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Un test de dépistage… du suicide

Top Santé rapporte une percée par l’entremise des chercheurs australiens concernant un fléau universel.

On parle du suicide, un sujet toujours chaud et un problème de société qu’il faut absolument combattre avec force.

C’est justement la mission que se sont donnée les chercheurs de l’Université New South Wales, en tentant de créer le premier test de dépistage du suicide au monde.

Ce sont d’abord les Suédois qui ont parlé en premier de cette possibilité, en faisant la découverte et démontrant l’impact d’une molécule neurotoxique appelée acide quinoléique. Cette dernière pourrait être à blâmer dans différents cas de suicides, en plus d’être déjà au banc des accusés en ce qui a trait à plusieurs maladies dégénératives comme l’Alzheimer.

« Nous connaissons maintenant le mécanisme et la molécule impliquée, donc nous devons trouver un moyen simple de le tester. Nous pensons que cela prendra environ 12 mois pour développer un test qui pourrait donner aux médecins des résultats en 24 à 48 heures. », explique le professeur Gilles Guillemin, de l’équipe de chercheurs impliquée dans le dossier.

Si plusieurs autres spécialistes doutent de la possibilité d’un test de dépistage du suicide, on ne pourra pas blâmer les chercheurs australiens, puisqu’eux, ils auront tenté le coup.

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Les pessimistes pourraient vivre plus longtemps

Une nouvelle étude avance que le pessimisme pourrait être synonyme de longévité, rapporte Top Santé.

Aussi improbable que cela puisse paraître, ce comportement négatif permettrait de vivre plus vieux, ce qui contredit toutes les théories qui parlent de l’importance des bonnes énergies pour vivre plus longtemps.

Ainsi, on apprend que les gens qui sont pessimistes et qui n’affichent pas une grande confiance en l’avenir, ou qui en ont carrément peur, seraient plus enclins à la prudence.

Plus prudent, moins d’accidents. C’est un peu le constat que révèlent les chercheurs de l’Université d’Erlang-Nuremberg.

Les pessimistes, attendant la mort et la maladie à chaque détour, développeraient de meilleurs réflexes santé et prendraient ainsi mieux soin d’eux que les personnes qui croient que tout ira bien, peu importe la situation donnée.

Pour étayer cette théorie, les chercheurs ont suivi des patients, divisés en trois groupes selon leur mode de pensées, durant une décennie.

« Contre toute attente, nous avons remarqué qu’une santé stable et bonne ainsi que de bons revenus étaient liés à des attentes plus négatives », conclut le Dr Frieder Lang.

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Les livres de croissance personnelle au secours des gens dépressifs

On apprend par l’entremise de The National Library of Medicine qu’une nouvelle étude redonne ses lettres de noblesse aux livres de croissance personnelle retrouvés sur le marché.

Ceux-ci sont souvent victimes de préjugés, à tort ou à raison, mais il appert qu’ils pourraient bien s’avérer bénéfiques dans certaines situations données.

Ce serait le cas notamment en ce qui concerne les gens aux prises avec des troubles liés à la dépression, croient les chercheurs britanniques qui publient leurs conclusions dans l’édition du 26 février du BMJ.

C’est après avoir analysé le cas de plusieurs patients dépressifs et leurs réactions face à ce type de traitement « doux », comme les livres de croissance personnelle, qu’ils se sont rendu compte que la méthode pouvait porter des fruits.

Peter Bowers, de l’Université de Manchester, croit donc que les thérapeutes et praticiens devraient songer à utiliser ces outils dans le cadre de la thérapie offerte aux patients.

On souligne également le coût très bas de ces livres, par rapport à celui de thérapies extensives et onéreuses.

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Plus de partenaires sexuels pourraient signifier plus d’alcool

Si vous êtes célibataire, que vous cumulez les conquêtes et que votre consommation d’alcool dépasse les posologies prescrites, sachez qu’il y a peut-être un lien à tracer entre les deux comportements.

C’est du moins ce que rapporte Top Santé, alors qu’une nouvelle étude néo-zélandaise sur le sujet fait son apparition. On y apprend que le nombre de partenaires sexuels aurait une incidence sur la consommation d’alcool, un fait qui serait vérifiable même chez la femme.

