Catégories
Uncategorized

Le manque de sommeil affecterait plus les femmes que les hommes

Voici une étude sur le sommeil qui risque d’en faire réagir plus d’une, puisqu’elle semble à première vue un brin sexiste, mais attendez la suite…

Selon des chercheurs de l’Université Duke, les femmes auraient moins bon caractère que les hommes lorsqu’elles manquent de sommeil, alors que l’homme semble ne pas subir autant d’inconvénients en santé lorsqu’il dort peu.

Une plus grande susceptibilité, donc, ainsi qu’une vulnérabilité physique et psychologique sont observables chez la gent féminine lorsqu’elle n’a pas ses heures de sommeil règlementaires, rapporte Top Santé.

« Nous avons découvert que les femmes avaient plus de dépression, étaient plus colériques et irascibles le matin après le réveil », explique d’abord le Dr Breus, en tête de l’étude.

Mais attention, cela pourrait avoir un lien avec l’utilisation que les femmes font de leur cerveau durant le jour.

« Plus vous utilisez votre intellect pendant la journée, plus vous avez besoin de vous reposer la nuit. Les femmes ont tendance à être multitâches et elles mobilisent davantage leurs fonctions cérébrales que les hommes », ajoute le spécialiste.

L’étude, qui semblait d’abord préjudiciable aux femmes, se retourne finalement contre les hommes!

On suggère aux femmes irritables et qui manquent de sommeil de tenter l’expérience des siestes, d’une durée de 25 à 90 minutes maximum, pour un effet optimal.

Catégories
Uncategorized

L’épuisement professionnel augmente aussi les risques de crise cardiaque

Santé Log rapporte une étude qui dévoile les risques pour la santé reliés à un épuisement professionnel, mieux connu sous le nom de burnout.

Le stress et l’épuisement dus au travail ou à des raisons professionnelles sont un fléau de plus en plus grandissant, notamment à cause de la course incessante à l’argent qui prévaut en Amérique, et du marché économique instable que l’on connait depuis maintenant plus de cinq ans.

Tous ces facteurs, et bien d’autres, contribuent à l’épuisement professionnel, qui n’a pas que des impacts sur la santé psychologique. En effet, selon l’étude israélienne en provenance de l’Université de Tel-Aviv, les risques de faire une crise cardiaque ou de développer une maladie cardiovasculaire se verraient augmentés de 40 % lorsqu’une personne se retrouve en burnout.

Des chiffres inquiétants, qui découlent d’une analyse intensive des cas de près de 10 000 personnes, des hommes et des femmes, sur leurs habitudes professionnelles et leur santé psychologique.

Du nombre, ceux qui ont vécu un épuisement professionnel ont aussi démontré des symptômes et des réactions qui ont mené aisément à la conclusion rapportée ici.

Cette étude a été publiée dans la plus récente édition du magazine Psychosomatic Medicine.

Catégories
Uncategorized

Le téléphone intelligent pourrait-il vous rendre plus… intelligent?

Il n’y a pas que votre téléphone qui soit plus intelligent, avance une étude, mais vous aussi à force de l’utiliser! Cet audacieux constat est celui du Dr Michael Patterson, de la Nanyang Technological University de Singapour, qui croit que l’utilisation quotidienne de ce type d’appareil peut s’avérer bénéfique pour les capacités cognitives.

Le téléphone intelligent pourrait-il vous rendre plus intelligent, donc? Pas vraiment, mais il pourrait bien améliorer la qualité et la rapidité de certaines réponses du cerveau dans une situation donnée, rapporte Top Santé.

Le Dr Patterson cite en exemple les populaires mini-jeux vidéo proposés sur les téléphones intelligents, qui permettraient de développer plusieurs aspects cognitifs.

Ainsi, les jeux de mémoire augmenteraient les capacités de recherche visuelle, alors que les jeux d’action permettraient d’améliorer sa « conscience spatiale », une notion relativement nouvelle.

« C’est la première étude qui montre que de multiples jeux peuvent améliorer les capacités cognitives et non plus les seuls jeux d’action », lance avec fierté l’auteur de l’étude, qui est publiée dans l’édition récente du magazine PLoS One.

Catégories
Uncategorized

Les boissons énergisantes n’augmentent pas les capacités cognitives

Plusieurs grandes compagnies de boissons énergisantes, de plus en plus populaires, utilisent dans leur mise en marché des éléments qui laissent croire que la consommation de ces boissons augmente les capacités cognitives.

