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Les plus grandes utilisatrices de Facebook seraient aussi les plus seules

C’est une étude bien triste que nous rapporte Top Santé, alors que des chercheurs tracent un lien entre l’utilisation massive de Facebook et la solitude chez les femmes.

Les jeunes femmes qui utilisent massivement Facebook seraient davantage seules que leurs consoeurs qui ne l’utilisent pas ou qui l’utilisent moins, selon les chercheurs de l’Université Charles Sturt derrière l’étude.

Ces conclusions sont celles obtenues après l’analyse des comportements de 606 femmes sur les réseaux sociaux. Elles démontrent que plus une internaute propose un profil bien garni et des informations (souvent très personnelles), plus elle se sent seule dans la réalité.

« Ces résultats ont du sens. Il est logique que les gens qui se sentent seuls partagent ce genre d’informations. Ils veulent faciliter la prise de contact avec les autres, ce qui pourrait les aider à surpasser leur sentiment de solitude », analyse Al-Saggaf, un professeur appelé à commenter l’étude.

Malheureusement, plusieurs autres études ont démontré que Facebook tend à miner le moral et l’estime de soi, au contraire de l’améliorer. Il s’agirait donc d’un cercle vicieux, vu les possibilités du réseau virtuel de Mark Zuckerberg.

D’autres études sur le sujet sont certainement à venir, alors que le web et les réseaux sociaux continuent leur irrésistible ascension dans notre quotidien.

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Quand le lieu de travail devient moins stressant que la maison

Est-ce que votre lieu de travail est devenu votre endroit de prédilection et votre sanctuaire, au détriment de la maison devenue trop stressante? Voilà la question posée par le New York Times, qui rapporte une nouvelle étude intéressante en la matière.

Le quotidien propose les résultats d’une étude, effectuée par des chercheurs de l’Université Penn State, qui analysait les taux de cortisol de 122 travailleurs durant leurs heures de travail, puis durant le week-end.

Les chercheurs ont été étonnés de constater que les niveaux de stress des sujets, évalués à l’aide des taux de cortisol, étaient souvent moins élevés au travail qu’à la maison.

Ces résultats intéressants tendent à démontrer que le travail demeure un exutoire de choix contre les tracas et le stress de la vie familiale et quotidienne.

« Le fait que les niveaux de stress des gens descendent lorsqu’ils sont au travail ne signifie pas pour autant qu’ils n’aiment pas leur maison ou leurs enfants. Je crois que ça suggère plutôt qu’il y a quelque chose de bon pour vous dans le travail », croit la professeure Sarah Damaske, auteure de l’étude.

De plus, les femmes semblent particulièrement moins stressées au travail qu’au domicile que les hommes, un autre indicateur des difficultés à conjuguer la vie familiale, amoureuse et professionnelle.

Les résultats de l’étude ont été publiés dans le journal Social Science & Medicine.

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Les enfants moins enclins à manger ce qui est bon pour la santé

Voilà une nouvelle qui ne surprendra personne, encore moins les parents, mais qui propose un fondement scientifique à une évidence.

En effet, selon une nouvelle recherche de l’Université de Chicago, il appert que les enfants seraient moins enclins à manger ce qui est présenté comme « bon pour la santé ». Surpris?

L’étude démontre que les enfants présentent une tendance évidente à rejeter toute nourriture qui présente des bienfaits pour la santé, rapporte MedicalNewsToday, notamment parce qu’ils appréhendent un goût moins intéressant que celui des produits qui leur sont interdits ou moins recommandés.

« Les enfants d’âge préscolaires semblent croire que la nourriture ne sert qu’à deux choses, et qu’il est impossible que quelque chose les rende plus en santé tout en étant délicieux à manger », lance le professeur Ayelet Fishbach, qui dirige la recherche.

Mieux vaut donc rester discret sur les propriétés alimentaires des aliments sains, et utiliser la psychologie inversée dans bien des cas, si l’on se fie aux résultats de l’étude.

Ces derniers seront publiés dans une prochaine édition du Journal of Consumer Research.

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La dépression frappe chez les personnes âgées

Depuis quelques années, les statistiques de cas de dépression chez les personnes âgées surprennent. Le Devoir rapporte une fois de plus quelques chiffres qui démontrent que le phénomène n’a probablement pas ralenti depuis l’an dernier.

