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La pensée magique au service du vieillissement en bonne santé

Ceux qui croient que la pensée n’a aucun pouvoir sur la matérialisation des choses risquent d’être abasourdis par cette nouvelle étude sur le vieillissement.

Rapportée par Santé Log, cette nouvelle recherche parle de l’importance de ne pas « s’imaginer vieux et fragile », puisque le corps pourrait bien transposer ces pensées en une triste réalité.

Ainsi, les chercheurs de l’Exeter Medical School, qui présentaient ces conclusions au début du mois lors de la conférence de la British Psychological Society, croient qu’il faut plutôt voir l’avenir avec optimisme et chasser les idées préconçues voulant que vieillir se fait inévitablement dans la douleur et la maladie.

C’est après avoir analysé les comportements et les réactions subséquentes de 29 personnes âgées que les chercheurs ont pu tester et confirmer leur théorie.

« En se voyant vieux et fragile, on agit comme si l’on est vieux et fragile. », croit l’un des sujets de l’étude en question.

Cette étude est révélatrice en ce qui concerne la force de la pensée sur le corps, et montre à quel point un comportement enthousiaste et optimiste peut soulever des montagnes. Tout porte à croire que cette façon de voir la vie est payante à tout âge!

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L’infidélité est encore répandue chez les couples mariés

Top Santé rapporte des statistiques qui ont de quoi inquiéter tous les couples mariés qui en prendront connaissance!

Selon les chiffres démontrés, l’infidélité est encore fort répandue. Cette fois, on divise les épisodes d’aventures extra-conjugales en segment selon la durée de l’union, et on apprend des choses intéressantes.

Du nombre, on se rend compte que les hommes sont plus enclins à tromper leur partenaire que les femmes lors de la première année du mariage. 28 % d’infidélité chez les hommes en moyenne au cours de la première année, pour 16 % seulement chez les femmes.

La gent féminine se rattrape cependant au fil du temps! Entre l’an un et la troisième année du mariage, les femmes et les hommes se retrouvent presque nez à nez, avec 22 % et 24 % d’infidélité rapportée, respectivement.

Après trois ans, rien ne va plus! 57 % des femmes tromperaient leur mari, alors que la proportion des hommes fautifs reste en bas de la moitié, à 42 %.

La croissance de ces chiffres alarmants se poursuit à mesure que le temps file, ce qui viendrait non seulement confirmer la théorie que l’amour dure trois ans, mais aussi que l’ère moderne en est une bien difficile pour les relations à long terme…

 

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Un hôpital tente l’expérience de l’hypnose

Un hôpital français intègre l’hypnose à la formation offerte à ses employés, rapporte E-Santé, une première.

On cherche à utiliser tous les moyens afin de contrer la douleur chez les patients, et de nouvelles méthodes alternatives semblent prometteuses.

C’est justement le cas de l’hypnose, qui permettrait à certains patients de ressentir un soulagement grâce à cette méthode, croient les dirigeants du centre hospitalier d’Aix-en-Provence.

Des médecins infirmiers de cet hôpital sont donc maintenant qualifiés pour offrir ce type de soin, qui s’adresse principalement aux patients souffrant de douleurs chroniques et difficiles à gérer.

On souhaite également réduire le plus possible la prise de médicaments lourds et puissants, et on croit que l’hypnose peut venir en aide à une panoplie de patients, notamment ceux qui se retrouvent en chirurgie, en urgence, en oncologie et en neurologie.

Des améliorations dans la réduction du stress, de l’angoisse et de l’anxiété sont aussi notables grâce à l’hypnose, qui semble être bien accueillie par les patients de l’hôpital. On estime à seulement 5 % les cas de refus de recours à l’hypnose de la part des patients

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Les troubles mentaux seraient influencés par les saisons

Deux choses étonnantes ressortent de cette étude sur la santé mentale rapportée par Santé Log. D’abord, les troubles psychologiques et les maladies mentales seraient influencés par le cycle des saisons. Ensuite, l’étude en question est une publiée par Google!

Basée sur une compilation de recherches et de données issues du célèbre moteur de recherche, cette étude est tout de même écrite et endossée par un spécialiste, le Dr John W. Ayers de l’Université de San Diego.

On y apprend donc que les saisons sont un facteur d’influence sur le développement et la férocité de certains troubles psychologiques et psychiatriques.