Certains de ces produits laissent miroiter une amélioration de l’énergie physique, mais aussi mentale, une affirmation qui n’a pas de fondement, suggèrent des chercheurs du Texas qui se sont penchés sur la question en analysant les réactions de cyclistes.

Leurs conclusions, que rapporte Medical News Today, font état d’une amélioration minime ou inexistante des capacités cognitives lors de la consommation d’une boisson énergisante.

Ils confirment cependant certaines vertus en ce qui concerne les capacités physiques, bien que l’on conseille vivement de ne pas en abuser ou de développer un besoin envers ces produits.

Les recherches, publiées dans le Journal of Caffeine Research, ne semblent pas complètes, ce qui indique que des contre-études sont attendues sur le sujet, car même les améliorations physiques reconnues par certains spécialistes sont mises en doute par d’autres.

Catégories
Uncategorized

Les antipsychotiques peu efficaces contre la dépression

The National Library of Medicine rapporte une étude qui dément les propriétés thérapeutiques des antipsychotiques chez les patients atteints de dépression.

On croyait, à tort semble-t-il, que ces médicaments pourraient venir en aide aux patients dépressifs lorsque les antidépresseurs connus n’ont aucun effet.

Or, selon les chercheurs de la Metropolitan State University, de St. Paul au Minnesota, il n’en est rien. Pour eux, les améliorations notables sont bien trop minimes en comparaison des divers effets secondaires possibles, ce qui rend la manœuvre inutile.

« Les preuves supportant la prise d’antipsychotiques dans des cas de dépression sont marginales. D’autres options pourraient s’avérer aussi efficaces, ou plus efficaces, sans le bagage d’effets secondaires », explique le chercheur Glen Spielman.

Les effets secondaires avancés pourraient se matérialiser sous la forme de fatigue, de somnolence, de gain de poids et d’une hausse des taux de cholestérol, entre autres.

De plus, les chercheurs du Minnesota s’inquiètent de voir les autorités de la santé américaines minimiser, ou carrément cacher, les résultats de ces tests sur le sujet. Ils tiennent à rétablir la vérité et à protéger les patients contre des traitements inutiles et risqués.

Catégories
Uncategorized

Un nouveau traitement contre le syndrome post-traumatique pourrait voir le jour

Santé Log rapporte une excellente nouvelle dans le dossier du syndrome post-traumatique, qui commence enfin à jouir de la visibilité médiatique qu’il mérite.

En effet, il s’agit d’un véritable fléau pour une panoplie de gens, les plus connus étant bien sûr les soldats de retour d’Afghanistan et d’Irak, les deux dernières guerres auxquelles ont participé le Canada et les États-Unis.

Depuis le retour des premiers soldats, on constate que presque tous les combattants se retrouvent aux prises avec des problèmes reliés au syndrome post-traumatique, à grande ou à moindre échelle.

Il est donc primordial de sensibiliser les gens à la cause et de trouver des traitements adéquats. On parle justement ici de la rapamycine, un médicament, et de ses effets bienfaiteurs sur l’organisme grâce à une réduction du stress et de la peur.

Agissant par l’inhibition de certaines protéines, le traitement permet de constater des résultats prometteurs. C’est ce que croient les chercheurs de l’Université McGill, qui publient leurs résultats dans l’édition du mois de mars des Actes de l’Académie des Sciences américaine (PNAS).

Le professeur Karim Nader et son équipe ont bel et bien confirmé les effets de la rapamycine. Ils croient qu’une porte vient de s’ouvrir sur de meilleurs traitements contre le syndrome post-traumatique.

Catégories
Uncategorized

La vitamine B pourrait aider certains patients atteints de schizophrénie

The National Library of Medicine rapporte les conclusions d’une étude qui laissent croire à la possibilité que la vitamine B puisse venir en aide à certains types de patients schizophrènes.

Malheureusement, ce ne serait pas un constat qui s’applique à tous et toutes. Le patient qui pourrait bénéficier de suppléments de vitamine B dans le cadre de son traitement est celui qui démontre des prédispositions génétiques préalables.

Car ne réagit pas qui veut à la vitamine B, révèlent les chercheurs du Massachusetts General Hospital.

« Il s’agit d’un gène qui contrôle la digestion de l’acide folique dans le sang », déclare le Dr Joshua Roffman, auteur principal de l’étude.