Selon le quotidien, qui prend ses chiffres de l’Enquête québécoise sur les limitations, les maladies chroniques et le vieillissement (EQLAV) et des analyses de l’Institut de la statistique du Québec, une personne âgée sur cinq souffrirait de troubles de l’humeur et/ou de dépression. 20 %, en somme, de nos aînés perdent le goût de vivre, alors qu’ils ont traversé tant d’épreuves.

La statistique grimpe à 60 % chez les personnes âgées déclarées invalides ou en incapacité grave. Passé l’âge de 85 ans, une personne âgée sur quatre serait touchée par la dépression.

Les femmes seraient davantage touchées, ainsi que les personnes seules ou sous le seuil de pauvreté.

« En identifiant ces personnes vulnérables, cela permet de faire de la prévention et d’éviter d’éventuels recours aux services de santé. Ces indicateurs peuvent aussi permettre de suivre l’évolution de la clientèle des personnes âgées, de voir comment le système de santé doit s’adapter à cette réalité et appliquer les interventions les plus utiles », explique Maxime Murphy, qui dirige l’étude.

Des conclusions bien tristes, surtout à une époque où le système de santé québécois démontre tant de signes de fatigue qu’il est devenu de plus en plus difficile d’aider les plus démunis et les personnes aux prises avec des troubles mentaux ou dépressifs.

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L’ambition pourrait bien rallonger votre vie

Êtes-vous du type ambitieux? Il serait peut-être temps de s’y mettre, puisqu’une nouvelle étude vante les mérites de l’ambition sur la durée de vie moyenne.

L’étude en question, rapportée par Top Santé, estime que la qualité permettrait d’espérer une plus grande longévité, et que les personnes qui n’ont pas vraiment de but dans la vie sont possiblement désavantagées.

Créée par des chercheurs canadiens et américains, la recherche analysait 7000 adultes âgés de 20 à 75 ans. Ces derniers devaient répondre à des questions de profilage et se soumettre à des tests physiques. Ne restait plus qu’à attendre quatorze ans pour vérifier la théorie…

Près de quinze ans plus tard, donc, les chercheurs ont pu confirmer que les sujets se projetant dans l’avenir et aux buts et rêves bien arrêtés avaient vraisemblablement une durée de vie plus longue, ou pouvait à tout le moins l’espérer.

« C’est vraiment bénéfique de laisser ses objectifs diriger sa vie de tous les jours », tranche le Dr Patrick Hill de l’Université Carleton.

Les observations des chercheurs en tête de l’étude ont été publiées dans le magazine Psychological Science.

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Une nouvelle étude confirme le lien entre le stress et le risque cardiaque

On sait depuis un bon moment que les personnes stressées et anxieuses courent plus de risques cardiovasculaires à long terme, mais ce lien demeure toutefois souvent théorique et sans de réels fondements.

Une nouvelle étude vient confirmer une fois de plus ce lien entre le stress et les problèmes cardiaques à long terme, et tente d’en expliquer les causes, rapporte The National Library of Medicine.

La recherche proposée par des chercheurs américains se base sur des analyses physiques de 150 sujets adultes, à qui l’on soumettait des images ou circonstances stressantes afin d’observer les réactions physiologiques inhérentes à cette émotion.

Les participants à l’étude ont démontré une série de réactions et de symptômes liés au développement et au risque de problème cardiovasculaire.

« Ces découvertes abondent dans le même sens que la croyance populaire qui veut que les émotions soient connectées au cœur humain », lance l’auteur de l’étude, Peter Gianaros.

D’autres études ont confirmé que le stress, la colère, l’anxiété et la dépression étaient des émotions capables d’augmenter le risque de maladie cardiaque.

Les résultats de cette plus récente recherche ont été publiés dans le journal Biological Psychiatry.

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Nouvelle recherche sur l’hypocondrie en Nouvelle-Écosse

L’hypocondrie est un mal bien connu de façon théorique, faisant même les frais de quelques blagues, mais la réalité peut s’avérer beaucoup plus sombre qu’on pourrait le croire pour ceux qui en souffrent.

Des spécialistes de la Nouvelle-Écosse se sont penchés sur le phénomène et proposent une nouvelle recherche sur l’hypocondrie, rapporte Radio-Canada.

Selon la chercheuse Chantal Gautreau, qui mène la recherche, l’hypocondrie mène rapidement à un sentiment de panique face à des problèmes pourtant bénins, et aurait même un impact sur les coûts de santé.