Surtout chez la femme même, si l’on croit les statistiques offertes par l’étude. Ainsi, les femmes seraient plus à risque de développer un problème de consommation d’alcool si elles vivent des relations sexuelles avec plus de trois partenaires entre l’âge de 18 et 20 ans.

Les chiffres explosent, se multipliant par sept, lorsqu’on analyse les données concernant les femmes de 21 à 25 ans. La courbe devient exponentielle chez les femmes de 32 ans, à tout le moins chez celles qui ont eu beaucoup de partenaires sexuels durant la deuxième moitié de la vingtaine.

L’étude croit que les deux comportements sont similaires à bien des égards, affirmant que « les personnes impulsives ont plus de chances de s’engager dans plusieurs activités et d’être dépendantes à certaines substances ».

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Les femmes sont-elles vraiment plus loquaces que les hommes?

Santé Log répond à une question qui semble de prime abord sexiste : les femmes parlent-elles plus que les hommes?

L’étude rapportée par le site répond non seulement à cette question par l’affirmative, mais elle explique également l’une des raisons qui pourrait expliquer ce phénomène.

On avance d’abord que la femme prononcera en moyenne 20 000 mots par jour, pour 7000 pour un homme. Mais attention, si on comprend bien les résultats de cette étude en provenance de l’Université du Maryland, ce phénomène cacherait un beau compliment pour la gent féminine.

En fait, il appert que si les femmes parlent plus, c’est qu’elles auraient une meilleure capacité d’apprentissage et de maîtrise du langage, une capacité démontrée et expliquée par la présence de la protéine FOXP2.

Cette dernière jouerait un rôle dans la capacité et la volonté de s’exprimer, et de le faire adéquatement.

Fait étrange, on retrouve davantage cette protéine chez les rongeurs mâles, comme les rats, mais moins chez leurs homologues humains.

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15 mois dans la vie d’une femme… à se maquiller!

Une nouvelle étude aussi légère qu’intéressante révèle que les femmes passeraient, en moyenne, 15 mois de leur vie à se maquiller! C’est du moins ce qui ressort des habitudes de vie des femmes britanniques qui font l’objet de l’étude, explique Top Santé.

747 jours donc, ou un an et trois mois, voilà le constat qui ressort de cette étude toute féminine.

Si on fractionne cette durée encore un peu plus, on parle alors de trois heures et dix-neuf minutes par semaine, ou encore de plus de 15 minutes par jour.

Il semble que le weekend permet aux dames d’accorder encore plus de temps par jour à leur beauté, puisque celles-ci passeraient alors 24 minutes (en moyenne) par jour à se faire belles.

Les yeux semblent être le principal point d’intérêt des femmes, eux qui sollicitent plus de temps que les autres parties du visage.

Il semble par ailleurs que ce comportement ne soit pas un fardeau pour la majorité des répondantes, qui affirment éprouver du plaisir à se maquiller.

« Les femmes mènent une vie si remplie de nos jours que la moindre astuce qui peut permettre d’économiser du temps est bonne à prendre », révèle la directrice du Harley Street Beauty Clinic – Specialist Make-up Services, qui menait cette enquête afin de mieux cibler les besoins de la femme moderne.

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L’insomnie pourrait mener droit au suicide

C’est une nouvelle qui frappe, alors que Santé Log rapporte une étude de la Georgia Health Sciences University qui trace un lien possible entre l’insomnie et le suicide.

On parle plus spécifiquement d’un point de non-retour où la personne qui souffre d’insomnie perd carrément l’espoir de s’endormir un jour… et pourrait alors entrevoir que mettre fin à ses jours s’avère une « solution » efficace.

Publiée dans le journal Clinical Sleep Medicine, l’étude analyse les réactions en chaîne que peut causer une insomnie chronique.

« Il s’avère que l’insomnie peut conduire à un type très spécifique de désespoir puissant prédicateur de suicide », conclut le Dr W. Vaughn McCall, du département de psychiatrie de l’Université de Géorgie.

