, ils ont pu conclure non seulement à l’importance de la fréquence des rapprochements amoureux, mais aussi à l’importance d’en avoir plus que ses amis ou ses voisins.

Le fait d’avoir des relations sexuelles fréquentes, et surtout plus que les gens autour, ferait en sorte que la plupart des individus dans cette situation ressentiraient un bonheur décuplé face à leur vie sexuelle.

Les répondants de l’étude ont presque tous répondu qu’ils étaient heureux au plan physique lorsqu’ils croyaient faire l’amour plus souvent que le voisin, et tout autant lorsque la fréquence des relations intimes est supérieure à la « moyenne ».

L’auteur de l’étude rappelle cependant qu’il est important de faire ses choix en fonction de nos désirs et besoins, et non en fonction de l’image envoyée par les autres ou par la société.

Une excellente morale à tirer!

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Le Botox associé à un risque accru de dépression

Si vous pensiez avoir recours au fameux Botox pour conserver votre mine des beaux jours, vous voudrez peut-être jeter un coup d’œil à cet article avant de passer à l’acte.

Selon une étude rapportée par Top Santé, les injections de Botox n’ont pas toujours l’effet escompté par le patient ou la patiente. Si le fait d’améliorer son image procure en soi un effet de joie, les chercheurs de l’Université de Cardiff croient qu’il existe également un effet retour.

En fait, les chercheurs pensent fermement qu’en « bloquant » ainsi les expressions du visage, le corps envoie des messages mixtes au cerveau. Lorsqu’une personne sourit, l’expression faciale affichée envoie un message au cerveau qui indique que nous sommes heureux, content.

Mais lorsque le sourire ne change plus notre expression, et que celle-ci est « figée », le cerveau ne reçoit jamais ces messages de bonheur et croit finalement, à long terme, que son propriétaire est dépressif.

« … les expressions de notre visage affectent aussi notre moral. Nous sourions parce que nous sommes heureux, mais c’est aussi le fait de sourire qui nous rend heureux », explique le Dr Lewis, en tête de l’étude.

Il faut noter que cette cause à effet est notable selon le type et l’endroit de l’intervention. Si l’on « fige » des parties du visage qui s’activent lorsque nous sommes fâchés ou déprimés, on pourrait alors être témoin de l’effet inverse, soit de moins ressentir les émotions négatives.