Cependant, on ne peut placer toutes les maladies et tous les problèmes sous le même arc ou le même graphique, chaque trouble ayant visiblement sa propre courbe saisonnière.

Ainsi, après avoir compilé toutes ces données virtuelles, le Dr Ayers conclut que les recherches sur les troubles alimentaires sont en baisse de près de 40 % en hiver, alors que la schizophrénie serait quant à elle moins « populaire » en été (40 % aussi).

Les recherches en ligne concernant les troubles obsessionnels compulsifs, la dépression et le suicide ainsi que le déficit d’attention sont en baisse durant la saison estivale.

Les chercheurs qui ont pris connaissance de ces résultats croient maintenant qu’il est envisageable de mieux cibler le public en utilisant ces données lors des campagnes de sensibilisation et de prévention.

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La journée idéale serait loin de la réalité du quotidien

Deux chercheurs, un Allemand et un Américain, se sont penchés sur la question du bonheur, et plus particulièrement sur la journée idéale, rapporte Top Santé.

Le premier constat issu de cette recherche originale est que les clés et les éléments d’une journée parfaite ne sont pas si complexes qu’on pourrait le croire, et qu’ils vont un peu à l’encontre de nos principes modernes et de notre obsession de la performance et de l’aspect financier.

Les deux chercheurs, Sebastian Pokutta et Christian Kroll, ont donc fractionné en détail cette fameuse journée parfaite, dans une théorie qu’ils ont baptisée « méthode de reconstruction de journée ».

À la minute près, donc, la journée parfaite moyenne serait constituée de 106 minutes de sexualité pour seulement 36 minutes de travail! 82 minutes seraient octroyées à la pure socialisation, soit du temps pour prendre soin de ses proches et amis et échanger avec eux.

On prendrait ensuite près de 70 minutes pour manger et méditer, et moins de 50 minutes pour les tâches ménagères. 48 minutes seulement devraient être allouées à l’ordinateur, le même nombre que pour la sieste.

Puis, comme si ce n’était pas assez, on ajoute du temps consacré à la relaxation… On peut donc dire que si ces conclusions sont le reflet des besoins humains, nous sommes dans une direction qui va à l’encontre de notre nature même.

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Les Japonais s’attaquent à nos rêves

Top Santé rapporte que des scientifiques japonais se sont penchés sur les rêves humains et auraient mis au point une nouvelle méthode de décryptage et d’analyse pour mieux les comprendre.

Les chercheurs asiatiques ont décidé d’utiliser une technique d’essais et erreurs afin d’en venir à un système de décodage fonctionnel des rêves. En effet, l’équipe japonaise a analysé les phases de sommeil de trois sujets, et a dû les réveiller à chacune d’elles afin que ceux-ci racontent leurs histoires.

En associant chacun de ces rêves à des thématiques et des descriptions, les chercheurs ont pu en venir à un genre de « dictionnaire » des rêves ultrasophistiqué.

« Les rêves sont représentés par des schémas d’activité cérébrale qui fournissent un moyen de découvrir leur contenu », résume l’un des chercheurs de l’équipe en tête de l’étude.

Puis, afin de vérifier l’efficacité de la méthode, ils ont ensuite essayé de deviner les rêves des sujets, en analysant ces fameux signaux cérébraux précédemment déterminés.

S’ils n’en sont qu’à un taux de succès de 60 à 70 %, ce qui n’est pas mauvais, les chercheurs croient qu’ils sont sur la bonne voie et qu’ils pourront bientôt analyser et « archiver » les rêves, ce qui permettra aux gens qui le désirent de savoir, se souvenir et mieux comprendre les rêves qui hantent leurs nuits.

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Dépensez-vous trop d’énergie à vous en faire pour rien?

PsychCentral dévoile des passages forts intéressants de deux livres qui traitent d’un sujet qui semblera sans doute familier pour plusieurs personnes.

On aborde dans ces publications le phénomène de « s’en faire pour rien », un mal psychologique qui touche beaucoup plus de gens qu’on croit.

Le problème, c’est que ce comportement engendre des hausses de stress, des sentiments d’angoisse et d’anxiété, en plus de faire en sorte que le cerveau et l’organisme travaillent beaucoup trop, et constamment.