C’est après avoir analysé les cas de 50 patients âgés de 20 à 80 ans, souffrant de problèmes connexes à la dépression en milieu hospitalier, que les chercheurs sont arrivés à ce constat. On a ensuite établi des liens avec les problèmes de sommeil des sujets, qui peuvent finir par causer un effet de spirale.

Ceux qui commençaient à douter sérieusement de trouver le sommeil un jour démontraient des symptômes suicidaires alarmants.

Bien qu’il reste encore des preuves à faire pour parler de cause à effet, les chercheurs semblent convaincus de ce qu’ils avancent.

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Le bonheur est comme le vin

Si vous êtes jeune et malheureux, sachez qu’il y a peut-être de l’espoir. En effet, selon une étude rapportée par Santé Log, il semble que le bonheur soit comme le bon vin : il s’améliore avec l’âge.

C’est ce qui ressort de ces vastes recherches effectuées par des chercheurs de l’Université de la Floride, publiées dans la plus récente édition de Psychological Science.

Pour ces chercheurs, il existe plusieurs facteurs influençant le bonheur qui demandent du temps. La vie professionnelle, l’argent, la vie sociale et amoureuse ainsi que la famille sont tous des aspects que l’on peaufine et détermine avec l’âge.

Étonnamment, même en compilant d’autres facteurs qui sembleraient favoriser la jeunesse, il appert que les courbes de bonheur demeurent les mêmes. Peu importe l’angle utilisé pour analyser cette théorie, il s’avère que le bonheur s’acquiert bel et bien au fil du temps.

D’autre part, les chercheurs constatent aussi qu’il s’agit d’une rude époque pour débuter dans la vie et partir à la quête du bonheur, alors que les crises financières et économiques se multiplient, créant ainsi un marché du travail compétitif et difficile.

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Les gens généreux vivraient plus longtemps

Une nouvelle étude rapportée par Santé Log devrait rendre les plus généreux d’entre vous très heureux, alors que les plus pingres risquent fort d’être déçus.

Pour les chercheurs américains en tête de l’étude, la générosité et l’altruisme permettraient une plus grande durée de vie. Cette longévité serait observable assez facilement chez ce type de personne, notamment parce que les gestes de générosité abaissent le niveau de stress.

Ce fameux stress, outre les maladies graves à proprement parler, s’avère l’ennemi numéro un de la santé depuis plusieurs années.

Les chercheurs de l’Université de Buffalo croient que les actes de générosité sont un puissant contre-stress et permettent d’étirer la durée de vie chez ceux qui en pratiquent souvent.

En pratique, cela signifie que les gens stressés ont plus de risque de décéder avant le temps, mais que ceux qui sont portés vers les autres et aiment aider et faire preuve de générosité « récupèrent » ces années, ou font diminuer les risques créés par le stress.

Ce n’est pas la première étude à tracer un tel lien entre les comportements psychosociaux et la longévité, mais on commence à se rendre compte de plus en plus à quel point nos actions ont une véritable incidence sur l’avenir et notre santé.

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Le mariage est-il gage d’un gain de poids?

Une nouvelle recherche établit un lien entre le mariage et le gain de poids, rapporte The National Library of Medicine.

S’il s’agissait jusqu’à présent d’un simple cliché, des chercheurs américains croient maintenant pouvoir en faire la preuve. Pour y parvenir, ils ont étudié les cas de plusieurs nouveaux mariés, sur une période de quatre ans.

Les conclusions sont claires : le mariage est un véritable ennemi de la taille fine. Ce qui s’avère d’autant plus étonnant, c’est qu’il semble que la notion de bonheur au sein du mariage joue également un rôle prédominant dans la prise éventuelle de poids. Ainsi, plus on est heureux dans son mariage, plus on prendrait du poids!

« Il est accepté depuis longtemps qu’une prise de poids est associée avec l’union du mariage, et qu’une perte de poids est quant à elle associée au divorce ou à la séparation. Ce qui était moins clair, c’est le rôle joué par le fait d’être heureux dans ce mariage sur la variation de la masse corporelle », explique Andrea Meltzer, psychologue et auteure de l’étude.

Le phénomène s’expliquerait en partie par le fait que les gens malheureux pensent plus au divorce et s’assurent de conserver une belle silhouette… au cas où.