Il précise également que les changements observés chez les patients après avoir reçu des doses de vitamines B sont minimes, mais bien perceptibles, donc réels.

Roffman termine en indiquant que même si la publication est une recherche partielle, elle n’en demeure pas moins fort importante dans la quête de soins pour les patients atteints de schizophrénie.

Catégories
Uncategorized

Le somnambulisme comporte ses dangers

Le somnambulisme, ou le fait de marcher ou d’évoluer durant l’état de sommeil, n’est pas toujours un phénomène bénin. S’il peut parfois être sans risque, il comporte aussi son lot de dangers.

C’est ce que l’on apprend d’une étude sur le sujet, rapportée par The National Library of Medicine, qui affirme que plusieurs incidents sont rapportés par des gens aux prises avec ce trouble du sommeil.

Du nombre des gens qui marchent en dormant,  58 % en moyenne auraient expérimenté des comportements violents ou agressifs. On craint donc pour l’intégrité physique de ces patients, en plus de celle de leurs proches, qui ne se rendent pas toujours compte de ces comportements nocturnes.

Outre ces conséquences potentiellement dangereuses, les somnambules sont souvent victimes de sévères fatigues durant le jour et sont souvent portés vers la dépression.

Pour contrer le phénomène, les experts français en tête de l’étude conseillent de se documenter sur le sujet et d’éviter les déclencheurs de ce trouble, comme de mauvaises habitudes de sommeil ou un stress trop important.

On conseille vivement à ces patients de bien verrouiller les portes et de même dormir au niveau du sol, s’il le faut. Installer une cloche aux portes n’est pas une mauvaise idée, puisque cela pourrait réveiller le dormeur qui tente d’en franchir une.

Catégories
Uncategorized

Une technique extrême pour soigner l’anorexie

On apprend via La Presse qu’une nouvelle méthode pour traiter l’anorexie pourrait faire son apparition. Le problème est que la technique est invasive et assez extrême, mais les spécialistes croient qu’il s’agit d’une excellente solution, qui mérite d’être étudiée.

On parle donc d’implantation d’électrodes dans le cerveau, une phrase qui suffit à faire frémir. Cependant, pour les gens aux prises avec un trouble alimentaire comme l’anorexie grave (et incurable), il pourrait s’agir d’une avenue vers la guérison.

Les chercheurs, qui publiaient les résultats de leurs recherches sur le sujet dans le journal médical Lancet, croient que la technique est tout à fait réalisable et pourrait en effet soigner des gens qui souffrent d’anorexie.

Pour arriver à ce constat, les chercheurs nord-américains ont tenté l’expérience sur six patientes de 24 à 57 ans, et trois sont parvenues à dompter la maladie.

« Cette amélioration de l’humeur et de l’anxiété chez des patientes affichant un poids insuffisant est particulièrement frappante, alors que ces malades répondent généralement mal aux thérapies médicamenteuses ou aux psychothérapies », résume le Dr Andres Lozano, qui coordonnait l’étude.

Catégories
Uncategorized

L’optimisme et les taux de cholestérol : cause à effet?

Les gens de plus de 40 ans qui voient la vie d’un bon œil pourraient améliorer leur bon taux de cholestérol dans le sang, suggère une nouvelle étude.

C’est ce que rapporte The National Library of Medicine, qui prétend qu’il est possible de tracer un lien entre le cholestérol et le fait d’être positif à 40 ans.

Les tests effectués démontreraient en effet que les personnes à mi-chemin dans leur vie qui ont d’excellents résultats en matière de cholestérol dans le sang ont bel et bien une vision plus légère et enjouée de la vie en général… ou serait-ce l’inverse?

« Il s’agit d’une nouvelle pièce de preuve qui suggère que la santé psychologique et la santé physique sont interreliées, et que voir le monde de façon optimiste peut avoir des effets tangibles sur la santé », résume l’auteure de l’étude, Julia Boehm, de la Harvard School of Public Health de Boston.

Des propos qui laissent croire que non seulement un bon taux de cholestérol dans le sang peut améliorer l’attitude, mais que l’inverse serait aussi vrai.

D’autres tests doivent être effectués sur le sujet, car les chercheurs ne veulent pas trop s’avancer sur les effets possibles d’une attitude positive sur l’organisme. Une cause à effet reste à prouver.