L’équipe de Mme Gautreau, basée à l’Université Dalhousie, estime que les deux problèmes précédemment proposés peuvent être réglés avec l’aide de psychologues et de spécialistes en santé mentale, plutôt que par des médecins praticiens.

Simon Sherry, justement psychologue, croit en effet que sa profession détient plusieurs clés, et rappelle qu’il est important de ne pas s’en faire pour de petites douleurs ou pour certains problèmes communs observables chez des pairs.

Plus facile à dire qu’à faire, sans doute, pour les personnes hypocondriaques.

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Création d’une application pour venir en aide aux personnes bipolaires

Une nouvelle application pourrait être bientôt lancée afin de venir en aide aux personnes atteintes de troubles bipolaires, rapporte The National Library of Medicine, un problème qui touche des millions de gens dans le monde.

L’application pour téléphone intelligent serait en phase de test et semble prometteuse. L’idée est de permettre aux personnes bipolaires de recevoir un avertissement en cas de changement d’humeur soudain, grâce à un système de reconnaissance vocale proposée par l’application.

En analysant la voix du propriétaire de l’appareil et de l’application, cette dernière envoie un message de prévention en cas de changement d’humeur. On souhaite ainsi, du côté de l’équipe de recherche du Michigan derrière le projet, permettre une longueur d’avance aux patients bipolaires sur le trouble, et réagir en conséquence.

Les chercheurs américains espèrent également pouvoir contribuer à la prévention de plusieurs suicides, un objectif plus que louable.

« Ces résultats de l’étude pilote nous donnent une preuve préliminaire qu’il est possible de détecter les états de l’humeur au cours des appels réguliers, sans violer la confidentialité de ces appels », explique le coauteur de l’étude proposée, Zahi Karam.

Si le projet s’avère un succès, d’autres applications pour divers troubles comme la schizophrénie sont alors envisageables, croient aussi les chercheurs de l’Université du Michigan.

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Un mariage exigeant pourrait causer un décès prématuré

Se faire « écoeurer à mort » par son ou sa partenaire de vie prend tout son sens lorsqu’on prend connaissance d’une nouvelle étude sur les impacts d’un mariage exigeant.

Il appert, selon l’étude rapportée par le Daily Mail (UK), que les personnes qui se font constamment harceler, agacer ou exiger des choses de la part de leur partenaire voient leurs chances de mourir plus jeune monter en flèche.

Le stress d’une telle relation pourrait d’abord affecter le système immunitaire, selon les chercheurs de l’Université de Copenhague en tête de l’étude, et ainsi paver la voie au développement de certaines maladies.

Les risques de trouble cardiaque, de cancer, de dépendance à l’alcool et de suicide sont également largement influencés par le niveau de stress observable au sein d’un mariage ou d’une relation à long terme.

Après avoir étudié les relations de 9875 hommes et femmes, les chercheurs menés par le Dr Rikke Lund estiment que les hommes sont plus souvent touchés par le phénomène, puisque moins enclins à partager leurs émotions à l’extérieur du couple.

Les conclusions de l’étude ont été publiées dans le Journal of Epidemiology and Community Health.

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Une étonnante banque de cerveaux

Radio-Canada, par l’entremise de Michel C. Auger, rapporte et dévoile les détails de la création d’une banque de cerveaux, un projet étonnant qui pourrait faire grandement avancer les progrès de la science et la compréhension du cerveau humain.

Située au Québec, plus précisément à l’Institut Douglas de Verdun, la banque de cerveaux dont il est question comprendrait plus de 3000 cerveaux offerts à la science. Les spécialistes croient que ce genre de projet permettra de mieux comprendre certaines maladies mentales, et d’en apprendre davantage sur le suicide, notamment.

« C’est impressionnant, franchement », lance l’invitée de Michel C. Auger à l’émission15-18, Tamara Altéresco.

Cette dernière a pu visiter les lieux et rencontrer la coordonnatrice de la banque de cerveaux montréalaise, Mme Danielle Cécyre, qui explique que de sérieuses recherches sur le suicide et les troubles dépressifs sont possibles grâce à cette initiative et aux gens qui décident de léguer leur cerveau « à la science ».

Mme Cécyre rappelle du même coup qu’un formulaire doit être dûment rempli afin de céder son cerveau aux chercheurs à la suite de son décès, et que la section au dos de la carte d’assurance-maladie ne couvre pas ce don.

D’autres banques de cerveaux existent ailleurs dans le monde, mais le phénomène demeure assez rare.