On suggère premièrement d’éliminer tous les « et si », c’est-à-dire d’arrêter de s’inquiéter de choses qui ne se sont pas produites ou qui ne se produiront probablement jamais. « Ais-je barré la porte… », « Et si elle se fâchait… » ou encore « Qu’arrive-t-il si… » sont des exemples révélateurs utilisés par les auteurs.

Décrivant quatre cycles précis qui définissent ce comportement, les auteurs croient qu’il est possible de traiter cette habitude à force de volonté, de concentration et d’exercices de confiance personnelle.

On vous invite à consulter l’article complet, qui dévoile encore plus de détails sur ce « syndrome » et qui propose plusieurs solutions et analyses.

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Mâcher de la gomme pourrait bien augmenter votre intelligence

Le cerveau réagirait de façon directe au simple fait de mâcher de la gomme, selon une étude rapportée par Top Santé.

Ce sont des chercheurs japonais qui sont arrivés à cette conclusion, après avoir observé des sujets lors de tests étonnants et révélateurs.

En effet, les recherches, publiées notamment dans le journal Brain and Cognition, révèlent que parmi les individus soumis aux tests cognitifs et de logique, ceux qui mâchaient de la gomme répondaient jusqu’à 10 % plus vite que les autres!

« Lorsqu’on mastique ou qu’on mâche une gomme, nous faisons fonctionner le nerf trijumeau, un des nerfs crâniens qui, à son tour, réveille notre attention et met les neurones en alerte. En outre, nous savons aussi que le fait de mastiquer augmente le rythme cardiaque, ce qui permet de faire circuler le sang dans le cerveau », explique le professeur Andrew Smith de l’université de Cardiff, qui s’est aussi penché sur le sujet.

Conclusion? On conseille aux gens qui doivent effectuer des tâches répétitives ou qui demandent de la concentration au travail de penser à mâcher de la gomme.

Tenterez-vous l’expérience?

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Méditer rendrait aussi plus enclin à la compassion

La méditation possède de multiples vertus bien connues des spécialistes et des gens qui pratique cette discipline, mais Santé Log rapporte une étude fort intéressante sur le sujet, qui dévoile un nouvel avantage de la méditation.

Selon des chercheurs américains, deux groupes associés de la Northeastern University et à Harvard, le fait de méditer apporte une telle paix intérieure qu’elle aurait aussi un impact sur nos relations et réactions envers autrui.

Des hausses de compassion ont été observées chez les sujets de l’étude, comme l’explique l’auteur principal de cette recherche, David DeSteno : « Nous savons que la méditation améliore le bien-être physique et psychologique, nous montrons qu’elle favorise aussi un comportement de compassion ».

Pour parvenir à cette conclusion, les chercheurs ont simulé une scène se déroulant dans une salle d’attente, qui place le sujet dans une situation où il devra choisir de céder son siège ou non à un patient plus mal en point que lui, qui n’a nulle part où s’assoir.

Les résultats sont éloquents : seuls 15 % des sujets étudiés vont tenter d’aider la tierce personne ou de lui offrir leur place. Cependant, après une formation de huit semaines en méditation, ce chiffre bondit à 50 %.

On peut donc conclure qu’une personne en meilleure santé mentale, bien dans sa peau et calme à souhait sera également une meilleure personne sur le plan moral.

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Les filles sont moins bonnes en mathématiques : un mythe

Il existe un mythe tenace concernant la gent féminine et les mathématiques, soit celui que les filles soient moins bonnes dans cette matière que les garçons.

Selon une étude américaine rapportée par Santé Log, les filles peuvent se démarquer tout autant que leurs camarades masculins en maths, et les raisons qui expliquent les succès ou les échecs relèveraient plutôt d’autres facteurs que le simple sexe de la personne.

On parle entre autres de l’estime de soi, qui serait primordiale pour exceller dans les chiffres et les nombres. Cette qualité est par ailleurs utile pour une multitude d’autres sujets dans la vie en général, mais particulièrement dans les matières comme les mathématiques, apprend-on. L’envie de réussir est aussi un facteur important, selon les chercheurs.

Publiées dans la prochaine édition du Psychology of Women Quarterly, ces recherches confirment donc que les filles de ce monde n’ont aucune crainte ni aucun complexe à avoir, et qu’elles peuvent envisager des carrières en mathématiques et en sciences, à l’égal des garçons.